CHAPITRE 7 : Fièvre
Résumé : Ginny et Draco sont toujours prisonniers de Lucius qui attend que son fils fasse tomber Ginny amoureuse de lui. Ginny à convaincu Draco de l'accepter dans sa chambre et lui a même chanter une chanson. C'est comme cela que la jeune fille s'est rendu compte qu'il avait un don caché : la chanson. A Poudlard, Harry, Hermione, Ron et Stéphanie vont en cours comme si de rien était en attendant d'exécuter leur plan de sauvetage.
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Alors que Draco lui racontait comment il avait monté un groupe, il remarqua que les yeux de Ginny s'étaient fermés. Il s'approcha d'elle et vit qu'elle s'était endormi. Le jeune homme rabattit la couverture sur les jambes à demis nus de Ginny. Il caressa son visage puis son cou, un frisson parcouru son corps endormi. Il déposa un baiser sur son front et s'allongea à l'autre bout de son lit. Il eu du mal à s'endormir, c'était la première fois qu'il dormait avec une fille, mais la nuit eu bientôt raison de son excitation et ses yeux se fermèrent à leur tour.
Draco se réveilla, quelqu'un frappait à la porte. Il sentit que quelque chose le gênait pour se lever. Il découvrit alors que la tête de Ginny était posé sur son torse et que ses bras l'entourait. Il essaya alors de la réveiller, « Ginny », « Ginny ». Alors que les paupières de la jeune fille se levaient péniblement, la porte s'ouvrit. C'était le domestique qui apportait le petit déjeuner.
Domestique : Excusez-moi, voici vos petits déjeuner, je me suis permis d'amener aussi celui de mademoiselle Weasley.
Draco : heu. Merci.
Le domestique quitta la pièce laissant Draco mal à l'aise, son père apprendrait sûrement qu'ils avaient dormis ensemble et alors. . .Ginny bougea d'un coup, elle venait de s'apercevoir qu'elle était couché sur Draco.
Ginny : Désolé.
Ses joues étaient en feu, elle avait dormi avec un garçon et en plus avec Draco, elle avait si bien dormi et elle ne se souvenait pas avoir rêvé d'Harry. Elle se tourna vers lui, il semblait dans ses pensées, quelque chose le tracassait. Il s se leva d'un bond.
Dr : Bien, mangeons.
Ginny le rejoignit. Draco avala quelques trucs puis s'enferma dans une petite salle annexe laissant la jeune fille perplexe. Il en sortit quelques instant plus tard avec un peignoir.
Dr : Si tu veux te laver, il y a une salle de bain à côté, tu sors et c'est la deuxième porte à droite.
Puis il retourna dans sa pièce et Ginny entendit l'eau couler puis elle se décida de se faire une petite beauté elle aussi.
Elle alla dans la pièce indiqué, c'était une grande salle de bain. Elle se déshabilla et se fit couler un bain. Elle avait envie de se sentir belle. Une fois sortit de son bain elle passa une serviette autour d'elle et commença à démêler ses cheveux quand Draco fit irruption dans la salle. Il portait une chemise noir brodée de rouge et un pantalon de la même couleur.
Dr : Je venais te dire. . .
Il s'arrêta un instant en remarquant la tenue de Ginny et ses yeux s'attardèrent quelques instant sur ses jambes si fines.
Dr : Bon, je voulais juste te dire que tu peux prendre n'importe quel vêtement de la penderie d'à côté.
Pourquoi s'était-il sentit si fiévreux. Il referma la porte. Cette chaleur qui l'avait envahi, jamais il ne s'était senti si étrange. Quand il retourna dans sa chambre, il se dirigea vers sa salle de bain pour se passer de l'eau sur son visage. C'est juste Ginny, reprends toi mon vieux. Qu'était-il en train de se passer dans sa tête ?
Il passa sa main sur son front. Est-ce que je couve quelque chose, j'ai trouvé Ginny si désirable. Non, je ne suis pas en train de tomber . . . Ce n'est pas possible, c'est hormonal rien d'autre. Le visage de la jeune fille repassait devant ses yeux, sa peau humide, ses gouttes d'eau glissant le long de ses jambes. Draco, il faut que tu te reprennes !
Il s'étala sur son lit, cachant sa tête sous son oreiller pour essayer de se remettre les idées en place quand il entendit la porte s'ouvrir. C'était elle, il sentit son c?ur s'accélérer. Si tu t'excite comme ça à chaque fois que tu vois une fille en petite tenue, t'es mal barré !
Gi : Tu fais quoi là Draco ?
Pourtant, il n'osait la regarder en face de peur que ces craintes soient fondées. Il repensa alors à la fois où il avait surpris Pansy en sous- vêtements, il ne l'avait pas trouvé désirable, non, cela lui avait plutôt dégoûté. Il se mit à rire en repensant à Pansy toute rouge et à sa culotte extra large horrible.
Gi : Ca va pas, pourquoi tu pleures ?
Il se tourna vers Ginny qui avait accourut à son chevet.
Dr : T'inquiètes pas je pleure de rire !
Elle se releva, rassurée.
Gi : Au fait, qu'est-ce que tu penses de ma tenue ?
Draco la vit alors, perchée sur des talons, elle portait une petite robe légère bleu pale assez courte, elle était vraiment belle comme ça. Qu'est- ce que tu racontes, belle ?
Dr : Tu es très bien.
Gi : Merci.
Ses joues rosirent et un silence gêné s'installa entre eux.
Gi : Bon, on fait quoi maintenant ?
Dr : J'sais pas, tu veux faire quoi ?
Gi : Je sais pas.
Dr : intéressant.
Gi : Tu peux me rejouer un morceau de guitare.
Dr : Pas envie.
Gi : Trouillard !
Draco releva la tête, un sourire sur le visage ;
Dr : Je ne me ferais pas avoir deux fois !
Gi : Froussard !
Elle s'approcha du lit.
Gi : Draco n'a peur de rien, tu parles !
Dr : Arrêtes !
Gi : Il a peur de chanter !
Elle se mit à le narguer.
Dr : Gin, arrêtes ou . . .
Gi : Ou quoi ? Tu vas appeler Crabble ?
Vexé, il l'attrapa par le poignet et la fit basculer sur le lit.
Dr : Tu vas voir toi !
Gi : Bou, j'ai peur !
Elle rit, jamais elle ne s'était sentie aussi libre qu'avec lui. Il la bloqua.
Il sortit sa baguette.
Dr : Hum, quel sort affreux vais-je pouvoir te faire, oh je sais, je vais te faire apparaître des pustules sur tout le corps, ou alors je vais te transformer en jolie petit cochon rose, non, j'ai encore mieux.
Ginny se libéra une main et attrapa la baguette de Draco.
Gi : Ah, ah !
Dr : Rends moi ça !
Il allongea son bras pour reprendre sa baguette mais une fois qui l'eut reprise, il perdit son équilibre et il s'écroula sur Ginny.
Leurs deux corps étaient l'un contre l'autre, leurs nez se frôlaient. Leur regard se rencontrèrent et une brusque fièvre l'envahit de nouveau, il avait l'impression qu'il ne contrôlait plus ses gestes.
Ginny ne pouvait plus bouger, les yeux de Draco l'hypnotisaient, elle sentait la chaleur de son corps, le sien lui semblait aussi brûlant, son c?ur s'accélérait un peu plus à chaque fois que leur nez se frôlaient. Elle ne pouvait détacher son regard de ses yeux si bleus.
Dans son regard, il pouvait lire de la peur mais lui aussi avait peur car il savait que ce qui venait de se passer et ce qu'il allait faire pourrait le changer pour toujours.
Ce sentiment qu'elle ressentait, était bien différent de tout ce qu'elle avait pu ressentir envers Harry, c'était une chaleur envoûtante. Peu importe à ce moment là, qu'il ait toujours été ignoble envers elle et sa famille, peu importe que ses amis le déteste, à cet instant, seul son souffle chaud sur sa nuque comptait.
Il était fatigué de résister, il sentait qu'il allait céder, c'était inévitable.
Elle vit le visage de Draco se rapprocher un peu plus d'elle, leur nez se touchaient maintenant, elle sentit une main lui caresser les cheveux puis elle ferma les yeux et leurs lèvres se rencontrèrent.
Leur baiser fût d'abord doux puis la pression se fit plus forte, leur nez s'entrechoquèrent mais alors que leurs lèvres allaient s'ouvrir, un grand bruit se fit entendre.
Ils sursautèrent et ils relevèrent précipitamment.
Dr : Luc, Will ?
Luc : On dérange ?
Will : Apparemment oui !
Deux garçons venaient d'entrer brusquement par la fenêtre à balai.
Dr : mais qu'est-ce que vous fichez ici ?
Wi : On est venue te libérer, mais on savait pas que tu étais avec une si charmante demoiselle.
Le jeune homme blond aux yeux marrons s'agenouilla devant Ginny.
Wi : Will pour vous servir.
Draco le regarda, agacé.
Lu : Will, tu vois pas qu'elle est déjà prise ! désolé, il a aucune éducation, moi c'est Luc.
Le deuxième gars était brun et bronzé, tout le contraire de Draco.
Dr : Hé ! je vous ai posé une question !
Lu : On a vu dans la gazette que tu avais disparu, alors on a pensé que ton père te retenait prisonnier et on est arrivé.
Wi : T'as pas vraiment l'air prisonnier ! Et c'est elle Ginny ?
Dr : Ouais.
Lu : Qu'est-ce qui t'as fais encore ton père ?
Gi : Il l'a battu.
Les garçons se tournèrent vers Ginny, surpris. (c'était la première fois qu'elle prenait la parole depuis leur arrivé)
Wi : C'est quoi l'excuse cette fois ?
Dr : J'ai fais échouer son plan.
Lu : Quel plan ?
Dr : Tuer Ginny.
Un silence embarrassé suivit.
Lu : Mais pourquoi il voulait tuer ta petite amie ?
Dr : Ma quoi ? Ginny ? Mais c'est pas . . .
Draco se tourna vers la jeune fille qui semblait être très intrigué par sa réponse.
Dr : Enfin, pas à ce moment là, cela veux pas dire qu'elle l'est, c'est que, tu me comprends.
Wi : J'ai pas tout suivi, vous êtes ensemble ou quoi ?
Draco ne savait pas quoi répondre, ils venaient de s'embrasser, il ne savait pas lui même où il en était, il ne pouvait pas dire devant Ginny que son père lui avait demandé de faire tomber Ginny amoureuse de lui.
Gi : Vous pouvez nous faire sortir d'ici ?
Wi : En fait.
Lu : On a pas de plan mais. . .
Dr : Comme d'habitude, aucun plan, ils foncent la tête baissé.
Gi : Mais au fait vous êtes qui ?
Luc et Will se regardèrent.
Wi : Désolé, on ne s'est pas présenté, on est des amis de Draco.
Dr : Ouais.
Lu : On a même formé un groupe.
Gi : Ah oui ? Mais vous n'êtes pas à Poudlard ?
Wi : Non, nous on a des cours particuliers.
Gi : Je savais pas que ça existait.
Dr : C'est pour tout les nuls qui ont pleine d'argents.
Wi : On est comme des grands frères pour lui.
Dr : J'en ai de la chance.
Lu : Tu seras content de nous voir quand on te dira ce qu'on a amené !
Wi : Oui, on avait un petit plan derrière la tête, TADAM, mesdames et messieurs, la cape d'invisibilité !
Gi : Vous comptez que l'on s'enfuit tout les quatre sous cette cape.
Lu : Hé ! Mais nous reprend nos balai, c'est pour vous ! Draco je t'en fais cadeau, fais en bon usage.
Will lui fit un clin d'?il pas du tout discret.
Wi : Bon, on va vous laisser tranquille, il faut qu'on reparte avant que notre prof s'aperçoive que nous sommes parti.
Ils prirent leurs balai et après avoir dit au revoir, ils repartirent par les airs.
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Quelque part en Angleterre dans la base secrète du malheureusement célèbre Lord Voldemort (bon comme elle est secrète la base je peux pas vous dire où elle se situe précisément, mais vous savez qu'elle est en Angleterre ce qui déjà limite les choix, mais en fait c'est pas très intéressant donc je vais continuer mon histoire) :
Voldemort était assis devant son bureau, se concentrant sur son super prochain plan de la mort qui tue qui pourra enfin éclater Harry et le rendre maître de l'Angleterre puis de l'univers, un rire sadique s'échappa de ses fines lèvres aristocratiques, il allait enfin réussir à finir ce qu'il avait entrepris des années auparavant. Cependant une porte claquant mit fin à son rire si sadique qui faisait si peur à ses victimes.
Il tourna la tête pour voir apparaître le nouvel arrivant, il reconnut de suite l'intrus. Des longs cheveux blonds virant au blanc, ce visage aux traits si fins, cette puissante aura, il s'agissait de son chien Caramel !
« Viens par ici, mon pépère, Voldie il a un biscuit pour toi ! »
Le chien s'approcha, sentit le biscuit puis s'en empara avidement. Dès qu'il eut réussi à attraper le biscuit il se réfugia à l'autre bout de la pièce pour déguster sa proie. Voldemort l'observait, il aimait tellement ce chien, sans lui il n'aurait jamais réussi à se remettre de la défaite de ses deux anciens plans machiavéliques censés être parfait pour le rendre maître du monde mais qui avaient foirés.
Il souriait en observant cette si mignonne petite chose, puis un raclement de gorge lui fit détourner la tête une nouvelle fois. Il reconnut son vieil ami et bras droit.
« Lucius que me vaut l'honneur de ta présence ? ça faisait bien longtemps. »
L'homme s'avança vers son maître, son visage traduisait sa fatigue.
« Tom, il faut vraiment que tu trouves une solution pour ma malédiction, ça s'empire de jours en jours. »
« Voyons Lucius, je t'ai déjà dit combien je regrettais mais il n'y a aucune solution, on a déjà tout essayé, même les bains de boue magiques avec des vers dedans, mais tu es maudit et tu dois vivre avec, désolé. »
Il s'avança vers son ami et posa une main sur son épaule en signe de compassion, Lucius s'effondra en larmes, il n'en pouvait plus de vivre avec ce fardeau si lourd, chaque jour était plus dur à supporter, plus rien ne semblait le retenir en vie, rien n'allait bien.
« J'en peux plus Tom, et il y a pas que cette malédiction, rien ne va, je ne crois plus en la vie, elle ne vaut pas la peine d'être vécu si c'est pour vivre si tourmenté par tant de problème. »
« Voyons Lucius dis pas ça, je suis là moi ! »
Mais Lucius semblait partie, les vannes étaient ouvertes, il n'en pouvait plus de garder tout ça pour lui, il fallait que ça sorte.
« Non seulement il y a cette malédiction qui me poursuit et qui me fait chanter des chansons moldues débiles avec parfois des projections dans un monde parallèles, la dernière fois j'ai passé une semaine avec une étrange compagnie qui n'arrêtait pas de parler étrangement comme des chevaliers des anciens temps, j'ai pêté un plomb à force. Mais en plus dans ma vie personnelle rien ne va, mon fils tombe amoureux d'une Weasley, qu'est ce tu veux que je fasse de cette rouquine débile et niaise dans la famille, sans compter qu'elle se drogue cette fille, elle va ramollir mon Draco, qui bien entendu ne peux plus me voir, sous prétexte que je lui ait infligé quelques châtiments corporels pour le rendre plus résistant, alors que t'es d'accord avec moi que une petite torture de temps en temps c'est la base de l'éducation d'un sang pur. »
« Oui, oui, t'as raison mon Lucius. »
« Et je te parles pas de ma femme, elle se came sans arrêt depuis une dizaine d'années, Draco n'est pas au courant et il l'adore car elle est gentille avec lui, tu m'étonnes avec les doses qu'elle prend forcément qu'elle se sent bien, une fois j'ai bien cru qu'il allait comprendre, elle s'est mise à table à regarder sa petite cuillère et elle a commencé à expliquer combien elle la trouvait belle, combien elle était émerveillé par cette chose si parfaite, puis elle s'est prosterné devant. Et je te parle pas de la fois où elle s'est déguisée en clown pour les quinze ans de Draco persuadée qu'il adorerait, et arrivée dans la pièce alors que j'essayais vainement de l'en empêcher elle s'est mise à faire le chat. »
« On trouvera une solution t'inquiètes pas. » Voldemort tapotait le dos de son ami en essayant vainement de le consoler, celui-ci pleurait maintenant à chaude larmes et reniflait bruyamment.
« J'ai déjà tout essayé, et puis elle couche avec tout ce qui passe, même les elfes de maison, et elle est persuadée que ce sont les créatures les plus parfaites de toute la création, les elfes de maison ! En plus j'ai même pas été foutu capable de devenir Shaman King, j'ai plus personne pour me soutenir, personne ne m'aimeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! »
« Mais si, moi je suis là pour toi, tu vois bien, je serais toujours là quand tu auras besoin de moi, tu sais bien qu'entre nous c'est pour toujours. »
Lucius renifla très, mais alors vraiment très, bruyamment et regarda son ami.
« C'est vrai qu'entre nous c'est si fort, je ne sais pas ce que je ferais sans toi, t'es vraiment tout ce qui me reste. »
Emu Voldemort sentit une petit larmes couler le long de sa joue.
« Tu sais Lucius, quand je t'ai vu, j'ai tout de suite su qu'on était fait pour s'entendre, qu'entre nous c'est pour toujours. »
Lucius semblait extrêmement touché par les derniers mots de Voldie, il le serra très fort dasn ses bras, d'ailleurs il l'étouffait même un peu. Mais soudain se visage se convulsa, tout son corps fut prit de spasme, il se dégagea de l'étreinte d'avec son maître et ami. Sa bouche s'ouvrit malgré lui et il se mit une fois encore à chanter.
« Entre nous,
C'est l'histoire
Qui commence au hasard
De nos yeux qui se cherchent
Entre nous
Entre nous,
De nos bras
C'est le temps qui donnera
Un premier rendez-vous
Entre nous »
Voldemort fut soudain prit lui aussi de spasme et suivit son ami dans la chanson, il se regardait avec amour en échangeant les paroles.
« Entre nous, c'est le temps qui s'enfuit qui s'en fout
C'est la vie qui nous prend dans son pouls
C'est le coeur qui avoue
Entre nous,
Entre nous,
C'est l'aveu qui nous brûle en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux,
De la moindre seconde sans nous »
Ils se mirent tous les deux à danser en continuant de chanter bien entendu, joue contre joue il dansait, tel des amoureux transis.
« Entre nous,
C'est toujours
C'est le contraire
D'un jour
Un voyage sans détour
Entre nous
Entre nous
C'est le fort, la raison et le tord
C'est l'envie qui nous mord dans le cou
Entre nous,
C'est l'aveu qui nous brûle en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux
De la moindre seconde sans nous
Entre nous,
C'est toujours
C'est le contraire
D'un jour
Un voyage sans détour
Entre nous. »
Les deux hommes arrêtèrent soudainement de danser et se regardèrent avec un air de dégoût.
« T'as raison Lucius, faut vraiment que je fasses quelque chose. »
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Hum, hum, et oui, vous l'avez sans doute compris en lisant ces lignes, elle a récidivé ! ! ! La voilà, la revoilà , ma s?ur pour une nouvelle histoire retraçant les mésaventures de la famille Malefoy et leur étrange malédiction !
Moi, la grande soeur adorée de la pitite Aziliz vous avoue que je n'ai pas besoin d'aller à l'asile et que la chanson que j'ai utilisé à si bon escient c'est celle de Chimène Baudi (vous savez la fille qu'était à pop star mais qu'a pas été prise dans le groupe mais récupéré pour chanter en solo, d'ailleurs tant mieux pour elle vu qu'ils se sont un peu fait éclaté le groupe formé) qui s'appelle « Entre nous » (Mais ça vous vous en doutiez je supposes).
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Merci à tous pour vos reviews, je sais que j'ai pris du temps à écrire ce chapitre mais si je vous ai dit combien de fois je l'ai recommencé, je le trouvait toujours nul, puis j'ai gardé des idées de ci et de là et on mélange le tout et ça à donné ce chapitre, je sais pas si c'est à) cause des vacances mais l'inspiration ne me venait pas (ma muse m'aurait(elle abandonné pour prendre des congés ?)
Mya Black : Pour la chanson de Spike, je l'ai pas mis en anglais car j'avais la flegme de tout traduire ! et moi aussi j'aime bien spikinou ! ! ! :-)
Eleima : Merci, et tu vois j'ai suivi ton conseil ! (lol)
Katarina : ouais c'est sûr que Ron ne s'attend pas à ça (lol). Pour le français je suis tout à fais d'accord, (mais j'ai bac de français à la fin de l'année. )
Mariecool :Oui mais si je l'a met dans un asile, je ne la verrais plus souvent et vous n'aurez plus droit à ses petits délires.
Debbie : Ma s?ur, ah non j'aime vous faire languir. Niark niark * rire de sadique *
Jade : Et non ce n'est pas Amiastine ma s?ur, dsl et bonne chance pour ton brevet !
Lily46 : Oui ma s?ur a des idées un peu bizarre mais je crois surtout qu'elle se défoule dans mes fics (lol).
Melepha : Oui il est tout mimi Draconou ! ! ! !
Flo007 : J'espère que je ne t'ai pas déçue !
Cool : Merci, ça doit être de famille ! ! ! Enfin, pas la folie !
Aelydia : C'est bon je te pardonne mais ne recommence JAMAIS ! ! ! Non, je rigole, je te remercie pour tes reviews qui me font toujours super plaisir ! ! !
Loline : Voilà, la suite est là mais je pari que tu vas encore me la demander (la suite), c'est un cercle vicieux ! ! !
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CONCOURS : Qui est ma s?ur ?
Comme indice, heu. Elle a écrit une fic sur les maraudeurs mais attention, toutes ses fics ne sont pas sur Harry Potter !
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Bouh, c'est la fin des vacances ! ! ! ! ! Moi pas contente ! ! ! !
Résumé : Ginny et Draco sont toujours prisonniers de Lucius qui attend que son fils fasse tomber Ginny amoureuse de lui. Ginny à convaincu Draco de l'accepter dans sa chambre et lui a même chanter une chanson. C'est comme cela que la jeune fille s'est rendu compte qu'il avait un don caché : la chanson. A Poudlard, Harry, Hermione, Ron et Stéphanie vont en cours comme si de rien était en attendant d'exécuter leur plan de sauvetage.
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Alors que Draco lui racontait comment il avait monté un groupe, il remarqua que les yeux de Ginny s'étaient fermés. Il s'approcha d'elle et vit qu'elle s'était endormi. Le jeune homme rabattit la couverture sur les jambes à demis nus de Ginny. Il caressa son visage puis son cou, un frisson parcouru son corps endormi. Il déposa un baiser sur son front et s'allongea à l'autre bout de son lit. Il eu du mal à s'endormir, c'était la première fois qu'il dormait avec une fille, mais la nuit eu bientôt raison de son excitation et ses yeux se fermèrent à leur tour.
Draco se réveilla, quelqu'un frappait à la porte. Il sentit que quelque chose le gênait pour se lever. Il découvrit alors que la tête de Ginny était posé sur son torse et que ses bras l'entourait. Il essaya alors de la réveiller, « Ginny », « Ginny ». Alors que les paupières de la jeune fille se levaient péniblement, la porte s'ouvrit. C'était le domestique qui apportait le petit déjeuner.
Domestique : Excusez-moi, voici vos petits déjeuner, je me suis permis d'amener aussi celui de mademoiselle Weasley.
Draco : heu. Merci.
Le domestique quitta la pièce laissant Draco mal à l'aise, son père apprendrait sûrement qu'ils avaient dormis ensemble et alors. . .Ginny bougea d'un coup, elle venait de s'apercevoir qu'elle était couché sur Draco.
Ginny : Désolé.
Ses joues étaient en feu, elle avait dormi avec un garçon et en plus avec Draco, elle avait si bien dormi et elle ne se souvenait pas avoir rêvé d'Harry. Elle se tourna vers lui, il semblait dans ses pensées, quelque chose le tracassait. Il s se leva d'un bond.
Dr : Bien, mangeons.
Ginny le rejoignit. Draco avala quelques trucs puis s'enferma dans une petite salle annexe laissant la jeune fille perplexe. Il en sortit quelques instant plus tard avec un peignoir.
Dr : Si tu veux te laver, il y a une salle de bain à côté, tu sors et c'est la deuxième porte à droite.
Puis il retourna dans sa pièce et Ginny entendit l'eau couler puis elle se décida de se faire une petite beauté elle aussi.
Elle alla dans la pièce indiqué, c'était une grande salle de bain. Elle se déshabilla et se fit couler un bain. Elle avait envie de se sentir belle. Une fois sortit de son bain elle passa une serviette autour d'elle et commença à démêler ses cheveux quand Draco fit irruption dans la salle. Il portait une chemise noir brodée de rouge et un pantalon de la même couleur.
Dr : Je venais te dire. . .
Il s'arrêta un instant en remarquant la tenue de Ginny et ses yeux s'attardèrent quelques instant sur ses jambes si fines.
Dr : Bon, je voulais juste te dire que tu peux prendre n'importe quel vêtement de la penderie d'à côté.
Pourquoi s'était-il sentit si fiévreux. Il referma la porte. Cette chaleur qui l'avait envahi, jamais il ne s'était senti si étrange. Quand il retourna dans sa chambre, il se dirigea vers sa salle de bain pour se passer de l'eau sur son visage. C'est juste Ginny, reprends toi mon vieux. Qu'était-il en train de se passer dans sa tête ?
Il passa sa main sur son front. Est-ce que je couve quelque chose, j'ai trouvé Ginny si désirable. Non, je ne suis pas en train de tomber . . . Ce n'est pas possible, c'est hormonal rien d'autre. Le visage de la jeune fille repassait devant ses yeux, sa peau humide, ses gouttes d'eau glissant le long de ses jambes. Draco, il faut que tu te reprennes !
Il s'étala sur son lit, cachant sa tête sous son oreiller pour essayer de se remettre les idées en place quand il entendit la porte s'ouvrir. C'était elle, il sentit son c?ur s'accélérer. Si tu t'excite comme ça à chaque fois que tu vois une fille en petite tenue, t'es mal barré !
Gi : Tu fais quoi là Draco ?
Pourtant, il n'osait la regarder en face de peur que ces craintes soient fondées. Il repensa alors à la fois où il avait surpris Pansy en sous- vêtements, il ne l'avait pas trouvé désirable, non, cela lui avait plutôt dégoûté. Il se mit à rire en repensant à Pansy toute rouge et à sa culotte extra large horrible.
Gi : Ca va pas, pourquoi tu pleures ?
Il se tourna vers Ginny qui avait accourut à son chevet.
Dr : T'inquiètes pas je pleure de rire !
Elle se releva, rassurée.
Gi : Au fait, qu'est-ce que tu penses de ma tenue ?
Draco la vit alors, perchée sur des talons, elle portait une petite robe légère bleu pale assez courte, elle était vraiment belle comme ça. Qu'est- ce que tu racontes, belle ?
Dr : Tu es très bien.
Gi : Merci.
Ses joues rosirent et un silence gêné s'installa entre eux.
Gi : Bon, on fait quoi maintenant ?
Dr : J'sais pas, tu veux faire quoi ?
Gi : Je sais pas.
Dr : intéressant.
Gi : Tu peux me rejouer un morceau de guitare.
Dr : Pas envie.
Gi : Trouillard !
Draco releva la tête, un sourire sur le visage ;
Dr : Je ne me ferais pas avoir deux fois !
Gi : Froussard !
Elle s'approcha du lit.
Gi : Draco n'a peur de rien, tu parles !
Dr : Arrêtes !
Gi : Il a peur de chanter !
Elle se mit à le narguer.
Dr : Gin, arrêtes ou . . .
Gi : Ou quoi ? Tu vas appeler Crabble ?
Vexé, il l'attrapa par le poignet et la fit basculer sur le lit.
Dr : Tu vas voir toi !
Gi : Bou, j'ai peur !
Elle rit, jamais elle ne s'était sentie aussi libre qu'avec lui. Il la bloqua.
Il sortit sa baguette.
Dr : Hum, quel sort affreux vais-je pouvoir te faire, oh je sais, je vais te faire apparaître des pustules sur tout le corps, ou alors je vais te transformer en jolie petit cochon rose, non, j'ai encore mieux.
Ginny se libéra une main et attrapa la baguette de Draco.
Gi : Ah, ah !
Dr : Rends moi ça !
Il allongea son bras pour reprendre sa baguette mais une fois qui l'eut reprise, il perdit son équilibre et il s'écroula sur Ginny.
Leurs deux corps étaient l'un contre l'autre, leurs nez se frôlaient. Leur regard se rencontrèrent et une brusque fièvre l'envahit de nouveau, il avait l'impression qu'il ne contrôlait plus ses gestes.
Ginny ne pouvait plus bouger, les yeux de Draco l'hypnotisaient, elle sentait la chaleur de son corps, le sien lui semblait aussi brûlant, son c?ur s'accélérait un peu plus à chaque fois que leur nez se frôlaient. Elle ne pouvait détacher son regard de ses yeux si bleus.
Dans son regard, il pouvait lire de la peur mais lui aussi avait peur car il savait que ce qui venait de se passer et ce qu'il allait faire pourrait le changer pour toujours.
Ce sentiment qu'elle ressentait, était bien différent de tout ce qu'elle avait pu ressentir envers Harry, c'était une chaleur envoûtante. Peu importe à ce moment là, qu'il ait toujours été ignoble envers elle et sa famille, peu importe que ses amis le déteste, à cet instant, seul son souffle chaud sur sa nuque comptait.
Il était fatigué de résister, il sentait qu'il allait céder, c'était inévitable.
Elle vit le visage de Draco se rapprocher un peu plus d'elle, leur nez se touchaient maintenant, elle sentit une main lui caresser les cheveux puis elle ferma les yeux et leurs lèvres se rencontrèrent.
Leur baiser fût d'abord doux puis la pression se fit plus forte, leur nez s'entrechoquèrent mais alors que leurs lèvres allaient s'ouvrir, un grand bruit se fit entendre.
Ils sursautèrent et ils relevèrent précipitamment.
Dr : Luc, Will ?
Luc : On dérange ?
Will : Apparemment oui !
Deux garçons venaient d'entrer brusquement par la fenêtre à balai.
Dr : mais qu'est-ce que vous fichez ici ?
Wi : On est venue te libérer, mais on savait pas que tu étais avec une si charmante demoiselle.
Le jeune homme blond aux yeux marrons s'agenouilla devant Ginny.
Wi : Will pour vous servir.
Draco le regarda, agacé.
Lu : Will, tu vois pas qu'elle est déjà prise ! désolé, il a aucune éducation, moi c'est Luc.
Le deuxième gars était brun et bronzé, tout le contraire de Draco.
Dr : Hé ! je vous ai posé une question !
Lu : On a vu dans la gazette que tu avais disparu, alors on a pensé que ton père te retenait prisonnier et on est arrivé.
Wi : T'as pas vraiment l'air prisonnier ! Et c'est elle Ginny ?
Dr : Ouais.
Lu : Qu'est-ce qui t'as fais encore ton père ?
Gi : Il l'a battu.
Les garçons se tournèrent vers Ginny, surpris. (c'était la première fois qu'elle prenait la parole depuis leur arrivé)
Wi : C'est quoi l'excuse cette fois ?
Dr : J'ai fais échouer son plan.
Lu : Quel plan ?
Dr : Tuer Ginny.
Un silence embarrassé suivit.
Lu : Mais pourquoi il voulait tuer ta petite amie ?
Dr : Ma quoi ? Ginny ? Mais c'est pas . . .
Draco se tourna vers la jeune fille qui semblait être très intrigué par sa réponse.
Dr : Enfin, pas à ce moment là, cela veux pas dire qu'elle l'est, c'est que, tu me comprends.
Wi : J'ai pas tout suivi, vous êtes ensemble ou quoi ?
Draco ne savait pas quoi répondre, ils venaient de s'embrasser, il ne savait pas lui même où il en était, il ne pouvait pas dire devant Ginny que son père lui avait demandé de faire tomber Ginny amoureuse de lui.
Gi : Vous pouvez nous faire sortir d'ici ?
Wi : En fait.
Lu : On a pas de plan mais. . .
Dr : Comme d'habitude, aucun plan, ils foncent la tête baissé.
Gi : Mais au fait vous êtes qui ?
Luc et Will se regardèrent.
Wi : Désolé, on ne s'est pas présenté, on est des amis de Draco.
Dr : Ouais.
Lu : On a même formé un groupe.
Gi : Ah oui ? Mais vous n'êtes pas à Poudlard ?
Wi : Non, nous on a des cours particuliers.
Gi : Je savais pas que ça existait.
Dr : C'est pour tout les nuls qui ont pleine d'argents.
Wi : On est comme des grands frères pour lui.
Dr : J'en ai de la chance.
Lu : Tu seras content de nous voir quand on te dira ce qu'on a amené !
Wi : Oui, on avait un petit plan derrière la tête, TADAM, mesdames et messieurs, la cape d'invisibilité !
Gi : Vous comptez que l'on s'enfuit tout les quatre sous cette cape.
Lu : Hé ! Mais nous reprend nos balai, c'est pour vous ! Draco je t'en fais cadeau, fais en bon usage.
Will lui fit un clin d'?il pas du tout discret.
Wi : Bon, on va vous laisser tranquille, il faut qu'on reparte avant que notre prof s'aperçoive que nous sommes parti.
Ils prirent leurs balai et après avoir dit au revoir, ils repartirent par les airs.
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Quelque part en Angleterre dans la base secrète du malheureusement célèbre Lord Voldemort (bon comme elle est secrète la base je peux pas vous dire où elle se situe précisément, mais vous savez qu'elle est en Angleterre ce qui déjà limite les choix, mais en fait c'est pas très intéressant donc je vais continuer mon histoire) :
Voldemort était assis devant son bureau, se concentrant sur son super prochain plan de la mort qui tue qui pourra enfin éclater Harry et le rendre maître de l'Angleterre puis de l'univers, un rire sadique s'échappa de ses fines lèvres aristocratiques, il allait enfin réussir à finir ce qu'il avait entrepris des années auparavant. Cependant une porte claquant mit fin à son rire si sadique qui faisait si peur à ses victimes.
Il tourna la tête pour voir apparaître le nouvel arrivant, il reconnut de suite l'intrus. Des longs cheveux blonds virant au blanc, ce visage aux traits si fins, cette puissante aura, il s'agissait de son chien Caramel !
« Viens par ici, mon pépère, Voldie il a un biscuit pour toi ! »
Le chien s'approcha, sentit le biscuit puis s'en empara avidement. Dès qu'il eut réussi à attraper le biscuit il se réfugia à l'autre bout de la pièce pour déguster sa proie. Voldemort l'observait, il aimait tellement ce chien, sans lui il n'aurait jamais réussi à se remettre de la défaite de ses deux anciens plans machiavéliques censés être parfait pour le rendre maître du monde mais qui avaient foirés.
Il souriait en observant cette si mignonne petite chose, puis un raclement de gorge lui fit détourner la tête une nouvelle fois. Il reconnut son vieil ami et bras droit.
« Lucius que me vaut l'honneur de ta présence ? ça faisait bien longtemps. »
L'homme s'avança vers son maître, son visage traduisait sa fatigue.
« Tom, il faut vraiment que tu trouves une solution pour ma malédiction, ça s'empire de jours en jours. »
« Voyons Lucius, je t'ai déjà dit combien je regrettais mais il n'y a aucune solution, on a déjà tout essayé, même les bains de boue magiques avec des vers dedans, mais tu es maudit et tu dois vivre avec, désolé. »
Il s'avança vers son ami et posa une main sur son épaule en signe de compassion, Lucius s'effondra en larmes, il n'en pouvait plus de vivre avec ce fardeau si lourd, chaque jour était plus dur à supporter, plus rien ne semblait le retenir en vie, rien n'allait bien.
« J'en peux plus Tom, et il y a pas que cette malédiction, rien ne va, je ne crois plus en la vie, elle ne vaut pas la peine d'être vécu si c'est pour vivre si tourmenté par tant de problème. »
« Voyons Lucius dis pas ça, je suis là moi ! »
Mais Lucius semblait partie, les vannes étaient ouvertes, il n'en pouvait plus de garder tout ça pour lui, il fallait que ça sorte.
« Non seulement il y a cette malédiction qui me poursuit et qui me fait chanter des chansons moldues débiles avec parfois des projections dans un monde parallèles, la dernière fois j'ai passé une semaine avec une étrange compagnie qui n'arrêtait pas de parler étrangement comme des chevaliers des anciens temps, j'ai pêté un plomb à force. Mais en plus dans ma vie personnelle rien ne va, mon fils tombe amoureux d'une Weasley, qu'est ce tu veux que je fasse de cette rouquine débile et niaise dans la famille, sans compter qu'elle se drogue cette fille, elle va ramollir mon Draco, qui bien entendu ne peux plus me voir, sous prétexte que je lui ait infligé quelques châtiments corporels pour le rendre plus résistant, alors que t'es d'accord avec moi que une petite torture de temps en temps c'est la base de l'éducation d'un sang pur. »
« Oui, oui, t'as raison mon Lucius. »
« Et je te parles pas de ma femme, elle se came sans arrêt depuis une dizaine d'années, Draco n'est pas au courant et il l'adore car elle est gentille avec lui, tu m'étonnes avec les doses qu'elle prend forcément qu'elle se sent bien, une fois j'ai bien cru qu'il allait comprendre, elle s'est mise à table à regarder sa petite cuillère et elle a commencé à expliquer combien elle la trouvait belle, combien elle était émerveillé par cette chose si parfaite, puis elle s'est prosterné devant. Et je te parle pas de la fois où elle s'est déguisée en clown pour les quinze ans de Draco persuadée qu'il adorerait, et arrivée dans la pièce alors que j'essayais vainement de l'en empêcher elle s'est mise à faire le chat. »
« On trouvera une solution t'inquiètes pas. » Voldemort tapotait le dos de son ami en essayant vainement de le consoler, celui-ci pleurait maintenant à chaude larmes et reniflait bruyamment.
« J'ai déjà tout essayé, et puis elle couche avec tout ce qui passe, même les elfes de maison, et elle est persuadée que ce sont les créatures les plus parfaites de toute la création, les elfes de maison ! En plus j'ai même pas été foutu capable de devenir Shaman King, j'ai plus personne pour me soutenir, personne ne m'aimeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! »
« Mais si, moi je suis là pour toi, tu vois bien, je serais toujours là quand tu auras besoin de moi, tu sais bien qu'entre nous c'est pour toujours. »
Lucius renifla très, mais alors vraiment très, bruyamment et regarda son ami.
« C'est vrai qu'entre nous c'est si fort, je ne sais pas ce que je ferais sans toi, t'es vraiment tout ce qui me reste. »
Emu Voldemort sentit une petit larmes couler le long de sa joue.
« Tu sais Lucius, quand je t'ai vu, j'ai tout de suite su qu'on était fait pour s'entendre, qu'entre nous c'est pour toujours. »
Lucius semblait extrêmement touché par les derniers mots de Voldie, il le serra très fort dasn ses bras, d'ailleurs il l'étouffait même un peu. Mais soudain se visage se convulsa, tout son corps fut prit de spasme, il se dégagea de l'étreinte d'avec son maître et ami. Sa bouche s'ouvrit malgré lui et il se mit une fois encore à chanter.
« Entre nous,
C'est l'histoire
Qui commence au hasard
De nos yeux qui se cherchent
Entre nous
Entre nous,
De nos bras
C'est le temps qui donnera
Un premier rendez-vous
Entre nous »
Voldemort fut soudain prit lui aussi de spasme et suivit son ami dans la chanson, il se regardait avec amour en échangeant les paroles.
« Entre nous, c'est le temps qui s'enfuit qui s'en fout
C'est la vie qui nous prend dans son pouls
C'est le coeur qui avoue
Entre nous,
Entre nous,
C'est l'aveu qui nous brûle en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux,
De la moindre seconde sans nous »
Ils se mirent tous les deux à danser en continuant de chanter bien entendu, joue contre joue il dansait, tel des amoureux transis.
« Entre nous,
C'est toujours
C'est le contraire
D'un jour
Un voyage sans détour
Entre nous
Entre nous
C'est le fort, la raison et le tord
C'est l'envie qui nous mord dans le cou
Entre nous,
C'est l'aveu qui nous brûle en dessous
De nos peaux que l'on frôle, jaloux
De la moindre seconde sans nous
Entre nous,
C'est toujours
C'est le contraire
D'un jour
Un voyage sans détour
Entre nous. »
Les deux hommes arrêtèrent soudainement de danser et se regardèrent avec un air de dégoût.
« T'as raison Lucius, faut vraiment que je fasses quelque chose. »
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Hum, hum, et oui, vous l'avez sans doute compris en lisant ces lignes, elle a récidivé ! ! ! La voilà, la revoilà , ma s?ur pour une nouvelle histoire retraçant les mésaventures de la famille Malefoy et leur étrange malédiction !
Moi, la grande soeur adorée de la pitite Aziliz vous avoue que je n'ai pas besoin d'aller à l'asile et que la chanson que j'ai utilisé à si bon escient c'est celle de Chimène Baudi (vous savez la fille qu'était à pop star mais qu'a pas été prise dans le groupe mais récupéré pour chanter en solo, d'ailleurs tant mieux pour elle vu qu'ils se sont un peu fait éclaté le groupe formé) qui s'appelle « Entre nous » (Mais ça vous vous en doutiez je supposes).
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Merci à tous pour vos reviews, je sais que j'ai pris du temps à écrire ce chapitre mais si je vous ai dit combien de fois je l'ai recommencé, je le trouvait toujours nul, puis j'ai gardé des idées de ci et de là et on mélange le tout et ça à donné ce chapitre, je sais pas si c'est à) cause des vacances mais l'inspiration ne me venait pas (ma muse m'aurait(elle abandonné pour prendre des congés ?)
Mya Black : Pour la chanson de Spike, je l'ai pas mis en anglais car j'avais la flegme de tout traduire ! et moi aussi j'aime bien spikinou ! ! ! :-)
Eleima : Merci, et tu vois j'ai suivi ton conseil ! (lol)
Katarina : ouais c'est sûr que Ron ne s'attend pas à ça (lol). Pour le français je suis tout à fais d'accord, (mais j'ai bac de français à la fin de l'année. )
Mariecool :Oui mais si je l'a met dans un asile, je ne la verrais plus souvent et vous n'aurez plus droit à ses petits délires.
Debbie : Ma s?ur, ah non j'aime vous faire languir. Niark niark * rire de sadique *
Jade : Et non ce n'est pas Amiastine ma s?ur, dsl et bonne chance pour ton brevet !
Lily46 : Oui ma s?ur a des idées un peu bizarre mais je crois surtout qu'elle se défoule dans mes fics (lol).
Melepha : Oui il est tout mimi Draconou ! ! ! !
Flo007 : J'espère que je ne t'ai pas déçue !
Cool : Merci, ça doit être de famille ! ! ! Enfin, pas la folie !
Aelydia : C'est bon je te pardonne mais ne recommence JAMAIS ! ! ! Non, je rigole, je te remercie pour tes reviews qui me font toujours super plaisir ! ! !
Loline : Voilà, la suite est là mais je pari que tu vas encore me la demander (la suite), c'est un cercle vicieux ! ! !
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CONCOURS : Qui est ma s?ur ?
Comme indice, heu. Elle a écrit une fic sur les maraudeurs mais attention, toutes ses fics ne sont pas sur Harry Potter !
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Bouh, c'est la fin des vacances ! ! ! ! ! Moi pas contente ! ! ! !
