Ciao tout le monde !!!
Désolée pour tout ce retard et pour me faire pardonner, voici un chapitre
plus long que les autres!!! Merci beaucoup beaucoup beaucoup pour tous ces
reviews !!! Surtout que j'n'étais pas sûre du chapitre précédent alors ça
m'a fait d'autant plus plaisir. Mais, comme je l' ai remarqué, si je me
grouille pas à mettre la suite, je n'aurai pas plus de reviews, c'est ça ?
Merci à Cora et à c_fleurbleue, watery 136, Dipsie, Meg et Nynphea, Yu
Yevon (continues ta fic), Hiroshima, Odiss (j'espère que vous continuerez à
me rewiever !) et tous les autres ! Vous me faites très très très plaisir.
Bon, je vais m'arrêter là sinon .
À part ça, vous avez p't-être remarqué que je ne publie plus qu'un chapitre
par semaine, donc, ça mérite un pitite explication. En fait, j'ai beaucoup
de travail ces temps-ci surtout que je monte une pièce de théâtre avec ma
classe (bon, j'suis actrice alors il faut que j'apprenne le texte) et en
plus, je dois continuer cette fic sur papier avant de l'écrire ici donc il
se peut que j'aie un peu de retard mais je suis déjà assez avancée question
écriture sur papier alors je crois que jusqu' aux vacances de Pâques, je
publierai un chapitre tous les 10 jours environ, pt'-être que ça prendra
moins, j'sais pas !. J' espère que ça vous fait rien .
Peace and love !
Ah, dernière pitite question : est-ce que quelqu'un pourrait me dire oÙ
trouver des défis ?
Titre : Choix Difficiles
Auteur : Artémis
Disclamer : Je sais pas si vous aller me croire mais il a pas changé depuis la dernière fois (visages ébahis dans la foule) : j'ai le grand regret de vous annoncer qu'aucun des personnages ne m'appartiennent et que, à part si la GéNéREUSE J.K.Rowling décide de m' offrir .Ehm, Draco, par exemple.Il en restera ainsi. Nous vivons dans un monde injuste.
Chapitre 5 : Rencontre dans de sombres couloirs
Au bout d' un dédale de couloirs, Draco se retrouva dans le parc entouré d' un grillage d' au moins 2 mètres de hauteur.
Il suivit un chemin et vit deux sorciers postés à l'entrée. Tu veux quoi ? demanda l'un des sorciers dès que Draco se fut approché. J'ai une mission pour Poudlard, en tant qu'espion. OÙ est le prochain Portoloin ? demanda-t-il d' une voix ferme. Là-bas, indiqua le sorcier en montrant du doigt une lisière de forêt plongée dans l'obscurité. Mais l'autre sorcier qui avait à l'évidence un Q.I un peu supérieur « De toute manière, pensa Draco, plus bas on peut pas » les interrompit : Fais voir ta marque. Draco déglutit puis il leva sa manche droite. Elle est de l'autre côté. Le jeune homme laissa tomber sa manche et avant que l' un des deux mangemorts aient remarqué ce qui se passait, il prit sa baguette magique : - Endoloris ! Les deux mangemorts tombèrent à genoux en se tordant de douleur. On ne s' oppose jamais à un Malfoy, murmura-t-il avant de réaliser ce qu' il disait vraiment. Il partit en courant.
Voldemort avait un rictus alors qu'il se rasseyait confortablement dans son fauteuil. Du quatrième étage, il avait vu toute la scène et si le fils Malfoy montrait autant de talent la prochaine fois, il n'hésiterait pas à le prendre immédiatement comme mangemort. En effet, se devait être la première fois qu'il voyait un garçon de quinze ans utiliser le sortilège Doloris contre deux adultes et mangemorts en plus. Il se demanda si Lucius savait que son fils était aussi doué que ça.
Cette fois, je t'ai laissé la vie sauve, mais ne t'en fais pas Draco, si je n'y arrive pas comme ça, il doit y avoir un autre moyen pour te convaincre et je le trouverai. Et l'on pouvait faire confiance à Voldemort pour ça. Je suis le chat Draco, et toi la souris.
Draco retourna à Poudlard après avoir trouvé le Portoloin et venait d'entrer par la Grande Porte. Au bout d'un couloir particulièrement sombre, quelque chose le heurta de pleins fouets.
Draco cligna des yeux et vit une silhouette par terre. Il lui tendit la main et elle se releva.
**************************
Le choc passé et étant sur pied, Hermione regarda qui elle avait heurté et reconnut Draco Malfoy. Ça va ? demanda Draco qui à l'évidence l'avait reconnue. « Oh mon dieu, Draco Malfoy me demande si ça va ! Il aurait pas pété un câble dernièrement ? » Oui, répondit-elle tout simplement. Malfoy, ça va ? demanda-t-elle. À l'évidence, elle s'inquiétait pour la santé mentale de son pire ennemi. Je. Je voulais juste savoir si. si tu., bafouilla Malfoy. Tu t'inquiétais pour moi ! l'interrompit Hermione, moqueuse. Bon alors je te laisse te débrouiller, dit-il courroucé en partant. Mais elle fit quelques pas et prit Malfoy par le bras. Il se retourna et ce fut la première fois qu'elle regardait attentivement son visage : ses cheveux étaient sillonnés par les rayons de la lune, les faisant ressembler à de l'or pur. Sa cicatrice sur la joue était encore visible et ses yeux semblaient être couvert d'un voile noir mais elle y vit cependant une étincelle d'espoir. Pourquoi ? Elle n'en avait aucune idée. Malfoy, qu'est-ce qui se passe ? Enfin, je veux dire qu'il y a quelques mois encore, tu me traitais de « Sang-de-Bourbe » et là, tu m'aides à me relever ! C'est parce que . Disons que j'ai changé de point de vue. A la façon dont il gardait la tête baissée et évitait le regard d' Hermione, il avait encore du mal à accepter ce qui lui arrivait, en tout cas publiquement. À cause de ton père ? Comment tu . Il y a quelques semaines, j'ai heurté le professeur McGonagall dans les couloirs. Il y avait aussi Dumbledore et Rogue. Ils se rendaient à l'infirmerie et Dumbledore portait un. un.
Elle s'arrêta. Dans son esprit, la scène qui désormais occupait tous ses cauchemars était devenue très nette et elle n'arrivait pas à croire que le corps ensanglanté que portait Dumbledore ce jour-là était devant elle.
. Un corps plein de sang, reprit-elle lentement. Puis ils entrèrent dans l'infirmerie et Dumbledore dit à Pomfresh que tu es en danger. Pomfresh lui demande ce qui s'est passé et Dumbledore lui dit que c'est trop grave d'en parler maintenant mais que c'était à cause de ton père. Qu'il t'avait enfermé dans ses . ses . Cachots, termina-t-il d'un air grave. Est-ce que quelqu'un d'autres a entendu ? Non. Et Potter et Weasley ne t'accompagnaient pas ? C'est bizarre. se doutait Draco. Je ne m'entends pas très bien avec eux ces temps-ci. Pourquoi, ils sont jaloux que tu sois sortie avec Krum ? dit-il narquois. « Il ne changera jamais ». Elle ne trouva rien à répliquer étant donné que d'après sa réputation, Draco Malfoy avait toutes les filles de l'école à ses pieds. « Toutes à part celle-là », pensa-t-il. Oui, Ron est jaloux que je sois sortie avec Krum et Harry, lui, est jaloux que Ron se préoccupe plus de moi que de lui. Résultats ; ils ne me parlent presque pas. Et toi, qu'est-ce qui c'est passé avec ton père ? demanda-t- elle timidement.
Draco déglutit. Il n'aimait pas raconter sa vie mais il avait besoin d'en parler et Crabbe ou Pansy se prêtaient mal au rôle de confiant. Mon père et moi n'avons pas, disons, le même point de vue pour mon avenir. Un soir, on s'est disputé assez violemment et je me suis retrouvé aux cachots. Après, il m'a menacé et . et (*ne chiale pas Draconichou, tu verras, ça va aller .*) Il t'a frappé, acheva Hermione dans un souffle (*tient, un jeu de mots à deux balles : frapper, achever.Z'avez pas pigé ? Normal*) Oui, ça à durer environ deux semaines. Un soir, Dumbledore est venu me chercher au Manoir et il a euh. menacé mon. père d'aller se plaindre au Ministère car l'école avait commencé depuis une semaine et je n'avais pas donné signe de vie (*au sens propre et figuré*). Alors, Dumbledore est descendu aux cachots et il m'a retrouvé enchaîné et inconscient. Après, tu connais la suite.
Hermione resta sans voix. Alors, dit-elle au bout d'un moment, c'est pour ça que tu n'étais pas là à la rentrée ? Draco ne put s'empêcher : Pourquoi, tu me cherchais ? Hermione rougit. Non, mais. enfin. Alors Draco la regarda comme il n'avait auparavant jamais encore regardé personne d'une telle manière. Pas même sa mère. Ce qui fit complètement craquer Hermione (*j'la comprend*).
***************************
Pendant ce temps, Harry et Ron attendaient Hermione dans la Salle commune et, voyant qu'elle ne venait pas, ils se mirent la cape d'invisibilité et entrèrent dans le dortoir des filles. Ils reconnurent Parvati et Lavande et la dernière devait être Hermione car elle était la seule à laquelle on ne voyait pas le visage (*bravo Potter, t'as trouvé ça tout seul ?*). Hermione, murmura Harry. Puis, d'un doigt hésitant, tâta la couverture. Quelque chose ne tournait pas rond (*ta tête*) : la forme la couverture était beaucoup trop molle. Il prit la couverture et la souleva légèrement : rien ne bougeait. Il l'enleva complètement : sous la couverture se trouvaient plusieurs coussins entassés afin de reproduire une silhouette humaine. Harry et Ron contemplèrent un moment les coussins et puis allèrent chez Hagrid qui leur donna son avis après qu'Harry lui eut récité ce qui s'était passé : - Je n'en ai aucune idée, répondit Hagrid. Le mieux serait d'avoir une conversation avec Hermione.
***************************
Ils auraient pu rester là toute la nuit, s'approfondissant du regard, cherchant à comprendre les pensées de l'autre si un miaulement non loin de l'endroit où ils se trouvaient n'avait pas rompu le silence. Bon ben, bégaya Hermione, bonne nuit. Draco lui adressa un léger sourire sans la quitter des yeux.
Maudissant Miss Teigne, Hermione se hâta de rejoindre la tour de Gryffondor.
À une heure si avancée de la nuit, elle ne trouva personne, ce qui valait mieux, dans la Salle commune.
S'efforçant de faire le moins de bruit possible, elle rentra dans le dortoir et, trop occupée à penser à autre chose (*on se demande quoi.*), elle s'endormit habillée de sa robe de sorcière.
****************************
Quelques heures plus tard, à des centaines de kilomètres de là : Lucius, commença le lord en levant les yeux de la lettre qu'Il venait de recevoir par hibou express, un sourire mauvais aux lèvres, je crois qu'on a trouvé comment convaincre Draco de participer au plan. Envoie-lui une lettre de rendez-vous.
*****************************
À midi, Harry et Ron virent Hermione qui avait l'air fatiguée mais contente entrain de manger son rôti. Heu. Hermione, on pourrait te parler, demanda Harry. Bien sûr Harry décida d'aller droit au but : Hier soir, on devait aller voir Hagrid, tu te souviens ? Ouais, comment il va ? Hermione, toi aussi tu devais venir ! Ben, j'dormais. Et arrêtes de m'appeler Hermione, j'le connais mon prénom ! Et on aurait fait comment, vu que tu n'étais pas dans ton lit ! s'exclama Ron qui devenait aussi rouge que ses cheveux. Quelques têtes se tournèrent vers eux. Hermione ne savait plus quoi dire.
Et voici et voilà le cinquième chapitre ! J'espère que ça mérite un pitit review (ou plusieurs, n'est-ce pas Nynphea) ?
Bisous.
Artémis
Titre : Choix Difficiles
Auteur : Artémis
Disclamer : Je sais pas si vous aller me croire mais il a pas changé depuis la dernière fois (visages ébahis dans la foule) : j'ai le grand regret de vous annoncer qu'aucun des personnages ne m'appartiennent et que, à part si la GéNéREUSE J.K.Rowling décide de m' offrir .Ehm, Draco, par exemple.Il en restera ainsi. Nous vivons dans un monde injuste.
Chapitre 5 : Rencontre dans de sombres couloirs
Au bout d' un dédale de couloirs, Draco se retrouva dans le parc entouré d' un grillage d' au moins 2 mètres de hauteur.
Il suivit un chemin et vit deux sorciers postés à l'entrée. Tu veux quoi ? demanda l'un des sorciers dès que Draco se fut approché. J'ai une mission pour Poudlard, en tant qu'espion. OÙ est le prochain Portoloin ? demanda-t-il d' une voix ferme. Là-bas, indiqua le sorcier en montrant du doigt une lisière de forêt plongée dans l'obscurité. Mais l'autre sorcier qui avait à l'évidence un Q.I un peu supérieur « De toute manière, pensa Draco, plus bas on peut pas » les interrompit : Fais voir ta marque. Draco déglutit puis il leva sa manche droite. Elle est de l'autre côté. Le jeune homme laissa tomber sa manche et avant que l' un des deux mangemorts aient remarqué ce qui se passait, il prit sa baguette magique : - Endoloris ! Les deux mangemorts tombèrent à genoux en se tordant de douleur. On ne s' oppose jamais à un Malfoy, murmura-t-il avant de réaliser ce qu' il disait vraiment. Il partit en courant.
Voldemort avait un rictus alors qu'il se rasseyait confortablement dans son fauteuil. Du quatrième étage, il avait vu toute la scène et si le fils Malfoy montrait autant de talent la prochaine fois, il n'hésiterait pas à le prendre immédiatement comme mangemort. En effet, se devait être la première fois qu'il voyait un garçon de quinze ans utiliser le sortilège Doloris contre deux adultes et mangemorts en plus. Il se demanda si Lucius savait que son fils était aussi doué que ça.
Cette fois, je t'ai laissé la vie sauve, mais ne t'en fais pas Draco, si je n'y arrive pas comme ça, il doit y avoir un autre moyen pour te convaincre et je le trouverai. Et l'on pouvait faire confiance à Voldemort pour ça. Je suis le chat Draco, et toi la souris.
Draco retourna à Poudlard après avoir trouvé le Portoloin et venait d'entrer par la Grande Porte. Au bout d'un couloir particulièrement sombre, quelque chose le heurta de pleins fouets.
Draco cligna des yeux et vit une silhouette par terre. Il lui tendit la main et elle se releva.
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Le choc passé et étant sur pied, Hermione regarda qui elle avait heurté et reconnut Draco Malfoy. Ça va ? demanda Draco qui à l'évidence l'avait reconnue. « Oh mon dieu, Draco Malfoy me demande si ça va ! Il aurait pas pété un câble dernièrement ? » Oui, répondit-elle tout simplement. Malfoy, ça va ? demanda-t-elle. À l'évidence, elle s'inquiétait pour la santé mentale de son pire ennemi. Je. Je voulais juste savoir si. si tu., bafouilla Malfoy. Tu t'inquiétais pour moi ! l'interrompit Hermione, moqueuse. Bon alors je te laisse te débrouiller, dit-il courroucé en partant. Mais elle fit quelques pas et prit Malfoy par le bras. Il se retourna et ce fut la première fois qu'elle regardait attentivement son visage : ses cheveux étaient sillonnés par les rayons de la lune, les faisant ressembler à de l'or pur. Sa cicatrice sur la joue était encore visible et ses yeux semblaient être couvert d'un voile noir mais elle y vit cependant une étincelle d'espoir. Pourquoi ? Elle n'en avait aucune idée. Malfoy, qu'est-ce qui se passe ? Enfin, je veux dire qu'il y a quelques mois encore, tu me traitais de « Sang-de-Bourbe » et là, tu m'aides à me relever ! C'est parce que . Disons que j'ai changé de point de vue. A la façon dont il gardait la tête baissée et évitait le regard d' Hermione, il avait encore du mal à accepter ce qui lui arrivait, en tout cas publiquement. À cause de ton père ? Comment tu . Il y a quelques semaines, j'ai heurté le professeur McGonagall dans les couloirs. Il y avait aussi Dumbledore et Rogue. Ils se rendaient à l'infirmerie et Dumbledore portait un. un.
Elle s'arrêta. Dans son esprit, la scène qui désormais occupait tous ses cauchemars était devenue très nette et elle n'arrivait pas à croire que le corps ensanglanté que portait Dumbledore ce jour-là était devant elle.
. Un corps plein de sang, reprit-elle lentement. Puis ils entrèrent dans l'infirmerie et Dumbledore dit à Pomfresh que tu es en danger. Pomfresh lui demande ce qui s'est passé et Dumbledore lui dit que c'est trop grave d'en parler maintenant mais que c'était à cause de ton père. Qu'il t'avait enfermé dans ses . ses . Cachots, termina-t-il d'un air grave. Est-ce que quelqu'un d'autres a entendu ? Non. Et Potter et Weasley ne t'accompagnaient pas ? C'est bizarre. se doutait Draco. Je ne m'entends pas très bien avec eux ces temps-ci. Pourquoi, ils sont jaloux que tu sois sortie avec Krum ? dit-il narquois. « Il ne changera jamais ». Elle ne trouva rien à répliquer étant donné que d'après sa réputation, Draco Malfoy avait toutes les filles de l'école à ses pieds. « Toutes à part celle-là », pensa-t-il. Oui, Ron est jaloux que je sois sortie avec Krum et Harry, lui, est jaloux que Ron se préoccupe plus de moi que de lui. Résultats ; ils ne me parlent presque pas. Et toi, qu'est-ce qui c'est passé avec ton père ? demanda-t- elle timidement.
Draco déglutit. Il n'aimait pas raconter sa vie mais il avait besoin d'en parler et Crabbe ou Pansy se prêtaient mal au rôle de confiant. Mon père et moi n'avons pas, disons, le même point de vue pour mon avenir. Un soir, on s'est disputé assez violemment et je me suis retrouvé aux cachots. Après, il m'a menacé et . et (*ne chiale pas Draconichou, tu verras, ça va aller .*) Il t'a frappé, acheva Hermione dans un souffle (*tient, un jeu de mots à deux balles : frapper, achever.Z'avez pas pigé ? Normal*) Oui, ça à durer environ deux semaines. Un soir, Dumbledore est venu me chercher au Manoir et il a euh. menacé mon. père d'aller se plaindre au Ministère car l'école avait commencé depuis une semaine et je n'avais pas donné signe de vie (*au sens propre et figuré*). Alors, Dumbledore est descendu aux cachots et il m'a retrouvé enchaîné et inconscient. Après, tu connais la suite.
Hermione resta sans voix. Alors, dit-elle au bout d'un moment, c'est pour ça que tu n'étais pas là à la rentrée ? Draco ne put s'empêcher : Pourquoi, tu me cherchais ? Hermione rougit. Non, mais. enfin. Alors Draco la regarda comme il n'avait auparavant jamais encore regardé personne d'une telle manière. Pas même sa mère. Ce qui fit complètement craquer Hermione (*j'la comprend*).
***************************
Pendant ce temps, Harry et Ron attendaient Hermione dans la Salle commune et, voyant qu'elle ne venait pas, ils se mirent la cape d'invisibilité et entrèrent dans le dortoir des filles. Ils reconnurent Parvati et Lavande et la dernière devait être Hermione car elle était la seule à laquelle on ne voyait pas le visage (*bravo Potter, t'as trouvé ça tout seul ?*). Hermione, murmura Harry. Puis, d'un doigt hésitant, tâta la couverture. Quelque chose ne tournait pas rond (*ta tête*) : la forme la couverture était beaucoup trop molle. Il prit la couverture et la souleva légèrement : rien ne bougeait. Il l'enleva complètement : sous la couverture se trouvaient plusieurs coussins entassés afin de reproduire une silhouette humaine. Harry et Ron contemplèrent un moment les coussins et puis allèrent chez Hagrid qui leur donna son avis après qu'Harry lui eut récité ce qui s'était passé : - Je n'en ai aucune idée, répondit Hagrid. Le mieux serait d'avoir une conversation avec Hermione.
***************************
Ils auraient pu rester là toute la nuit, s'approfondissant du regard, cherchant à comprendre les pensées de l'autre si un miaulement non loin de l'endroit où ils se trouvaient n'avait pas rompu le silence. Bon ben, bégaya Hermione, bonne nuit. Draco lui adressa un léger sourire sans la quitter des yeux.
Maudissant Miss Teigne, Hermione se hâta de rejoindre la tour de Gryffondor.
À une heure si avancée de la nuit, elle ne trouva personne, ce qui valait mieux, dans la Salle commune.
S'efforçant de faire le moins de bruit possible, elle rentra dans le dortoir et, trop occupée à penser à autre chose (*on se demande quoi.*), elle s'endormit habillée de sa robe de sorcière.
****************************
Quelques heures plus tard, à des centaines de kilomètres de là : Lucius, commença le lord en levant les yeux de la lettre qu'Il venait de recevoir par hibou express, un sourire mauvais aux lèvres, je crois qu'on a trouvé comment convaincre Draco de participer au plan. Envoie-lui une lettre de rendez-vous.
*****************************
À midi, Harry et Ron virent Hermione qui avait l'air fatiguée mais contente entrain de manger son rôti. Heu. Hermione, on pourrait te parler, demanda Harry. Bien sûr Harry décida d'aller droit au but : Hier soir, on devait aller voir Hagrid, tu te souviens ? Ouais, comment il va ? Hermione, toi aussi tu devais venir ! Ben, j'dormais. Et arrêtes de m'appeler Hermione, j'le connais mon prénom ! Et on aurait fait comment, vu que tu n'étais pas dans ton lit ! s'exclama Ron qui devenait aussi rouge que ses cheveux. Quelques têtes se tournèrent vers eux. Hermione ne savait plus quoi dire.
Et voici et voilà le cinquième chapitre ! J'espère que ça mérite un pitit review (ou plusieurs, n'est-ce pas Nynphea) ?
Bisous.
Artémis