Bonjour tout le monde ! Voilà une nouvelle fic, qui sera assez courte !
C'est un petit délire que j'avais envie de me taper, donc ce n'est pas à
prendre au sérieux ! Le cynisme sera à la hauteur de Combattre le mal par
le mal : en gros, attendez-vous à une Hermione qui torche niveau vanne, et
à un Severus puant à souhait !!
DISCLAMER : Rien à moi, tout à JK ROWLING, sauf mon sens inné du sadisme et mon cynisme et ma méchanceté naturels !
Quel goût peut avoir la vengeance ?
Chapitre 1 : Hystérie collective
Hermione se prenait la tête entre ses mains : elle était atterrée par la bêtise de ses deux meilleurs amis. Harry et Ron étaient entrain de renifler une lettre écrite sur un parchemin rose. Les deux gryffondors avaient l'air particulièrement stupide.
« Ce qui est normal pour des adolescents boutonneux blindés de testostérones de 17 ans. Et dire que je suis sortie avec l'un deux ! » pensa la préfète en chef.
Elle fut rejointe rapidement par Ginny, l'air aussi désespéré qu'elle.
- Qu'est-ce qu'ils peuvent être cons alors ! se mit à grogner la s?ur Weasley.
- Que veux-tu, ce sont des mecs... C'est ridicule de baver devant une lettre !
- Mais Mione ! Ce n'est pas n'importe quelle lettre ! se mit à soupirer Ron en se passant le parchemin sur le visage. C'est une lettre de Fleur !
« Nous y voilà ! » pensèrent les deux jeunes filles.
- YOUHOU !!! C'est une vélane ! C'est pour cela que vous êtes attirés par elle ! Redescendez sur terre, les garçons ! s'exclama Hermione.
Les garçons la regardèrent, l'air de dire « Non, mais, n'importe quoi ! Elle débloque la miss Granger ! » et retournèrent à la contemplation de l'écriture fine et régulière de Fleur.
- S'il continue comme ça, je le largue ! siffla Ginny en prenant place sur la même banquette que la préfète en chef.
- Ne fais pas ça, Ginny ! Ca lui passera. Et puis, ça se voit que Harry est fou de toi ! Vous formez le plus beau couple que j'ai jamais vu ! De plus, cette foutue vélane a déjà fait pas mal de dégâts, alors ne te laisse pas faire !!!
C'est avec un pincement au c?ur qu'Hermione avait prononcé cette dernière phrase. En effet, elle et Ron étaient sortis ensemble, l'année dernière. Mais ce dernier avait rompu quelques mois après, prétextant qu'il était fou de Miss Delacour. Hermione avait argumenté en vain qu'il n'arriverait jamais à ses fins, que c'était peine perdue. Le gryffondor n'avait rien voulu entendre. Depuis ce jour, la préfète en chef s'était promis de démolir la gueule de la vélane la prochaine fois qu'elle la verrait.
Le trajet en Poudlard express se passa néanmoins rapidement. Hermione et Ginny, qui avait prit goût aux études depuis qu'elle était la meilleure amie de la préfète, s'étaient plongés dans les livres, laissant les deux garçons rirent grassement à propos des filles de Poudlard.
Drago et ses deux acolytes (pas alcooliques !) firent tout de même leur traditionnelle visite de courtoisie.
- Salut les crétins ! Tiens Potter, toujours vivant ? Quel dommage... se mit à ricaner le blondinet.
- Ta gueule Malefoy ! répondit le balafré. Au fait, des nouvelles de ton père à Azkaban ? Il doit se sentir seul depuis la mort de son maître.
- Je me demande comment as-tu pu cacher ton joli tatouage jusqu'à ce jour ! renchérit Ron, en serrant les poing.
- Weasley... siffla le blond en regardant les vêtements du rouquin avec un rictus de dégoût qu'il avait emprunté à Rogue. Toujours aussi pauvre à ce que je constate ! Demande à ta sang de bourbe de t'offrir un cerveau pour Noël !
Ron était devenu aussi rouge que ses cheveux et se jeta tête baissée sur les serpentard. Harry, pour prouver sa virilité aux deux jeunes demoiselles du compartiment, fit de même. Et une splendide bagarre commença.
Au bout de 5 minutes, Hermione et Ginny, qui n'arrivaient plus à travailler à cause du bruit, se manifestèrent.
- Malefoy, Crabbes, Goyles, dehors, ou c'est 50 points en moins à serpentard... soupira la préfète en chef en fermant son livre.
- Harry, mon chéri, t'as pas besoin d'avoir des bleus pour me montrer que tu es un homme, un vrai... se mit à rire Ginny. Et puis, c'est pas courageux de taper plus faible que soi...
Drago, blessé par la dernière remarque, sortit du compartiment vexé et jura qu'il se vengerait.
- C'est ça... grogna Ron. Je t'attends quand tu veux...
- Ca suffit maintenant ! s'exclama Hermione. Vous êtes pires que des gosses !
Les deux gryffondor haussèrent les épaules.
- Nous allons bientôt arriver à Poudlard. Il faudrait qu'on s'habille... soupira Ginny.
Les quatre élèves passèrent rapidement leur robe de sorcier, Hermione ajoutant son insigne de préfète en chef. Quand ils sortirent du train, ils montèrent rapidement dans les calèches après avoir dit bonjour à Hagrid et ils furent emmenés à Poudlard. Une fois arrivés dans la grande salle, tous les élèves s'assirent à leur table et attendaient avec impatience le professeur McGonagall et son flot de nouveaux élèves. Dumbledore était déjà présent, avec la plupart du corps professoral. Le directeur faisait de sourires bien veillant au trio de gryffondor, qui les lui rendit.
- D'après toi, qui sera le prochain professeur de DCFM ? demanda Ron, le ventre gargouillant.
- En tout cas, ce n'est pas Rogue, vu son regard... répondit la préfète en chef.
En effet, le maître des potions tirait une gueule de dix pieds de long, ce qui fit ricaner Hermione.
- Je ne sais pas, poursuivit Harry. Ce qui est sur, c'est que ce n'est pas Remus... Il m'en aurait parlé dans ses lettres...
La directrice de Gryffondor entra à ce moment là, suivit par un troupeau de première année, et commença la répartition.
- Plus vite, j'ai faim... grognait Ron.
- Tais-toi ! sifflait Hermione. T'es vraiment exaspérant.
- Pour une fois, elle a raison... murmura Harry.
- J'ai TOUJOURS raison, conclut la préfète en chef, avec un air qui voulait dire « Le premier qui dit le contraire se prend un avada sur le champ ».
La répartition fut vite finie, au grand soulagement de Weasley. Dumbledore se leva, un grand sourire aux lèvres.
- Mes chers élèves ! Une nouvelle année commence !
- On était au courant... se mit à rire Malefoy.
- Pour nombre d'entre vous, c'est la dernière, continua le directeur, imperturbable. Enfin, bon, je ne vais pas vous ennuyer longtemps. Je vous présente notre nouveau professeur de défense contre les forces du mal, miss Delacour !
- QUÔÂ ??? hurla Hermione, mais ce cri de désespoir resta inaperçu, car des applaudissements s'élevèrent de la salle. Tous les élèves masculins étaient en transe, et les filles grognaient, mettant des claques à leur petit copain qui voulaient faire la bise à la nouvelle enseignante.
- Merci pour l'accueil chaleureux que vous lui faite ! Et maintenant, bon appétit ! s'exclama le directeur en frappant des mains.
Le banquet commença. Hermione ne mangeait pas : elle observait Fleur en jetant un regard noir, tandis que ses amis gryffondor s'empiffraient comme des porcs. La préfète remarquait que Rogue était dans le même état qu'elle. Cela l'aurait fait rire si elle n'était pas folle de rage. Un clin d'?il de Ginny lui fit comprendre que la rouquine n'était elle aussi pas ravie de l'arrivée de la nouvelle enseignante.
Hermione rageait intérieurement : Miss Delacour discutait avec enthousiasme avec Dumbledore et McGonagall. Elle se servait allégrement de chaque plat.
« Vas-y morue, empiffre-toi, tu deviendras obèse et moche ! Et ça me fera jouir ! Vas-y, bouffe ! » pensa la préfète.
Quand le repas fut terminé et les élèves repus, Dumbledore se leva.
- Avant d'aller nous coucher, voici quelques consignes : La forêt interdite porte bien son nom, et la liste des objets prohibés comporte en plus cette année les balles de morve de troll et les élastiques en cheveux de gorgone. Vous pouvez bien sûr consulter cette liste en intégralité dans le bureau de Mr Rusard. Et maintenant, chantons l'hymne de Poudlard.
D'un geste de baguette, le directeur fit apparaître les paroles, et tous se mirent à chanter. Mais cette année, c'est Hermione qui finit la dernière : Dumbledore l'accompagnait en battant la mesure.
- Miss Granger, cet air est sublime ! Qu'est-ce que c'est ? demanda le directeur en riant.
- Camille Saint-Caens, la danse MACABRE... dit froidement Hermione en fixant méchamment Fleur.
Puis la préfète se leva et accompagna les premières années.
« Vengeance.... Elle va me la payer !» pensa-t-elle tandis qu'elle donnait le mot de passe.
Comment vous trouvez ? Vous aimez ? en tout cas, l'action va bientôt arriver ! Hermione va martyriser cette pauvre Fleur. N'hésitez pas à me donner vos commentaires par... REVIEW !!!
Bises, et à bientôt,
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DISCLAMER : Rien à moi, tout à JK ROWLING, sauf mon sens inné du sadisme et mon cynisme et ma méchanceté naturels !
Quel goût peut avoir la vengeance ?
Chapitre 1 : Hystérie collective
Hermione se prenait la tête entre ses mains : elle était atterrée par la bêtise de ses deux meilleurs amis. Harry et Ron étaient entrain de renifler une lettre écrite sur un parchemin rose. Les deux gryffondors avaient l'air particulièrement stupide.
« Ce qui est normal pour des adolescents boutonneux blindés de testostérones de 17 ans. Et dire que je suis sortie avec l'un deux ! » pensa la préfète en chef.
Elle fut rejointe rapidement par Ginny, l'air aussi désespéré qu'elle.
- Qu'est-ce qu'ils peuvent être cons alors ! se mit à grogner la s?ur Weasley.
- Que veux-tu, ce sont des mecs... C'est ridicule de baver devant une lettre !
- Mais Mione ! Ce n'est pas n'importe quelle lettre ! se mit à soupirer Ron en se passant le parchemin sur le visage. C'est une lettre de Fleur !
« Nous y voilà ! » pensèrent les deux jeunes filles.
- YOUHOU !!! C'est une vélane ! C'est pour cela que vous êtes attirés par elle ! Redescendez sur terre, les garçons ! s'exclama Hermione.
Les garçons la regardèrent, l'air de dire « Non, mais, n'importe quoi ! Elle débloque la miss Granger ! » et retournèrent à la contemplation de l'écriture fine et régulière de Fleur.
- S'il continue comme ça, je le largue ! siffla Ginny en prenant place sur la même banquette que la préfète en chef.
- Ne fais pas ça, Ginny ! Ca lui passera. Et puis, ça se voit que Harry est fou de toi ! Vous formez le plus beau couple que j'ai jamais vu ! De plus, cette foutue vélane a déjà fait pas mal de dégâts, alors ne te laisse pas faire !!!
C'est avec un pincement au c?ur qu'Hermione avait prononcé cette dernière phrase. En effet, elle et Ron étaient sortis ensemble, l'année dernière. Mais ce dernier avait rompu quelques mois après, prétextant qu'il était fou de Miss Delacour. Hermione avait argumenté en vain qu'il n'arriverait jamais à ses fins, que c'était peine perdue. Le gryffondor n'avait rien voulu entendre. Depuis ce jour, la préfète en chef s'était promis de démolir la gueule de la vélane la prochaine fois qu'elle la verrait.
Le trajet en Poudlard express se passa néanmoins rapidement. Hermione et Ginny, qui avait prit goût aux études depuis qu'elle était la meilleure amie de la préfète, s'étaient plongés dans les livres, laissant les deux garçons rirent grassement à propos des filles de Poudlard.
Drago et ses deux acolytes (pas alcooliques !) firent tout de même leur traditionnelle visite de courtoisie.
- Salut les crétins ! Tiens Potter, toujours vivant ? Quel dommage... se mit à ricaner le blondinet.
- Ta gueule Malefoy ! répondit le balafré. Au fait, des nouvelles de ton père à Azkaban ? Il doit se sentir seul depuis la mort de son maître.
- Je me demande comment as-tu pu cacher ton joli tatouage jusqu'à ce jour ! renchérit Ron, en serrant les poing.
- Weasley... siffla le blond en regardant les vêtements du rouquin avec un rictus de dégoût qu'il avait emprunté à Rogue. Toujours aussi pauvre à ce que je constate ! Demande à ta sang de bourbe de t'offrir un cerveau pour Noël !
Ron était devenu aussi rouge que ses cheveux et se jeta tête baissée sur les serpentard. Harry, pour prouver sa virilité aux deux jeunes demoiselles du compartiment, fit de même. Et une splendide bagarre commença.
Au bout de 5 minutes, Hermione et Ginny, qui n'arrivaient plus à travailler à cause du bruit, se manifestèrent.
- Malefoy, Crabbes, Goyles, dehors, ou c'est 50 points en moins à serpentard... soupira la préfète en chef en fermant son livre.
- Harry, mon chéri, t'as pas besoin d'avoir des bleus pour me montrer que tu es un homme, un vrai... se mit à rire Ginny. Et puis, c'est pas courageux de taper plus faible que soi...
Drago, blessé par la dernière remarque, sortit du compartiment vexé et jura qu'il se vengerait.
- C'est ça... grogna Ron. Je t'attends quand tu veux...
- Ca suffit maintenant ! s'exclama Hermione. Vous êtes pires que des gosses !
Les deux gryffondor haussèrent les épaules.
- Nous allons bientôt arriver à Poudlard. Il faudrait qu'on s'habille... soupira Ginny.
Les quatre élèves passèrent rapidement leur robe de sorcier, Hermione ajoutant son insigne de préfète en chef. Quand ils sortirent du train, ils montèrent rapidement dans les calèches après avoir dit bonjour à Hagrid et ils furent emmenés à Poudlard. Une fois arrivés dans la grande salle, tous les élèves s'assirent à leur table et attendaient avec impatience le professeur McGonagall et son flot de nouveaux élèves. Dumbledore était déjà présent, avec la plupart du corps professoral. Le directeur faisait de sourires bien veillant au trio de gryffondor, qui les lui rendit.
- D'après toi, qui sera le prochain professeur de DCFM ? demanda Ron, le ventre gargouillant.
- En tout cas, ce n'est pas Rogue, vu son regard... répondit la préfète en chef.
En effet, le maître des potions tirait une gueule de dix pieds de long, ce qui fit ricaner Hermione.
- Je ne sais pas, poursuivit Harry. Ce qui est sur, c'est que ce n'est pas Remus... Il m'en aurait parlé dans ses lettres...
La directrice de Gryffondor entra à ce moment là, suivit par un troupeau de première année, et commença la répartition.
- Plus vite, j'ai faim... grognait Ron.
- Tais-toi ! sifflait Hermione. T'es vraiment exaspérant.
- Pour une fois, elle a raison... murmura Harry.
- J'ai TOUJOURS raison, conclut la préfète en chef, avec un air qui voulait dire « Le premier qui dit le contraire se prend un avada sur le champ ».
La répartition fut vite finie, au grand soulagement de Weasley. Dumbledore se leva, un grand sourire aux lèvres.
- Mes chers élèves ! Une nouvelle année commence !
- On était au courant... se mit à rire Malefoy.
- Pour nombre d'entre vous, c'est la dernière, continua le directeur, imperturbable. Enfin, bon, je ne vais pas vous ennuyer longtemps. Je vous présente notre nouveau professeur de défense contre les forces du mal, miss Delacour !
- QUÔÂ ??? hurla Hermione, mais ce cri de désespoir resta inaperçu, car des applaudissements s'élevèrent de la salle. Tous les élèves masculins étaient en transe, et les filles grognaient, mettant des claques à leur petit copain qui voulaient faire la bise à la nouvelle enseignante.
- Merci pour l'accueil chaleureux que vous lui faite ! Et maintenant, bon appétit ! s'exclama le directeur en frappant des mains.
Le banquet commença. Hermione ne mangeait pas : elle observait Fleur en jetant un regard noir, tandis que ses amis gryffondor s'empiffraient comme des porcs. La préfète remarquait que Rogue était dans le même état qu'elle. Cela l'aurait fait rire si elle n'était pas folle de rage. Un clin d'?il de Ginny lui fit comprendre que la rouquine n'était elle aussi pas ravie de l'arrivée de la nouvelle enseignante.
Hermione rageait intérieurement : Miss Delacour discutait avec enthousiasme avec Dumbledore et McGonagall. Elle se servait allégrement de chaque plat.
« Vas-y morue, empiffre-toi, tu deviendras obèse et moche ! Et ça me fera jouir ! Vas-y, bouffe ! » pensa la préfète.
Quand le repas fut terminé et les élèves repus, Dumbledore se leva.
- Avant d'aller nous coucher, voici quelques consignes : La forêt interdite porte bien son nom, et la liste des objets prohibés comporte en plus cette année les balles de morve de troll et les élastiques en cheveux de gorgone. Vous pouvez bien sûr consulter cette liste en intégralité dans le bureau de Mr Rusard. Et maintenant, chantons l'hymne de Poudlard.
D'un geste de baguette, le directeur fit apparaître les paroles, et tous se mirent à chanter. Mais cette année, c'est Hermione qui finit la dernière : Dumbledore l'accompagnait en battant la mesure.
- Miss Granger, cet air est sublime ! Qu'est-ce que c'est ? demanda le directeur en riant.
- Camille Saint-Caens, la danse MACABRE... dit froidement Hermione en fixant méchamment Fleur.
Puis la préfète se leva et accompagna les premières années.
« Vengeance.... Elle va me la payer !» pensa-t-elle tandis qu'elle donnait le mot de passe.
Comment vous trouvez ? Vous aimez ? en tout cas, l'action va bientôt arriver ! Hermione va martyriser cette pauvre Fleur. N'hésitez pas à me donner vos commentaires par... REVIEW !!!
Bises, et à bientôt,
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