JE TE VEUX ENCORE
CHAPITRE 3 : Pacte avec le diable
Je sais en ce moment c'est pas super drôle mais l'ambiance va s'améliorer je le promet (enfin pas dans ce chapitre mais dans le prochain).
Que sont devenu Ginny et Draco ?
BONNE LECTURE
¤¤¤Aziliz¤¤¤
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Son corps était encore faible mais petit à petit il reprenait ses esprits. Sa tête se balançaient sur les côtés. Lentement il ouvrit ses yeux mais tout était noir. Il entendait le bruit d'un moteur, il avançait.
Ses souvenirs lui revenait petit à petit : Le bal, la danse, Ginny, le lac. Etait-elle encore vivante ? Il se souvenais aussi d'une voix, un murmure dans sa tête : « imbécile ».
Il essaya de bouger, il remarqua alors qu'il était attaché fermement.
Soudain, il sentit un atterrissage. Des portes claquèrent et des murmures se firent entendre. Sa tête lui faisait horriblement mal. Il n'avait pas assez de force pour tenir éveillé plus longtemps. Alors qu'il luttait contre le sommeil, une porte s'ouvrit, la lumière l'aveugla et il ne vit pas venir le coup de bâton qui l'assomma.
Quant il se réveilla, il sentit des douleurs lui tiraillés le corps. Il reconnut cet endroit sombre et humide. Comment aurait-il pu l'oublier ?
Ses poignets était enfermés dans des cercles de fer comme ses chevilles, il était fixé à un mur. Le contact de sa peau avec la pierre froide le fit frissonner. Il pensait qu'en entrant à Hodgward, il n'aurait plus à subir ses supplices, du moins pas pendant les jours de cours.
Il entendit des pas dans le couloir qui jouxtait sa cellule. Son corps se raidit, il reconnaissait ses pas lourds et réguliers, il ne pouvait appartenir qu'à une seule personne. Une clé glissa dans la serrure et la porte s'ouvrit avec fracas.
Lucius : Mon cher fils, quel plaisir de vous revoir.
Draco ne répondit rien, la colère montait dans ses veines.
L : Je vois, avez-vous besoin que j'utilise ceci pour que vous fassiez enfin l'honneur de saluer votre cher père.
Lucius sortit de sous sa cape un long et fin fouet, il brillait dans le noir. Le jeune homme détourna son regard en signe de défi.
L : Je vous aurais prévenu.
D'un geste vif, il éleva le fouet et le fit claquer dans l'air. Puis, le deuxième coup s'abattit sur le prisonnier.
L : Humm. Même pas une plainte, je n'ai pas du frapper assez fort.
Il fit claquer une deuxième fois le fouet sur la peau blanche de l'adolescent. Draco laissa malgré lui échapper un petit gémissement, ce dernier coup venait de lui lacérer la chair.
L : Oh, quel douillet, ce n'est pourtant que le début. Je vais te faire payer de jouer le prince charmant avec une Weasley en plus !
Plusieurs coup de fouet s'abattirent sur Draco, plus violent et cette fois ci son cri se fit plus intense. Des larmes lui vinrent aux yeux mais il savait que s'il pleurait, son père redoublerait les coups.
Soudain, il comprit, Ginny n'avait jamais voulu se suicider, c'était son père qui l'avait forcée.
D : Pourquoi tu as fait ça !
L : Tu daignes enfin m'adresser la parole ?
D : Elle est innocente !
L : Si tu était plus futé tu aurais compris que ce n'étais pas elle que je visais mais plutôt un certain Potter.
D : On se demande lequel des deux est le plus stupide. Murmura-t-il.
L : Que siffle tu entre tes dents ?
Lucius se retourna vers son fils et approcha son visage de Draco. De ses yeux maléfique il l'observa lui bloquant le visage d'une main.
Un sourire machiavélique se dessina sur les lèvres de Lucius.
L : Je te donnes une chance mais tu ne dois pas me décevoir.
Silence
L : Bien, voilà mon idée : Potter voudra sûrement récupérer sa petite amie. N'est-ce pas ?
Il établit un silence, Draco attendait la suite, il savait que c'était son billet de sortie.
L : Mais il serais encore plus blessé si elle ne voulait pas delui. Cela le détruirait si elle tombait amoureuse de son pire ennemi.
D : Je ne suis pas son.
Il s'arrêta, il se souvenais de ses paroles qu'elle avait prononcé le jour du bal. Il savait que le seul moyen de sortir de se cachot et de sauver Ginny était d'obéir à son père. Il fallait qu'elle tombe amoureuse de lui.
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Pendant ce temps là Ginny était allongé sur une planche dans un cachot. Elle fut réveiller par des cris de douleur. Autour d'elle tout était sombre. Elle essaya de se relever mais elle était encore trop faible.
Le silence revint et Ginny frissonna. Cet endroit lui donnait la chair de poule, elle qui était habitué aux endroits chaleureux. Elle entendit alors des pas qui se dirigeait vers elle.
Ginny ferma les yeux.
L : Tu n'a pas intérêt à me décevoir une fois de plus ou la sentence sera mille fois pire que ça.
Elle entendit la porte de sa cage grincer puis se refermer brutalement. Quelqu'un était avec elle, elle sentait sa présence, entendait sa respiration. Elle entendit qu'il gémissait. Où se trouvait-elle ? Elle n'en avais aucune idée, tout ce qu'elle se souvenait c'est d'avoir quitter la salle de bal en pleurant, après son esprit était devenu confus.
Ginny avait froid, ses vêtements étaient trempés, que c'était il passé ?
Doucement, elle ouvrit ses yeux pour découvrir son colocataire. Elle ne le reconnut pas tout de suite. Ses cheveux n'étaient pas aussi bien coiffés que d'habitude, il était recroquevillé sur lui même et ses vêtements avaient l'air en piteux état. Petit à petit, ses yeux se firent à l'obscurité et elle distingua enfin les courbes de son visage.
Ginny : Draco ?
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Maintenant un petit délire de ma s?ur que je tenais à publier pour deux raison : lui foutre la honte et parce que ce chapitre un peu noir avait besoin d'un peu d'humour. Bien sûr cela n'ai PAS LA VRAI HISTOIRE ! ! ! ! Voici donc la suite de l'histoire selon ma s?ur (après le premier coup de fouet) :
D'un geste vif, il éleva le fouet et le fit claquer dans l'air. Puis, le deuxième coup s'abattit sur le prisonnier.
L : Humm. Même pas une plainte, tu serais devenu plus résistant. Il faut croire que tes séances régulières de torture se soit avérer utiles. On va peut-être forcer la dose pour voir jusqu'où tu seras capable de supporter la douleur.
Il s'avança un sourire cynique posé sur ses lèvres, puis leva son fouet.
Et alors là Lucius fut pris de convulsions et se tordit de douleur. Draco interloqué l'observa puis d'un coup son père releva la tête et le regarda avec des yeux de déments. Il ouvrit la bouche et Draco se colla encore plus au mur, il se sentait trembler, de peur bien entendu.
Et de la bouche de Lucius sortit un son que Draco n'avait jamais entendu venant de lui, il se mit à chanter ! Et oui et même qu'il chantait País Latino. Draco ne put s'empêcher de le regarder étrangement. Mais il n'était pas au bout de sa surprise en effet son père avait maintenant joint les gestes à la parole, où plutôt la chanson, et se déhanchait allègrement tandis que le Goyle père s'approchait avec un banjo à la main et habillé de couleurs vives. Puis soudain Voldemort apparut ainsi que Rogue qui se mirent à côté de son père et suivirent la chorégraphie. Bientôt tous les mangemorts étaient réunis dans la pièce en train de chanter, danser, jouer de la musique avec au milieu Pansy qui se déhanchait (très mal d'ailleurs) en secouant sa jupe.
Puis soudain tout cessa et Lucius s'écroula en larmes, Draco le regarda cherchant une réponse.
L : Draco, mon fils, ceci est notre malédiction, les Malefoy ont des crises de démence où ils se mettent à chanter d'infâmes chansons moldues ! ! !
Draco prit sa main dans sa tête et se mit à crier comme un dément, non, jamais il n'accepterait ça ! ! !
Pendant ce temps Ginny, éveillée, observant la scène depuis le début, convint que se rendormir était la meilleur chose à faire après avoir décidé qu'il s'agissait d'une hallucination due à sa prise de drogue constante. Décidément la cocaïne lui faisait un effet très étrange.
BREF ! ! ! ! ! ! ! ! ! Dans quelle famille de fou je vis..
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Après une triste présentation de ma s?ur hystérique voici un petit message pour mes gentils reviewers ! !
Aelydia : Merci pour ces deux reviews, c'est bizarre mais la furie qui t'habite me fait penser à une personne de mon entourage (je n'en dirais pas plus). Tu sais que si tu ne veux pas que l'étiquette folle de colle à la peau sur fanfiction.net tu as intérêt à me faire des compliments ! ! ! Non je rigole mais sache que je peux détruire ta réputation. Niark Niark Niark
Melepha : Merci à toi qui est fidèle à mes histoires. Je t'en suis très reconnaissante ! ! !
Sandi : Merci pour ta réponse, je me sens moins bête maintenant mais je crois que tout le monde n'a pas compris cela.
Katarina :Voilà tu as l'explication : Ginny ne s'est pas suicidé, on l'a manipuler ! ! ! ! Les méchants. Plus de détails sur Stéphanie. Humm. Peut- être dans le prochain chapitre.
Mariecool : Je suis désolé de t'avoir fait attendre mais je sort un chapitre environ par semaine et en plus cette semaine mon père a débrancher quelques jours la connexion internet (j'étais trop sur l'ordi.)
Deedlit : Et oui cette Stéphanie intrigue.. Mais qui est-elle ? Suite dans le prochain feuilleton.
Eowyn : Merci de la conseiller, je suis très émue mais mes chevilles vont commencer à enfler OH NON ! ! !
Merci à tous et j'espère que ce chapitre vous plaira ! ! ! !
Vous pouvez cliquez en bas à gauche si le c?ur vous en dit ! ! ! !
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CHAPITRE 3 : Pacte avec le diable
Je sais en ce moment c'est pas super drôle mais l'ambiance va s'améliorer je le promet (enfin pas dans ce chapitre mais dans le prochain).
Que sont devenu Ginny et Draco ?
BONNE LECTURE
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Son corps était encore faible mais petit à petit il reprenait ses esprits. Sa tête se balançaient sur les côtés. Lentement il ouvrit ses yeux mais tout était noir. Il entendait le bruit d'un moteur, il avançait.
Ses souvenirs lui revenait petit à petit : Le bal, la danse, Ginny, le lac. Etait-elle encore vivante ? Il se souvenais aussi d'une voix, un murmure dans sa tête : « imbécile ».
Il essaya de bouger, il remarqua alors qu'il était attaché fermement.
Soudain, il sentit un atterrissage. Des portes claquèrent et des murmures se firent entendre. Sa tête lui faisait horriblement mal. Il n'avait pas assez de force pour tenir éveillé plus longtemps. Alors qu'il luttait contre le sommeil, une porte s'ouvrit, la lumière l'aveugla et il ne vit pas venir le coup de bâton qui l'assomma.
Quant il se réveilla, il sentit des douleurs lui tiraillés le corps. Il reconnut cet endroit sombre et humide. Comment aurait-il pu l'oublier ?
Ses poignets était enfermés dans des cercles de fer comme ses chevilles, il était fixé à un mur. Le contact de sa peau avec la pierre froide le fit frissonner. Il pensait qu'en entrant à Hodgward, il n'aurait plus à subir ses supplices, du moins pas pendant les jours de cours.
Il entendit des pas dans le couloir qui jouxtait sa cellule. Son corps se raidit, il reconnaissait ses pas lourds et réguliers, il ne pouvait appartenir qu'à une seule personne. Une clé glissa dans la serrure et la porte s'ouvrit avec fracas.
Lucius : Mon cher fils, quel plaisir de vous revoir.
Draco ne répondit rien, la colère montait dans ses veines.
L : Je vois, avez-vous besoin que j'utilise ceci pour que vous fassiez enfin l'honneur de saluer votre cher père.
Lucius sortit de sous sa cape un long et fin fouet, il brillait dans le noir. Le jeune homme détourna son regard en signe de défi.
L : Je vous aurais prévenu.
D'un geste vif, il éleva le fouet et le fit claquer dans l'air. Puis, le deuxième coup s'abattit sur le prisonnier.
L : Humm. Même pas une plainte, je n'ai pas du frapper assez fort.
Il fit claquer une deuxième fois le fouet sur la peau blanche de l'adolescent. Draco laissa malgré lui échapper un petit gémissement, ce dernier coup venait de lui lacérer la chair.
L : Oh, quel douillet, ce n'est pourtant que le début. Je vais te faire payer de jouer le prince charmant avec une Weasley en plus !
Plusieurs coup de fouet s'abattirent sur Draco, plus violent et cette fois ci son cri se fit plus intense. Des larmes lui vinrent aux yeux mais il savait que s'il pleurait, son père redoublerait les coups.
Soudain, il comprit, Ginny n'avait jamais voulu se suicider, c'était son père qui l'avait forcée.
D : Pourquoi tu as fait ça !
L : Tu daignes enfin m'adresser la parole ?
D : Elle est innocente !
L : Si tu était plus futé tu aurais compris que ce n'étais pas elle que je visais mais plutôt un certain Potter.
D : On se demande lequel des deux est le plus stupide. Murmura-t-il.
L : Que siffle tu entre tes dents ?
Lucius se retourna vers son fils et approcha son visage de Draco. De ses yeux maléfique il l'observa lui bloquant le visage d'une main.
Un sourire machiavélique se dessina sur les lèvres de Lucius.
L : Je te donnes une chance mais tu ne dois pas me décevoir.
Silence
L : Bien, voilà mon idée : Potter voudra sûrement récupérer sa petite amie. N'est-ce pas ?
Il établit un silence, Draco attendait la suite, il savait que c'était son billet de sortie.
L : Mais il serais encore plus blessé si elle ne voulait pas delui. Cela le détruirait si elle tombait amoureuse de son pire ennemi.
D : Je ne suis pas son.
Il s'arrêta, il se souvenais de ses paroles qu'elle avait prononcé le jour du bal. Il savait que le seul moyen de sortir de se cachot et de sauver Ginny était d'obéir à son père. Il fallait qu'elle tombe amoureuse de lui.
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Pendant ce temps là Ginny était allongé sur une planche dans un cachot. Elle fut réveiller par des cris de douleur. Autour d'elle tout était sombre. Elle essaya de se relever mais elle était encore trop faible.
Le silence revint et Ginny frissonna. Cet endroit lui donnait la chair de poule, elle qui était habitué aux endroits chaleureux. Elle entendit alors des pas qui se dirigeait vers elle.
Ginny ferma les yeux.
L : Tu n'a pas intérêt à me décevoir une fois de plus ou la sentence sera mille fois pire que ça.
Elle entendit la porte de sa cage grincer puis se refermer brutalement. Quelqu'un était avec elle, elle sentait sa présence, entendait sa respiration. Elle entendit qu'il gémissait. Où se trouvait-elle ? Elle n'en avais aucune idée, tout ce qu'elle se souvenait c'est d'avoir quitter la salle de bal en pleurant, après son esprit était devenu confus.
Ginny avait froid, ses vêtements étaient trempés, que c'était il passé ?
Doucement, elle ouvrit ses yeux pour découvrir son colocataire. Elle ne le reconnut pas tout de suite. Ses cheveux n'étaient pas aussi bien coiffés que d'habitude, il était recroquevillé sur lui même et ses vêtements avaient l'air en piteux état. Petit à petit, ses yeux se firent à l'obscurité et elle distingua enfin les courbes de son visage.
Ginny : Draco ?
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D'un geste vif, il éleva le fouet et le fit claquer dans l'air. Puis, le deuxième coup s'abattit sur le prisonnier.
L : Humm. Même pas une plainte, tu serais devenu plus résistant. Il faut croire que tes séances régulières de torture se soit avérer utiles. On va peut-être forcer la dose pour voir jusqu'où tu seras capable de supporter la douleur.
Il s'avança un sourire cynique posé sur ses lèvres, puis leva son fouet.
Et alors là Lucius fut pris de convulsions et se tordit de douleur. Draco interloqué l'observa puis d'un coup son père releva la tête et le regarda avec des yeux de déments. Il ouvrit la bouche et Draco se colla encore plus au mur, il se sentait trembler, de peur bien entendu.
Et de la bouche de Lucius sortit un son que Draco n'avait jamais entendu venant de lui, il se mit à chanter ! Et oui et même qu'il chantait País Latino. Draco ne put s'empêcher de le regarder étrangement. Mais il n'était pas au bout de sa surprise en effet son père avait maintenant joint les gestes à la parole, où plutôt la chanson, et se déhanchait allègrement tandis que le Goyle père s'approchait avec un banjo à la main et habillé de couleurs vives. Puis soudain Voldemort apparut ainsi que Rogue qui se mirent à côté de son père et suivirent la chorégraphie. Bientôt tous les mangemorts étaient réunis dans la pièce en train de chanter, danser, jouer de la musique avec au milieu Pansy qui se déhanchait (très mal d'ailleurs) en secouant sa jupe.
Puis soudain tout cessa et Lucius s'écroula en larmes, Draco le regarda cherchant une réponse.
L : Draco, mon fils, ceci est notre malédiction, les Malefoy ont des crises de démence où ils se mettent à chanter d'infâmes chansons moldues ! ! !
Draco prit sa main dans sa tête et se mit à crier comme un dément, non, jamais il n'accepterait ça ! ! !
Pendant ce temps Ginny, éveillée, observant la scène depuis le début, convint que se rendormir était la meilleur chose à faire après avoir décidé qu'il s'agissait d'une hallucination due à sa prise de drogue constante. Décidément la cocaïne lui faisait un effet très étrange.
BREF ! ! ! ! ! ! ! ! ! Dans quelle famille de fou je vis..
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Aelydia : Merci pour ces deux reviews, c'est bizarre mais la furie qui t'habite me fait penser à une personne de mon entourage (je n'en dirais pas plus). Tu sais que si tu ne veux pas que l'étiquette folle de colle à la peau sur fanfiction.net tu as intérêt à me faire des compliments ! ! ! Non je rigole mais sache que je peux détruire ta réputation. Niark Niark Niark
Melepha : Merci à toi qui est fidèle à mes histoires. Je t'en suis très reconnaissante ! ! !
Sandi : Merci pour ta réponse, je me sens moins bête maintenant mais je crois que tout le monde n'a pas compris cela.
Katarina :Voilà tu as l'explication : Ginny ne s'est pas suicidé, on l'a manipuler ! ! ! ! Les méchants. Plus de détails sur Stéphanie. Humm. Peut- être dans le prochain chapitre.
Mariecool : Je suis désolé de t'avoir fait attendre mais je sort un chapitre environ par semaine et en plus cette semaine mon père a débrancher quelques jours la connexion internet (j'étais trop sur l'ordi.)
Deedlit : Et oui cette Stéphanie intrigue.. Mais qui est-elle ? Suite dans le prochain feuilleton.
Eowyn : Merci de la conseiller, je suis très émue mais mes chevilles vont commencer à enfler OH NON ! ! !
Merci à tous et j'espère que ce chapitre vous plaira ! ! ! !
Vous pouvez cliquez en bas à gauche si le c?ur vous en dit ! ! ! !
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