Auteur: CyberMax
Commencer le: 13 décembre 2003
Terminé le: 14 décembre 2003

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Chapitre 2: L'esclave des Dursley

Harry se réveilla en sursaut dans sa minuscule chambre du 4 privet drive. Il se leva péniblement de son lit et regarda son reflet dans le miroir de sa petite penderie. Harry était petit et avait des cheveux noir en bataille. Il adorait ses yeux vert émeraude et la fine cicatrice en forme d'éclair qu'il avait au front. C'était les seuls souvenirs qui lui restait de sa vie avec ses parents, une vie bien loin pour la quel il ne gardait aucun souvenir.

- Tu vas te lever oui? On t'attend pour que tu nous prépares le petit déjeuner, cria la tante Pétunia de la cuisine.
- J'arrive tante Pétunia, cria à son tour Harry.

Il enfila un t-shirt, un pantalon et de vieilles chaussettes et se dépêcha de descendre l'escalier. Il prit le courrier et s'avanca vers la cuisine lorsque l'oncle Vernon dit à la tante Pétunia:

- C'est pas grave ma chéri, 1500$ c'est suffisant pour continuer à le garder sous notre toit. Ce n'est pas grave pour le reste.
- Oui mais ce sont 1750$ qu'on nous avait promis. Peut-être devrions-nous cesser de le traiter de la sorte.
- Non Pétunia, il a besoin de ça pour qu'il ne soit plus...
- Un monstre comme sa mère.

Mais que voulait dire cette discussion, et pourquoi la tante Pétunia parlait-elle de sa mère de cette façon? Il décida de couper cours à la discussion en entra dans la cuisine. La tante Pétunia le regarda d'un air sévère et lui dit:

- Donne le courrier à Vernon et ensuite tâche de ne pas faire brûler le déjeuner. C'est l'anniversaire de Duddley aujourd'hui et je veux que tout soit parfait. Ensuite mange et va faire le ménage du salon. Nous recevons de la visite ce soir, les amis de Duddley seront la pour la fête surprise.
- Bien, tante Pétunia.

Depuis qu'il avait l'âge de 6 ans, Harry était obliger de faire des tas de tâche ménagère que jamais Duddley n'avait fait. Il se sentait esclave de cette famille. Il aurait tout donner pour vivre dans une famille normal, une famille qui l'aurait traité comme un fils plutôt qu'un électroménager.

Il prépara le déjeuner et mangea ça faible portion de nourriture qui lui était permis de manger. Il alla ensuite chercher l'aspirateur sous l'escalier et se mis à ranger le salon. Avant qu'il eut terminer, la tante Pétunia lui avait déjà demander de faire le lavage et de tondre le gazon. Lorsqu'il eu terminé ses corvées, il alla s'étendre sur son lit. Une fois de plus, il avait fait le cauchemar d'une lumière verte lime qui le frappais de plein fouet. Il s'était réveillé plusieurs fois pendant la nuit en sueur et se demandait ce que cela voulait bien représenté.

Une fois de plus, la tante Pétunia cria à Harry de la cuisine:

- Tu dois venir décorer le salon pour l'anniversaire de Duddley, dépêche toi.

Désolé par ce trop court répit, il se releva, descendit dans le vestibule et se rendit dans le salon pour le décorer. Une fois terminé, il demanda à la tante Pétunia si il avait d'autre corvée à faire.

- Seulement de disparaître pour le reste de la soirée. Tu vas aller chez Mlle Figg, lui répondit-elle.
- Oh non! tante Pétunia s.v.p. Je resterai bien sage dans ma chambre, vous ne saurez même pas que je suis là.
- C'est d'accord mais à la moindres bévues, tu iras, tu m'as bien compris.
- Merci tante Pétunia, c'est d'accord, vous vous ne rendrez même pas compte que je suis là.

Effectivement, pendant toute la soirée, Harry allongé sur son lit fit semblant de ne pas exister. Il réfléchissait aux évènements de la journée qui lui trottait dans la tête. Que voulait dire ses cauchemars, cette discussion qu'avait eu les Dursley le matin même et que voulait dire le fait qu'il ne cessait de faire l'esclave alors que son cousin Duddley, lui, pouvait s'amuser tout au long de la journée? Et pourquoi il devait rester dans cette minuscule chambre alors que son cousin lui était entrain de s'amuser avec ses amis et que son oncle et sa tête en faisant de même? Pourquoi n'avait-il rien a faire que de se poser des tas de questions quand il devait se tenir tranquille et qu'il devait se faire oublier par les gens de cette maison? Lui qui n'avait pas beaucoup dormi la nuit dernière sombra dans le sommeil sur ces pensées.

Cette nuit la encore, Harry se réveilla plusieurs fois, mais cette fois c'était à cause des bruits qui venait du salon ou se passait encore la fête surprise de Duddley.

***

Le lendemain, Harry se réveilla tard et n'avait pas été par le cri habituel de sa tante l'obligeant à venir faire le dîner pour la famille en entier. Il était près d'onze heure lorsqu'il pris sa douche et s'habilla. Il descendit au rez-chaussée où régnait un véritable fouillis. Il se rendit alors dans la cuisine où tout était plus en ordre que dans le reste de l'étage. Il s'assied sur la chaise qui lui était réservé pensant à tous ce qu'il devrait faire comme ménage tout au long du reste de la journée. Il serait peut-être mieux de commencer tout de suite.

Il se releva et se rendit tout de suite au salon. Il ne pourrait pas passer l'aspirateur maintenant puisqu'il réveillerait son oncle et sa tante et qu'il ne se priverais pas pour se mettre en colère contre lui. Il commença donc à ramasser les bols de chips rester sur la table, à ramasser les bouteilles de liqueur, à ramasser les papiers d'emballage qui avait servit à emballer les nombreux cadeaux qu'avait reçu son énorme cousin ainsi que les CD laisser pêle-mêle tout autour du système de son de l'once Vernon. Après avoir ramasser tout ce qui traînait, il retourna à la cuisine et fit la vaisselle.
Après avoir finit toutes les tâches qu'il pouvait faire dans le silence, il sortit de la maison et s'allongea dans l'herbe pour regarder vers la rue. Des gens bizarre passant dans la rue s'arrêtait souvent pour le regarder. Qu'est que cela pouvait-il bien vouloir signifier. Il entendit alors à l'étage remuer son oncle et sa tante.

Il décida alors que c'était le temps de finir son ménage. Il se releva, et se rendit au placard sous l'escalier pour prendre l'aspirateur. Il entendit l'oncle Vernon et son cousin Duddley discuter là-haut et sous la douche qui coulait, la tante Pétunia qui chantait d'une voix fausse. Il avait donc le champs libre pour passer l'aspirateur. Il la passa dans le salon et dans le vestibule pendant que Duddley et l'oncle Vernon essayait le nouveau jeu vidéo et la nouvelle télévision de celui-ci qu'il avait au maximum. La tante Pétunia continuait de chanter dans sa douche. Tout le vacarme de l'aspirateur était donc étouffé par tous les bruits qui provenait de l'étage.

Lorsqu'il eut terminé, il était fier de l'ordre qui régnait au rez-chaussée. Quelques minutes plus tard, l'oncle Vernon et la tante Pétunia surgir au salon, surpris eux aussi par l'ordre de la pièce. Heureux de leur découverte, l'oncle Vernon dit à Harry:

- C'est très bien mon garçon. Pour le reste de la journée, tu as congé de ménage. Ta tante fera donc le dîner à ta place.

Heureux, Harry sortie de la maison le plus rapidement que possible pour éviter que l'oncle Vernon change d'avis. Il pris alors le chemin du parc et marcha rapidement. Arrivé, il vit un enfant sur les balançoires qui le dévisageait. Contrarié, il décida de rebrousser chemin. D'autres enfants continuait de le dévisager tout le temps qu'il pris pour quitter le parc. Il marcha plus rapidement qu'à l'habitude et lorsqu'il eu quitter le parc, il se sentit beaucoup plus soulager. Il continua d'errer dans les rues jusqu'à l'heure du dîner.

***

Après avoir manger sa maigre part, Harry monta l'escalier qui menait à l'étage et se rendit dans sa chambre. Sur le lit, il trouva un carnet et un crayon, ainsi qu'un petit mot écrit du nom de l'oncle Vernon.

Voici pour toi un petit cadeau pour te remercier du beau ménage que tu as fait aujourd'hui. Si j'était toi, je profiterais de ce petit cadeau pour écrire tes impressions puisque c'est peut-être le seul que tu auras de nous.
Oncle Vernon et tante Pétunia

Harry se demanda bien pourquoi l'oncle Vernon lui avait offert un tel cadeau. Devait-il se méfier de se cadeau? Son oncle et sa tante avait-il décidé de lui offrir se cadeau pour savoir ce qu'il pensait d'eux? Allait-il profiter du fait qu'il écrira ses pensées dans ce carnet pour lire ce qu'il avait au plus profond de l'esprit, toute la rancœur qu'il éprouvait à leur égard au fond du coeur?

Harry pris le carnet et le stylo et le mis dans sa table de chevet. Il continua pendant un bon moment à se poser de nombreuses questions et s'en dormi sur ces même questionnements qui resterons sans doute à jamais sans réponse.

***

Le lendemain, suite à un sommeil sans rêve, Harry se réveilla de bonne heure, se lava et s'habilla des vieux vêtement de Duddley beaucoup trop large pour lui. Il descendit les escaliers, pris le courrier dans le vestibule et se rendit dans la cuisine. L'oncle Vernon était déjà partie au travail et la tante Pétunia servit à Harry son petit déjeuner. Après l'avoir avaler, la tante Pétunia dit à Harry qu'il pouvait aller dans sa chambre ou encore aller écouter la télévision au salon.

Harry surpris se leva. Depuis quand son oncle et sa tante lui permettait-il d'écouter la télévision ou de ne pas l'obliger à faire des corvées. La tante Pétunia dit à Harry avant que celui-ci ne sorte de la cuisine en direction de sa chambre ou il voulait se reposer la tête pour toutes ces questions qui le torturait depuis la veille:

- Se soir nous avons de la visite. Je te prierais de t'habiller convenablement. Si tu n'as rien à te mettre sur le dos, nous irons à Londres cette après-midi pour t'acheter quelque chose qui sera d'occasion.

Un autre sujet qui le torturerais pour le reste de la journée. Quel évènement serait assez important pour que la tante Pétunia veulent lui acheter du linge pour lui?

L'après-midi, ne trouvant rien de convenable au goût de la tante Pétunia, ils partirent Duddley, sa tante et lui à Londres où il pourrait s'acheter pour la première fois de sa vie, du linge tout neuf et qui ne serait pas trop grand.

Ce soir, nous étions le 30 juillet, la veille du onzième anniversaire d'Harry et celui-ci savais fort bien que son anniversaire passerais encore sous silence cette année. Depuis qu'il était chez les Dursley, jamais il n'avait eu de véritable cadeau ou même une simple carte pour lui souhaiter une bonne et heureuse fête. Pourtant, depuis 2 jours Harry pouvais espérer que cette année ce soit différent.

Arriver au magasin de toxedo, la tante Pétunia entra suivi de près des 2 jeunes hommes. Elle acheta à Duddley un costume à queue, une chemise blanche comme neige, un pantalon noir et un noeud papillon. Il s'arrêtèrent aussi dans une boutique de souliers pour celui-ci. La tante Pétunia lui acheta une paire de couleur noire et brillante qui coûtait très cher.

Quand ce fut le tour de Harry à choisir sa paire de souliers, la tante Pétunia lui en passa une de couleur brune et beaucoup moins luxueuse comme en témoignait le prix beaucoup moins élevé que celle de Duddley. Lorsqu'il eut essayé plusieurs paires et trouver sa grandeur il payèrent et quittèrent le magasin de chaussure en direction du centre commercial. Dans un magasin d'habit usager la tente Pétunia acheta à Harry un costume à queue bon marché ainsi que une chemise jaunie d'avoir été trop mis, un pantalon tout friper et un noeud papillon tout déconfit. Le seul avantage de ce vieil uniforme était qu'il était à sa taille.

***

Ils rentrèrent à la maison peu après que l'oncle Vernon soit lui-même rentrer du travail. Harry monta dans sa chambre porter ses sacs, s'habilla en première vitesse et s'aperçu bientôt que le carnet remis par l'oncle Vernon avait été déplacer. Il se dit qu'il avait bien deviner les intentions malveillante de son oncle et de sa tante. Au crie de sa tante, il descendit et se dirigea vers le salon où était déjà rassembler la famille Dursley. L'oncle Vernon pris alors la parole:

- Nous recevons aujourd'hui de la visite bien particulière. Je demanderais donc à mon cher fils et à toi aussi Harry de ne pas rire de leur manière de s'habiller et surtout de ne pas dévisager ces gens. Pour ce soir, le service sera fait par Duddley...
- Non, non et non. Pas moi, c'est Harry qui doit faire mes corvées, je refuse de servir des inconnus, protesta Duddley en sanglota comme un bébé.
- Et Pétunia, poursuivi sa phrase l'on Vernon comme si il n'avait rien entendu. Duddley, tu iras ouvrir la porte à nos invités lorsqu'ils arriveront.
- Harry va le faire, protesta de nouveau Duddley.
- J'AI DIT QUE CE SERAIS TOI! OSES-TU ME CONTREDIRE?, s'insurgea l'oncle Vernon et se retournant vers Harry, et toi tu seras au salon avec moi et je te demanderais de bien écouter et de ne surtout pas me couper la parole.
- Bien oncle Vernon, répondit poliment Harry.

Et toute la famille s'assit sur les sofas du salon attendant en silence les visiteurs. On sonna alors à la porte. D'un geste nerveux, Duddley se rendit dans le vestibule pour ouvrir la porte.

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Commentaires:
1. Laissez moi vos critiques. Merci...

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