Plus qu'un simple livre
Chapitre 1 : " Mais qu'est-ce que. "
La journée avait été longue et emmerdante ; c'était un Mardi de français à l'école. Je n'avais envie que de continuer de lire le 4e livre de Harry Potter. L'autobus de la ville me déposa à deux coins de rue de chez moi :
"Pascal, on se revoie demain, Cya !"dis-je à un ami.
" Ciao Jeff ! À demain. Oublie surtout pas le devoir d'info. Fini le bloc B."
" Ouais ouais. Je vais essayer. Cya ! "
Je mit le pied hors de l'autobus et couru jusqu'à chez moi constatant que personne ne se trouvait chez moi à ce moment, en entrant, je décidai de prendre mon livre et de le lire dans le salon. Je descendis dans ma chambre pour aller prendre le livre et un CD de musique celtique que je fais toujours jouer en lisant pour mieux me détendre. Je l'incérai dans le DVD Player et je m'installai confortablement dans mon divan trop confortable avec à proximité, quelques bonbons d'halloween et un grand verre de jus. J'ouvrai le livre où j'en étais rendu et je me mit à tâtonner le divan à la recherche de la télécommande du DVD et mis la musique assez fort pour bien l'entendre mais assez faible pour ne pas me déconcentrer. Alors je me concentrai pour bien être dans l'histoire et j'embarquai sur les lignes du livre " .Harry avait terriblement mal à sa cicatrice et il tomba au sol. La douleur était plus forte que jamais et il n'était plus capable de voir. " Une heure passa sans interruption. " .Harry aurait tellement voulu sauter sur Malfoy pour le faire taire. A chaque fois qu'il le croisait dans le couloir, il trouvait toujours le temps pour commenter ou lire un passage de l'article de Rita Sketer et tous les Serpentar qui l'entouraient riaient de plus belle. Hermione le prenait par le bras et lui répétait sans cesse 'Harry, ignore les. Ils ne valent pas la peine.' "
C'est à ce moment que mes parents arrivèrent et me déconcentra à un tel point que je n'arrivai plus à lire une ligne sans me perdre. Je décidai d'arrêter pour la journée et d'attendre au moment que j'allais me coucher. Je fermai le DVD oubliant mon CD à l'intérieur et je renversai par maladresse mon verre de jus sur la table à café du salon. Ma mère se fâcha. " Fait dont attention Jean- François. Ramasses tout de suite ton dégât. " Me dit-elle sans se retourner pour me parler. Elle préparait le repas du soir avec ma soeur qui l'aidait avec mécontentement. Elle préparait l'une de ses fameuse lasagne sans légume tellement savoureuse. J'en avais des gargouillis dans le ventre juste par l'odeur de la sauce. Je demandai à ma mère quand on allait souper. Elle me répondu qu'on allais souper " dans 1 heure " alors J'allai faire un petit roupillon d'une heure.
Je m'étendu dans mon lit et je sombrai lentement dans un profond sommeil sans pareil. Je rêvai à plusieurs choses mais l'une d'entre elle me marqua : Je me trouvais dans une immense plaine couverte d'herbe. Le ciel était couvert d'épais nuages assombrissant la journée, rendant l'ambiance triste. Plus loin se trouvaient de grandes collines avec un immense château ornant le haut de la plus grande d'entre elles. Un château sombre d'une forme très peu commune. Cette vision était impressionnante. Sur la plaine, je n'étais pas seul. Il y avait à ma gauche Harry Potter avec sa baguette sorti, prêt à attaquer. Et à ma droite se trouvait Hermione qui elle aussi avait sa baguette sorti, mais avec un regard incertain. Elle semblait regarder le sol, devant moi et je me retournai pour regarder à mon tour. J'étais là, jonchant sur le sol, habillé d'un accoutrement médiéval très différent de mon habit présent. Une terreur me fit tomber à genoux devant le corps qui semblait inerte, éteint.Le rêve semblait si réel. Je relevai les yeux devant moi pour y découvrir un nouveau venu. Un être affreux, grand, maigre, pâle, avec une peau écailleuse et une tête allongée ornée de deux yeux de chat. Il avait aussi une baguette dans les mains pointé sur mon corps inerte. La chose parla avec une voix perçante et sèche " Harry, tu es le prochain. Cette fois tu n'as plus de pierre tombale pour te cacher, ni tes parents pour te conseiller d'ailleurs. " Hermione se mit à trembler et recula d'un pas. L'être leva sa baguette en direction d'Harry et dit quelque chose que je ne compris pas. Harry avait aussi dit quelque chose que je n'avais pas comprit mais une lumière rouge et une lumière verte remplis mes yeux m'aveuglant et je me réveillai couvert de sueurs froides dans mon lit avec l'appel de ma mère me disant que la lasagne était prête.
Je restais dans mon lit sans bouger avec un regard désorienté, encore choqué par le rêve.
" Jean-François ! Le repas est servi sur la table ! Dépêche toi avant que cela devienne froid ! " Me cria-t-elle depuis l'étage au dessus. Je ne bougeai pas jusqu'à ce qu'elle me répète encore de venir manger et c'est alors que je me levai de mon lit et regardai le livre d'Harry Potter avec une certaine frayeur. J'allai enfin rejoindre la table pour déguster de la bonne lasagne toujours aussi délicieuse que d'habitude. Cela me changea les idées de voir ma famille au complet à la table, ce qui était rare depuis que mes deux soeurs sortaient souvent. Mon père avait même sorti l'une de ses bouteilles de vin rouge. Je finis par complètement oublier ce rêve ayant longuement parler avec mon père de mon projet d'informatique devant notre assiette de lasagne et notre coupe de vin. Mon père reprit par trois fois de la lasagne et je restai avec lui à la table et on finit la bouteille de vin. C'était très joyeux, personne ne s'était énervé, même si ma soeur était présente dans la maison (ma soeur à une telle énergie et une grande gueule que la susceptibilité de mon père à de la misère à digérer). Quand je me levai de table, je me dirigeai vers ma chambre et me rappela du cauchemar que j'avais fait juste avant le souper, mais rendu devant la porte de ma chambre au sous-sol, ma montre se mit à sonner : 5:58 pm. L'heure où je dois appeler mon amour. Je tournai sur mes talons et allai appeler Stéphanie dans la chambre
d'ordinateur et parla pendant plus d'une heure. Je dus la laisser car mes deux soeurs voulaient téléphoner comme à chaque fois que je suis sur la ligne :
" J-F ! J'ai besoin du téléphone tout de suite ! " Me disait ma grande soeur Karine avec un ton enragé puisque c'était la dixième fois qu'elle me le répétait et que je lui répondait que j'allais lâcher la ligne " dans quelques minutes " pour avoir un peu plus de paix et de temps pour parler avec Stéphanie :
" Bon bin, y faut que je te laisse pour ce soir, mes soeurs m'harcèlent pour avoir la ligne." dis-je à Stéphanie.
" Daccors. " répondit-elle avec une voix un peu triste.
" Tu sais que je t'aime ? "
" Je commence à le savoir un peu là " dit-elle avec un ton enjoué.
" Je t'aime mon ange. On se rappelle Vendredi pour le party ? "
" Je t'aime aussi. Oui, Vendredi, appelle moi avant de venir. " Conclut- elle.
" Bye. "
" Beuh bye. "
Je raccrochai la ligne en même temps que mon autre soeur Melissa (Celle qui a une grande gueule) arriva dans la chambre en furie " J-F ! Lâche le put. Aah ! " Elle avait vue que je venais de raccrocher et elle tourna sur ses talons et couru jusqu'au téléphone du salon pour l'avoir en premier. J'entendis de la chamaille dans le salon. Je retournai dans ma chambre croisant mes deux soeurs qui se disputaient pour le téléphone à coup de " Donne moi ça " et de " Je t'emmerde ! " .
Encore une fois, j'avais oublié le rêve et je m'étendue sur mon lit déjà tout défait avec le ventilateur toujours allumé sur ma table de chevet. Je failli m'endormir mais le rêve revenu dans ma tête tel un coup de couteau dans le coeur. Je ne comprenais pas pourquoi un quelconque cauchemar pouvait m'affecter autant. Quand la pression se calma en moi, je branchai mon lecteur de CD sur les haut-parleurs que j'avais installés près de mon lit et je fit jouer mon CD- MP3 de Rhapsody ; c'était Pride of the Tyrant qui joua en premier. Je me retournai pour fixer le livre d'Harry Potter et je senti une froide brume remplir ma chambre. Je le fixai longtemps sans bouger, sans penser et je le pris dans mes mains et m'installa pour le lire. Je lus très longtemps. Il était maintenant 2 heures du matin et toute la maison était très calme. Le CD avait depuis un moment fini de jouer et plus aucun son excepté les pages du livre qui tournaient une à la fois par intervalle de 5 minutes. J'étais vraiment concentré sur le livre, rien n'aurait pu me déranger à ce moment sauf.
Je senti la fatigue dans mes yeux qui hurlait maintenant de douleur. Le texte du livre devenait flou et embrouillé. Je voulus ôter mes yeux du livre afin de regarder le mur pour arrêter le tournis causé par la fatigue mais mes yeux restèrent sur la page du livre, bloqués. Je n'étais pas capable de bouger mes yeux d'un centimètre et je remarquai que j'étais complètement paralysé. J'eus l'un de ces maux de tête atroce suivi d'étourdissements intenses. Ce qui se passa ensuite fut vraiment invraisemblable et inimaginable. D'un coup, mes yeux cessèrent de voir flou et je vis que les lettres du livre bougeaient sur les pages. J'en revenais pas. " Comment les lettres pouvaient-elles bouger ainsi " pensais-je. Le livre se mit à s'assombrir jusqu'à ce que les pages deviennent noir tandis que les lettres devenaient clair tel de l'or exposé au soleil. Mon mal de tête cessa aussitôt et je senti la gravité changer de direction. Mon corps quitta le lit et maintenant je me trouvais flottant dans ma chambre, la tête presque au plafond et d'un coup, je me fis aspirer dans les pages du livre. Tout ce qui suivit jusque au moment où je me trouvai sur la pelouse se passa en environ 2 secondes : Une fois dans les pages du livre, j'étais propulsé dans un corridor à une vitesse ahurissante. Le couloir se trouvait dans l'espace, beaucoup d'étoiles défilaient tous en même temps, parfois même des planètes. Le corridor était composé de 2 surfaces plates, l'une en haut de moi, et l'autre en dessous de moi. Les surfaces étaient vertes et transparentes et tournoyaient de façon synchronisée autour de moi au fur et à mesure que j'avançais dans le vide. Puis je fonçai dans un mur blanc et je tombai inconscient.
Un goût de gazon dans la bouche me réveilla. Quelques brindilles d'herbe trouvèrent refuge dans ma bouche accoté au sol humide, couvert de gazon. Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais étendu au sol mais j'étais en pleine forme, et joyeux. Ce voyage à toute allure m'avait traumatisé, certes, mais il fut vraiment impressionnant. Je me levai de bond regardant autour de moi : J'étais sur une plaine de gazon un peu surélevée. Devant moi se trouvait des arbres en grande quantité. Au loin, on pouvait apercevoir une ville. A ma gauche se trouvait un petit être bizarre, court sur patte, qui courait en direction des arbres avec un gros chou rouge entre les mains " Attrape le ! " Cria un garçon derrière moi. Par réflexe, je me lançai sur la petite bestiole et l'attrapa aux hanches et elle tourna la tête et me mordu la main gauche. "Aïe ! " Je laissai tomber le petit monstre et me couvrit la main saignante. Le petit bonhomme se sauva dans un trou dessous la fourche d'un arbre. Les pas du garçon qui m'avait parlé s'approchèrent et s'arrêtèrent proche de moi. Je me tournai au sol et vis un jeune garçon d'environ 15 ans avec une chevelure rousse et le visage criblé de taches de rousseur. Il me tendit la main pour m'aider à me relever. Une fois debout, il remarqua que je le dépassait d'environ un demi pied. Le soleil éclairant derrière ma tête l'aveuglait et il me regardait avec les yeux à moitié fermée et la main par dessus le front afin de cacher le soleil. Il semblait perplexe et commença la conversation :
" D'où tu viens ? Tu n'es sûrement pas un moldu. " Il regardait la façon dont j'étais habillé.
" Euh. Non, je ne suis pas moldu, mentis-je. Dah. Dah ! " m'écriais-je. Le garçon était le portrait tout craché de Ron ! Il me regarda surprit, se demandant pourquoi je réagissais de la sorte. Il continua :
" Euh. Ok. Moi je m'appelle Ron Weasley. "
" Moi c'est Jeff. Jean-François Paradis "
" Donc tu n'es pas moldu, mais d'où tu viens ? "
" Je ne sais pas. Est-ce que Harry est avec toi ? " lui demandais-je.
" Harry ? Ouais pourquoi ? " Il avait un regard un peu mécontent voyant que encore une fois c'était Harry qui était plus populaire que lui.
" Heh ! Whoa ! Content de te connaître en vrai Ron ! "
" Quoi ? Tu me connais ? Tu es à Poudlard ? "
" Non, je viens d'arriver ici il y a peu de temps. Mais j'aimerais bien aller à Poudlard. Oui je te connais Ron. Je connais aussi Hermione. En faite, je vous connais tous, toi, ta famille, la famille d'Harry et tout ça. " Plus je parlais, plus Ron me regardait avec un regard étrange, presque de doute.
" Huh ? " se contenta-t-il de dire.
" Écoute. J'aimerais bien tout t'expliquer à toi, Harry et Hermione si elle est là aussi. J'ai une histoire intéressante à vous compter. " Là c'était le comble. Ron ne me croyait que partiellement. Il n'osait croire à mon histoire bizarre mais le fait que je parlais de lui et ses deux ami avec aussi d'aisance lui donnait un certain doute sur son avancement.
" Tu m'as l'air bizarre toi. Mais tu m'as l'air gentil. Vient, je vais t'amener chez moi. C'est la maison là. Le "
" Terrier. Je sais " lui dis-je en l'interrompant. Il avait maintenant un regard stupéfait. Il se tourna et n'osa pas trop ma parler ni me poser des questions à mon sujet avant d'être arrivé dans sa maison qui était à peine à quelque centaine de pas d'où j'étais arrivé. Une fois à l'intérieur, j'étais émerveillé de voir de la magie de mes propre yeux. La vaisselle bougeait tout seule tel qu'écrit dans les livre de Harry Potter et je reconnu tout de suite la drôle d'horloge des Weasley. Ron me fit attendre dans la cuisine et alla chercher Harry et Hermione dans le jardin où les petit lutins se débattaient pour voler les choux rouges. Ils revinrent tous dans la maison ainsi que Fred et George qui étaient intrigués par la situation. Ils me regardèrent tous en même temps, me dévisageant. Harry fut le premier à ouvrir la conversation :
" Salut. Tu es Jean-François c'est ça ? "
" Oui. Et j'aurais besoin de votre aide pour comprendre ce qui m'est arrivé " Il y eut un silence et Fred prit la parole.
" Alors, c'est quoi qui t'es arrivé ?"
Là j'étais stressé. Allaient-ils me croire ou me rire en pleine face ? Je repris mon souffle et me décida à leur dire mon périple dans le livre depuis le moment où j'ai fait le rêve. Ils étaient tous la bouche grande ouverte et Hermione fut la première à reprendre la parole :
" Et. Si tu as lu des livres sur notre vie, dit moi quel est le nom de mon chat. "
" Patterond. "
" .Et qui est le parrain d'Harry ? " Là tous la regardèrent avec un regard opposant comme si ce qu'elle venait de dire était illégal.
" Sirius Black. " dis-je au grand étonnement de tout le monde.
" Tu dis que nous sommes tous dans un livre? " demanda Ron ayant l'air insulté de la nouvelle. Hermione le dévisagea pendant quelques instants avec un regard accusateur. Ron cessa de me regarder et laissa tomber sa question.
" Dis, Jean-François, ça te dirait d'acheter quelques unes de nos farces et attrapes? " demanda Fred.
" Euh, pas maintenant. J'aimerais que vous m'appeliez Jeff. C'est mon surnom."
" Dac Jeff! On te montrera tous nos produits tantôt. " Dit George avant de partir avec Fred dans l'escalier.
Hermione me regarda de haut en bas et avait un regard perplexe:
" Pourquoi t'es habillé aussi bizarrement? On dirait que tu sorts d'un film fantastique"
" Quoi? " Je me regardai et je constatai que j'avais le même accoutrement que dans mon cauchemar avant d'être entré dans le livre.
Cela m'impressionna et me foutu une peur bleu. Allais-je prendre la place du corps inerte de mon cauchemar? Je n'en savais rien mais je leur expliquai ma peur et Harry dit alors:
" Peut-être que Dumbledore pourrais t'aider. Il... " Harry fut interrompu par l'arriver du père de Ron.
" Aah! Bonjour vous tous! Mais vous avez un nouvel ami? " Dit-il surpris.
" Il s'appelle Jean-François Paradis. Il dit qu'il [...] " Ainsi Ron, Hermione et Harry expliquèrent mon cas à monsieur Weasley.
Après quelques heures d'explication et de maintes questions que monsieur Weasley me posa par rapport au moldu de mon monde, Molly, la mère de Ron, nous servi à tous un succulent repas maison-magique. Après le repas, Harry proposa qu'on écrive à Dumbledore pour lui demander si je pourrais être inscrit à Poudlard pour l'année. Ce que l'on fit. Je commençais à devenir fatigué de parler et reparler de mon cas et Hermione proposa que l'on passe le reste de la journée à se reposer mais aussitôt Ron et Harry me demandèrent si je connaissais le Quidditch et furent ravis de voir que j'y portait un intérêt. Hermione, elle, sembla découragée et se sorti un livre sur l'histoire des univers parallèle. Ron se demanda comment elle avait pu penser que ce livre lui serait utile un jour et se contenta de ne point poser de question. Harry et Ron sortirent leurs balais et me montrèrent des déplacements impressionnants que jamais je n'aurais imaginé possible, même s'ils avaient été décrit dans les livres. Ron descendit et me proposa d'essayer son balais mais voyant mon air déconfit il m'expliqua comment faire pour monter sur le balais. Il me fit essayer depuis le début avec le " Hop! " pour faire lever le balais dans sa main.
" Hop! ... Hop! Hop! Hop! ... Dah! Pourquoi ça marche pas? Je t'ai dit Hop! " dis-je essayant de faire venir le balais dans mes mains et puis tout d'un coup quand Ron alla reprendre son balais qui n'avait pas bougé, le balais leva dans les airs et resta bien prit dans ma main gauche. Un centimètre de plus et Ron avait le balais en pleine figure. Pourtant, je n'avais pas dit " Hop! " quand le balais venu dans ma main. Ron s'éloigna un peu, croyant que peut-être je partirais de façon folle tel Nerville dans sa première essaie mais quand j'enfourchai le balai entre mes jambes il y eu un effet assez particulier: Le balais tomba au sol sans bouger et je levai de quelques centimètres du sol avant de retomber sur mes pieds complètement déconcerté. Harry n'avait pas vu cela mais Hermione semblait bien m'avoir vu; un regard épaté collé dans sa figure. Elle se leva d'un bon et venu me voir de plus près. Ron prit son balais et essaya de comprendre se qui s'était passé. Harry fut attiré par le mouvement rapide d'Hermione et piqua directement dans ma direction s'arrêtant à quelques pieds devant moi. Il me regarda avec lui aussi avec étonnement:
" Mais qu'est-ce que tu fais? " Me dit-il.
" Quoi? je ne sais pas... " répliquai-je.
" Tu brilles rouge " Ajouta Ron.
" Non. Je crois que c'est un aura. " Corrigea Hermione, intriguée par mon état fluorescent.
" Quoi? Je... " Je pris une grande respiration en me concentrant sur le vide et les trois reculèrent d'un pas. Je vis ma propre aura autour de moi. Elle semblait avoir grandit. Cela me fit peur étrangement et d'un coup l'aura disparut.
" C'est quoi cette magie là? Je n'ai jamais vue ça avant. " dit Ron avec étonnement et frayeur. Il me regardait tel il regarderait un homme dangereux. Hermione, elle, s'avança, fascinée par cette aura qui m'avait entourée. Elle sorti sa baguette et me la mit dans la main droite et me dit:
" Jeff, je veux que tu pointes cette baguette sur la roche là et que tu prononces Criakrekra. "
" Criakrekra! "
... Rien ne se produisit ...
" Qu'est-ce que c'était supposer faire? " demandai-je à Hermione.
" Si tu aurais réussit, la roche serait devenue un criquet. " dit-elle. Elle reprit sa baguette et la rangea. Je m'approchai de la pierre qui jonchait sur le sol et la prit dans mes mains pour l'observer.
" Cela serait devenu un criquet tu dis? " Je refermai la pierre dans ma main lui posant cette question et je senti la pierre devenir légère et différente. Un criqueti se fit entendre dans ma main et je jetai le pierre par terre et à l'étonnement de tous, la pierre était devenue un criquet. Je regardai ma main et puis le criquet et encore ma main... Je n'y croyais pas et le criquet se retransforma en pierre.
" Dah! Comment j'ai fait ça? " dis-je alors en me retournant vers les autres.
" Jeff, je crois que tu n'es pas un sorcier. Du moins, pas un sorcier comme ceux d'ici. Il nous faut des baguettes pour faire de la magie, nous. Et toi, tu as tout simplement transformé cette pierre sans même prononcer un mot magique. Ce n'est pas normal du tout, dit Hermione. Dans une semaine, c'est le début des cours à Poudlard. On ira parler à Dumbledore au plus vite pour qu'il te voit. Je crois qu'il sera intéressé de te rencontrer.
_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯ \_/¯\_ Dans les prochains chapitres:
"Draco, tu n'es qu'une merde!" cria Harry prit d'une violente rage. Il lui sauta dessus et se mit à le frapper de toute ses force oubliant qu'il était un sorcier [...]
"Hmm... Très intéressant... Tu es sûrement un Psychic." Lui avoua Dumbledore avec l'un de ses regards intense et impénétrable. [...]
Il y aura affronts et combats, mystères et confusion... Ne manquez pas la suite de mon Fan fiction et ne vous gardez pas de commenter mon histoire. ¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/ ¯\_/¯
Khalietal Ken Voliur
Started on : 22-10-03
Chapitre 1 : " Mais qu'est-ce que. "
La journée avait été longue et emmerdante ; c'était un Mardi de français à l'école. Je n'avais envie que de continuer de lire le 4e livre de Harry Potter. L'autobus de la ville me déposa à deux coins de rue de chez moi :
"Pascal, on se revoie demain, Cya !"dis-je à un ami.
" Ciao Jeff ! À demain. Oublie surtout pas le devoir d'info. Fini le bloc B."
" Ouais ouais. Je vais essayer. Cya ! "
Je mit le pied hors de l'autobus et couru jusqu'à chez moi constatant que personne ne se trouvait chez moi à ce moment, en entrant, je décidai de prendre mon livre et de le lire dans le salon. Je descendis dans ma chambre pour aller prendre le livre et un CD de musique celtique que je fais toujours jouer en lisant pour mieux me détendre. Je l'incérai dans le DVD Player et je m'installai confortablement dans mon divan trop confortable avec à proximité, quelques bonbons d'halloween et un grand verre de jus. J'ouvrai le livre où j'en étais rendu et je me mit à tâtonner le divan à la recherche de la télécommande du DVD et mis la musique assez fort pour bien l'entendre mais assez faible pour ne pas me déconcentrer. Alors je me concentrai pour bien être dans l'histoire et j'embarquai sur les lignes du livre " .Harry avait terriblement mal à sa cicatrice et il tomba au sol. La douleur était plus forte que jamais et il n'était plus capable de voir. " Une heure passa sans interruption. " .Harry aurait tellement voulu sauter sur Malfoy pour le faire taire. A chaque fois qu'il le croisait dans le couloir, il trouvait toujours le temps pour commenter ou lire un passage de l'article de Rita Sketer et tous les Serpentar qui l'entouraient riaient de plus belle. Hermione le prenait par le bras et lui répétait sans cesse 'Harry, ignore les. Ils ne valent pas la peine.' "
C'est à ce moment que mes parents arrivèrent et me déconcentra à un tel point que je n'arrivai plus à lire une ligne sans me perdre. Je décidai d'arrêter pour la journée et d'attendre au moment que j'allais me coucher. Je fermai le DVD oubliant mon CD à l'intérieur et je renversai par maladresse mon verre de jus sur la table à café du salon. Ma mère se fâcha. " Fait dont attention Jean- François. Ramasses tout de suite ton dégât. " Me dit-elle sans se retourner pour me parler. Elle préparait le repas du soir avec ma soeur qui l'aidait avec mécontentement. Elle préparait l'une de ses fameuse lasagne sans légume tellement savoureuse. J'en avais des gargouillis dans le ventre juste par l'odeur de la sauce. Je demandai à ma mère quand on allait souper. Elle me répondu qu'on allais souper " dans 1 heure " alors J'allai faire un petit roupillon d'une heure.
Je m'étendu dans mon lit et je sombrai lentement dans un profond sommeil sans pareil. Je rêvai à plusieurs choses mais l'une d'entre elle me marqua : Je me trouvais dans une immense plaine couverte d'herbe. Le ciel était couvert d'épais nuages assombrissant la journée, rendant l'ambiance triste. Plus loin se trouvaient de grandes collines avec un immense château ornant le haut de la plus grande d'entre elles. Un château sombre d'une forme très peu commune. Cette vision était impressionnante. Sur la plaine, je n'étais pas seul. Il y avait à ma gauche Harry Potter avec sa baguette sorti, prêt à attaquer. Et à ma droite se trouvait Hermione qui elle aussi avait sa baguette sorti, mais avec un regard incertain. Elle semblait regarder le sol, devant moi et je me retournai pour regarder à mon tour. J'étais là, jonchant sur le sol, habillé d'un accoutrement médiéval très différent de mon habit présent. Une terreur me fit tomber à genoux devant le corps qui semblait inerte, éteint.Le rêve semblait si réel. Je relevai les yeux devant moi pour y découvrir un nouveau venu. Un être affreux, grand, maigre, pâle, avec une peau écailleuse et une tête allongée ornée de deux yeux de chat. Il avait aussi une baguette dans les mains pointé sur mon corps inerte. La chose parla avec une voix perçante et sèche " Harry, tu es le prochain. Cette fois tu n'as plus de pierre tombale pour te cacher, ni tes parents pour te conseiller d'ailleurs. " Hermione se mit à trembler et recula d'un pas. L'être leva sa baguette en direction d'Harry et dit quelque chose que je ne compris pas. Harry avait aussi dit quelque chose que je n'avais pas comprit mais une lumière rouge et une lumière verte remplis mes yeux m'aveuglant et je me réveillai couvert de sueurs froides dans mon lit avec l'appel de ma mère me disant que la lasagne était prête.
Je restais dans mon lit sans bouger avec un regard désorienté, encore choqué par le rêve.
" Jean-François ! Le repas est servi sur la table ! Dépêche toi avant que cela devienne froid ! " Me cria-t-elle depuis l'étage au dessus. Je ne bougeai pas jusqu'à ce qu'elle me répète encore de venir manger et c'est alors que je me levai de mon lit et regardai le livre d'Harry Potter avec une certaine frayeur. J'allai enfin rejoindre la table pour déguster de la bonne lasagne toujours aussi délicieuse que d'habitude. Cela me changea les idées de voir ma famille au complet à la table, ce qui était rare depuis que mes deux soeurs sortaient souvent. Mon père avait même sorti l'une de ses bouteilles de vin rouge. Je finis par complètement oublier ce rêve ayant longuement parler avec mon père de mon projet d'informatique devant notre assiette de lasagne et notre coupe de vin. Mon père reprit par trois fois de la lasagne et je restai avec lui à la table et on finit la bouteille de vin. C'était très joyeux, personne ne s'était énervé, même si ma soeur était présente dans la maison (ma soeur à une telle énergie et une grande gueule que la susceptibilité de mon père à de la misère à digérer). Quand je me levai de table, je me dirigeai vers ma chambre et me rappela du cauchemar que j'avais fait juste avant le souper, mais rendu devant la porte de ma chambre au sous-sol, ma montre se mit à sonner : 5:58 pm. L'heure où je dois appeler mon amour. Je tournai sur mes talons et allai appeler Stéphanie dans la chambre
d'ordinateur et parla pendant plus d'une heure. Je dus la laisser car mes deux soeurs voulaient téléphoner comme à chaque fois que je suis sur la ligne :
" J-F ! J'ai besoin du téléphone tout de suite ! " Me disait ma grande soeur Karine avec un ton enragé puisque c'était la dixième fois qu'elle me le répétait et que je lui répondait que j'allais lâcher la ligne " dans quelques minutes " pour avoir un peu plus de paix et de temps pour parler avec Stéphanie :
" Bon bin, y faut que je te laisse pour ce soir, mes soeurs m'harcèlent pour avoir la ligne." dis-je à Stéphanie.
" Daccors. " répondit-elle avec une voix un peu triste.
" Tu sais que je t'aime ? "
" Je commence à le savoir un peu là " dit-elle avec un ton enjoué.
" Je t'aime mon ange. On se rappelle Vendredi pour le party ? "
" Je t'aime aussi. Oui, Vendredi, appelle moi avant de venir. " Conclut- elle.
" Bye. "
" Beuh bye. "
Je raccrochai la ligne en même temps que mon autre soeur Melissa (Celle qui a une grande gueule) arriva dans la chambre en furie " J-F ! Lâche le put. Aah ! " Elle avait vue que je venais de raccrocher et elle tourna sur ses talons et couru jusqu'au téléphone du salon pour l'avoir en premier. J'entendis de la chamaille dans le salon. Je retournai dans ma chambre croisant mes deux soeurs qui se disputaient pour le téléphone à coup de " Donne moi ça " et de " Je t'emmerde ! " .
Encore une fois, j'avais oublié le rêve et je m'étendue sur mon lit déjà tout défait avec le ventilateur toujours allumé sur ma table de chevet. Je failli m'endormir mais le rêve revenu dans ma tête tel un coup de couteau dans le coeur. Je ne comprenais pas pourquoi un quelconque cauchemar pouvait m'affecter autant. Quand la pression se calma en moi, je branchai mon lecteur de CD sur les haut-parleurs que j'avais installés près de mon lit et je fit jouer mon CD- MP3 de Rhapsody ; c'était Pride of the Tyrant qui joua en premier. Je me retournai pour fixer le livre d'Harry Potter et je senti une froide brume remplir ma chambre. Je le fixai longtemps sans bouger, sans penser et je le pris dans mes mains et m'installa pour le lire. Je lus très longtemps. Il était maintenant 2 heures du matin et toute la maison était très calme. Le CD avait depuis un moment fini de jouer et plus aucun son excepté les pages du livre qui tournaient une à la fois par intervalle de 5 minutes. J'étais vraiment concentré sur le livre, rien n'aurait pu me déranger à ce moment sauf.
Je senti la fatigue dans mes yeux qui hurlait maintenant de douleur. Le texte du livre devenait flou et embrouillé. Je voulus ôter mes yeux du livre afin de regarder le mur pour arrêter le tournis causé par la fatigue mais mes yeux restèrent sur la page du livre, bloqués. Je n'étais pas capable de bouger mes yeux d'un centimètre et je remarquai que j'étais complètement paralysé. J'eus l'un de ces maux de tête atroce suivi d'étourdissements intenses. Ce qui se passa ensuite fut vraiment invraisemblable et inimaginable. D'un coup, mes yeux cessèrent de voir flou et je vis que les lettres du livre bougeaient sur les pages. J'en revenais pas. " Comment les lettres pouvaient-elles bouger ainsi " pensais-je. Le livre se mit à s'assombrir jusqu'à ce que les pages deviennent noir tandis que les lettres devenaient clair tel de l'or exposé au soleil. Mon mal de tête cessa aussitôt et je senti la gravité changer de direction. Mon corps quitta le lit et maintenant je me trouvais flottant dans ma chambre, la tête presque au plafond et d'un coup, je me fis aspirer dans les pages du livre. Tout ce qui suivit jusque au moment où je me trouvai sur la pelouse se passa en environ 2 secondes : Une fois dans les pages du livre, j'étais propulsé dans un corridor à une vitesse ahurissante. Le couloir se trouvait dans l'espace, beaucoup d'étoiles défilaient tous en même temps, parfois même des planètes. Le corridor était composé de 2 surfaces plates, l'une en haut de moi, et l'autre en dessous de moi. Les surfaces étaient vertes et transparentes et tournoyaient de façon synchronisée autour de moi au fur et à mesure que j'avançais dans le vide. Puis je fonçai dans un mur blanc et je tombai inconscient.
Un goût de gazon dans la bouche me réveilla. Quelques brindilles d'herbe trouvèrent refuge dans ma bouche accoté au sol humide, couvert de gazon. Je ne savais pas depuis combien de temps j'étais étendu au sol mais j'étais en pleine forme, et joyeux. Ce voyage à toute allure m'avait traumatisé, certes, mais il fut vraiment impressionnant. Je me levai de bond regardant autour de moi : J'étais sur une plaine de gazon un peu surélevée. Devant moi se trouvait des arbres en grande quantité. Au loin, on pouvait apercevoir une ville. A ma gauche se trouvait un petit être bizarre, court sur patte, qui courait en direction des arbres avec un gros chou rouge entre les mains " Attrape le ! " Cria un garçon derrière moi. Par réflexe, je me lançai sur la petite bestiole et l'attrapa aux hanches et elle tourna la tête et me mordu la main gauche. "Aïe ! " Je laissai tomber le petit monstre et me couvrit la main saignante. Le petit bonhomme se sauva dans un trou dessous la fourche d'un arbre. Les pas du garçon qui m'avait parlé s'approchèrent et s'arrêtèrent proche de moi. Je me tournai au sol et vis un jeune garçon d'environ 15 ans avec une chevelure rousse et le visage criblé de taches de rousseur. Il me tendit la main pour m'aider à me relever. Une fois debout, il remarqua que je le dépassait d'environ un demi pied. Le soleil éclairant derrière ma tête l'aveuglait et il me regardait avec les yeux à moitié fermée et la main par dessus le front afin de cacher le soleil. Il semblait perplexe et commença la conversation :
" D'où tu viens ? Tu n'es sûrement pas un moldu. " Il regardait la façon dont j'étais habillé.
" Euh. Non, je ne suis pas moldu, mentis-je. Dah. Dah ! " m'écriais-je. Le garçon était le portrait tout craché de Ron ! Il me regarda surprit, se demandant pourquoi je réagissais de la sorte. Il continua :
" Euh. Ok. Moi je m'appelle Ron Weasley. "
" Moi c'est Jeff. Jean-François Paradis "
" Donc tu n'es pas moldu, mais d'où tu viens ? "
" Je ne sais pas. Est-ce que Harry est avec toi ? " lui demandais-je.
" Harry ? Ouais pourquoi ? " Il avait un regard un peu mécontent voyant que encore une fois c'était Harry qui était plus populaire que lui.
" Heh ! Whoa ! Content de te connaître en vrai Ron ! "
" Quoi ? Tu me connais ? Tu es à Poudlard ? "
" Non, je viens d'arriver ici il y a peu de temps. Mais j'aimerais bien aller à Poudlard. Oui je te connais Ron. Je connais aussi Hermione. En faite, je vous connais tous, toi, ta famille, la famille d'Harry et tout ça. " Plus je parlais, plus Ron me regardait avec un regard étrange, presque de doute.
" Huh ? " se contenta-t-il de dire.
" Écoute. J'aimerais bien tout t'expliquer à toi, Harry et Hermione si elle est là aussi. J'ai une histoire intéressante à vous compter. " Là c'était le comble. Ron ne me croyait que partiellement. Il n'osait croire à mon histoire bizarre mais le fait que je parlais de lui et ses deux ami avec aussi d'aisance lui donnait un certain doute sur son avancement.
" Tu m'as l'air bizarre toi. Mais tu m'as l'air gentil. Vient, je vais t'amener chez moi. C'est la maison là. Le "
" Terrier. Je sais " lui dis-je en l'interrompant. Il avait maintenant un regard stupéfait. Il se tourna et n'osa pas trop ma parler ni me poser des questions à mon sujet avant d'être arrivé dans sa maison qui était à peine à quelque centaine de pas d'où j'étais arrivé. Une fois à l'intérieur, j'étais émerveillé de voir de la magie de mes propre yeux. La vaisselle bougeait tout seule tel qu'écrit dans les livre de Harry Potter et je reconnu tout de suite la drôle d'horloge des Weasley. Ron me fit attendre dans la cuisine et alla chercher Harry et Hermione dans le jardin où les petit lutins se débattaient pour voler les choux rouges. Ils revinrent tous dans la maison ainsi que Fred et George qui étaient intrigués par la situation. Ils me regardèrent tous en même temps, me dévisageant. Harry fut le premier à ouvrir la conversation :
" Salut. Tu es Jean-François c'est ça ? "
" Oui. Et j'aurais besoin de votre aide pour comprendre ce qui m'est arrivé " Il y eut un silence et Fred prit la parole.
" Alors, c'est quoi qui t'es arrivé ?"
Là j'étais stressé. Allaient-ils me croire ou me rire en pleine face ? Je repris mon souffle et me décida à leur dire mon périple dans le livre depuis le moment où j'ai fait le rêve. Ils étaient tous la bouche grande ouverte et Hermione fut la première à reprendre la parole :
" Et. Si tu as lu des livres sur notre vie, dit moi quel est le nom de mon chat. "
" Patterond. "
" .Et qui est le parrain d'Harry ? " Là tous la regardèrent avec un regard opposant comme si ce qu'elle venait de dire était illégal.
" Sirius Black. " dis-je au grand étonnement de tout le monde.
" Tu dis que nous sommes tous dans un livre? " demanda Ron ayant l'air insulté de la nouvelle. Hermione le dévisagea pendant quelques instants avec un regard accusateur. Ron cessa de me regarder et laissa tomber sa question.
" Dis, Jean-François, ça te dirait d'acheter quelques unes de nos farces et attrapes? " demanda Fred.
" Euh, pas maintenant. J'aimerais que vous m'appeliez Jeff. C'est mon surnom."
" Dac Jeff! On te montrera tous nos produits tantôt. " Dit George avant de partir avec Fred dans l'escalier.
Hermione me regarda de haut en bas et avait un regard perplexe:
" Pourquoi t'es habillé aussi bizarrement? On dirait que tu sorts d'un film fantastique"
" Quoi? " Je me regardai et je constatai que j'avais le même accoutrement que dans mon cauchemar avant d'être entré dans le livre.
Cela m'impressionna et me foutu une peur bleu. Allais-je prendre la place du corps inerte de mon cauchemar? Je n'en savais rien mais je leur expliquai ma peur et Harry dit alors:
" Peut-être que Dumbledore pourrais t'aider. Il... " Harry fut interrompu par l'arriver du père de Ron.
" Aah! Bonjour vous tous! Mais vous avez un nouvel ami? " Dit-il surpris.
" Il s'appelle Jean-François Paradis. Il dit qu'il [...] " Ainsi Ron, Hermione et Harry expliquèrent mon cas à monsieur Weasley.
Après quelques heures d'explication et de maintes questions que monsieur Weasley me posa par rapport au moldu de mon monde, Molly, la mère de Ron, nous servi à tous un succulent repas maison-magique. Après le repas, Harry proposa qu'on écrive à Dumbledore pour lui demander si je pourrais être inscrit à Poudlard pour l'année. Ce que l'on fit. Je commençais à devenir fatigué de parler et reparler de mon cas et Hermione proposa que l'on passe le reste de la journée à se reposer mais aussitôt Ron et Harry me demandèrent si je connaissais le Quidditch et furent ravis de voir que j'y portait un intérêt. Hermione, elle, sembla découragée et se sorti un livre sur l'histoire des univers parallèle. Ron se demanda comment elle avait pu penser que ce livre lui serait utile un jour et se contenta de ne point poser de question. Harry et Ron sortirent leurs balais et me montrèrent des déplacements impressionnants que jamais je n'aurais imaginé possible, même s'ils avaient été décrit dans les livres. Ron descendit et me proposa d'essayer son balais mais voyant mon air déconfit il m'expliqua comment faire pour monter sur le balais. Il me fit essayer depuis le début avec le " Hop! " pour faire lever le balais dans sa main.
" Hop! ... Hop! Hop! Hop! ... Dah! Pourquoi ça marche pas? Je t'ai dit Hop! " dis-je essayant de faire venir le balais dans mes mains et puis tout d'un coup quand Ron alla reprendre son balais qui n'avait pas bougé, le balais leva dans les airs et resta bien prit dans ma main gauche. Un centimètre de plus et Ron avait le balais en pleine figure. Pourtant, je n'avais pas dit " Hop! " quand le balais venu dans ma main. Ron s'éloigna un peu, croyant que peut-être je partirais de façon folle tel Nerville dans sa première essaie mais quand j'enfourchai le balai entre mes jambes il y eu un effet assez particulier: Le balais tomba au sol sans bouger et je levai de quelques centimètres du sol avant de retomber sur mes pieds complètement déconcerté. Harry n'avait pas vu cela mais Hermione semblait bien m'avoir vu; un regard épaté collé dans sa figure. Elle se leva d'un bon et venu me voir de plus près. Ron prit son balais et essaya de comprendre se qui s'était passé. Harry fut attiré par le mouvement rapide d'Hermione et piqua directement dans ma direction s'arrêtant à quelques pieds devant moi. Il me regarda avec lui aussi avec étonnement:
" Mais qu'est-ce que tu fais? " Me dit-il.
" Quoi? je ne sais pas... " répliquai-je.
" Tu brilles rouge " Ajouta Ron.
" Non. Je crois que c'est un aura. " Corrigea Hermione, intriguée par mon état fluorescent.
" Quoi? Je... " Je pris une grande respiration en me concentrant sur le vide et les trois reculèrent d'un pas. Je vis ma propre aura autour de moi. Elle semblait avoir grandit. Cela me fit peur étrangement et d'un coup l'aura disparut.
" C'est quoi cette magie là? Je n'ai jamais vue ça avant. " dit Ron avec étonnement et frayeur. Il me regardait tel il regarderait un homme dangereux. Hermione, elle, s'avança, fascinée par cette aura qui m'avait entourée. Elle sorti sa baguette et me la mit dans la main droite et me dit:
" Jeff, je veux que tu pointes cette baguette sur la roche là et que tu prononces Criakrekra. "
" Criakrekra! "
... Rien ne se produisit ...
" Qu'est-ce que c'était supposer faire? " demandai-je à Hermione.
" Si tu aurais réussit, la roche serait devenue un criquet. " dit-elle. Elle reprit sa baguette et la rangea. Je m'approchai de la pierre qui jonchait sur le sol et la prit dans mes mains pour l'observer.
" Cela serait devenu un criquet tu dis? " Je refermai la pierre dans ma main lui posant cette question et je senti la pierre devenir légère et différente. Un criqueti se fit entendre dans ma main et je jetai le pierre par terre et à l'étonnement de tous, la pierre était devenue un criquet. Je regardai ma main et puis le criquet et encore ma main... Je n'y croyais pas et le criquet se retransforma en pierre.
" Dah! Comment j'ai fait ça? " dis-je alors en me retournant vers les autres.
" Jeff, je crois que tu n'es pas un sorcier. Du moins, pas un sorcier comme ceux d'ici. Il nous faut des baguettes pour faire de la magie, nous. Et toi, tu as tout simplement transformé cette pierre sans même prononcer un mot magique. Ce n'est pas normal du tout, dit Hermione. Dans une semaine, c'est le début des cours à Poudlard. On ira parler à Dumbledore au plus vite pour qu'il te voit. Je crois qu'il sera intéressé de te rencontrer.
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"Draco, tu n'es qu'une merde!" cria Harry prit d'une violente rage. Il lui sauta dessus et se mit à le frapper de toute ses force oubliant qu'il était un sorcier [...]
"Hmm... Très intéressant... Tu es sûrement un Psychic." Lui avoua Dumbledore avec l'un de ses regards intense et impénétrable. [...]
Il y aura affronts et combats, mystères et confusion... Ne manquez pas la suite de mon Fan fiction et ne vous gardez pas de commenter mon histoire. ¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/¯\_/ ¯\_/¯
Khalietal Ken Voliur
Started on : 22-10-03
