Le choix d'Harry.
Ho Misère !!! Qu'est ce que j'ai fait ? Mais Qu'est ce que j'ai fait ? Je suis vraiment désolé d'avoir terminé le dernier chapitre de cette façon mais j'avais commencé le blablatage habituel et j'ai oublié que mon chapitre était en plan.
Pour les personnes qui se sont demandés ce que font les dormeurs dans cette histoire hé bien Harry plus tard dans l'histoire va rencontrer le conseil des Dormeurs. Pourquoi ? Comment ? L'avenir nous le dira.
Dis clamer : tous les personnages exceptés ceux que j'ai ou que je vais inventer sont la propriété de J.K.Rowling.
Bonne Lecture !!
******
Chapitre 3 :
Le Terrier (2/2) et Farces pour sorciers facétieux.
******
-Les Arbres Fays sont, pour le Peuple Fée d'aujourd'hui, les gisants de la vassalerie flamboyante de leur histoire : une armée de silhouettes immobiles, évocatrice des chevauchées enarmurées des héros de l'Ancienne Epopée. Ce sont les vestiges des grandes cités bienheureuses de l' Age d'Or dont ils étaient les piliers, les cariatides, les voûtes arborescentes et céleste. Les « Dormeurs » sont les plus anciens Arbres Fays. Ils formaient autrefois le conseil des sages, mais sont devenus si vieux, qu'ils n'ont plus guère de mémoire ni d'entendement et ne répondent plus que très rarement et évasivement aux questions que vient leur poser le peuple elfique.
-Merci Charlie.
-De rien mais pourquoi tu t'intéresses aux arbres magiques ?
-Oh !
Harry parut gêné un instant. Il ne pouvait pas leur dire qu'une personne vient le hanter ses rêves et le préparer à devenir aussi puissant que Merlin si ce n'est plus ! Il ne pouvait pas non plus qu'il devrait passer devant ledit conseil et subir différentes épreuves dans quelques mois ! Donc il décida de mentir.
- J'ai fait un cauchemar cette nuit, je n'ai pas tout compris mais ça parlait de réveiller les dormeurs pour que Voldemort leur soutire le secret de l'immortalité ou un truc dans ce genre-là.
-Harry, tu en as parlé avec le professeur Dumbledore ? C'est peut-être important !
-Ron, je ne suis même pas sur que ce n'est pas un piège de Vol -pardon- Vous-savez-qui ! Je n'ai pas envie de les mettre en danger à cause d'élucubrations envoyées par mon pire ennemi. Soit un peu plus logique, il y a eu assez de mort la dernière fois. Et, je ne veux pas perdre à nouveau quelqu'un qui m'est cher !
-Oui, tu as raison.
-Oui, je sais, j'ai toujours raison !
Les garçons éclatèrent de rire.
-Dis je ne savais pas que tu jouais à la marmotte maintenant ?
- Hé ouais, il faut que je rattrape les heures que tu m'as prises !
* Nouveau éclat de rire*
-Dis tu sais quand Hermione rentre de France ?
-Non, mais elle m'a donné rendez-vous au Chemin de Traverse le 20. Et la boutique des jumeaux, elle est comment ?
-Trop géniale !! Si elle continue comme ça, elle va faire de l'ombre au magasin de Quidditch !
-Non !
-Si, si je t'assure ! Par contre, on ne sait toujours pas d'où ils ont tirés l'argent pour la financer.
-Vous n'avez aucune idée ?
-Si mais elle sont aussi invraisemblable les une que les autres.
-On fait quoi aujourd'hui ?
Ron haussa les épaules et regarda ses frères.
-Et vous ?
-Si on montrait à notre invité l'antre de Fred et George ?
-Bill Arthur Weasley !!!!!!!!
-Oh bonjour maman !
-Mrs Weasley.
-Oh bonjour Harry ! Comment ça va ?
-Très bien, merci.
-Maman, tu voulais me parler ?
-Oui tu ne comptais quand même pas Harry chez tes frères sans avoir demander au préalable ?
-Moi. Nooon.
-Tu es sure ?
-Alors ?
*en ch?ur*
-S'il te plaaiiiit.
-D'accord mais à une seule condition.
-Oui ?
-Ne traînez pas en route.
-Accordez !
***************
-Pour être une boutique, c'est une boutique !
Harry, Ron, Bill et Charlie se trouvait devant « Farces pour sorciers facétieux ». L'aspect peu traditionnel (façade noire des toiles d'araignée, des chauves souris, des trucs pas traditionnel quoi) avait étonné l'adolescent.
Ils avaient décidé de voir si les jumeaux reconnaîtraient Harry sous sa nouvelle apparence. Le plan était qu'il entre un peu avant les autres et qu'il achète quelque chose, puis arriver à la caisse qu'il énonce le mot passe.
*Ding*
-Bonjour, que puis faire pour vous ?
Harry sursauta. Il était entré puis avait observé les alentours mais il n'avait pas vu de vendeurs. Puis, une veille femme venait d'apparaître brusquement derrière lui. Il l'observa un instant et sourit.
-Bonjour, je voudrais des drafouines s'il vous plait.
Les jumeaux dans le paquet qu'ils lui avaient envoyé pour son anniversaire, lui avait dit que ces dragées ne sortirait pas avant la rentrée en honneur à leur inspirateur (j'ai nommé Drago Malefoy).
-Désolé, je ne vois pas de quoi vous parlez. Il n'existe pas de drafouines.
-Oh Zut alors ! Vous êtes sure pourtant « Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises. » George.
-Comment avez-vous pu et qui êtes vous ?
-Voyons, tu ne reconnais pas ton généreux bienfaiteur.
-Généreux bienfaiteur ?
Harry sursauta une nouvelle fois et se retourna.
-Oh Ron !
-Tu n'as pas répondu la question de Ron Harry !
-Harry, c'est toi ! Tu as changé !
-Hé oui !
-Harry ?
-Oui Charlie !
-Va chercher Fred, George !
-Oui, chef !
Charlie fit apparaître 6 fauteuils et ferma la boutique. Fred apparut accompagné de son jumeau arriva et tous s'asseyèrent.
-Par où je commence ?
-Par le début Harry.
-Ca s'est passé à la fin de la quatrième année.
*Flash back*
-Fred. George., dit-il. Attendez un peu.
Les jumeaux se tournèrent vers lui. Harry ouvrit sa grosse valise et
en sortit le sac d'or qui récompensait sa victoire au Tournoi des
Trois Sorciers.
-Prenez-le, dit-il en fourrant le sac dans les mains de George.
-Quoi ? s'exclama Fred, abasourdi.
-Prenez-le, répéta Harry d'un ton décidé. Je n'en veux pas.
-Tu es cinglé, répliqua George en essayant de lui rendre le sac.
-Non, pas du tout, assura Harry. Vous le prenez et vous continuez vos
inventions. C'est pour le magasin de farces et attrapes.
-Il est vraiment cinglé, dit Fred d'une voix presque effrayée.
-Ecoutez-moi, reprit Harry d'un ton ferme. Si vous ne le prenez pas,
je le jette dans un égout. Je n'en veux pas et j'en ai pas besoin. En
revanche, j'ai besoin de rire. On en a tous besoin. Et j'ai
l'impression que, dans quelque temps, on en aura encore plus besoin
que d'habitude.
-Harry, dit George d'une petite voix en soupesant le sac, il y en a
pour mille gallions, là dedans.
-Ouais, répondit Harry avec un sourire. Pense au nombre de crèmes
Canari que ça représent.
Les jumeaux le regardèrent avec des yeux ronds.
-Simplement, ne dites pas à votre mère où vous l'avez eu. Peut-être
qu'elle insistera moins pour vous pousser à faire carrière au
ministère, maintenant.
*Fin du Flash back*
-Voila toute l'histoire.
-Mille gallions Harry c'est généreux.
-Il faut pas le dire à votre mère.
-Pourquoi ?
-Parce qu'elle nous obligerait à rendre l'argent à Harry.
Ce n'était pas Harry qui avait répondu mais Fred qui n'avait pas encore participé au débat. Ils discutèrent encore pendant une heure sur le sujet puis ils rouvrirent la boutique et rentrèrent trois heures plus tard un nouveau secret su les épaules.
********************************************************************* 5 pages Word !!!!!!!!! Oh lala j'comprends pas ce qui m'est arrivé. C'est p'tête le lycée qui fait ça mais j'en sais rien.
Merci à mes reviewers mais j'aimerais en avoir plus donc review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review review !
Enora de Wes d'Aigle
Ho Misère !!! Qu'est ce que j'ai fait ? Mais Qu'est ce que j'ai fait ? Je suis vraiment désolé d'avoir terminé le dernier chapitre de cette façon mais j'avais commencé le blablatage habituel et j'ai oublié que mon chapitre était en plan.
Pour les personnes qui se sont demandés ce que font les dormeurs dans cette histoire hé bien Harry plus tard dans l'histoire va rencontrer le conseil des Dormeurs. Pourquoi ? Comment ? L'avenir nous le dira.
Dis clamer : tous les personnages exceptés ceux que j'ai ou que je vais inventer sont la propriété de J.K.Rowling.
Bonne Lecture !!
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Chapitre 3 :
Le Terrier (2/2) et Farces pour sorciers facétieux.
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-Les Arbres Fays sont, pour le Peuple Fée d'aujourd'hui, les gisants de la vassalerie flamboyante de leur histoire : une armée de silhouettes immobiles, évocatrice des chevauchées enarmurées des héros de l'Ancienne Epopée. Ce sont les vestiges des grandes cités bienheureuses de l' Age d'Or dont ils étaient les piliers, les cariatides, les voûtes arborescentes et céleste. Les « Dormeurs » sont les plus anciens Arbres Fays. Ils formaient autrefois le conseil des sages, mais sont devenus si vieux, qu'ils n'ont plus guère de mémoire ni d'entendement et ne répondent plus que très rarement et évasivement aux questions que vient leur poser le peuple elfique.
-Merci Charlie.
-De rien mais pourquoi tu t'intéresses aux arbres magiques ?
-Oh !
Harry parut gêné un instant. Il ne pouvait pas leur dire qu'une personne vient le hanter ses rêves et le préparer à devenir aussi puissant que Merlin si ce n'est plus ! Il ne pouvait pas non plus qu'il devrait passer devant ledit conseil et subir différentes épreuves dans quelques mois ! Donc il décida de mentir.
- J'ai fait un cauchemar cette nuit, je n'ai pas tout compris mais ça parlait de réveiller les dormeurs pour que Voldemort leur soutire le secret de l'immortalité ou un truc dans ce genre-là.
-Harry, tu en as parlé avec le professeur Dumbledore ? C'est peut-être important !
-Ron, je ne suis même pas sur que ce n'est pas un piège de Vol -pardon- Vous-savez-qui ! Je n'ai pas envie de les mettre en danger à cause d'élucubrations envoyées par mon pire ennemi. Soit un peu plus logique, il y a eu assez de mort la dernière fois. Et, je ne veux pas perdre à nouveau quelqu'un qui m'est cher !
-Oui, tu as raison.
-Oui, je sais, j'ai toujours raison !
Les garçons éclatèrent de rire.
-Dis je ne savais pas que tu jouais à la marmotte maintenant ?
- Hé ouais, il faut que je rattrape les heures que tu m'as prises !
* Nouveau éclat de rire*
-Dis tu sais quand Hermione rentre de France ?
-Non, mais elle m'a donné rendez-vous au Chemin de Traverse le 20. Et la boutique des jumeaux, elle est comment ?
-Trop géniale !! Si elle continue comme ça, elle va faire de l'ombre au magasin de Quidditch !
-Non !
-Si, si je t'assure ! Par contre, on ne sait toujours pas d'où ils ont tirés l'argent pour la financer.
-Vous n'avez aucune idée ?
-Si mais elle sont aussi invraisemblable les une que les autres.
-On fait quoi aujourd'hui ?
Ron haussa les épaules et regarda ses frères.
-Et vous ?
-Si on montrait à notre invité l'antre de Fred et George ?
-Bill Arthur Weasley !!!!!!!!
-Oh bonjour maman !
-Mrs Weasley.
-Oh bonjour Harry ! Comment ça va ?
-Très bien, merci.
-Maman, tu voulais me parler ?
-Oui tu ne comptais quand même pas Harry chez tes frères sans avoir demander au préalable ?
-Moi. Nooon.
-Tu es sure ?
-Alors ?
*en ch?ur*
-S'il te plaaiiiit.
-D'accord mais à une seule condition.
-Oui ?
-Ne traînez pas en route.
-Accordez !
***************
-Pour être une boutique, c'est une boutique !
Harry, Ron, Bill et Charlie se trouvait devant « Farces pour sorciers facétieux ». L'aspect peu traditionnel (façade noire des toiles d'araignée, des chauves souris, des trucs pas traditionnel quoi) avait étonné l'adolescent.
Ils avaient décidé de voir si les jumeaux reconnaîtraient Harry sous sa nouvelle apparence. Le plan était qu'il entre un peu avant les autres et qu'il achète quelque chose, puis arriver à la caisse qu'il énonce le mot passe.
*Ding*
-Bonjour, que puis faire pour vous ?
Harry sursauta. Il était entré puis avait observé les alentours mais il n'avait pas vu de vendeurs. Puis, une veille femme venait d'apparaître brusquement derrière lui. Il l'observa un instant et sourit.
-Bonjour, je voudrais des drafouines s'il vous plait.
Les jumeaux dans le paquet qu'ils lui avaient envoyé pour son anniversaire, lui avait dit que ces dragées ne sortirait pas avant la rentrée en honneur à leur inspirateur (j'ai nommé Drago Malefoy).
-Désolé, je ne vois pas de quoi vous parlez. Il n'existe pas de drafouines.
-Oh Zut alors ! Vous êtes sure pourtant « Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises. » George.
-Comment avez-vous pu et qui êtes vous ?
-Voyons, tu ne reconnais pas ton généreux bienfaiteur.
-Généreux bienfaiteur ?
Harry sursauta une nouvelle fois et se retourna.
-Oh Ron !
-Tu n'as pas répondu la question de Ron Harry !
-Harry, c'est toi ! Tu as changé !
-Hé oui !
-Harry ?
-Oui Charlie !
-Va chercher Fred, George !
-Oui, chef !
Charlie fit apparaître 6 fauteuils et ferma la boutique. Fred apparut accompagné de son jumeau arriva et tous s'asseyèrent.
-Par où je commence ?
-Par le début Harry.
-Ca s'est passé à la fin de la quatrième année.
*Flash back*
-Fred. George., dit-il. Attendez un peu.
Les jumeaux se tournèrent vers lui. Harry ouvrit sa grosse valise et
en sortit le sac d'or qui récompensait sa victoire au Tournoi des
Trois Sorciers.
-Prenez-le, dit-il en fourrant le sac dans les mains de George.
-Quoi ? s'exclama Fred, abasourdi.
-Prenez-le, répéta Harry d'un ton décidé. Je n'en veux pas.
-Tu es cinglé, répliqua George en essayant de lui rendre le sac.
-Non, pas du tout, assura Harry. Vous le prenez et vous continuez vos
inventions. C'est pour le magasin de farces et attrapes.
-Il est vraiment cinglé, dit Fred d'une voix presque effrayée.
-Ecoutez-moi, reprit Harry d'un ton ferme. Si vous ne le prenez pas,
je le jette dans un égout. Je n'en veux pas et j'en ai pas besoin. En
revanche, j'ai besoin de rire. On en a tous besoin. Et j'ai
l'impression que, dans quelque temps, on en aura encore plus besoin
que d'habitude.
-Harry, dit George d'une petite voix en soupesant le sac, il y en a
pour mille gallions, là dedans.
-Ouais, répondit Harry avec un sourire. Pense au nombre de crèmes
Canari que ça représent.
Les jumeaux le regardèrent avec des yeux ronds.
-Simplement, ne dites pas à votre mère où vous l'avez eu. Peut-être
qu'elle insistera moins pour vous pousser à faire carrière au
ministère, maintenant.
*Fin du Flash back*
-Voila toute l'histoire.
-Mille gallions Harry c'est généreux.
-Il faut pas le dire à votre mère.
-Pourquoi ?
-Parce qu'elle nous obligerait à rendre l'argent à Harry.
Ce n'était pas Harry qui avait répondu mais Fred qui n'avait pas encore participé au débat. Ils discutèrent encore pendant une heure sur le sujet puis ils rouvrirent la boutique et rentrèrent trois heures plus tard un nouveau secret su les épaules.
********************************************************************* 5 pages Word !!!!!!!!! Oh lala j'comprends pas ce qui m'est arrivé. C'est p'tête le lycée qui fait ça mais j'en sais rien.
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Enora de Wes d'Aigle