UNE ANNEE TREPIDANTE A POUDLARD (ENCORE UNE !!!)
Un p'tit mot des 2 auteurs avant de commencer :
(Lou :) Fic résultant d'un coécritage intensif et festif entre Lou & la prêtresse schtroumphique (alias « les secouées du bulbe ») ,2 writeuses dans la fleur de l'âge *g* (mais surtout secouées du bulbe, fêlées du cabochon, qu'on pété un câble, enfin bref, pas nettes dans leur tête !)
(Prêtresse schroumphique : )Bon, premier chapitre d'une fic qui en comptera bien d'autres, si elle plaît (et si elle plaît pas aussi d'ailleurs et non mais.). Les tragiques événements qui vont suivre sont nés de la fructueuse collaboration de nos deux cerveaux aliénés, collaboration se basant sur l'admiration réciproque que nous portons à la fic de l'autre (pour Lou, c'est un jour pas comme les autres, trop fort, et pour Prêtresse schtroumphique, c'est quand les grands sorciers se rencontrent.).
Disclaimer : les persos sont pas à nous, pour notre plus grand malheur. Par contre, toutes les déjanteries ici narrées sont notre propriété propre. NA !! (Quelle immense consolation). Juste une petite note : ce premier chapitre a été en majorité rédigé par Lou, avec juste quelques annotations de Maud. Bref, pour nous encourager dans nos délire, non pas une adresse, mais bien euh. une ! : thedemi_best@hotmail.com ou bien pitit bouton en bas avec marqué dessus « go » ! Sur ce, on vous laisse quand même lire la fic. « C'est que du bonheur » *g*
Chapitre 1 (ou comment Harry échappe encore une fois aux Dursley)
Vernon était debout, au centre de la pièce, égal à lui-même, c'est- à-dire gros et moustachu. Il tenait une canette de bière dans une main, la télécommande dans l'autre et beuglait contre la télé - ou plus exactement contre l'arbitre du match Manchester United VS Arsenal. Fervent supporter de Manchester, hooligan même dans ses jeunes années, Dursley père s'offusquait grandement de la tournure que prenaient les événements : Beckham avait été fauché « comme un lapin en plein vol », s'était crashé comme une pauvre merde et gisait à terre alors que ce « nfkjhm-censuré- gdnm» d'arbitre hésitait encore à siffler quoi que ce soit. L'état de Vernon empirait à vu d'?il : il suait comme un boeuf et son visage prenait une progressivement une délicate teinte violacée à mesure que sa colère montait. De loin on aurait même pu le prendre pour un aliéné échappé d'un asile (de près aussi d'ailleurs). Quand enfin l'arbitre siffla un penalty en faveur de son équipe fétiche, Vernon, satisfait, se rassit, à bout de souffle. Epuisé par tant d'efforts, il reprit une gorgée de bière et émit un rot monumental, cataclysmique même, pour souligner son contentement : l'onde de choc se propagea à travers toute la maison, lézardant les murs et effritant le plafond.
Harry qui lisait tranquillement à l'étage sentit même son lit trembler...Il soupira et pensa : mon dieu ! Mais quel beauf ! Qu'ais-je fais pour mériter ça ? S'ensuivit toute une série d'interrogations métaphysiques du même style dont nous vous passerons les détails (comme on est gentilles !!). Harry repris le cours de ses pensées : Par quel miracle allait-il bien pouvoir survivre ne serait-ce encore qu'une journée avec eux? Courage ! s'exhorta le jeune (« jeune tu es rebelle ! » cf. pub hilarante pour la poste). Demain serait un autre jour ! (Houlà, puissante réflexion philosophique !!).
Tandis qu'il laissait ses pensées vagabonder, pensées dont nous vous proposons un échantillon gratos : Voldemort me retrouvera-t-il un jour ? Est-ce que Cho voudra un jour de moi ? Suis-je bien coiffé ? Etc. Harry entendit Hedwige donner quelques coups de bec à la vitre. Il s'empressa d'aller ouvrir la fenêtre. La chouette, morte de fatigue (elle faisait des allers- retours entre Harry et ses amis depuis le début des vacances) s'écroula au sol dans un bruit mat (dans le pur style « schtonk »). N'écoutant que son courage gryffondoresque le jeune Potter (15 ans demain tout de même !) s'empressa de sauver la lettre (valeureusement apportée par la bête volante identifiée) de l'amas de chair et de plume gisant à terre. Satisfait (elle n'était presque pas froissée !- la lettre pas Hedwige, suivez nomdedjuu !-) le beau ( ?) jeune homme entreprit de lire la prose magnifique de l'expéditeur mystérieux (mais plus pour longtemps, vu que le con a signé) : Harry,
Tu vas être content ! Après une bonne semaine de parlementations, mon père a enfin obtenu de Dumbledore que tu viennes passer le reste des vacances à la maison, ça à été dur, mais il a réussi !(à c?ur vaillant, rien d'impossible comme dirait l'autre). Donc, si t'es d'accord- je pense que oui vu ce que t'écrivais dans ta dernière lettre - on viendra te chercher demain vers 10h quoique tes moldus en disent. A demain !
Ron
Harry en aurait presque embrassé sa chouette tellement il était content, il allait partir ! Demain ! Il s'endormit donc heureux en pensant à la journée qui l'attendait (enfin pas avant d'avoir fait le ménage, la vaisselle, le repas, la lessive, les courses, etc, la liste étant interminable.... Harry avait en effet négocié le droit de recevoir des hiboux de ses amis en contrepartie de « légers » petits services rendus aux Dursley). Sa nuit fut peuplée de rêves tous plus étranges les uns que les autres, puisque, notre preux Harry, en bon héros tragique qu'il était, ne perdait jamais une occasion de ressasser les horribles événements qui avaient aboutit à la renaissance de Voldemort. C'est pourquoi, associés à la volonté de tout oublier, ses rêves n'en étaient que plus... psychédéliques. Cette nuit encore, les situations cocasses s'enchaînaient : Voldemort, Cédric et le rat côtoyaient gaiement Pikachu, plus électrique que jamais, les schtroumpHs et maître Yoda, toujours au mieux de sa forme, dans une joyeuse farandole. A présent tous entamaient une partie de « salade » et au cri suraigu que lançait Voldemort, tous s'entretuèrent dans la joie et la bonne humeur. Mais Harry ne vit pas cette dernière partie puisque, comme chaque jour (ou plutôt nuit) une lumière verte aveuglante la censura, et comme chaque jour, il se réveilla en sueur.
Il était 5h du matin. Pas la peine de se rendormir, pensa-t-il, vu qu'il prenait son « service » à 6h30 tapantes (même si c'était dimanche). Il prépara donc fébrilement ses affaires, mit Hedwige, qui était toujours par terre, dans sa cage, et descendit préparer le petit déjeuner. Absorbé par ses pensées, il fit ENCORE cramer le bacon, (et ne parlons pas des oeufs sur le plat, totally carbonised), mais de toute façon, les Dursley pouvaient bien lui dire ce qu'ils voulaient, il serait loin dans... 3h, 10min et 36s.
10min plus tard, le premier Dursley, Pétunia, émergea enfin, et comme d' habitude Harry se fit réprimander vertement et encore comme d'habitude il fut renvoyé direct dans sa chambre pendant que Pétunia repréparait le petit déjeuner pour son mari et son « dudlichounet d'amour ». Elle n'avait toujours pas compris qu'il ne valait mieux pas qu'Harry prépare le breakfast... Mais si ils voulaient retrouver la maison en cendres, c'était leur choix après tout. Il était 7h20 quand Vernon entra dans la chambre d'Harry (doux euphémisme étant donné qu'il défonça presque la porte). Il rugit :
-Mais quel empoté ! Même pas fichu de préparer correctement le petit dej' ! Allez debout, lève-toi ! Va tailler la haie ! Magne-toi un peu, après tout ce qu'on a fait pour toi, tu pourrais être un peu plus reconnaissant ! (Non mais quel langage, Verny ! Les auteurs tiennent à soulignent que les propos rapportés ici on été légèrement modifiés pour ne pas froisser vos oreilles, très chers lecteurs).
Dursley père prit donc Harry par la peau du coup (curieuse expression, vu que y pas des tonnes de peau à cet endroit, mais passons) et le balança dans les escaliers avec un bon coup de pied au c... Heureusement, il n'y eu plus de peur que de mal étant donné que le brave garçon s'en tira juste avec 2 ou 3 bleus (et une côte fêlée, un orteil cassé, le poignet gauche foulé, la rate explosée et une commotion cérébrale, enfin bref, que des broutilles...).
Le pôôôôôôvre Harry du donc tailler la haie (il l'avait déjà fait la veille), et pour se venger, il shoota dans 1 ou 2 nains de jardins qui passaient dans le coin, tout droit sortis de Blanche-neige et venus en ce lieu paisible pour une courte villégiature. A 10h tapantes, un grand BOUM retentit à l'intérieur de la bicoque... Intrigué, Harry se précipita dans la maison, mais cela lui prit un peu plus de temps qu'à vous et nous, étant donné qu'il s'étala sur le perron n'ayant pas vu les marches dans sa précipitation. Il cassa ses lunettes qui étaient miraculeusement sorties indemnes de l'épisode de l'escalier, et entra à tâtons dans la baraque, à l'intérieur de laquelle régnait un indescriptible chaos.
Les Weasley (Arthur et Ron) venaient d'arriver par le truchement de la poudre de cheminette et en conséquence, une épaisse pellicule de suie recouvrait à présent tout le living-room. Vernon, comme à son habitude, poussa une beuglante (Harry avait « oublié » de prévenir les Dursley de l'arrivée des Weasley - enfin, ne soyons pas mauvaise langue, il avait peut être REELEMENT oublié, ce brave gars étant, nous le précisons, un peu tête en l'air), mais il fut bien vite calmé par Weasley père. Après un réparage express de lunettes et un recupérage de bagages, Harry fut fin prêt à partir. Arthur rendit à la pièce son éclat d'antan d'un bref mouvement de baguette magique avant de s'engouffrer à son tour dans l'âtre pas rougeoyant en criant « le terrier », laissant des Dursley bouche bée et grands yeux ronds (vous voyez la gueule d'un poisson mort ? Eh ben c'est à peu près ça) éberlués devant leur cheminée. Harry ne prit même pas la peine de saluer Vernon, Pétunia et « Dudlichounet ». (un léger oubli sûrement, quand on vous dit qu'il est tête en l'air.)
*Fin du chapitre 1*
NdA : Aucun personnage ou animal n'a subit de dégâts irréversibles pendant l'écritage. C'était des doublures vous inquiétez pas. Avant de vous quitter, chers chers lecteurs, un petit rappel : tous vos feeds, reviews et autres sont les bienvenus (soit pour nous encourager dans notre délire, soit pour nous faire interner en urgence, c'est au choix !) à l'adresse suivante : thedemi_best@hotmail.com
Vous pouvez aussi nous écrire si vous voulez être de la partie et écrire vous aussi un chapitre (si, si, c'est possible, c'est possible) Vala. A+ pour de nouvelles aventures de nos héros déjantés
Un p'tit mot des 2 auteurs avant de commencer :
(Lou :) Fic résultant d'un coécritage intensif et festif entre Lou & la prêtresse schtroumphique (alias « les secouées du bulbe ») ,2 writeuses dans la fleur de l'âge *g* (mais surtout secouées du bulbe, fêlées du cabochon, qu'on pété un câble, enfin bref, pas nettes dans leur tête !)
(Prêtresse schroumphique : )Bon, premier chapitre d'une fic qui en comptera bien d'autres, si elle plaît (et si elle plaît pas aussi d'ailleurs et non mais.). Les tragiques événements qui vont suivre sont nés de la fructueuse collaboration de nos deux cerveaux aliénés, collaboration se basant sur l'admiration réciproque que nous portons à la fic de l'autre (pour Lou, c'est un jour pas comme les autres, trop fort, et pour Prêtresse schtroumphique, c'est quand les grands sorciers se rencontrent.).
Disclaimer : les persos sont pas à nous, pour notre plus grand malheur. Par contre, toutes les déjanteries ici narrées sont notre propriété propre. NA !! (Quelle immense consolation). Juste une petite note : ce premier chapitre a été en majorité rédigé par Lou, avec juste quelques annotations de Maud. Bref, pour nous encourager dans nos délire, non pas une adresse, mais bien euh. une ! : thedemi_best@hotmail.com ou bien pitit bouton en bas avec marqué dessus « go » ! Sur ce, on vous laisse quand même lire la fic. « C'est que du bonheur » *g*
Chapitre 1 (ou comment Harry échappe encore une fois aux Dursley)
Vernon était debout, au centre de la pièce, égal à lui-même, c'est- à-dire gros et moustachu. Il tenait une canette de bière dans une main, la télécommande dans l'autre et beuglait contre la télé - ou plus exactement contre l'arbitre du match Manchester United VS Arsenal. Fervent supporter de Manchester, hooligan même dans ses jeunes années, Dursley père s'offusquait grandement de la tournure que prenaient les événements : Beckham avait été fauché « comme un lapin en plein vol », s'était crashé comme une pauvre merde et gisait à terre alors que ce « nfkjhm-censuré- gdnm» d'arbitre hésitait encore à siffler quoi que ce soit. L'état de Vernon empirait à vu d'?il : il suait comme un boeuf et son visage prenait une progressivement une délicate teinte violacée à mesure que sa colère montait. De loin on aurait même pu le prendre pour un aliéné échappé d'un asile (de près aussi d'ailleurs). Quand enfin l'arbitre siffla un penalty en faveur de son équipe fétiche, Vernon, satisfait, se rassit, à bout de souffle. Epuisé par tant d'efforts, il reprit une gorgée de bière et émit un rot monumental, cataclysmique même, pour souligner son contentement : l'onde de choc se propagea à travers toute la maison, lézardant les murs et effritant le plafond.
Harry qui lisait tranquillement à l'étage sentit même son lit trembler...Il soupira et pensa : mon dieu ! Mais quel beauf ! Qu'ais-je fais pour mériter ça ? S'ensuivit toute une série d'interrogations métaphysiques du même style dont nous vous passerons les détails (comme on est gentilles !!). Harry repris le cours de ses pensées : Par quel miracle allait-il bien pouvoir survivre ne serait-ce encore qu'une journée avec eux? Courage ! s'exhorta le jeune (« jeune tu es rebelle ! » cf. pub hilarante pour la poste). Demain serait un autre jour ! (Houlà, puissante réflexion philosophique !!).
Tandis qu'il laissait ses pensées vagabonder, pensées dont nous vous proposons un échantillon gratos : Voldemort me retrouvera-t-il un jour ? Est-ce que Cho voudra un jour de moi ? Suis-je bien coiffé ? Etc. Harry entendit Hedwige donner quelques coups de bec à la vitre. Il s'empressa d'aller ouvrir la fenêtre. La chouette, morte de fatigue (elle faisait des allers- retours entre Harry et ses amis depuis le début des vacances) s'écroula au sol dans un bruit mat (dans le pur style « schtonk »). N'écoutant que son courage gryffondoresque le jeune Potter (15 ans demain tout de même !) s'empressa de sauver la lettre (valeureusement apportée par la bête volante identifiée) de l'amas de chair et de plume gisant à terre. Satisfait (elle n'était presque pas froissée !- la lettre pas Hedwige, suivez nomdedjuu !-) le beau ( ?) jeune homme entreprit de lire la prose magnifique de l'expéditeur mystérieux (mais plus pour longtemps, vu que le con a signé) : Harry,
Tu vas être content ! Après une bonne semaine de parlementations, mon père a enfin obtenu de Dumbledore que tu viennes passer le reste des vacances à la maison, ça à été dur, mais il a réussi !(à c?ur vaillant, rien d'impossible comme dirait l'autre). Donc, si t'es d'accord- je pense que oui vu ce que t'écrivais dans ta dernière lettre - on viendra te chercher demain vers 10h quoique tes moldus en disent. A demain !
Ron
Harry en aurait presque embrassé sa chouette tellement il était content, il allait partir ! Demain ! Il s'endormit donc heureux en pensant à la journée qui l'attendait (enfin pas avant d'avoir fait le ménage, la vaisselle, le repas, la lessive, les courses, etc, la liste étant interminable.... Harry avait en effet négocié le droit de recevoir des hiboux de ses amis en contrepartie de « légers » petits services rendus aux Dursley). Sa nuit fut peuplée de rêves tous plus étranges les uns que les autres, puisque, notre preux Harry, en bon héros tragique qu'il était, ne perdait jamais une occasion de ressasser les horribles événements qui avaient aboutit à la renaissance de Voldemort. C'est pourquoi, associés à la volonté de tout oublier, ses rêves n'en étaient que plus... psychédéliques. Cette nuit encore, les situations cocasses s'enchaînaient : Voldemort, Cédric et le rat côtoyaient gaiement Pikachu, plus électrique que jamais, les schtroumpHs et maître Yoda, toujours au mieux de sa forme, dans une joyeuse farandole. A présent tous entamaient une partie de « salade » et au cri suraigu que lançait Voldemort, tous s'entretuèrent dans la joie et la bonne humeur. Mais Harry ne vit pas cette dernière partie puisque, comme chaque jour (ou plutôt nuit) une lumière verte aveuglante la censura, et comme chaque jour, il se réveilla en sueur.
Il était 5h du matin. Pas la peine de se rendormir, pensa-t-il, vu qu'il prenait son « service » à 6h30 tapantes (même si c'était dimanche). Il prépara donc fébrilement ses affaires, mit Hedwige, qui était toujours par terre, dans sa cage, et descendit préparer le petit déjeuner. Absorbé par ses pensées, il fit ENCORE cramer le bacon, (et ne parlons pas des oeufs sur le plat, totally carbonised), mais de toute façon, les Dursley pouvaient bien lui dire ce qu'ils voulaient, il serait loin dans... 3h, 10min et 36s.
10min plus tard, le premier Dursley, Pétunia, émergea enfin, et comme d' habitude Harry se fit réprimander vertement et encore comme d'habitude il fut renvoyé direct dans sa chambre pendant que Pétunia repréparait le petit déjeuner pour son mari et son « dudlichounet d'amour ». Elle n'avait toujours pas compris qu'il ne valait mieux pas qu'Harry prépare le breakfast... Mais si ils voulaient retrouver la maison en cendres, c'était leur choix après tout. Il était 7h20 quand Vernon entra dans la chambre d'Harry (doux euphémisme étant donné qu'il défonça presque la porte). Il rugit :
-Mais quel empoté ! Même pas fichu de préparer correctement le petit dej' ! Allez debout, lève-toi ! Va tailler la haie ! Magne-toi un peu, après tout ce qu'on a fait pour toi, tu pourrais être un peu plus reconnaissant ! (Non mais quel langage, Verny ! Les auteurs tiennent à soulignent que les propos rapportés ici on été légèrement modifiés pour ne pas froisser vos oreilles, très chers lecteurs).
Dursley père prit donc Harry par la peau du coup (curieuse expression, vu que y pas des tonnes de peau à cet endroit, mais passons) et le balança dans les escaliers avec un bon coup de pied au c... Heureusement, il n'y eu plus de peur que de mal étant donné que le brave garçon s'en tira juste avec 2 ou 3 bleus (et une côte fêlée, un orteil cassé, le poignet gauche foulé, la rate explosée et une commotion cérébrale, enfin bref, que des broutilles...).
Le pôôôôôôvre Harry du donc tailler la haie (il l'avait déjà fait la veille), et pour se venger, il shoota dans 1 ou 2 nains de jardins qui passaient dans le coin, tout droit sortis de Blanche-neige et venus en ce lieu paisible pour une courte villégiature. A 10h tapantes, un grand BOUM retentit à l'intérieur de la bicoque... Intrigué, Harry se précipita dans la maison, mais cela lui prit un peu plus de temps qu'à vous et nous, étant donné qu'il s'étala sur le perron n'ayant pas vu les marches dans sa précipitation. Il cassa ses lunettes qui étaient miraculeusement sorties indemnes de l'épisode de l'escalier, et entra à tâtons dans la baraque, à l'intérieur de laquelle régnait un indescriptible chaos.
Les Weasley (Arthur et Ron) venaient d'arriver par le truchement de la poudre de cheminette et en conséquence, une épaisse pellicule de suie recouvrait à présent tout le living-room. Vernon, comme à son habitude, poussa une beuglante (Harry avait « oublié » de prévenir les Dursley de l'arrivée des Weasley - enfin, ne soyons pas mauvaise langue, il avait peut être REELEMENT oublié, ce brave gars étant, nous le précisons, un peu tête en l'air), mais il fut bien vite calmé par Weasley père. Après un réparage express de lunettes et un recupérage de bagages, Harry fut fin prêt à partir. Arthur rendit à la pièce son éclat d'antan d'un bref mouvement de baguette magique avant de s'engouffrer à son tour dans l'âtre pas rougeoyant en criant « le terrier », laissant des Dursley bouche bée et grands yeux ronds (vous voyez la gueule d'un poisson mort ? Eh ben c'est à peu près ça) éberlués devant leur cheminée. Harry ne prit même pas la peine de saluer Vernon, Pétunia et « Dudlichounet ». (un léger oubli sûrement, quand on vous dit qu'il est tête en l'air.)
*Fin du chapitre 1*
NdA : Aucun personnage ou animal n'a subit de dégâts irréversibles pendant l'écritage. C'était des doublures vous inquiétez pas. Avant de vous quitter, chers chers lecteurs, un petit rappel : tous vos feeds, reviews et autres sont les bienvenus (soit pour nous encourager dans notre délire, soit pour nous faire interner en urgence, c'est au choix !) à l'adresse suivante : thedemi_best@hotmail.com
Vous pouvez aussi nous écrire si vous voulez être de la partie et écrire vous aussi un chapitre (si, si, c'est possible, c'est possible) Vala. A+ pour de nouvelles aventures de nos héros déjantés
