Et c'est parti pour le second chapppiiitttrre !!

Yyyooouuppiii !

Wwaow !

Quelle joie soudaine !

Lol

Y faut dire aussi que vous zavez été gentil et que vous nous avez posté plein de reviews !

Faut dire aussi que vous commencez à nous connaître,

Et depuis le temps qu'on vous empoisonne à chaque chapitre en vous en demandant toujours plus...

En tous cas,

Apparemment le premier chapitre vous a plut,

Espérons que la suite, ..suivra ! lol !

Ouh, là..fatiguées aujourd'hui !

Alors,

Pour ce chapitre,

Profitez du quidditch,

Car,

Hélas,

C'en est fini !

Snif !

Et oui,

L'année était tellement chargée,

Que nos pauvres amis aurez été archi sur bouqués si le quidditch avait été maintenu !

Au programme,

Stage + anni de Harry

Bon,

Résumé du chapitre précédent: Chapitre 1 : vacances, vacances, vacances ! Le titre explique bien le chapitre. Tout se passe bien. Jusqu'au jour où une jeune femme, Diana Parker sonne a la porte. Elle se révèle être charmante ainsi que, par la même occasion, la fiancée à Sirius avant son incarcération à Azkaban.

Voilà,

Bonne lecture !!

Gros bisous à tous !

@++

Dia' et Emma

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Titre : Rencontres entre héritiers

Auteurs : Diane ( diagonne35@hotmail.com ) et Emma

Disclaimer : Les persos et les bouquins d'Harry Potter ne nous appartiennent pas, ils sont à JK Rowling, mais tout le monde le sait !! Et nous ne touchons pas d'argent sur cette fiction ! Mais !!! Gwendolyne Smith et l'histoire, tout droit sortie de notre imagination nous appartient ! Mais également notre nouveau perso Diana ! * na ! * Ainsi que Vindincta et sa bande !!!!* nananèèèrreeeuuu*

Avertissement : G

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Chapitre 2

Stage de quidditch

Harry était anxieux. Le lendemain il irait faire son stage, bien sûr, il en était ravi, qui ne pourrait pas rêver de faire un stage avec l'équipe d'Angleterre de quidditch, et qui plus est, avoir peut être la chance de faire partie définitivement de l'équipe ? Personne évidemment ! Mais, malgré tout, il appréhendait, et d'une il n'était pas sûr d'être à la hauteur, mais il s'inquiétait pour différentes choses, et si Voldemort venait à l'attaquer là bas ou si jamais il arrivait quelque chose à Gwen quand il ne serait pas là, ou, comment allait il supporter de quitter Gwen pendant une semaine sans pouvoir la voir ou lui parler ? Etrangement, c'était ce qui le préoccupait le plus ! N'était ce pas mignon ? Mais c'était malgré tout très handicapant.

Heureusement pour Gwen, Harry ne pouvait pas lire dans ses pensées, car, il aurait pu constater qu'elle était aussi anxieuse que lui à l'idée de devoir se séparer ! Bien entendu, tout comme Harry, elle essayait de relativiser, de se dire que cela ne durerait qu'une semaine, mais, en vain ! C'était plus fort qu'elle ! Et maintenant, elle regrettait de lui avoir offert se stage, bien que, d'un autre côté, ce n'était pas plus mal qu'ils fassent quand même une séparation, car, dans la vie, il leur serait sûrement difficile de rester toujours ensembles !

Ils passèrent la journée à discuter autour de la piscine et à préparer ses affaires. En effet, Sirius était encore à Poudlard sous les ordres de Dumbledore. Diana n'était pas là non plus, elle devait aller faire des achats sur le chemin de traverse. Et pour une fois, elle ne pourrait pas non plus aller dîner chez eux ce soir, vu que Sirius ne rentrait pas avant vingt trois heures, donc, une longue journée en perspective.

Le lendemain, Sirius, Gwen et Harry se réveillèrent aux aurores, en effet, le stage commençait à 9 heures, mais l'entraînement avait lieu à trois heures de route de la maison de Sirius. Dans la voiture, on entendait pas un bruit. Sirius, occupé par la conduite de sa voiture, ne disait pas un mot, quand à Harry et Gwen, ils n'étaient pas encore très réveillés, et surtout, un peu mélancolique, mais, malgré tout, ils s'efforçaient d'afficher un léger sourire, comme pour se réconforter.

Puis, la voiture s'arrêta. Les portes s'ouvrirent et tous trois descendirent. Harry, son balai dans une main et son sac dans l'autre, s'avança vers un énorme bâtiment. Ce n'était pas un stade, comme il s'y serait attendu, mais un bâtiment tout en longueur. Une pancarte indiquait « Centre de formation de l'équipe espoir de quidditch d'Angleterre ». Harry se retourna alors vers ses amis, serra la main à Sirius et prit Gwen dans ses bras et lui murmura :

-Tu vas me manquer.

-Toi aussi. Lui murmura t'elle à son tour.

Il l'a vit pincer ses lèvres, il ne se serait jamais attendu à ça de la part de Gwen. Elle qui contrôlait d'habitude si bien ses émotions ! Il aurait tant aimé qu'elle lui dise que cela ne serait pas long, une parole réconfortante, si elle avait su combien cela l'aurait rassuré ! Il se dirigea alors, sans se retourner vers le long bâtiment, perdu dans ses pensées, jamais de toute sa vie, il aurait pu penser combien ce serait difficile. Alors, il souleva sa manche de sa robe de sorcier et découvrit avec stupeur son bracelet. Il ne brillait plus d'une lumière intense comme à son habitude, il semblait presque éteint. Et c'est encore plus accablé qu'il pénétra par la porte du lotissement, sans un regard en arrière, de peur de voir la voiture s'en aller. A cet instant présent, l'enfant qu'il était encore malgré tout, l'enfant qui avait tant été refoulé en lui, se réveillait, pour la première fois qu'il aimait et était aimé, il ressentait la difficulté d'une séparation.

De son côté, Gwen, regardait Harry s'en aller, lentement. Elle ferma les yeux pour refouler les larmes qui lui montaient aux yeux. Jamais elle n'avait autant été peinée d'une séparation auparavant. Sirius la regardait avec un sourire compatissant, il les trouvaient adorables tous les deux, et lui rappelaient tant James et Lili ! C'était stupéfiant ! Il passa un bras autour de ses épaules pour la réconforter, puis ils regagnèrent la voiture.

Le hall d'entrée était tout de marbre, la pièce était immense, en son centre, la cellule d'accueil circulaire trônait et au fond de la salle montaient deux escaliers de marbre. Au murs pourpres étaient affichés de nombreux clichés montrant des joueurs en action, volant superbement bien. Harry s'approcha de l'accueil, une jeune femme, d'une trentaine d'année, lui demanda avec un grand sourire :

« Vous voulez un renseignement ?

-Heu, oui, s'il vous plait. Demanda Harry d'une voix incertaine. Je viens pour faire un stage.

-Vous vous appelez ?

-Potter, Harry Potter. »

La jeune femme, tout d'abord interloquée, se demandant probablement s'il ne se moquait pas d'elle, leva les yeux vers sa cicatrice puis se reprit vivement :

« Bienvenue Mr Potter, vous pouvez rejoindre Mr Kinnon. Passez par l'escalier dans le fond, à votre droite, il vous attend. »

Harry la remercia et suivit ses indications. Arrivé sur le palier, il fut extrêmement surprit. Il s'attendait à se trouver dans un couloir, mais, pas du tout, il était au pied d'un gigantesque stade qui faisait au moins le double, si ce n'est le triple d'un véritable stade. Interloqué, il leva les yeux, au dessus de lui, une trentaine de joueurs de quidditch, tous volant à des allures folles, se coursaient ou coursaient des balles. Au sol, un homme d'une quarantaine d'années, qui, sans aucun doute était très sportif, vu sa carrure d'athlète, les cheveux courts et grisonnants, était entouré par une dizaine d'autres joueurs. Il se dirigea vers le groupe, à peine arrivé à proximité que l'entraîneur l'interpella :

« Mr Potter ?!

-Oui, dit il d'une voix incertaine.

-Bienvenue parmi nous. »

Il serra la main à Mr Kinnon. Il regarda alors ses futurs coéquipiers. Ils le dépassaient tous de taille et de carrure. Ils semblaient tous bâtis comme Dubois, l'ancien gardien de but, et, tous le regardaient avec une certaine méfiance, d'un drôle d'air. Harry soupira. Il avait bien trop l'habitude de ces regards en biais. Il est vrai qu'il était bien différents des autres, plus petit, maigrelet, célèbre, mais surtout, puissant, mais cela, Harry ne pouvait comprendre ce que les autres ressentaient lorsqu'ils étaient en sa présence, en effet, l'aura qu'il dégageait était très puissant, et, évidemment, lui, ne le ressentait pas. Il ne pouvait donc comprendre leurs regards inquiets et étranges qu'ils lui lançaient constamment. Puis, une fois que tous les quatorze joueurs furent arrivés, l'entraîneur prit la parole leur expliquant le déroulement de la semaine et autres détails. Ils commencèrent donc avec un cours de tactique. Le cours dura trois heures et Harry s'était considérablement ennuyé, pas que ce ne soit pas intéressant, mais il connaissait un grand nombre de choses, et surtout, il se sentait exclu, en effet, tous les autres avaient vite sympathisé, mais, le laissant de côté. Lorsque enfin le cours prit fin, ils se rendirent à déjeuner, là, Harry fut un peu surpris du menu : « Pâtes ! ». Sur toutes les tables étaient disposés d'énormes plats de pâtes. Harry s'assit seul, dans un coin ; il jeta un triste coup d'?il à son bracelet, toujours aussi faiblement luisant. Il mangea donc, sans grand appétit son plat de pâtes, quand il fut interrompu :

« Hé ! Potter ! T'es tout seul ! Le pauvre ! Dit un garçon blond, baraqué et arrogant, apparemment, poursuivit il, la célébrité ne fait pas tout ! »

Harry ne répondit pas, il n'était que trop habitué à ces remarques, bien qu'il fut un peu étonné que, ce garçon qu'il ne connaissait même pas, lui adresse ainsi la parole et surtout si insolemment. Après le déjeuner, ils firent des groupes et tous allèrent s'entraîner. C'était éreintant, jamais Harry n'avait été aussi fatigué ! Ils avaient enchaînés entraînements sur entraînements sans la moindre pause. D'un autre côté, cela l'avait empêché de penser à autre chose ! Ce fut donc, épuisé qu'il s'allongea sur son lit à neuf heures du soir et s'endormit d'un seul trait.

Du fait qu'il se soit endormi si tôt, il réveilla de bonne heure et en profita pour faire une surprise à Gwen à l'aide de quelques sorts. Un peu plus souriant, il se rendit en bas dans la salle où déjà des joueurs prenaient leurs petits déjeuners. Harry avait attendu avec impatience le petit déjeuner, car, c'était le seul moment où on ne leur servait pas de pâtes. Ils avaient le droit à des fruits et du pain avec de la confiture. Harry guettait son bracelet, et était tant concentré sur son bracelet qu'il ne vit pas quelqu'un se glisser derrière lui. C'est alors qu'il se sentit libre de toute préoccupation, ne pensant à rien, comme cela était agréable, puis, il entendit une voix qui lui disait de mettre ses tartines sur sa tête. Alors qu'il prenait ses tartines dans ses mains, le chant du phénix retentit dans sa tête. Il réalisa soudain qu'on venait de lui jeter un sort impardonnable, l'impérium. Il se ressaisit, et lança ses tartines, dégoulinantes de confiture sur l'auteur du sort, grâce à un petit sort d'enchantement très simple qu'il savait effectuer sans baguette.

Il se retourna alors vers sa cible et vit avec stupeur le même garçon que le jour précédent. Il était de toute évidence furieux et un garçon à côté de lui murmura :

« Hou la la, j'aimerai pas être à sa place ! Vindincta va lui faire sa fête à celui là ! »

Harry, un sourire arrogant aux lèvres se leva, l'autre, se tenait furieux, devant lui, la baguette sortie. Harry jeta un coup d'?il à la baguette et la fit voler à travers la pièce, contrairement à ce qu'il pensait, l'autre n'en fut pas du tout impressionné, et au contraire, lui sourit à son tour.

« Aurai je trouver quelqu'un à ma hauteur ?

-A ta hauteur ? Sûrement pas, mais, à ma cheville, peut être ! Lui répondit Harry. »

Alors, il fit volte face, et, alors que Vindincta s'apprêtait à lancer un sort à son provocateur, l'entraîneur pénétra dans la pièce, leur annonçant que le déjeuner était fini, et mettant fin du même coup au combat que s'étaient donné les deux coéquipiers. En rejoignant le terrain, il jeta un coup d'?il à sa montre, il était neuf heures. Soudain, son attention fut attirée par une lumière rougeâtre, son bracelet brillait plus intensément déjà, aucun doute, Gwen était réveillée.

A une bonne distance de là, dans une grande maison blanche, une jeune fille à la longue chevelure sombre s'éveille lentement. Elle est contente de s'échapper enfin du royaume des songes obscures, qui, du fait de l'absence de Harry à ses côtés, avaient reprit le dessus. Elle se remettait péniblement de ses cauchemars après qui elle avait tenté de fuir toute la nuit, en vain. Pour une fois, elle n'avait pas au réveil, les bras réconfortants de Harry. Elle s'étira et soupira, cela ne faisait qu'un jour qu'Harry était parti, et déjà, elle s'ennuyait cruellement. Bien sûr, Sirius faisait son possible avec elle pour ne pas qu'elle s'ennuie, mais, ce n'était pas Harry. Elle se leva d'un pas chancelant, et découvrit alors un magnifique bouquet de roses rouges sur sa table de chevet. Un petit mot apparut devant elle, il y était inscrit :

« Tu me manques, je t'aime.

Harry »

Il pensait à elle, et il s'ennuyait aussi, décidément, ils se ressemblaient vraiment ! Le fait de cette attention particulière de la part de Harry lui avait remonté le moral. Elle souriait à présent, et descendit prendre son petit déjeuner. Déjà, Sirius était partit travailler. Il était parti plus tôt ce matin pour rentrer de bonne heure le soir car Diana venait manger. La jeune femme était très sympathique et Gwen l'appréciait beaucoup. Cela crevait les yeux que Sirius et elle s'aimaient énormément, mais, pour une fois, contrairement à leurs tempéraments habituels, ils gardaient le silence sur ce point.

La semaine passa au compte goutte. Harry avait beaucoup de mal à s'habituer à cette vie. Il était fatigué et s'était souvent accroché avec Vindincta, même une fois, cela avait failli finir en duel. Le problème étant qu'il était beaucoup plus coriace que ne l'était Malefoy auparavant, et, contrairement à ce dernier, ses acolytes n'étaient pas des idiots, et savaient parfaitement bien se battre. Tous les jours, il envoyait des fleurs à Gwen avec un petit mot à chaque fois. Il avait remarqué que son procédé marchait car, à chaque fois, son bracelet redoublait d'intensité et c'était le seul moment de la journée où son c?ur s'apaisait. C'est avec soulagement qu'Harry vit la fin de son stage approcher. Il sentait la tension monter dans l'équipe à une allure fulgurante. Malgré tout, il avait atteint un niveau excellent en quidditch et il était certain que Gryffondor raflerait la coupe des quatre maisons cette année.

Puis, le jour précédent son départ, Harry fut, comme tous les autres, convoqué à son tour dans le bureau de l'entraîneur :

- Potter tu as effectué un travail excellent, et tu es un attrapeur remarquable, je n'ai jamais vu quelqu'un avec autant de talents que toi et pourtant, tu peux me croire, j'en ai vu des joueurs défiler ! C'est pourquoi, je te demande si tu veux faire partie de l'équipe d'Angleterre espoir de quidditch.

Avant qu'Harry ne prenne la parole, il ajouta :

-Bien sûr, tu n'y resterai pas longtemps, juste un an et tu pourrai probablement accéder à l'équipe nationale !

-Je regrette, répondit Harry, mais je ne veux pas.

-Comment ? S'étonna Mr Kinnon, voyons mon garçon, ce sont les portes de la gloire qui s'ouvrent à toi ainsi que la fortune et une grande carrière ! C'est la classe internationale ! Les clubs les plus renommés s'arracheront pour t'avoir ! Tu fais de véritables miracles ! Je suis sûr qu'avec toi dans l'équipe, même les Canons de Chudley pourraient gagner !

-Non, je suis désolé, mais, la gloire et l'argent ne m'intéressent pas. J'adore le quidditch, c'est ma passion et je ne veux pas m'en dégoûter, j'en ai vu assez pour savoir que cela n'est pas pour moi. De plus, j'ai mes études à Poudlard, et je ne les arrêteraient pour rien au monde, mais, par contre, si jamais un jour, un de vos attrapeurs est en mauvaise posture, je veux bien servir de remplaçant, mais c'est tout. Je sais ce qu'est la célébrité, et je sais que ce n'est pas pour moi non plus.

-Ecoute, dit Kinnon, embêté et interloqué par la réaction de Harry, je peux te laisser le temps d'y réfléchir sérieusement, tu peux très bien revenir sur ta décision.

-Non, je ne reviendrai pas dessus, je puis vous l'affirmer.

-Bien, mais c'est vraiment très très dommage, malgré tout, si l'envie te prend un jour de faire un match.

-D'accord, je sais que ce sera ok !

Et sur ce, l'entrevue prit fin, laissant l'entraîneur perplexe et un peu accablé. En effet, imaginez que vous découvrez un nouveau Zidane, quelle serait votre réaction s'il disait qu'il ne voulait pas entrer en équipe de France ? Jusqu'au dernier jour, Harry put éviter les autres joueurs de l'équipe et il ne s'en porta pas si mal. Enfin, le dernier jour approchait, il allait revoir Gwen et c'est pour une fois le c?ur léger qu'il s'endormit. Le lendemain il fut debout à sept heures tapantes. Il prépara ses affaires, rangea son cyclone et descendit déjeuner avant tout le monde et savourant son dernier repas au sein du club. Lorsque huit heures trente tapèrent, Harry se précipita dehors, là, il s'assit sur son sac, attendant impatiemment que l'on vienne le chercher. Ce fut, avec un sourire jusqu'aux oreilles, qu'Harry vit se garer la voiture de sport noir de Sirius. Gwen ouvrit précipitamment la portière et se précipita dehors, tandis que Harry courrait vers elle. Il l'a prit dans ses bras et l'enlaça pendant de longs instants, tous deux savourant leurs retrouvailles. Lorsqu'au bout de cinq bonnes minutes Harry consentit enfin à lâcher Gwen, il vit que des larmes de joies avaient coulées le long de ses joues. Il les essuya et l'embrassa, puis, tenant toujours Gwen par la main et la serrant contre lui, ne voulant pas la lâcher, il dit bonjour à son parrain.

-Vous ne pouvez pas savoir à quel point vous m'avez manqué ! Dit Harry en regardant principalement Gwen. (Sympa pour sirius ! lol)

-Oh si, je pense que si, n'est ce pas Gwen ? Dit Sirius lui lançant un regard qui en disait long.

Mais la jeune fille était bien trop heureuse pour nier quoi que ce soit ou même soulever l'allusion de Sirius. Elle se contenta de sourire et de se blottir encore plus contre Harry qui la prit dans ses bras et la porta ainsi jusque dans la voiture. La jeune fille riait aux éclats tandis que Harry souriait et que Sirius faisait léviter les bagages de Harry dans le coffre. Au loin, quelqu'un assistait à la scène, un sourire déplaisant peint sur son visage en voyant Potter si radieux avec cette jeune fille si talentueuse et si belle., mais un jour, lorsque son maître aurait reprit pleine possession de sa fille, il réussirait sûrement, en temps que mangemort le plus fidèle, à se l'approprier.

Sirius et Gwen avaient fêté comme il se doit le retour de Harry au bercail. Ils avaient organisé une soirée, en compagnie de Diana bien sûr, et ils passèrent la journée et la soirée se racontant leurs semaines respectives. Harry engloutit tout ce qui lui passa sous la main, tant que ce n'était pas des pâtes ! Les auditeurs de Harry furent en revanche, un peu inquiet lorsque Harry évoqua ses « rencontres » avec Vindincta. Puis, l'ambiance tourna en effet à la fête, vu que, dans quatre jours aurait lieu l'anniversaire de Harry et Gwen lui avait proposé, pour une fois, d'organiser lui-même la fête, vu que, en dix sept années, il n'en avait jamais eu l'occasion.

Dès le lendemain, ils s'en chargèrent. Harry invita, inévitablement, Ron et Hermione et étonnement, ce fut tout. Il ne voulait pas cacher quoi que ce soit lors de la fête, hors, ils étaient véritablement leurs meilleurs amis, et, avec eux, ils pouvaient parler de n'importe quel sujets, mais, sachant également, ceux qu'ils ne devaient mieux pas aborder. Harry et Gwen commandèrent de la bièraubeurre ainsi que des friandises de chez Honey Dukes et bien sûr, passèrent commande chez les jumeaux Weasley pour réussir leurs farces et mettre de l'ambiance.

Ron et Hermione arrivèrent à vingt heures le 31 juillet. Ils dînèrent tous les quatre, dans la joie et la bonne humeur. Ils passaient une excellente soirée. Harry était vraiment heureux et il riait de bon c?ur aux blagues de Ron. Les deux filles étaient mortes de rire, et Hermione se tenait les côtes. Dans deux minutes, il serait minuit, et, dans deux minutes, il aurait dix sept ans. Ils étaient tous les quatre, allongés sur l'herbe, près de la piscine éclairée. Harry leva par hasard les yeux au ciel et découvrit avec étonnement trois volatiles se dirigeant vers lui. Il reconnu la chouette de Sirius, une hibou non identifié, et Fumseck. Harry, étonné prit les lettres des hiboux ainsi que les deux lettres du Ph?nix. Encouragé par ses amis, aussi étonnés que lui et impatients, il ouvrit une des lettres. Elle était plutôt courte :

Cher Harry, Je te souhaite un bon anniversaire. Tu ne le sais sûrement pas, mais dix sept ans chez les sorciers est l'âge majeur, c'est pourquoi, qu'en temps que descendent de Godric Gryffondor, je te concède Fumseck. Avec toute mon amitié, Albus Dumbledore.

Harry était surpris, interloqué. Lui, propriétaire d'un ph?nix, et pas n'importe lequel, Fumseck ! Il regarda l'oiseau au pelage flamboyant. Il émit un trémolo joyeux qui fit sourire son nouveau maître. Ses amis trouvaient eux aussi étrange le nouveau cadeau de Harry. Ce dernier, tellement étonné, ne se rendit même pas compte qu'il glissait la seconde lettre dans sa poche. Il ouvrit alors la lettre de Sirius.

Cher Harry,

Je te souhaite un heureux anniversaire. Rassure toi, je comprends parfaitement que tu ais voulu passer ton anniversaire en compagnie de tes amis. Moi, de mon côté, je passe une excellente soirée en très bonne compagnie.

Ci joint cette lettre, nous avons rajouté un petit paquet, ce cadeau devrait t'être très utile, c'est Dumbledore lui même qui me l'a conseillé . Bonne soirée.

Sirius.

Harry s'empara du paquet. Il l'ouvrit et découvrit une pensine. En effet, cela lui serait bien utile. Il prit alors la lettre de l'autre hibou, à l'écriture, il reconnut que le cadeau venait de Hagrid. Il s'empara de la lettre :

Cher Harry,

Je te souhaite un bon anniversaire. Je suppose que cette année tu vas enfin passer un anniversaire digne de ce nom, et j'en suis ravi. Le temps passe trop vite, je me vois encore dans la cabane à venir te chercher, je te revois encore petit gringalet, alors que maintenant tu es devenu un véritable homme et un puissant sorcier, quand je pense tu t'inquiétais de ne pas être à la hauteur ! Regarde ce que tu es devenu, n'avais je pas raison ? Ce petit cadeau, joint à la lettre, devrait t'être utile.

Rubeus Hagrid

Harry découvrit un cadeau assez important. Il enleva le papier et découvrit une glace à ennemis. Il avait été gâté. Puis, à leur tout, Hermione et Ron offrirent à Harry leur cadeau commun. Harry l'ouvrit et découvrit une superbe tenue de quidditch, digne d'un joueur professionnel. Il était vraiment gâté ! Gwen lui offrit alors à son tour son cadeau en lui faisant un sourire mystérieux. Harry regarda alors la boîte suspicieusement. Etait elle piégée ? La boite était circulaire et fermée par un ruban. Il dénoua doucement le ruban qui tomba à terre et Harry souleva le couvercle, et découvrit.un serpent ! Le reptile sortit alors de la boîte et vint s'enrouler sur le bras de Harry. Encore un peu étonné, Harry mit du temps avant de réaliser ce qui se passait, Gwen prit alors les devant et s'adressa au serpent :

« Bonjour, dit elle en fourchelangue, je m'appelle Gwen, je te présssente Harry, ton maître. Tu lui devra obéiscencccee en toute cccirconstancce. Rassssure toi, il n'est pas muet, mais pour l'inssstant, il ssse remet du choc, rajouta t'elle avec une pointe d'ironie dans la voix.

Harry sortit alors de sa torpeur.

-Excuse moi, dit il, je sssuiss Harry Potter, comment t'appelles tu ?

-Certains m'appellent Sssnake, dit le serpent.

-Sssnake ? Dit Harry. Pas bien original, mais, sssoit, cela au moins le mérite d'être simple à retenir.

-Je ne veux pas vous embêter, intervint Gwen, mais, nos amis ssont un peu impatients ! Dit elle en désignant Ron et Hermione qui ne pouvaient participer à leur conversation.

-Excusez moi, dit Harry normalement. »

Alors, le serpent s'installa autour de son bras, sous sa manche de robe de sorcier. Hermione regardait un peu inquiète l'animal, elle n'avait jamais apprécié ce genre de bêtes. Puis, la soirée reprit. Ils allèrent tous se coucher vers quatre heures du matin, bien fatigués. Si fatigués, qu'Harry oublia complètement l'existence de la lettre de Dumbledore.

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Alors ?

Ce second chapitre,

Qu'en pensez vous chers lecteurs ?

Bon,

Pour l'instant,

On y va molo,

Mais profitez en,

Le calme avant la tempête dis t'on..

Après,

On ne saura plus où donner de la tête !

Voilà,

Merci d'avoir envoyé des reviews pour le chapitre précédent.

Nous allons prestement y répondre :

Tout d'abord..

Phénix 20 : le premier revieweur de cette partie ! Merccciii beeauuuccoouupp !!! Et t'inquiète, on a pas besoin de se grouiller vu que tout est déjà écrit ! et voui !

Lunenoire : Merci de toujours rester fidèle. Et oui, on est reparti pour un tour, mais on craint hélas qu'il ne s'agisse du dernier, et voui ! enfin, c pas encore sûr..exactement, chapitre tranquille mais cela ne durera pas tu peux en être assurée.

Alex 13 : on é contentes que tu trouves ça bien, et on espère que la suite te plaira autant, voire + ! revieweur parmi tant d'autres ? y en a pas tant que ça, rassure toi !

Lunicorne : et bien, nous répondrons également par une phrase ! Merci bcpp !!! et voici la suite ! (ça fait deux là. ! on s'en fou !)

Voilà !

Comme on l'a dit,

Chapitre tranquille mais cela ne durera pas.

Dès le prochain chapitre,

Ça commence a chauffer un peu,

Et le thermostat grimpera tout au long !

Bon,

Merci à tous,

Gros bisous,

A la semaine prochaine,

Ettt,

N'oubliez pas de reviewer si vous voulez la suite !!

Merci,

@+

Dia' et Emma

(plus déjantées et bouffonnes que jamais !)