Pitite noteur po sage qui écrit au lieu de faire ses devoirs de maths :
kamori12
Disclaimer : Je sais, je sais, tous les persos (Vous-Savez-Lesquels), sont à JK Rowling. Mis à part quelques nouveaux que je risque d'ajouter ^^
Pairing : Aucun pour l'instant. (Attention, future allusion à un slash ! Couchez les parents, ligotez les enfants, nourrissez le chien !)
Genre : Pas encore identifié. Pas drôle en tout cas. désolée.
Euh, je voudrai vous demander un peu d'indulgence, les fic sur Peter étant rares et celle-ci étant ma première (et ff.net ayant probablement bouffé ma splendide mise en page é_è). Miciiii !
La vie d'une queue de rat.
-Ces réflexions (cette histoire) se passent lors de la fin de la troisième année d'étude de HP à Poudlard.-
Le rat courait aussi vite que lui permettaient ses petites pattes. Son c?ur miniature battait la chamade et il s'arrèta dans l'entrelacement des racines d'un vieux chêne pour reprendre sa respiration. Le sang battait à sa tempe, la sueur lui refroidissant l'échine. Il ne fut pas surpris d'entendre le hurlement lugubre d'un loup-garou passé non loin de lui. Ce loup-garou qu'il connaissait si bien, lui qui était son "ami" auparavant. Puis il entendit le couinement d'un chien à l'agonie. Un autre de ses anciens "amis".
/////// Lui, le rat, s'appelait en réalité Peter Pettigrew. Il était un sorcier d'age moyen, Animagus depuis un certain temps. ///////
Ayant entendu le cri strident de Détraqueurs approchants, il préféra continuer sa course. Longeant au ras du sol le pied des arbres de la foret, il aboutit dans une clairière baignée de la lumière argentée de la pleine lune. Alors qu'il traversait aisément cet endroit lumineux, une chouette l'attrapa de plein vol.
/////// Ce surnom, le P'tit gros (en rapport avec son nom français ^°^), restera à jamais en lui, comme buriné grossièrement par sa réputation de goinfre à Poudlard. ///////
Le temps que dura l'envol de la chouette, le rat sentit l'air frais sur son museau, ce qui lui permit enfin de remettre ses idées en place. Il observa un temps le sol qui s'éloignait à une vitesse vertigineuse comme hypnotisé, puis se ressaisit. Dans un couinement, il mordit les serres du rapace, le faisant lâcher prise. Le rongeur tomba tant bien que mal dans des branches, sa chute accompagnée par les hululements indignés de l'oiseau de proie. Il se retint tant bien que mal de lui tirer sa petite langue râpeuse, et descendit à grandes peines de l'arbre. Vociférant quelques jurons à l'encontre de la chouette qui ne se fiait qu'à son instinct, il s'en retourna en trottinant dans la direction que lui dictait son instinct, à contre vent.
Arrivé à l'orée opposée de la Foret Interdite, le rat se concentra fort. Son museau rétrécit, ses pattes se changèrent en mains d'homme dont la droite ne portait que quatre doigts et demi. A la place du rongeur pelé se trouvait désormais un homme de petite taille, les rares cheveux de son crane grisonnants, la peau détendue montrant une ancienne rotondité dans l'individu.
Soufflant comme un b?uf après cet effort inattendu, la face rougie par le manque d'air, l'homme s'adossa à l'arbre le plus proche et respira un grand coup.
-Viens, petit rat ! Je t'attends.
Lui seul était capable d'entendre de telles paroles. Elles provenaient de son Maître, celui dont il ne faut prononcer le nom. Lui, le rat, le traître, l'infâme, devait maintenant rejoindre le Mage Noir dans son antre. Et ce avant minuit précise.
Jugeant par la position de la lune, et les hurlements sinistres d'un loup- garou traînant dans les parages, il détermina qu'il n'était pas loin de dix heures. Il avait encore deux heures à rien faire avant de Le rejoindre. Bien.
Il se laissa aller aux relents du passé, enfouis au plus profond de son être, refaisant surface par vagues chronologiques partant de sa petite enfance à ce soir fatidique ou il allait rejoindre Celui-Dont-On-Ne-Doit- Ecrire-Le-Nom.
S'adressant aux étoiles, les seules voulant encore daigner l'écouter, lui, Peter Pettigrew, commença le long monologue de sa vie de queue de rat.
Fin du très court prologue (ben quoi, c un vrai prologue ^°^).
Une envie de meurtre, des encouragements, des beuglantes (pas trop SVP), des questions ? ? ? Vous savez, en bas à droite, vous êtes habitué maintenant ^°^ (indice : le pitit bouton violet qui fait beaucoup bonheur ^_____^)
Tcho ! -kamori12
Disclaimer : Je sais, je sais, tous les persos (Vous-Savez-Lesquels), sont à JK Rowling. Mis à part quelques nouveaux que je risque d'ajouter ^^
Pairing : Aucun pour l'instant. (Attention, future allusion à un slash ! Couchez les parents, ligotez les enfants, nourrissez le chien !)
Genre : Pas encore identifié. Pas drôle en tout cas. désolée.
Euh, je voudrai vous demander un peu d'indulgence, les fic sur Peter étant rares et celle-ci étant ma première (et ff.net ayant probablement bouffé ma splendide mise en page é_è). Miciiii !
La vie d'une queue de rat.
-Ces réflexions (cette histoire) se passent lors de la fin de la troisième année d'étude de HP à Poudlard.-
Le rat courait aussi vite que lui permettaient ses petites pattes. Son c?ur miniature battait la chamade et il s'arrèta dans l'entrelacement des racines d'un vieux chêne pour reprendre sa respiration. Le sang battait à sa tempe, la sueur lui refroidissant l'échine. Il ne fut pas surpris d'entendre le hurlement lugubre d'un loup-garou passé non loin de lui. Ce loup-garou qu'il connaissait si bien, lui qui était son "ami" auparavant. Puis il entendit le couinement d'un chien à l'agonie. Un autre de ses anciens "amis".
/////// Lui, le rat, s'appelait en réalité Peter Pettigrew. Il était un sorcier d'age moyen, Animagus depuis un certain temps. ///////
Ayant entendu le cri strident de Détraqueurs approchants, il préféra continuer sa course. Longeant au ras du sol le pied des arbres de la foret, il aboutit dans une clairière baignée de la lumière argentée de la pleine lune. Alors qu'il traversait aisément cet endroit lumineux, une chouette l'attrapa de plein vol.
/////// Ce surnom, le P'tit gros (en rapport avec son nom français ^°^), restera à jamais en lui, comme buriné grossièrement par sa réputation de goinfre à Poudlard. ///////
Le temps que dura l'envol de la chouette, le rat sentit l'air frais sur son museau, ce qui lui permit enfin de remettre ses idées en place. Il observa un temps le sol qui s'éloignait à une vitesse vertigineuse comme hypnotisé, puis se ressaisit. Dans un couinement, il mordit les serres du rapace, le faisant lâcher prise. Le rongeur tomba tant bien que mal dans des branches, sa chute accompagnée par les hululements indignés de l'oiseau de proie. Il se retint tant bien que mal de lui tirer sa petite langue râpeuse, et descendit à grandes peines de l'arbre. Vociférant quelques jurons à l'encontre de la chouette qui ne se fiait qu'à son instinct, il s'en retourna en trottinant dans la direction que lui dictait son instinct, à contre vent.
Arrivé à l'orée opposée de la Foret Interdite, le rat se concentra fort. Son museau rétrécit, ses pattes se changèrent en mains d'homme dont la droite ne portait que quatre doigts et demi. A la place du rongeur pelé se trouvait désormais un homme de petite taille, les rares cheveux de son crane grisonnants, la peau détendue montrant une ancienne rotondité dans l'individu.
Soufflant comme un b?uf après cet effort inattendu, la face rougie par le manque d'air, l'homme s'adossa à l'arbre le plus proche et respira un grand coup.
-Viens, petit rat ! Je t'attends.
Lui seul était capable d'entendre de telles paroles. Elles provenaient de son Maître, celui dont il ne faut prononcer le nom. Lui, le rat, le traître, l'infâme, devait maintenant rejoindre le Mage Noir dans son antre. Et ce avant minuit précise.
Jugeant par la position de la lune, et les hurlements sinistres d'un loup- garou traînant dans les parages, il détermina qu'il n'était pas loin de dix heures. Il avait encore deux heures à rien faire avant de Le rejoindre. Bien.
Il se laissa aller aux relents du passé, enfouis au plus profond de son être, refaisant surface par vagues chronologiques partant de sa petite enfance à ce soir fatidique ou il allait rejoindre Celui-Dont-On-Ne-Doit- Ecrire-Le-Nom.
S'adressant aux étoiles, les seules voulant encore daigner l'écouter, lui, Peter Pettigrew, commença le long monologue de sa vie de queue de rat.
Fin du très court prologue (ben quoi, c un vrai prologue ^°^).
Une envie de meurtre, des encouragements, des beuglantes (pas trop SVP), des questions ? ? ? Vous savez, en bas à droite, vous êtes habitué maintenant ^°^ (indice : le pitit bouton violet qui fait beaucoup bonheur ^_____^)
Tcho ! -kamori12