UNE ANNEE TREPIDANTE A POUDLARD (ENCORE UNE !!!)
Et voici pour vous, chers lecteurs, la quatrième partie de notre oeuvre magistrale (qui a su se faire attendre, n'est-ce pas Maud ? ! Mais ne la blâmons pas -ouh c'est nul !- elle avait une tonne de boulot...) *Ben quoi, pour une fois que je bosse un peu, faudrait plutôt m'encourager. * Bon enfin bref, trêve de blablatages, revenons à nos moutons, ou plutôt à notre Juju qui n'attend que nous pour commencer...
Chapitre 4 : un 1er cours de potion . haut en couleurs !
Après l'atterrissage magistral du Frenchy questionneur dans la Grande Salle de Poudlard, les élèves refluèrent le plus vite possible vers leur dortoir respectif, poussés par la peur du gai luron alias Juju pour ne pas le nommer (effrayant c'te bête là !). Cet empressement donna d'ailleurs lieu à un mémorable embouteillage au niveau de l'imposante porte de la salle. Dans la bousculade, le brave mais con Blaise Zabini (un personnage dont tout le monde se fout, les auteurs de fics ne sachant même pas si c'est un gars ou une fille... c'est vous dire l'importance de ce(tte) cher(e) Blaise. Dans l'hypothétique, on va dire que c'est un mec) * Euh, Lou, où t'as vu que Blaise c'était un prénom de fille toi ?* se fit piétiner par ses gentils et attentionnés camarades et le pauvre trépassa sous le nombre. Il essaya en vain de léguer une dernière pensée philosophique à l'humanité : « Paaaannsy j. » Mais Ron, dans un pur souci d'humanité, lui écrasa délicatement la gueule de ses gros sabots avant qu'il ne l'eut achevée. Ainsi finit le brave Serpentard, regretté par. euh personne en fait.
Malgré ces tragiques événements, Harry, Ron et Hermione arrivèrent sain et saufs devant l'entrée de la tour de Gryffondor. Là, une horde de filles en délire avaient entamé un sitting. Harry se demanda en quoi la grosse dame pouvait susciter un si vif intérêt, mais lorsqu'il s'approcha pour constater de quoi il retournait, ce ne fut pas la grosse dame qu'il vit. En effet, celle-ci, après vingt ans de bons et loyaux services, avait filé en lune de miel romantique avec le chevalier de Catogan. La brave femme avait été remplacé au pied levé par, et c'était là la cause de l'hystérie féminine collective, le sublimissime, le splendissime, le gigantissime. Orlando Bloom. (Ok, je fais de la démagogie, mais pas seulement si on va par là, parce qu'en fait, Orly, je le boufferais bien tout cru aussi moi !). En effet, à la place de l'habituel tableau trônait maintenant un magnifique portrait du sieur Orly, qui comme il se devait, était animé. Voilà pourquoi, on pouvait l'admirer dans son rôle de composition, Legolas, avec un sourire à tomber par terre aux lèvres, (miam les lèvres ! ben quoi ?), et même, des mains (deux !) et encore plus extraordinaires, deux épaules, à la fois fines et puissantes, parfaites quoi. Une de chaque côté. -Enfin, n'épiloguons pas, je ne voudrais pas rendre jalouses toutes les Orliettes (c'est comme clodettes) qui hallucinent sur le forum, et à qui je me dois de dire la vérité : désolée les fille, mais Orly, il est rien qu'à moi, et en plus, il vous fait dire qu'il est désolé, mais que comme je suis l'amour de sa vie, il ne pourra pas trop s'occuper de vous.(hum Maud, tu nous parleras de tes amours APRES la fic)-
Bref, pour retourner à notre histoire, apparemment, le beau Orlando n'était pas insensible aux supplications des jeunes filles en chaleur, puisqu'il entamait à leur demande un strip-tease langoureux (c'est pour vous consoler un peu les filles, mais ne rêvez pas, c'est qu'un poster). La raison des sorcières gryffondoreuses semblait être irrémédiablement perdue quand retentit du fond du couloir une joyeuse mélodie qui les arracha toutes à leur contemplation béate :
Voici venu le temps,
Des rires et des chants
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux
Des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis.
La foule, qui était encore quelques instants auparavant en total délire, se figea brutalement dès le début de la chanson. Quand apparut à l'angle du couloir une main orange vif, des cris fusèrent : « Casimiiiiiiiiiiiiiiir !!!!! » (À prononcer comme Patriiiiiick). Un raz-de- marée féminin déferla sur le dernier dinosaure (merde, lui c'est Denver). La morale de cet événement, c'est qu'on a beau être sublimissime, on ne fait jamais le poids face aux héros de notre enfance (perso, Casimir, c'était pas à l'époque de mon enfance, donc je reste à contempler Orly). Ron, lui- même, se précipita sur celui qu'il considérait comme son modèle. Vive comme l'éclair, Hermione lança le sort « cave canem », et le malheureux rouquin se fit quasiment étrangler par la laisse qui apparut brutalement autour de son cou. Indifférente aux borborygmes étouffés de son ami, celle-ci le traîna jusque devant le portrait sous le vert regard ébahi (quel zeugma nul !) du jeune Potter. -Hermione, comment ça se fait que tu sois pas sous le charme du bellâtre ? -Harry, je t'ai déjà dit que je n'aimais pas quelqu'un simplement parce qu'il était beau, répondit Hermione sur un ton hautain. -Herm'. -Bon, ok, c'est juste que je préfère le *sic* grand et fort Ouroukaï qui est sous les ordres de Saroumane. -. -Bon, aide-moi à porter Ron à l'intérieur !
Harry, encore trop sonné par la réponse de son amie (mais plus pour longtemps avec des goûts pareils), obéit sans rien dire. Hermione prononça le mot de passe « Amin mela lle, prêtresse schtroumphique » (ben quoi ?), auquel Legolas répondit par « C'est exact, elle est l'amour de ma vie »(ahem, no comment), puis il s'effaça pour les laisser entrer dans la tour. Une fois qu'ils se furent affalés dans les fauteuils, Hermione annula le sort, ce qui n'était pas trop tôt, étant donné que le pauvre Ron commençait à prendre une délicate teinte violacée, du plus bel effet avec sa tignasse de feu. Une fois que celui-ci eu retrouvé l'usage de la parole, il tenta d'expliquer son mouvement de passion pour le dinosaure : -Vous comprenez, je me sens proche de lui. Enfin, c'est la seule personne qui soit de la même couleur que mes cheveux, et voyez comme il assume ça bien. Il est tellement libre, affranchi, indifférent aux sarcasmes, et puis cette couleur lui va à ravir. (mwahahahahaha !)
Dés le début de la phrase, les deux Gryffondors s'étaient effondrés dans le canapé, morts de rire. Non pas à cause de ce que le rouquin disait, bien que selon moi ce soit franchement hilarant, mais plutôt à cause de la façon dont il le disait. En fait, la laisse avait quelque peu endommagé les cordes vocales du jeune Weasley, et celui ci se retrouvait avec la voix du célèbre Farinelli, fameux castra s'il en est. Vexé par l'attitude de ses amis, Ron monta se coucher vite fait, non sans leur avoir jeté un noir regard (je me la joue un peu à l'anglaise pour les adjectifs ces temps- ci.). Quand enfin le fou rire des deux zouaves cessa, ce qui prit à peine une demie décennie, ils décidèrent d'aller se coucher, afin d'être en forme pour leur première journée de cours, qui, ô rage, ô désespoir, commençait par un cours du très aimable Rogue.
Le lendemain matin, après leurs ablutions matinales, les trois amis allèrent déjeuner, Ron boudant toujours un petit peu mais résistant à la tentation de parler, ses cordes vocales n'ayant pas encore parfaitement récupéré. Quand ils se furent bien gavés de pancakes et de jus de citrouille, ils se dirigèrent sans grand enthousiasme vers les cachots du joyeux Sevy.
Dès le début du cours, le professeur trouva le moyen d'enlever dix points à gryffondor parce qu'il estimait que la robe de Parvati était trop courte. Il est vrai qu'elle découvrait presque ses chevilles et que cela avait le pouvoir de dévergonder les esprits purs des Serpentard (et oui, le cours de potions était encore commun aux deux maisons).
Une fois que Rogue eut terrorisé deux ou trois fois Neville, rabaissé cinq ou six fois Harry et complimenté vingt cinq fois Malefoy, il estima qu'il avait rempli son office et entra dans le vif du sujet : -Bien, aujourd'hui, nous allons réaliser une potion de umfarbus, qui permet de changer la couleur d'un objet ou d'un être. La potion en elle-même est assez simple à préparer, mis à part pour les simples d'esprit comme Londubat, cela s'entend, mais elle nécessite une agitation vigoureuse.
A ces mots, Harry faillit tomber de sa chaise. Il regarda Ron, qui lui aussi avait dans les yeux cette lueur malicieuse qui laissait deviner que lui aussi avait eu cette idée merveilleuse, à savoir. utiliser le batteur à oeufs trois vitesses que Mr Weasley avait offert à Harry. D'un commun et tacite accord, Ron et lui firent comme si ce plan hilarant et machiavélique n'avait jamais germé dans leur ciboulot secoué. Ils préparèrent donc correctement leur potion, jusqu'à la phase de touillage intensif. Quand il fut temps d'agiter, Harry prononça tout bas la formule Electrificatum, qui fournit l'énergie nécessaire au batteur à oeufs pour fonctionner. Aussitôt, l'engin se mit en route en émettant un ronronnement doux et régulier. Harry régla la vitesse sur 1 et plongea les batteurs dans la potion. Ron et lui était au bord de l'implosion, tant ils se retenaient pour ne pas exploser de rire et essayer d'avoir l'air le plus concentré possible, comme si ce qu'ils étaient en train de faire était parfaitement normal. Comme de bien entendu (j'adore cette expression), Sevy ne tarda pas à s'apercevoir que quelque chose de pas net se tramait au fond de la classe, il s'approcha donc lentement de la table des deux amis, et il faillit suffoquer de rage quand il vit l'ustensile. Tout congestionné, il réussit tout de même à articuler : -Potter, Weasley, qu'est-ce que c'est que... ça ? -Oh, monsieur, répondit Ron le plus innocemment du monde, c'est un batteur à oeufs. C'est très pratique. Voyant que les yeux du professeur n'allaient pas tarder à lancer des éclairs, Harry s'empressa d'ajouter : -C'est vrai monsieur ! Regardez, si je passe à la vitesse 3, la maximum, l'agitation est vraiment vigoureuse et .
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase, car lorsqu'il enclencha la troisième vitesse, l'agitation devint tellement vigoureuse (c'est le cas de le dire !), qu'un mini tourbillon de potion se forma dans le chaudron et de grandes quantités furent projetées à travers toute la classe. Malheureusement, le professeur Rogue qui n'avait cessé de se rapprocher durant toute la durée de la « conversation », reçu la majorité de la potion en pleine figure, et comme il ouvrait la bouche pour retirer des points à Gryffondor, il en absorba une bonne rasade. Quand Hermione, qui avait fermé les yeux pour échapper à la vue du carnage, souleva ses paupières, elle ne pu s'empêcher de hurler de rire (Quand à Harry et Ron, n'en parlons même pas, ils étaient sous la table, les larmes aux yeux!) Même Malefoy et sa clique n'en pouvaient plus... Le professeur Rogue avait en effet la tête bleue des mers du sud, le torse rose fushia et le bas du corps mauve criard. « Oups »... Harry eut un petit sourire d'excuse, démentit par ses yeux verts, pétillants de malice.
*Fin du chapitre*
Et bah oui c'était pas long... Mais c'était drôle quand même nan ? Bon, tout de suite, les réponses à nos chers revieweuses : · Déborah G : ouh ! honte à nous ! on a oublié de te répondre la dernière fois (mais on se rattrape vite, isn't it ?) enfin bref, pour les chouettes chapitres (et pour notre quota élevé de déballage de débilités à la seconde aussi !), on s'y emploie ardemment, même si c'est parfois dur psychologiquement, on tient le coup, pour ne pas décevoir nos lecteurs, qui comptent sur nous. (n'est-ce pas ? *blanc dans la salle* hey revenez ! bon c'est vrai que j'ai été très sérieuse sur ce coup là, jvais me rattraper à la prochaine réponse...) · Kestrel (le hasard comme de par hasard !) : le shit il arrive *fait tourner Maud !* (et là, kes, tu les vois pas les pitits n'éléphants ROSES qui volent dans le ciel ?)nan sans dec' on réserve pleins de trucs tordus à nos persos et en particulier, l'expérimentation de... oups, j'en ai déjà trop dit ! (mwahahahahahah tu verras bien dans la suite ! gniark !). Pour ce qui est de la continuation, pas de blem, en revanche pour la rapidité... heu çà pourra varier... · Bibi : LOL ! en espérant que tu seras encore trop mdr ce coup ci ! · Marjolaine : (jlaisse à Maud le soin de répondre vu que le feed m'était pas adressé...*boude*) boude pas Lou !!! T'es quand même vachement impliqué dans cte fic ! en fait. autant que moi pour tout dire. Bon, stop, alors pour Marjolaine : dsl de pas avoir répondu plus tôt mais comme l'a justement fait remarqué la folledingue, je suis méga overbookée en ce moment. Saleté de bac, va ! Bon, n'empêche t'as raison, les feeds comme ça, c trop miam !!! alors surtout fo pas hésiter ! Et au fait, nous dégénérées du cerveau ? naaaaannnn ?? Bon, oki, je l'admets, ça nous arrive d'être un peu jetées, mais c rare quand même. Quoi hum ? Bon dac, g pensé à une aubergine, mais si je me rappelle bien, toi c'était une tomate, alors. · Arizona Gail : (le meilleur pour la fin !) : nous en veuillez pas les autres, Mais Arizona, c'est la crème des feedbackeuses, le must du must (mais je m'égare là) : un Orlando s'en va, un autre arrive ! (mais ce n'est pas Orly chéri le nouveau compère de Juju... Il va bientôt apparaître mais faudra quand même me laisser le temps d'écrire le prochain chapitre !). Comme jvoulais pas que çà soit Ron qui s'en prenne plein la gueule encore une fois et ben c'est Hermione qu'a tout morflé pour changer ! Et puis ben je crois qu'on est bien parties pour incorporer des bouts de chansons à chaque chapitres (on verra bien...). et schtroumpfs VS pokémons, çà sera peut-être pas pour tout de suite vu qu'a les base, les schtroumpf sont pacifiques, nan ? Mais pour une apparition des schtroumpf, tu peu y compter ! LOU !!!!!!!!!!!!!!! C'EST SCHTROUMPHS !!! Avec un H !!!!! Enfin, ceux que je connais en tout cas, et c'est vrai que c pas exactement des bêtes bleues. Comment ça personne ne capte ? C'est po grave, mais quand même : VIVE LA COMMUNAUTE SCHTROUMPHIQUE !!! (sauf les méchants aquaschtroumphs !).
Allez, @+ tout le monde. Ohhhhhhhhhhh !!! STOP ! Avant de partir, je rappelle juste un truc méga important, à savoir.. Nan, vous devinez pas. ouiiiiii, c'est presque ça. bravo !!!!! L'adresse des deux plus grandes frappadingues que la terre ait porté (tant qu'on assume, ça va.): thedemi_best@hotmail.com
Et voici pour vous, chers lecteurs, la quatrième partie de notre oeuvre magistrale (qui a su se faire attendre, n'est-ce pas Maud ? ! Mais ne la blâmons pas -ouh c'est nul !- elle avait une tonne de boulot...) *Ben quoi, pour une fois que je bosse un peu, faudrait plutôt m'encourager. * Bon enfin bref, trêve de blablatages, revenons à nos moutons, ou plutôt à notre Juju qui n'attend que nous pour commencer...
Chapitre 4 : un 1er cours de potion . haut en couleurs !
Après l'atterrissage magistral du Frenchy questionneur dans la Grande Salle de Poudlard, les élèves refluèrent le plus vite possible vers leur dortoir respectif, poussés par la peur du gai luron alias Juju pour ne pas le nommer (effrayant c'te bête là !). Cet empressement donna d'ailleurs lieu à un mémorable embouteillage au niveau de l'imposante porte de la salle. Dans la bousculade, le brave mais con Blaise Zabini (un personnage dont tout le monde se fout, les auteurs de fics ne sachant même pas si c'est un gars ou une fille... c'est vous dire l'importance de ce(tte) cher(e) Blaise. Dans l'hypothétique, on va dire que c'est un mec) * Euh, Lou, où t'as vu que Blaise c'était un prénom de fille toi ?* se fit piétiner par ses gentils et attentionnés camarades et le pauvre trépassa sous le nombre. Il essaya en vain de léguer une dernière pensée philosophique à l'humanité : « Paaaannsy j. » Mais Ron, dans un pur souci d'humanité, lui écrasa délicatement la gueule de ses gros sabots avant qu'il ne l'eut achevée. Ainsi finit le brave Serpentard, regretté par. euh personne en fait.
Malgré ces tragiques événements, Harry, Ron et Hermione arrivèrent sain et saufs devant l'entrée de la tour de Gryffondor. Là, une horde de filles en délire avaient entamé un sitting. Harry se demanda en quoi la grosse dame pouvait susciter un si vif intérêt, mais lorsqu'il s'approcha pour constater de quoi il retournait, ce ne fut pas la grosse dame qu'il vit. En effet, celle-ci, après vingt ans de bons et loyaux services, avait filé en lune de miel romantique avec le chevalier de Catogan. La brave femme avait été remplacé au pied levé par, et c'était là la cause de l'hystérie féminine collective, le sublimissime, le splendissime, le gigantissime. Orlando Bloom. (Ok, je fais de la démagogie, mais pas seulement si on va par là, parce qu'en fait, Orly, je le boufferais bien tout cru aussi moi !). En effet, à la place de l'habituel tableau trônait maintenant un magnifique portrait du sieur Orly, qui comme il se devait, était animé. Voilà pourquoi, on pouvait l'admirer dans son rôle de composition, Legolas, avec un sourire à tomber par terre aux lèvres, (miam les lèvres ! ben quoi ?), et même, des mains (deux !) et encore plus extraordinaires, deux épaules, à la fois fines et puissantes, parfaites quoi. Une de chaque côté. -Enfin, n'épiloguons pas, je ne voudrais pas rendre jalouses toutes les Orliettes (c'est comme clodettes) qui hallucinent sur le forum, et à qui je me dois de dire la vérité : désolée les fille, mais Orly, il est rien qu'à moi, et en plus, il vous fait dire qu'il est désolé, mais que comme je suis l'amour de sa vie, il ne pourra pas trop s'occuper de vous.(hum Maud, tu nous parleras de tes amours APRES la fic)-
Bref, pour retourner à notre histoire, apparemment, le beau Orlando n'était pas insensible aux supplications des jeunes filles en chaleur, puisqu'il entamait à leur demande un strip-tease langoureux (c'est pour vous consoler un peu les filles, mais ne rêvez pas, c'est qu'un poster). La raison des sorcières gryffondoreuses semblait être irrémédiablement perdue quand retentit du fond du couloir une joyeuse mélodie qui les arracha toutes à leur contemplation béate :
Voici venu le temps,
Des rires et des chants
Dans l'île aux enfants
C'est tous les jours le printemps
C'est le pays joyeux
Des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui c'est un paradis.
La foule, qui était encore quelques instants auparavant en total délire, se figea brutalement dès le début de la chanson. Quand apparut à l'angle du couloir une main orange vif, des cris fusèrent : « Casimiiiiiiiiiiiiiiir !!!!! » (À prononcer comme Patriiiiiick). Un raz-de- marée féminin déferla sur le dernier dinosaure (merde, lui c'est Denver). La morale de cet événement, c'est qu'on a beau être sublimissime, on ne fait jamais le poids face aux héros de notre enfance (perso, Casimir, c'était pas à l'époque de mon enfance, donc je reste à contempler Orly). Ron, lui- même, se précipita sur celui qu'il considérait comme son modèle. Vive comme l'éclair, Hermione lança le sort « cave canem », et le malheureux rouquin se fit quasiment étrangler par la laisse qui apparut brutalement autour de son cou. Indifférente aux borborygmes étouffés de son ami, celle-ci le traîna jusque devant le portrait sous le vert regard ébahi (quel zeugma nul !) du jeune Potter. -Hermione, comment ça se fait que tu sois pas sous le charme du bellâtre ? -Harry, je t'ai déjà dit que je n'aimais pas quelqu'un simplement parce qu'il était beau, répondit Hermione sur un ton hautain. -Herm'. -Bon, ok, c'est juste que je préfère le *sic* grand et fort Ouroukaï qui est sous les ordres de Saroumane. -. -Bon, aide-moi à porter Ron à l'intérieur !
Harry, encore trop sonné par la réponse de son amie (mais plus pour longtemps avec des goûts pareils), obéit sans rien dire. Hermione prononça le mot de passe « Amin mela lle, prêtresse schtroumphique » (ben quoi ?), auquel Legolas répondit par « C'est exact, elle est l'amour de ma vie »(ahem, no comment), puis il s'effaça pour les laisser entrer dans la tour. Une fois qu'ils se furent affalés dans les fauteuils, Hermione annula le sort, ce qui n'était pas trop tôt, étant donné que le pauvre Ron commençait à prendre une délicate teinte violacée, du plus bel effet avec sa tignasse de feu. Une fois que celui-ci eu retrouvé l'usage de la parole, il tenta d'expliquer son mouvement de passion pour le dinosaure : -Vous comprenez, je me sens proche de lui. Enfin, c'est la seule personne qui soit de la même couleur que mes cheveux, et voyez comme il assume ça bien. Il est tellement libre, affranchi, indifférent aux sarcasmes, et puis cette couleur lui va à ravir. (mwahahahahaha !)
Dés le début de la phrase, les deux Gryffondors s'étaient effondrés dans le canapé, morts de rire. Non pas à cause de ce que le rouquin disait, bien que selon moi ce soit franchement hilarant, mais plutôt à cause de la façon dont il le disait. En fait, la laisse avait quelque peu endommagé les cordes vocales du jeune Weasley, et celui ci se retrouvait avec la voix du célèbre Farinelli, fameux castra s'il en est. Vexé par l'attitude de ses amis, Ron monta se coucher vite fait, non sans leur avoir jeté un noir regard (je me la joue un peu à l'anglaise pour les adjectifs ces temps- ci.). Quand enfin le fou rire des deux zouaves cessa, ce qui prit à peine une demie décennie, ils décidèrent d'aller se coucher, afin d'être en forme pour leur première journée de cours, qui, ô rage, ô désespoir, commençait par un cours du très aimable Rogue.
Le lendemain matin, après leurs ablutions matinales, les trois amis allèrent déjeuner, Ron boudant toujours un petit peu mais résistant à la tentation de parler, ses cordes vocales n'ayant pas encore parfaitement récupéré. Quand ils se furent bien gavés de pancakes et de jus de citrouille, ils se dirigèrent sans grand enthousiasme vers les cachots du joyeux Sevy.
Dès le début du cours, le professeur trouva le moyen d'enlever dix points à gryffondor parce qu'il estimait que la robe de Parvati était trop courte. Il est vrai qu'elle découvrait presque ses chevilles et que cela avait le pouvoir de dévergonder les esprits purs des Serpentard (et oui, le cours de potions était encore commun aux deux maisons).
Une fois que Rogue eut terrorisé deux ou trois fois Neville, rabaissé cinq ou six fois Harry et complimenté vingt cinq fois Malefoy, il estima qu'il avait rempli son office et entra dans le vif du sujet : -Bien, aujourd'hui, nous allons réaliser une potion de umfarbus, qui permet de changer la couleur d'un objet ou d'un être. La potion en elle-même est assez simple à préparer, mis à part pour les simples d'esprit comme Londubat, cela s'entend, mais elle nécessite une agitation vigoureuse.
A ces mots, Harry faillit tomber de sa chaise. Il regarda Ron, qui lui aussi avait dans les yeux cette lueur malicieuse qui laissait deviner que lui aussi avait eu cette idée merveilleuse, à savoir. utiliser le batteur à oeufs trois vitesses que Mr Weasley avait offert à Harry. D'un commun et tacite accord, Ron et lui firent comme si ce plan hilarant et machiavélique n'avait jamais germé dans leur ciboulot secoué. Ils préparèrent donc correctement leur potion, jusqu'à la phase de touillage intensif. Quand il fut temps d'agiter, Harry prononça tout bas la formule Electrificatum, qui fournit l'énergie nécessaire au batteur à oeufs pour fonctionner. Aussitôt, l'engin se mit en route en émettant un ronronnement doux et régulier. Harry régla la vitesse sur 1 et plongea les batteurs dans la potion. Ron et lui était au bord de l'implosion, tant ils se retenaient pour ne pas exploser de rire et essayer d'avoir l'air le plus concentré possible, comme si ce qu'ils étaient en train de faire était parfaitement normal. Comme de bien entendu (j'adore cette expression), Sevy ne tarda pas à s'apercevoir que quelque chose de pas net se tramait au fond de la classe, il s'approcha donc lentement de la table des deux amis, et il faillit suffoquer de rage quand il vit l'ustensile. Tout congestionné, il réussit tout de même à articuler : -Potter, Weasley, qu'est-ce que c'est que... ça ? -Oh, monsieur, répondit Ron le plus innocemment du monde, c'est un batteur à oeufs. C'est très pratique. Voyant que les yeux du professeur n'allaient pas tarder à lancer des éclairs, Harry s'empressa d'ajouter : -C'est vrai monsieur ! Regardez, si je passe à la vitesse 3, la maximum, l'agitation est vraiment vigoureuse et .
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase, car lorsqu'il enclencha la troisième vitesse, l'agitation devint tellement vigoureuse (c'est le cas de le dire !), qu'un mini tourbillon de potion se forma dans le chaudron et de grandes quantités furent projetées à travers toute la classe. Malheureusement, le professeur Rogue qui n'avait cessé de se rapprocher durant toute la durée de la « conversation », reçu la majorité de la potion en pleine figure, et comme il ouvrait la bouche pour retirer des points à Gryffondor, il en absorba une bonne rasade. Quand Hermione, qui avait fermé les yeux pour échapper à la vue du carnage, souleva ses paupières, elle ne pu s'empêcher de hurler de rire (Quand à Harry et Ron, n'en parlons même pas, ils étaient sous la table, les larmes aux yeux!) Même Malefoy et sa clique n'en pouvaient plus... Le professeur Rogue avait en effet la tête bleue des mers du sud, le torse rose fushia et le bas du corps mauve criard. « Oups »... Harry eut un petit sourire d'excuse, démentit par ses yeux verts, pétillants de malice.
*Fin du chapitre*
Et bah oui c'était pas long... Mais c'était drôle quand même nan ? Bon, tout de suite, les réponses à nos chers revieweuses : · Déborah G : ouh ! honte à nous ! on a oublié de te répondre la dernière fois (mais on se rattrape vite, isn't it ?) enfin bref, pour les chouettes chapitres (et pour notre quota élevé de déballage de débilités à la seconde aussi !), on s'y emploie ardemment, même si c'est parfois dur psychologiquement, on tient le coup, pour ne pas décevoir nos lecteurs, qui comptent sur nous. (n'est-ce pas ? *blanc dans la salle* hey revenez ! bon c'est vrai que j'ai été très sérieuse sur ce coup là, jvais me rattraper à la prochaine réponse...) · Kestrel (le hasard comme de par hasard !) : le shit il arrive *fait tourner Maud !* (et là, kes, tu les vois pas les pitits n'éléphants ROSES qui volent dans le ciel ?)nan sans dec' on réserve pleins de trucs tordus à nos persos et en particulier, l'expérimentation de... oups, j'en ai déjà trop dit ! (mwahahahahahah tu verras bien dans la suite ! gniark !). Pour ce qui est de la continuation, pas de blem, en revanche pour la rapidité... heu çà pourra varier... · Bibi : LOL ! en espérant que tu seras encore trop mdr ce coup ci ! · Marjolaine : (jlaisse à Maud le soin de répondre vu que le feed m'était pas adressé...*boude*) boude pas Lou !!! T'es quand même vachement impliqué dans cte fic ! en fait. autant que moi pour tout dire. Bon, stop, alors pour Marjolaine : dsl de pas avoir répondu plus tôt mais comme l'a justement fait remarqué la folledingue, je suis méga overbookée en ce moment. Saleté de bac, va ! Bon, n'empêche t'as raison, les feeds comme ça, c trop miam !!! alors surtout fo pas hésiter ! Et au fait, nous dégénérées du cerveau ? naaaaannnn ?? Bon, oki, je l'admets, ça nous arrive d'être un peu jetées, mais c rare quand même. Quoi hum ? Bon dac, g pensé à une aubergine, mais si je me rappelle bien, toi c'était une tomate, alors. · Arizona Gail : (le meilleur pour la fin !) : nous en veuillez pas les autres, Mais Arizona, c'est la crème des feedbackeuses, le must du must (mais je m'égare là) : un Orlando s'en va, un autre arrive ! (mais ce n'est pas Orly chéri le nouveau compère de Juju... Il va bientôt apparaître mais faudra quand même me laisser le temps d'écrire le prochain chapitre !). Comme jvoulais pas que çà soit Ron qui s'en prenne plein la gueule encore une fois et ben c'est Hermione qu'a tout morflé pour changer ! Et puis ben je crois qu'on est bien parties pour incorporer des bouts de chansons à chaque chapitres (on verra bien...). et schtroumpfs VS pokémons, çà sera peut-être pas pour tout de suite vu qu'a les base, les schtroumpf sont pacifiques, nan ? Mais pour une apparition des schtroumpf, tu peu y compter ! LOU !!!!!!!!!!!!!!! C'EST SCHTROUMPHS !!! Avec un H !!!!! Enfin, ceux que je connais en tout cas, et c'est vrai que c pas exactement des bêtes bleues. Comment ça personne ne capte ? C'est po grave, mais quand même : VIVE LA COMMUNAUTE SCHTROUMPHIQUE !!! (sauf les méchants aquaschtroumphs !).
Allez, @+ tout le monde. Ohhhhhhhhhhh !!! STOP ! Avant de partir, je rappelle juste un truc méga important, à savoir.. Nan, vous devinez pas. ouiiiiii, c'est presque ça. bravo !!!!! L'adresse des deux plus grandes frappadingues que la terre ait porté (tant qu'on assume, ça va.): thedemi_best@hotmail.com
