Auteur: CyberMax
Commencer le: 11 décembre 2003
Terminé le: 13 décembre 2003

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Chapitre 1: La grave décision de la tante Pétunia

Vernon Dursley, un homme petit et corpulent, se leva à l'aube pour aller travailler. Il était vice-président d'une entreprise créant des perceuse pour toutes les scieries de la région. Il descendit les escaliers menant à la cuisine. La tante Pétunia était lever depuis déjà un bon petit moment suite à la crise de son fils Dudley âgé d'à peine 1 an. L'oncle Vernon déposa un baiser sur le front du gamin avant de s'asseoir à la table.

- Que m'as-tu préparer ce matin? Ça sent terriblement bon, demanda t'il à sa grande et mince femme.
- Oh! de simple oeufs, accompagnés de quelques tranches de bacons ainsi que quelques rôtis, rétorqua celle-ci à son imposant mari.

La tante Pétunia déposa l'assiette bien remplis devant son mari avant de s'asseoir à son tour à la table devant son fils pour essayer de lui faire avaler de gré ou de force son bol de purée.

- C'est délicieux ma chérie.
- Oh! mais ça me fait plaisir mon bel amour!

Après avoir manger de bonne appétit et d'avoir embrasser sa femme, l'homme pris son attaché case, déposa un second baiser sur le front du gamin et pris le chemin du vestibule ou il enfila son manteau avant d'ouvrir la porte. Après avoir entendu l'auto quitter l'allée du 4 Privet Drive, Pétunia Dursley effaça le sourire qu'elle avait sur les lèvres.

- Comment vais-je faire pour lui annoncer que mon idiote de soeur et son mari ont été bêtement tué, et que j'ai pratiquement promis de m'occuper de leur stupide fils, dit t'elle à son fils qui se mis à la dévisager comme si il avait compris se qu'elle venait dire. Comment déjà lui dire que j'ai une soeur?

***

L'oncle Vernon entra du travail comme à l'habituel. Il se calla dans son fauteuil et se mit à écouter les nouvelles du soir. Pétunia entra quelques minutes plus tard avec le visage grave. L'oncle Vernon la dévisagea et lui demanda:

- Que ce passe t'il ma chérie?
- Vernon, j'ai quelque chose à te dire de très important, et tu dois me promettre de ne pas...

On sonna alors à la porte. L'oncle Vernon se leva, bien décidé à laisser sortir la fureur sur les gens qui l'empêche d'écouter les nouvelles. Il ouvrit la porte sur 4 personne: le premier était vieux et avec un barbe argentée, le second était plus grand que Pétunia et Vernon Dursley mis l'un par-dessus l'autre, la troisième était habiller d'une longue robe verte émeraude et tenait dans ses bras un bébé qui ne devait pas être plus vieux que leur fils Duddley. Paniqué par ses énergumène, il referma d'un coup sec la porte au nez des visiteurs. Se tournant vers Pétunia, celle-ci lui fit signe de rouvrir la porte mais trop tard, les individus avait fait voler la porte se qui avait eu pour effet que l'oncle Vernon s'était camoufler de l'autre coté du vestibule.

- Vernon Dursley, je suppose? dit l'homme au cheveux aussi long que sa barbe.
- Oui et vous êtes ici chez moi, alors qui êtes-vous et que me voulez-vous? répondit l'homme remplie de hargne.
- Oh! excusez-moi. Je m'appelle Dumbledore et je suis directeur de l'école de magie et de sorcellerie de Poudlard. Et lui, c'est le gardien des clés et des lieux au collège et voici professeur McGonagall une de mes nombreuse collègue. Et l'enfant dans ses bras est le jeune Harry Potter fils de James et Lily Potter. Donc votre neveu.
- Mon neveu? Mon neveu? Vous vous moquez de moi?
- Non, le jeune Potter est le fils de la soeur de votre femme, reprit doucement Dumbledore.

On aurait pu comparer l'oncle Vernon à un homard tellement son visage était rouge gonflé par la curiosité, la haine et la surprise. Comment sa femme avait tel pu lui mentir sur le fait qu'elle n'était pas du tout enfant unique comme il le croyait depuis ces 7 ans de mariage. Comment avait-il pu être aussi naïf à ce point? Il continua quand même le questionnement au 4 hommes en regardant sa femme en biais avec son regard furieux.

- Alors pourquoi êtes-vous ici au juste?
- Bien, dit Dumbledore, il est le temps d'une bonne tasse de thé et de vous raconter la raison de notre présence ici.
- Mais je n'ai aucune intention de vous laisser aller plus loin que vous ne l'êtes déjà. J'ai bien peur que vous ne soyez devenu fou mon pauvre monsieur, et vous aussi d'ailleurs, dit-il en pointant les 2 autres personnes qui se trouvait aux cotés du vieil homme, la magie n'existe pas et n'existera jamais.

Dumbledore, avec son éternel sourire bienveillant, sortit sa baguette magique à travers le vestibule en direction de la cuisine.

- Accio théière

Aussitôt la théière sortit de la cuisine en direction de Dumbledore. Il dit de nouveau, toujours en pointant vers la cuisine sa baguette magique et s'écria:

- Accio tasses

Encore une fois, sortant de la cuisine, 5 tasses s'envolèrent vers Dumbledore et les fit déposer sur la même table du vestibule où il avait déposé la théière quelque instant auparavant. Il servit le thé sans se servir de la baguette magique qu'il tenait à la main et que l'oncle Vernon ne cessait de fixer depuis qu'il l'avait sortit de sa robe qu'il venait de remarquer. Depuis quand un homme de son âge s'habille de si mauvais goût?

- Qu'est que cela veut dire monsieur? Demander la tante Pétunia à la femme qui se tenait devant elle et qui venait de prendre le petit Harry dans ses bras. Vous m'aviez promis de ne pas faire ça.

L'oncle Vernon fit aussitôt volte-face en dévisageant sa femme.

- Rien du tout madame, nous voulons seulement réchauffer nos gorges avant de refaire le voyage en sens inverse, lui répondit le professeur McGonagall.
- Bien, maintenant le thé servi, il est temps de vous donner la raison de notre présence ici. Nous voudrions vous confier la garde d'Harry, repris Dumbledore comme si personne ne l'avait interrompu.
- Et pourquoi donc je m'occuperais d'un enfant qui n'est pas le mien, s'écria Vernon Dursley en regardant dans les yeux son interlocuteur, en plus cet enfant à des parents qui ont le devoir de s'occuper de lui.
- Malheureusement mon cher monsieur, les parents d'Harry viennent d'être tué et seul Harry a réussi à survivre à cette terrible explosion qui a dévasté ça maison, répondit Hagrid d'un seul souffle. Il a bien besoin d'une famille se petit bonhomme.

L'oncle Vernon regarda alors le gamin auquel il n'avait pas accorder le moindre regard s'aperçu que l'enfant portait au front une marque en forme d'éclair. Quel étrange cicatrice pour un enfant de cet âge.

- Qu'est que c'est que ça, dit-il en apercevant un chien noir à la porte qui attendait que les intrus ressortent de la maison.
- Le chien de Hagrid, répondit Dumbledore toujours aussi calme, il s'appelle Sniffle et nous l'avons laisser la car nous avons penser que vous ne seriez pas très content si nous l'amenions à l'intérieur avec nous.
- Bien évidement, que cette horreur reste dehors. Alors dites moi combien de temps devrais-je garder cette enfant, et voyant que ses visiteurs souriait rajouta, si en effet je décide de le garder.

Tout le monde, excepté Dumbledore, avait alors perdu leur sourire qu'ils avaient aborder quelques secondes auparavant.

- 10 ans si ma mémoire n'est pas trop endommagée, n'est ce pas Minerva, répondit l'homme au cheveux argentés.
- C'est exact monsieur le directeur, mais également les vacances d'été pour les années suivantes.
- Bien dit professeur, dit Dumbledore avec un petit rire.
- 10 ANS... VOUS ME PRENEZ VRAIMENT POUR QUI? rétorqua Vernon pris d'un tic nerveux qui laissait présager qu'il était en colère.
- Pour l'oncle d'un enfant qui a besoin de vous, répondit simplement McGonagall qui refoulait sa colère au plus profond d'elle-même.
- D'accord, d'accord, dit Vernon en se radoucissant quelque peu.
- Je ne voudrais pas paraître rabat-joie, dit Dumbledore toujours aussi souriant, mais si on en revenait au but de notre visite. Donc comme je disais, j'aimerais beaucoup, et je tiens à préciser que tout le monde des sorciers serait aussi ravi que moi, de savoir que le jeune Potter vit maintenant chez des gens qui sauront l'élever convenablement.
- Bien, et ça me donne quoi à ma famille de prendre soin de ce bébé et de payer pour lui, renchérit la tante Pétunia.
- Mais nous en avons déjà parler de ça chère amie.
- NOUS NE SOMMES PAS VOS AMIS, s'écria Vernon de toute sa voix.
- Oh! pardonnez moi. Donc vous n'aurez pas à payer pour lui puisqu'il est à la charge du collège. Vous recevrez donc un montant par semaine pour payer ses soins. Ce qui est de son statut, c'est à dire le fait qu'il soit un sorcier, vous devrez le lui faire savoir lorsqu'il aura l'âge de comprendre. On vous rendra donc au centime les quelques années que le jeune Potter passera chez vous.
- Et ça donne combien par semaine le garder se petit morveux?
- VERNON, s'écria Pétunia, cesse d'être si avare, c'est quand même le fils de ma soeur!
- PÉTUNIA, TU NE DEVAIS PAS TROP L'AIMER POUR QUE TU ME CACHES CETTE PETITE CHOSE DE TA VIE QUE TU AURAIS DU ME DIRE IL Y A DÉJÀ 7 ANS, se mit alors à crier à plein poumon.

Sur les cris de l'oncle Vernon, le bébé se mit à hurler. En attendant se bruit, le jeune Duddley se mit aussi à pleurer bruyamment. Pétunia Dursley monta à l'étage pour tenter de calmer l'enfant. Pendant ce temps au rez-chaussée, Dumbledore reprit la parole:

- Je crois qu'un 1000$ par semaine devrait vous suffire amplement, et bien sur un petit bonus de 250$ si vous ne dites pas à Harry qui il est avant d'avoir reçu un message de Poudlard vous permettant de lui révéler et 500$ si vous le traiter convenablement. Donc pour vous, 1750$ par semaine pour prendre le jeune Potter sur votre toit.

La tante Pétunia redescendit avec le jeune Duddley dans ses bras qui s'était calmer mais qui continuait des regarder tout autour de lui voyant que quelque chose d'inhabituel se passait sous ses yeux.

- Pétunia, le jeune Potter restera avec nous pour les prochaines années. Bien, maintenant ce point régler, merci de bien vouloir quitter ma maison.

La tante Pétunia remis Duddley à son père et pris Harry dans ses bras. Celui-ci c'était complètement rendormie, sûrement exténuer à cause de l'explosion. Elle rouvrit la porte pour que les invités puisse quitter la demeure. Ceux-ci regarda l'oncle Vernon et la tante Pétunia une dernière fois avant de tourner les talons et quitter la maison. Avant de refermer la porte cependant, Dumbledore dit à l'oncle Vernon:

- Sachez que je saurai si vous ne traiter pas Harry convenablement et de ce faite, vous saurez par le biais de la pension si vous avez fait ce qu'il fallait.

Avant que l'oncle Vernon est eu le temps de répliquer, Dumbledore referma la porte d'un coup sec. Il dit au chien et au reste de l'assemblée de le suivre jusqu'à l'école.

***

Arrivée à son bureau, Dumbledore s'assit devant un homme émacié au teint cireux et au cheveux long et crasseux.

- Mon cher Sirius, je crois qu'il est temps pour vous de bien vouloir retourner à Azkaban avant le tour des détraqueurs du soir. Je vous redonnerai des nouvelles d'Harry sous peu.

Le vieillard regarda profondément Sirius à travers ses lunettes en demi lune.

- Bien, je vous remercie Dumbledore d'avoir bien voulu que j'accompagne Harry chez ses gens qui cependant ne m'inspire aucune confiance.
- J'ai la même impression que vous mon cher Sirius, mais c'était la meilleur solution en ce qui concerne la sécurité du jeune Potter. Maintenant, retourner à Azkaban, je n'aimerais pas que vous vous retrouviez obliger de recevoir le baiser du détraqueur.
- Bien je part, n'oubliez pas de me donner des nouvelles.

Et l'homme quitta le bureau.

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Commentaires:
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