Chalut chalut !!!!!
Comment allez vous ?
Nous,
On va très très bien !!!!
Excusez nous pour le chamboulement de chapitres de la semaine dernière,
Mais a présent,
Tout est rentré dans l'ordre.
Voici le chapitre 5 !
Ah, le chapitre 5 !
Nous pensons que c'est un de nos plus réussis,
Les 3 fics mélangées !
Déjà,
Il é + long,
Assez bizarre,
Et...vous verrez bien !
On va pas tout vous dire tout de même !
Alors,
Bonne lecture,
@++
biz
Dia' et Emma
Résumé du chapitre précédent : Chapitre 4 : Début de la fin ! Ils retournent a poudlard. (wagon particulier dans le poudlard express pour les préfètes en chef) leur dernière année commence. Ils retrouvent malefoy. Malheureusement, de nouveaux élèves arrivent, aspirants mangemorts, sans aucun doutes ! malefoy se fait tabasser et même rogue a du mal avec eux. Gwen semble perturbée, hors ces élèves viennent de son ancien collège. Elle se refuse a dire quoi que ce soit a harry, qui, parfois perd son sang froid.; Premiers cours Demande de rançon de voldie par l'intermédiaire de la gazette. Il menace les puissantes villes mondiales de raz de marée ! (quelle ironie !) Harry et gwen ne savent quoi faire, ça stagne, malgré tout, le délais semble leur filer entre les doigts.
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Titre : Rencontres entre héritiers
Auteurs : Diane ( diagonne35@hotmail.com ) et Emma
Disclaimer : Nous nous inspirons des tomes 1, 2, 3 et 4 de Harry Potter écrient par JK ROWLING. Mais nous tenons à préciser, en particulier à cette personne que TOUT ce qui n'est pas tiré de ses livres nous appartient ! et que si jamais l'envie lui prend de nous « emprunter » des idées pour son tome 6 comme elle l'aurait fait dans certaine fic pour le tome 5, nous ne sommes pas des imbéciles ! Nous tenons à préciser d'ailleurs au passage que nous n'avons absolument pas aimé le tome 5. nous ne touchons pas d'argent sur cette fiction ! Mais !!! Gwendolyne Smith et l'histoire, tout droit sortie de notre imagination nous appartient ! Mais également notre nouveau perso Diana ! * na ! * Ainsi que Vindincta et sa bande !!!!* nananèèèrreeeuuu* Avertissement : G **************************************************************************** *******************************
Chapitre 5
Dans la gueule du dragon
Comme Dumbledore l'avait prévu, le lendemain, tous les journaux sorciers parlaient de la « rançon de Voldemort ». De ce fait, tous les gens que croisaient Harry et Gwen les encourageaient, les félicitaient de se sacrifier. Chose qui les éc?urait ! Ces gens les acclamaient et pensaient qu'ils allaient droit à l'échafaud. Ils n'allaient pas se faire tuer, ils allaient rencontrer Voldemort. Bien évidemment, pour certaines personnes, cela voulait dire la même chose, mais pas pour eux. Ils se savaient liés, étrangement, avec le seigneur des ténèbres. Il leur semblait qu'ils se connaissaient très bien, comme un vieil ami. Depuis le temps qu'il essayait de les tuer, ils n'avaient plus vraiment l'impression qu'ils leur serait possible un jour de le faire disparaître de la surface de la terre. Et puis, ils étaient extrêmement confiants en leurs pouvoirs élémentaires et surtout au pouvoir qui les faisaient se compléter.
Le premier jour passé, les deux amis comprirent qu'il leur faudrait éviter de se retrouver dans les lieux où il y aurait trop d'agitations. C'est pourquoi ils travaillèrent à la bibliothèque pendant les cours puis, pendant les heures creuses, dans leur appartement à s'entraîner. Dumbledore les entraînait lui aussi dès qu'il avait du temps libre, mais, le délai était tellement court.. Une semaine, ce n'est rien ! Trois jours étaient déjà passés où ils n'avaient cessé de s'entraîner, d'apprendre de nouveaux sorts... Dans la journée, Dumbledore vint les voir et leur donna des conseils. Il leur dit de plutôt s'entraîner mentalement à accentuer leur complicité et surtout, surtout à se reposer. Il leur donna ensuite des conseils de survie, on ne sait jamais.
Le jour tant redouté était demain ! Demain, il affronterait la mort en face. Harry avait la gorge nouée, mourir, il s'en fichait royalement, tout ce qu'il voulait, c'était que Gwen vive. Si jamais elle mourrait, il préférerait se tuer que de vivre sans elle. Il n'en aurait jamais la force, il le savait. Il s'inquiétait de sa réaction face à Voldemort, mais également celle de Gwen. Il l'a sentait tendue, énervée. Bien sûr, qui ne le serait pas ? Mais, d'habitude, elle arrivait parfaitement à se contrôler. Ils passèrent toute la journée pratiquement allongés, comme le leur avait conseillé le directeur pour être le plus en forme possible, du moins, physiquement et magiquement.
Sirius était anxieux, si inquiet qu'il en avait oublié Diana qui leur avait pourtant fait une bonne surprise. En effet, elle était devenue l'assistante de Mme Pomfresh qui voulait partir prochainement en retraite. Malheureusement, elle était arrivée au mauvais moment. Malgré tout, elle essayait de faire décompresser les deux jeunes en leur faisant des massages qui leurs procuraient un bien fou. Si bien qu'elle leur apprit comment en faire.
Il était quatre heures du matin. Le réveille sonna, réveillant un Harry et une Gwen plus qu'éveillés. Ils firent quelques étirements pour se mettre en forme, avalèrent un copieux petit déjeuner, rassemblèrent quelques affaires (vivres, cordes, cape d'invisibilité.) dans un sac et se rendirent dans le bureau de Dumbledore. Déjà, Sirius et Diana ainsi que Mc Gonagal étaient là. Chacun souhaita bonne chance aux deux élèves puis, Dumbledore les accompagna à travers le château puis leur fit traverser le parc. Arrivés à la grille, il leur donna une sorte de galet. C'était un portauloin, mais qui pouvait fonctionner dans les deux sens. Dumbledore confia à Harry l'épée de Godric Gryffondor qui lui appartenait de droit et la réduit à la taille d'un couteau de poche. Il l'a cacha dans ses vêtements.
Les deux septièmes années franchirent le portail, tout en se demandant si jamais ils pourraient revoir Poudlard, puis, ils prirent tous deux la pierre. Ils ressentirent l'habituelle secousse du portauloin et fermèrent les yeux. Ils arrivèrent devant un petit château qui devait probablement dater du moyen age. D'un pas assuré, les yeux durcis par la haine envers leur ennemi, ils avancèrent vers la porte du château. Là, deux mangemorts montaient la garde, l'un d'eux était.
-Mr Malefoy, dit froidement Harry.
-Mr Vindincta, continua sur le même ton Gwen.
Harry fut étonné qu'elle connaisse l'autre adulte mais ne fut pas surprit en entendant son nom. Mr Malefoy prit la parole :
-Mr Potter, Miss Jeudusor, nous vous attendions.
Les deux hommes les escortèrent à travers de lugubres couloirs, passant dans d'obscures salles. Tout dans ce château puait la magie noire. Puis, ils s'arrêtèrent devant une immense porte. Ils frappèrent. La voix glaciale leur répondit d'entrer. Lord Voldemort était là, sur un trône en argent sculpté en serpent, imposant. Il tenait un sceptre qui, comme l'épée de Gryffondor, devait avoir appartenu à Salazar Serpentard. Il arborait un sourire de triomphe ce qui renforça encore plus le courage des jeunes captifs.
-Quelle joie de vous revoir ! Déclara t'il. Je trouvai inutile, pour une fois, d'attendre la fin de l'année pour se rencontrer, et puis, pour bouleverser encore plus les habitudes, j'ai décidé de vous donner une invitation !
-Comme c'est charmant ! Ironisa Harry.
-N'est ce pas ? Mais, voyez vous, si je vous ai fait venir, c'est pour vous parler affaire.
Harry se mit à rire.
-Non non Potter, c'est très sérieux. Je vous propose d'entrer parmi nous.
-C'est une blague ! S'exclama Gwen.
-Oh non, pas du tout.
-Vous savez très bien qu'elle est notre réponse.
-Pour l'instant oui jeunes gens, pour l'instant oui.. Malefoy, emmenez ces jeunes gens à leurs appartements !
Cela ne servait à rien d'essayer de riposter, toute attaque serait vaine. Les deux jeunes se laissèrent donc emmenés par leur tortionnaire. Il les mena à travers le lugubre château. Les rares tentures qui ornaient les murs de pierres froids étaient vertes et argentées, quand aux tableaux, Harry et Gwen ne préféraient pas relever la tête pour les voir, ne représentant que des scènes de carnages et de massacres. Il s'arrêtèrent enfin dans les sous sols. Malefoy fit enchaîna d'un coup de baguette les deux captifs puis, poussa Gwendolyne dans un cellule et repartit avec Harry pour le mener dans un second cachot, éloigné du premier. Il jeta littéralement Harry dedans, et, du fait de ses mains liées, il perdit l'équilibre et tomba, face contre terre, sans pouvoir se rattraper. Il soupira, ils allaient passer de bien sombres heures. Malgré tout, il gardait espoir. Ils s'étaient bien entraîné, sachant très bien à quoi s'attendre et ils lui avaient laissé sa baguette. Tout n'était peut être pas encore perdu, surtout qu'apparemment, ils les voulaient dans leur camp.
De son côté, Gwen n'était pas bien mieux traitée. Assise dans un coin de sa cellule, les bras autour de ses genoux, elle essayait de se rassurer et de garder son sang froid. Puis, la porte du cachot s'ouvrit brusquement, ce qui la fit sursauter. Lord Voldemort s'avançait vers elle :
-T'aurais je fait peur ? Loin de là mon intention, rassure toi. Je voulais te proposer d'emménager autre part. Ce lieu n'est pas l'endroit idéal pour une jeune femme telle que toi.
-Et, depuis quand vous souciez vous de mon confort ? Depuis que vous m'avez laissé dans un orphelinat, ou depuis que vous avez tué ma mère ? Lança t'elle, cinglante.
-Je n'est pas tuée ta mère. Dit il froidement.
-Vous êtes lamentable ! Vous l'avez tué, je le sais ! Et vous n'êtes même pas capable de l'avouer ?! Vous êtes vraiment un lâche !
-Je t'interdits de me parler sur ce ton !
-Vous n'avez rien a me dire !
-Je suis ton père !
-Vous ne l'avez jamais été, et vous ne le serez jamais ! »
Furieusement, il attrapa Gwen par le bras et la traîna dans les couloirs du château. Il n'écoutait pas les plaintes et les reproches de sa fille. Puis, il ouvrit la porte d'une chambre et la poussa à l'intérieur, puis, ferma la porte d'un sort. Gwen, se retrouva donc seule, dans une immense pièce aux couleurs vertes et argentées. Au milieu, trônait un lit à baldaquin. Elle s'y laissa tomber, des larmes coulant lentement le long de ses joues. Elle pensait à Harry. Que faisait il en ce moment, où était il ? Il fallait qu'ils s'échappent, tous les deux. Mais, elle ne le pouvait, et lui, y arriverait il ?
Au bout d'une heure, Vindincta entra dans sa chambre. Elle affichait désormais un regard de rébellion, de haine à l'état pur et de dégoût le plus profond. Elle était déterminée, plus que jamais.
-Ma chère, vous êtes attendue pour dîner avec le maître.
-Il a vraiment une drôle d'idée de ce qu'ait une invitation ! Mais soit, j'accepte, de toute manière je n'ai pas le choix. Mais rassurez vous, j'en profiterai pour mettre certaines choses au clair.
-Cela ne m'étonne pas de vous ! La même détermination que votre saleté de mère..
-Je vous interdit formellement de parler de ma mère ou de mon père en ma présence ! Est ce clair ? Dit elle furieusement, des flemmes de glace dansant dans ses yeux bleus.
-Je m'en rappellerai.
-C'est un conseil, bien que cela ne me dérangerai pas de vous transformer en statue de glace et de m'amuser à vous briser en des millions de particules !
-Malgré tout ce que vous pouvez vouloir penser, vous ressemblerez toujours à vos parents, quoi que vous ferez, c'est dans vos gènes, et rien ne pourra le changer.
-Ne vous inquiétez pas pour moi, je n'est aucun besoin d'aide, moi au moins je sais être mon propre maître. Et là, pour une fois, vous avez raison, à ce niveau là, je ressemble à mes parents. Mais, n'oubliez jamais ceci, une fille est souvent beaucoup plus proche de sa mère que de son père.. Bonsoir. Dit elle en passant la porte.
Gwen se dirigeait vers la salle à manger. Une grande table avait été dressée. Seuls deux couverts étaient disposés. La jeune fille prit place. Puis, le père de cette dernière vint la rejoindre.
-Bon appétit.
-J'en doute très sérieusement, mais je ferai avec. Répondit elle froidement avec un grand sourire ironique !
-Voyons voyons, ne nous fâchons pas, tu n'as rien à gagner en t'opposant à moi, bien au contraire.
-Nous n'avons pas les mêmes idées. Et je vous interdit de me tutoyer.
-Soit ! Puisque vos désirs sont tels ! Mais m'accorderez vous le plaisir de sourire ?
-Lors de votre enterrement, sans aucun doute.
-Vous me rassurez.
-Dans ce cas vous m'inquiétez.
Le repas continua ainsi. Quelle ambiance ! Il est vrai qu'en général, à l'adolescence, les enfants ne s'entendent pas toujours pour le mieux avec leurs parents, mais là, tous les deux battaient sûrement le record de l'antipathie la plus complète ! A la fin du repas, Voldemort donna une boite à sa fille qu'elle refusa et elle alla se coucher. Le lendemain, elle trouva une autre boite, contenant un autre bijou, près de son lit. Elle le balança dans l'interstice de sa fenêtre. Toute la journée, le père tenta de faire plaisir à sa fille, qui, refusa tout ce qu'il lui offrait. Le lendemain matin, il vint la voir en personne à son réveil.
-Te décides tu enfin à venir parmi nous ?
-Plutôt mourir !
-Bien, puisque tu le prends ainsi, s'exclama t'il furieux. Suis moi !
Il l'empoigna fermement par les épaules pour l'obliger à le suivre et il l'a conduisit dans les cachots. Ils s'arrêtèrent devant un dont la porte était déjà entrebâillée. Quelqu'un était allongé sur le sol, maintenu par des chaînes en fer, sa robe noire en haillon, et respirant avec peine. C'est avec stupeur que Gwen découvrit qu'il s'agissait de :
-Harry ! S'exclama Gwen d'une voix angoissée.
Elle s'échappa de Voldemort et courut droit vers son petit ami, des larmes coulant sur son visage. Elle l'aida à se relever, tandis qu'autour d'eux, les mangemorts et leur maître arboraient de grands sourires, signe de victoire. Le maître claqua des doigts et un mangemort vint maintenir Gwen éloignée de Harry. Voldemort sortit sa baguette et la pointa sur son ennemi.
-Gwendolyne Jeudusor, je te le redemande, veux tu faire partie de notre groupe ?
-Non Gwen, cria Harry, non ! N'accepte pas, tu me l'as promis, tu me l'as juré !
Gwen baissa la tête, des larmes inondant son visage. Le doloris frappa Harry de plein fouet. Harry hurla. Gwen pleura. L'homme qui la maintenait toujours l'emmena en dehors de la cellule et la reconduisit à sa chambre. Elle se coucha et s'endormit. Son sommeil, troublé de cauchemars, dura malgré tout. Personne ne vint la voir de la journée. Elle ne mangea pas. Elle passa son temps à observer son bracelet. Elle se rassurait de voir qu'il continuait de briller. Elle ne savait si c'était un effet de son imagination ou bien il brillait de plus en plus fortement ?
Harry, dans sa cellule, reprenait des forces. Voldemort le voulait vivant tant que Gwen n'aurait pas accepté, sachant très bien qu'elle ne vivait que pour lui. Ils devaient absolument s'enfuir. Il avait toujours la pierre portauloin mais pour cela, il leur fallait sortir du château. Il sentait sa force magique affluer vers lui à une grande vitesse, il sentait ses pouvoirs revenir. Ils s'en iraient bientôt.
Quelqu'un déverrouilla alors la porte de la chambre de Gwen. Cette dernière ne releva même pas la tête pour voir qui était entré, persuadée que c'était son père, voulant lui renouveler sa demande. Mais là, à sa grande stupeur, un voix à laquelle elle ne s'attendait pas à entendre la tira de son mutisme.
-Bonsoir Gwendolyne. C'était Lucius Malefoy.
-Que faites vous ici ?
-Hé bien, votre père m'a demandé de me charger de vous. Répondit il, des étincelles de cruauté plein ses yeux, dirigés vers son décolleté.
-Vous mentez ! S'exclama t'elle, horrifiée, tandis que l'homme la déshabillait du regard.
-Oh que non, ma jolie.
Il se jeta littéralement sur elle. Gwen tentait de s'enfuir, mais il était d'une puissance incroyable. Elle ne pouvait même pas se servir de ses pouvoirs, elle n'en avait pas la force, et le mangemort le savait car il arborait un sourire triomphant. Désespérée, elle se mit à hurler, appeler au secours, tout en se débattant autant qu'elle le pouvait, renversant des meubles sur leur passage et brisant quelques vases. Mais, apparemment, la chance était contre elle, car, Lucius sans le faire exprès, la projeta violemment contre un mur ce qui l'étourdit quelque peu. La jeune fille s'écroula sur le sol, n'ayant plus la force de lutter. Lucius était en train de défaire les boutons de la chemise, lorsque la porte de la chambre vola en éclats. Il lui sembla qu'un démon venait d'entrer dans la pièce. L'atmosphère sembla se réchauffer d'une dizaine de degrés. L'homme était entouré d'un halo jaune, rouge, orangé d'une puissance incroyable, comme il n'en avait jamais vu. Son regard, d'un vert émeraude vif où des flemmes dansaient à tout va était dirigé droit sur lui, reflétant une haine immense.
Il leva une main vers lui, et il se sentit s'élever dans les airs, ses pieds ne touchant plus le sol. Puis, son bras tourna brusquement sur la droite, il se sentit voler à travers la pièce, heurter puissamment quelque chose, le mur sans doute, une douleur fulgurante, insoutenable, puis, plus rien.
Lucius Malefoy était affalé par terre. Harry Potter venant de le terrasser d'un geste de la main. Sa colère était telle qu'il ne sembla pas s'en apercevoir. Il se rua directement vers le corps de la jeune femme dont la chemise était à moitié boutonnée. Il la prit délicatement dans ses bras et marcha à grands pas à travers les couloirs. S'ils rencontrèrent quelqu'un sur leur passage du retour vers la sortie du château de Lord Voldemort, Harry n'en sut rien, tant il était aveuglé par la haine. Mais, si jamais on les avait par malheur croisé, ces personnes n'étaient sûrement plus là pour le dire. Ils gagnèrent rapidement la sortie, puis, Harry actionna le portauloin. Leur cauchemar prenait fin.
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Et voui !
Y sont pas mort !
Qui en doutait ?
..
Personne !
Oui, bon.c bon !
Voui !
Y sont entiers, mais un peu fatigués !
Alors qu'avez vous pensé de ce chapitre !
A un moment on avé pensé qu'on aurait ptêtre pu les faire mourir comme ça,
D'un coup,
Pour que pour une fois,
Ce soit pas banal,
Mais nous en avons décidé autrement !
Et puis on avé pas l'intention de se faire lyncher !
Lol !
Bien !
Nous allons répondre aux reviews même si c'était surtout des reviews contestataires ! nous nous excusons encore une fois !
Marc weasley : en effet, ce n'était pas normal, rassure toi. Pour ta fic, Dia' t'a posté une review ! bon courage et merci !
Alex : salut ! Nan ! sorry, on reverra pas harry bourré ! lol ! c bien dommage et on doit avouer avoir bien déliré avec ça ! Tcho ! et merci !
Lunenoire :en effet, j'espère que tu auras lu le dernier chapitre !
Merci à vous tous !
Nous nous contenterons de ce peu de reviews,
Même si,
On ne vous le cache pas,
On est un peu déçues !
Mais bon,
Tant pis,
C la vie !
Bon,
Le chapitre suivant est intitulé :
« les gens sont des imbéciles ! »
a votre avis, qui dis ça ?
on lance un concours !
lol !
celui qui trouve a droit au prochain chapitre en avant première !
bonne chance !
ce chapitre sera,..peu habituel !
c tout ce que nous dirons,
et au contraire de ce que l'on pourrait croire,
l'action ne retombe pas,
au contraire.. *sourires mystérieux *
bon,
gros bisous à tous !
reviewez !
@+
et à la semaine prochaine !!!!
(
Dia' et Emma
(bouffonnes un jour, bouffonnes toujours !)
Comment allez vous ?
Nous,
On va très très bien !!!!
Excusez nous pour le chamboulement de chapitres de la semaine dernière,
Mais a présent,
Tout est rentré dans l'ordre.
Voici le chapitre 5 !
Ah, le chapitre 5 !
Nous pensons que c'est un de nos plus réussis,
Les 3 fics mélangées !
Déjà,
Il é + long,
Assez bizarre,
Et...vous verrez bien !
On va pas tout vous dire tout de même !
Alors,
Bonne lecture,
@++
biz
Dia' et Emma
Résumé du chapitre précédent : Chapitre 4 : Début de la fin ! Ils retournent a poudlard. (wagon particulier dans le poudlard express pour les préfètes en chef) leur dernière année commence. Ils retrouvent malefoy. Malheureusement, de nouveaux élèves arrivent, aspirants mangemorts, sans aucun doutes ! malefoy se fait tabasser et même rogue a du mal avec eux. Gwen semble perturbée, hors ces élèves viennent de son ancien collège. Elle se refuse a dire quoi que ce soit a harry, qui, parfois perd son sang froid.; Premiers cours Demande de rançon de voldie par l'intermédiaire de la gazette. Il menace les puissantes villes mondiales de raz de marée ! (quelle ironie !) Harry et gwen ne savent quoi faire, ça stagne, malgré tout, le délais semble leur filer entre les doigts.
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Titre : Rencontres entre héritiers
Auteurs : Diane ( diagonne35@hotmail.com ) et Emma
Disclaimer : Nous nous inspirons des tomes 1, 2, 3 et 4 de Harry Potter écrient par JK ROWLING. Mais nous tenons à préciser, en particulier à cette personne que TOUT ce qui n'est pas tiré de ses livres nous appartient ! et que si jamais l'envie lui prend de nous « emprunter » des idées pour son tome 6 comme elle l'aurait fait dans certaine fic pour le tome 5, nous ne sommes pas des imbéciles ! Nous tenons à préciser d'ailleurs au passage que nous n'avons absolument pas aimé le tome 5. nous ne touchons pas d'argent sur cette fiction ! Mais !!! Gwendolyne Smith et l'histoire, tout droit sortie de notre imagination nous appartient ! Mais également notre nouveau perso Diana ! * na ! * Ainsi que Vindincta et sa bande !!!!* nananèèèrreeeuuu* Avertissement : G **************************************************************************** *******************************
Chapitre 5
Dans la gueule du dragon
Comme Dumbledore l'avait prévu, le lendemain, tous les journaux sorciers parlaient de la « rançon de Voldemort ». De ce fait, tous les gens que croisaient Harry et Gwen les encourageaient, les félicitaient de se sacrifier. Chose qui les éc?urait ! Ces gens les acclamaient et pensaient qu'ils allaient droit à l'échafaud. Ils n'allaient pas se faire tuer, ils allaient rencontrer Voldemort. Bien évidemment, pour certaines personnes, cela voulait dire la même chose, mais pas pour eux. Ils se savaient liés, étrangement, avec le seigneur des ténèbres. Il leur semblait qu'ils se connaissaient très bien, comme un vieil ami. Depuis le temps qu'il essayait de les tuer, ils n'avaient plus vraiment l'impression qu'ils leur serait possible un jour de le faire disparaître de la surface de la terre. Et puis, ils étaient extrêmement confiants en leurs pouvoirs élémentaires et surtout au pouvoir qui les faisaient se compléter.
Le premier jour passé, les deux amis comprirent qu'il leur faudrait éviter de se retrouver dans les lieux où il y aurait trop d'agitations. C'est pourquoi ils travaillèrent à la bibliothèque pendant les cours puis, pendant les heures creuses, dans leur appartement à s'entraîner. Dumbledore les entraînait lui aussi dès qu'il avait du temps libre, mais, le délai était tellement court.. Une semaine, ce n'est rien ! Trois jours étaient déjà passés où ils n'avaient cessé de s'entraîner, d'apprendre de nouveaux sorts... Dans la journée, Dumbledore vint les voir et leur donna des conseils. Il leur dit de plutôt s'entraîner mentalement à accentuer leur complicité et surtout, surtout à se reposer. Il leur donna ensuite des conseils de survie, on ne sait jamais.
Le jour tant redouté était demain ! Demain, il affronterait la mort en face. Harry avait la gorge nouée, mourir, il s'en fichait royalement, tout ce qu'il voulait, c'était que Gwen vive. Si jamais elle mourrait, il préférerait se tuer que de vivre sans elle. Il n'en aurait jamais la force, il le savait. Il s'inquiétait de sa réaction face à Voldemort, mais également celle de Gwen. Il l'a sentait tendue, énervée. Bien sûr, qui ne le serait pas ? Mais, d'habitude, elle arrivait parfaitement à se contrôler. Ils passèrent toute la journée pratiquement allongés, comme le leur avait conseillé le directeur pour être le plus en forme possible, du moins, physiquement et magiquement.
Sirius était anxieux, si inquiet qu'il en avait oublié Diana qui leur avait pourtant fait une bonne surprise. En effet, elle était devenue l'assistante de Mme Pomfresh qui voulait partir prochainement en retraite. Malheureusement, elle était arrivée au mauvais moment. Malgré tout, elle essayait de faire décompresser les deux jeunes en leur faisant des massages qui leurs procuraient un bien fou. Si bien qu'elle leur apprit comment en faire.
Il était quatre heures du matin. Le réveille sonna, réveillant un Harry et une Gwen plus qu'éveillés. Ils firent quelques étirements pour se mettre en forme, avalèrent un copieux petit déjeuner, rassemblèrent quelques affaires (vivres, cordes, cape d'invisibilité.) dans un sac et se rendirent dans le bureau de Dumbledore. Déjà, Sirius et Diana ainsi que Mc Gonagal étaient là. Chacun souhaita bonne chance aux deux élèves puis, Dumbledore les accompagna à travers le château puis leur fit traverser le parc. Arrivés à la grille, il leur donna une sorte de galet. C'était un portauloin, mais qui pouvait fonctionner dans les deux sens. Dumbledore confia à Harry l'épée de Godric Gryffondor qui lui appartenait de droit et la réduit à la taille d'un couteau de poche. Il l'a cacha dans ses vêtements.
Les deux septièmes années franchirent le portail, tout en se demandant si jamais ils pourraient revoir Poudlard, puis, ils prirent tous deux la pierre. Ils ressentirent l'habituelle secousse du portauloin et fermèrent les yeux. Ils arrivèrent devant un petit château qui devait probablement dater du moyen age. D'un pas assuré, les yeux durcis par la haine envers leur ennemi, ils avancèrent vers la porte du château. Là, deux mangemorts montaient la garde, l'un d'eux était.
-Mr Malefoy, dit froidement Harry.
-Mr Vindincta, continua sur le même ton Gwen.
Harry fut étonné qu'elle connaisse l'autre adulte mais ne fut pas surprit en entendant son nom. Mr Malefoy prit la parole :
-Mr Potter, Miss Jeudusor, nous vous attendions.
Les deux hommes les escortèrent à travers de lugubres couloirs, passant dans d'obscures salles. Tout dans ce château puait la magie noire. Puis, ils s'arrêtèrent devant une immense porte. Ils frappèrent. La voix glaciale leur répondit d'entrer. Lord Voldemort était là, sur un trône en argent sculpté en serpent, imposant. Il tenait un sceptre qui, comme l'épée de Gryffondor, devait avoir appartenu à Salazar Serpentard. Il arborait un sourire de triomphe ce qui renforça encore plus le courage des jeunes captifs.
-Quelle joie de vous revoir ! Déclara t'il. Je trouvai inutile, pour une fois, d'attendre la fin de l'année pour se rencontrer, et puis, pour bouleverser encore plus les habitudes, j'ai décidé de vous donner une invitation !
-Comme c'est charmant ! Ironisa Harry.
-N'est ce pas ? Mais, voyez vous, si je vous ai fait venir, c'est pour vous parler affaire.
Harry se mit à rire.
-Non non Potter, c'est très sérieux. Je vous propose d'entrer parmi nous.
-C'est une blague ! S'exclama Gwen.
-Oh non, pas du tout.
-Vous savez très bien qu'elle est notre réponse.
-Pour l'instant oui jeunes gens, pour l'instant oui.. Malefoy, emmenez ces jeunes gens à leurs appartements !
Cela ne servait à rien d'essayer de riposter, toute attaque serait vaine. Les deux jeunes se laissèrent donc emmenés par leur tortionnaire. Il les mena à travers le lugubre château. Les rares tentures qui ornaient les murs de pierres froids étaient vertes et argentées, quand aux tableaux, Harry et Gwen ne préféraient pas relever la tête pour les voir, ne représentant que des scènes de carnages et de massacres. Il s'arrêtèrent enfin dans les sous sols. Malefoy fit enchaîna d'un coup de baguette les deux captifs puis, poussa Gwendolyne dans un cellule et repartit avec Harry pour le mener dans un second cachot, éloigné du premier. Il jeta littéralement Harry dedans, et, du fait de ses mains liées, il perdit l'équilibre et tomba, face contre terre, sans pouvoir se rattraper. Il soupira, ils allaient passer de bien sombres heures. Malgré tout, il gardait espoir. Ils s'étaient bien entraîné, sachant très bien à quoi s'attendre et ils lui avaient laissé sa baguette. Tout n'était peut être pas encore perdu, surtout qu'apparemment, ils les voulaient dans leur camp.
De son côté, Gwen n'était pas bien mieux traitée. Assise dans un coin de sa cellule, les bras autour de ses genoux, elle essayait de se rassurer et de garder son sang froid. Puis, la porte du cachot s'ouvrit brusquement, ce qui la fit sursauter. Lord Voldemort s'avançait vers elle :
-T'aurais je fait peur ? Loin de là mon intention, rassure toi. Je voulais te proposer d'emménager autre part. Ce lieu n'est pas l'endroit idéal pour une jeune femme telle que toi.
-Et, depuis quand vous souciez vous de mon confort ? Depuis que vous m'avez laissé dans un orphelinat, ou depuis que vous avez tué ma mère ? Lança t'elle, cinglante.
-Je n'est pas tuée ta mère. Dit il froidement.
-Vous êtes lamentable ! Vous l'avez tué, je le sais ! Et vous n'êtes même pas capable de l'avouer ?! Vous êtes vraiment un lâche !
-Je t'interdits de me parler sur ce ton !
-Vous n'avez rien a me dire !
-Je suis ton père !
-Vous ne l'avez jamais été, et vous ne le serez jamais ! »
Furieusement, il attrapa Gwen par le bras et la traîna dans les couloirs du château. Il n'écoutait pas les plaintes et les reproches de sa fille. Puis, il ouvrit la porte d'une chambre et la poussa à l'intérieur, puis, ferma la porte d'un sort. Gwen, se retrouva donc seule, dans une immense pièce aux couleurs vertes et argentées. Au milieu, trônait un lit à baldaquin. Elle s'y laissa tomber, des larmes coulant lentement le long de ses joues. Elle pensait à Harry. Que faisait il en ce moment, où était il ? Il fallait qu'ils s'échappent, tous les deux. Mais, elle ne le pouvait, et lui, y arriverait il ?
Au bout d'une heure, Vindincta entra dans sa chambre. Elle affichait désormais un regard de rébellion, de haine à l'état pur et de dégoût le plus profond. Elle était déterminée, plus que jamais.
-Ma chère, vous êtes attendue pour dîner avec le maître.
-Il a vraiment une drôle d'idée de ce qu'ait une invitation ! Mais soit, j'accepte, de toute manière je n'ai pas le choix. Mais rassurez vous, j'en profiterai pour mettre certaines choses au clair.
-Cela ne m'étonne pas de vous ! La même détermination que votre saleté de mère..
-Je vous interdit formellement de parler de ma mère ou de mon père en ma présence ! Est ce clair ? Dit elle furieusement, des flemmes de glace dansant dans ses yeux bleus.
-Je m'en rappellerai.
-C'est un conseil, bien que cela ne me dérangerai pas de vous transformer en statue de glace et de m'amuser à vous briser en des millions de particules !
-Malgré tout ce que vous pouvez vouloir penser, vous ressemblerez toujours à vos parents, quoi que vous ferez, c'est dans vos gènes, et rien ne pourra le changer.
-Ne vous inquiétez pas pour moi, je n'est aucun besoin d'aide, moi au moins je sais être mon propre maître. Et là, pour une fois, vous avez raison, à ce niveau là, je ressemble à mes parents. Mais, n'oubliez jamais ceci, une fille est souvent beaucoup plus proche de sa mère que de son père.. Bonsoir. Dit elle en passant la porte.
Gwen se dirigeait vers la salle à manger. Une grande table avait été dressée. Seuls deux couverts étaient disposés. La jeune fille prit place. Puis, le père de cette dernière vint la rejoindre.
-Bon appétit.
-J'en doute très sérieusement, mais je ferai avec. Répondit elle froidement avec un grand sourire ironique !
-Voyons voyons, ne nous fâchons pas, tu n'as rien à gagner en t'opposant à moi, bien au contraire.
-Nous n'avons pas les mêmes idées. Et je vous interdit de me tutoyer.
-Soit ! Puisque vos désirs sont tels ! Mais m'accorderez vous le plaisir de sourire ?
-Lors de votre enterrement, sans aucun doute.
-Vous me rassurez.
-Dans ce cas vous m'inquiétez.
Le repas continua ainsi. Quelle ambiance ! Il est vrai qu'en général, à l'adolescence, les enfants ne s'entendent pas toujours pour le mieux avec leurs parents, mais là, tous les deux battaient sûrement le record de l'antipathie la plus complète ! A la fin du repas, Voldemort donna une boite à sa fille qu'elle refusa et elle alla se coucher. Le lendemain, elle trouva une autre boite, contenant un autre bijou, près de son lit. Elle le balança dans l'interstice de sa fenêtre. Toute la journée, le père tenta de faire plaisir à sa fille, qui, refusa tout ce qu'il lui offrait. Le lendemain matin, il vint la voir en personne à son réveil.
-Te décides tu enfin à venir parmi nous ?
-Plutôt mourir !
-Bien, puisque tu le prends ainsi, s'exclama t'il furieux. Suis moi !
Il l'empoigna fermement par les épaules pour l'obliger à le suivre et il l'a conduisit dans les cachots. Ils s'arrêtèrent devant un dont la porte était déjà entrebâillée. Quelqu'un était allongé sur le sol, maintenu par des chaînes en fer, sa robe noire en haillon, et respirant avec peine. C'est avec stupeur que Gwen découvrit qu'il s'agissait de :
-Harry ! S'exclama Gwen d'une voix angoissée.
Elle s'échappa de Voldemort et courut droit vers son petit ami, des larmes coulant sur son visage. Elle l'aida à se relever, tandis qu'autour d'eux, les mangemorts et leur maître arboraient de grands sourires, signe de victoire. Le maître claqua des doigts et un mangemort vint maintenir Gwen éloignée de Harry. Voldemort sortit sa baguette et la pointa sur son ennemi.
-Gwendolyne Jeudusor, je te le redemande, veux tu faire partie de notre groupe ?
-Non Gwen, cria Harry, non ! N'accepte pas, tu me l'as promis, tu me l'as juré !
Gwen baissa la tête, des larmes inondant son visage. Le doloris frappa Harry de plein fouet. Harry hurla. Gwen pleura. L'homme qui la maintenait toujours l'emmena en dehors de la cellule et la reconduisit à sa chambre. Elle se coucha et s'endormit. Son sommeil, troublé de cauchemars, dura malgré tout. Personne ne vint la voir de la journée. Elle ne mangea pas. Elle passa son temps à observer son bracelet. Elle se rassurait de voir qu'il continuait de briller. Elle ne savait si c'était un effet de son imagination ou bien il brillait de plus en plus fortement ?
Harry, dans sa cellule, reprenait des forces. Voldemort le voulait vivant tant que Gwen n'aurait pas accepté, sachant très bien qu'elle ne vivait que pour lui. Ils devaient absolument s'enfuir. Il avait toujours la pierre portauloin mais pour cela, il leur fallait sortir du château. Il sentait sa force magique affluer vers lui à une grande vitesse, il sentait ses pouvoirs revenir. Ils s'en iraient bientôt.
Quelqu'un déverrouilla alors la porte de la chambre de Gwen. Cette dernière ne releva même pas la tête pour voir qui était entré, persuadée que c'était son père, voulant lui renouveler sa demande. Mais là, à sa grande stupeur, un voix à laquelle elle ne s'attendait pas à entendre la tira de son mutisme.
-Bonsoir Gwendolyne. C'était Lucius Malefoy.
-Que faites vous ici ?
-Hé bien, votre père m'a demandé de me charger de vous. Répondit il, des étincelles de cruauté plein ses yeux, dirigés vers son décolleté.
-Vous mentez ! S'exclama t'elle, horrifiée, tandis que l'homme la déshabillait du regard.
-Oh que non, ma jolie.
Il se jeta littéralement sur elle. Gwen tentait de s'enfuir, mais il était d'une puissance incroyable. Elle ne pouvait même pas se servir de ses pouvoirs, elle n'en avait pas la force, et le mangemort le savait car il arborait un sourire triomphant. Désespérée, elle se mit à hurler, appeler au secours, tout en se débattant autant qu'elle le pouvait, renversant des meubles sur leur passage et brisant quelques vases. Mais, apparemment, la chance était contre elle, car, Lucius sans le faire exprès, la projeta violemment contre un mur ce qui l'étourdit quelque peu. La jeune fille s'écroula sur le sol, n'ayant plus la force de lutter. Lucius était en train de défaire les boutons de la chemise, lorsque la porte de la chambre vola en éclats. Il lui sembla qu'un démon venait d'entrer dans la pièce. L'atmosphère sembla se réchauffer d'une dizaine de degrés. L'homme était entouré d'un halo jaune, rouge, orangé d'une puissance incroyable, comme il n'en avait jamais vu. Son regard, d'un vert émeraude vif où des flemmes dansaient à tout va était dirigé droit sur lui, reflétant une haine immense.
Il leva une main vers lui, et il se sentit s'élever dans les airs, ses pieds ne touchant plus le sol. Puis, son bras tourna brusquement sur la droite, il se sentit voler à travers la pièce, heurter puissamment quelque chose, le mur sans doute, une douleur fulgurante, insoutenable, puis, plus rien.
Lucius Malefoy était affalé par terre. Harry Potter venant de le terrasser d'un geste de la main. Sa colère était telle qu'il ne sembla pas s'en apercevoir. Il se rua directement vers le corps de la jeune femme dont la chemise était à moitié boutonnée. Il la prit délicatement dans ses bras et marcha à grands pas à travers les couloirs. S'ils rencontrèrent quelqu'un sur leur passage du retour vers la sortie du château de Lord Voldemort, Harry n'en sut rien, tant il était aveuglé par la haine. Mais, si jamais on les avait par malheur croisé, ces personnes n'étaient sûrement plus là pour le dire. Ils gagnèrent rapidement la sortie, puis, Harry actionna le portauloin. Leur cauchemar prenait fin.
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Et voui !
Y sont pas mort !
Qui en doutait ?
..
Personne !
Oui, bon.c bon !
Voui !
Y sont entiers, mais un peu fatigués !
Alors qu'avez vous pensé de ce chapitre !
A un moment on avé pensé qu'on aurait ptêtre pu les faire mourir comme ça,
D'un coup,
Pour que pour une fois,
Ce soit pas banal,
Mais nous en avons décidé autrement !
Et puis on avé pas l'intention de se faire lyncher !
Lol !
Bien !
Nous allons répondre aux reviews même si c'était surtout des reviews contestataires ! nous nous excusons encore une fois !
Marc weasley : en effet, ce n'était pas normal, rassure toi. Pour ta fic, Dia' t'a posté une review ! bon courage et merci !
Alex : salut ! Nan ! sorry, on reverra pas harry bourré ! lol ! c bien dommage et on doit avouer avoir bien déliré avec ça ! Tcho ! et merci !
Lunenoire :en effet, j'espère que tu auras lu le dernier chapitre !
Merci à vous tous !
Nous nous contenterons de ce peu de reviews,
Même si,
On ne vous le cache pas,
On est un peu déçues !
Mais bon,
Tant pis,
C la vie !
Bon,
Le chapitre suivant est intitulé :
« les gens sont des imbéciles ! »
a votre avis, qui dis ça ?
on lance un concours !
lol !
celui qui trouve a droit au prochain chapitre en avant première !
bonne chance !
ce chapitre sera,..peu habituel !
c tout ce que nous dirons,
et au contraire de ce que l'on pourrait croire,
l'action ne retombe pas,
au contraire.. *sourires mystérieux *
bon,
gros bisous à tous !
reviewez !
@+
et à la semaine prochaine !!!!
(
Dia' et Emma
(bouffonnes un jour, bouffonnes toujours !)