Salut !!! Je suis archi désolée pour mon retard inadmissible, mais le fait est que j'étais pas inspirée du tout, éhéhéhéhé. pis bon, je suis un peu occupée en ce moment, anniversaire (mon mien) week-end à Paris, lycée ect. Mais bon, je suis de retour, avec le chapitreuh 9 ! ET EN PLUS ! Word m'a lamentablement lâché pendant une semaine où j'étais inspirée, c'est inadmissible ! Et là le pire de tout, y a mes grands parents chez moi, alors essayez d'écrire une fic R sous le nez de 2 vieux plus chiants que jamais qui veulent toujours savoir ce que vous faites. C'est la fête je vous dis.

Bon, je demanderais juste à Draco_tu_es_à_moi de se la boucler au sujet de notre pitite discussion pasque Missiz à quelques peu deviné certains détails qui devraient arriver pour la suite, voir dans ce chapitre, je verrai au fil de mes doigts et de mon esprit euh. comment dire ? Tordu, oui, c'est le mot.

Annonce : Je suis vraiment désolée ! Mais en raison de cette invasion de la génération des années 30 je peux pas mettre de lemon dans ce chapitre, là j'ai réussi à me débarrasser des vieux pour l'après midi mais c'était pas assez, donc vu que ça fait plus d'un mois que je ne l'ai pas mise à jour, je poste ce chapitre, qui normalement aurait dû être plus long et comporter le lemon mais bon, au moins vous avez la suite. Et en attendant j'ai commencé (et fini) une fic assez courte sur Tonks, ça s'appelle « Psychédélique ».

Donc voilà la suite avec un retard. hou ! Horrib !

Chapitre neuf : CONVERSATION CIVILISEE, AMIS ? OU PLUS.

Après un temps, Mister Malfoy entendit comme une plainte qui provenait d'à coté de la cheminée, il se leva et se dirigea vers le dit endroit et découvrit une scène particulière :

La bestiole orange de la Gryffondor était en train d'agoniser sur les restes d'une bouteille, pataugeant dans son sang. Prit par un élan de bonté envers les félins, il prit la bête et l'amena à l'infirmerie. Quand l'infirmière le découvrit, les mains pleines de sang de chat, elle devint complètement hystérique, on aurait presque pu la comparer à PP (ndla : Papin vs Poulidor ! okay je me la ferme) une demie heure auparavant.

-MONSTREUH !!! COMMENT AVEZ VOUS OSE TRAITER UN ANIMAL DE CETTE FACON !!!! BARBAREUH !!!

Elle lui prit le chat des mains et balarda le serpentard hors de l'infirmerie, bon ça allait, elle était calme aujourd'hui.

Tout à ses pensées, Draco décida d'aller faire quelques recherches à la bibliothèque. Cette fille avait quelque chose de spécial et elle savait ce que c'était, elle ne pouvait le nier. D'abord sa réaction à l'ambroisie, ce n'était pas courant, il se rappellerait toujours de l'air ravi qu'avait affiché son père la première fois qu'il en avait bu. La gryffondor aussi avait réagit, raison de plus pour s'intéresser à elle. Mais là ça avait été impressionnant ! Même si il avait été le seul à la sentir, la jeune femme avait dégagé une aura de puissance sauvage qu'il n'avait encore jamais eu l'occasion de percevoir. En réalité, la seule qu'il avait jamais sentit était celle de son paternel, cette puissance noble mais malgré tout atténuée car il n'était pas originel. Lui par contre avait l'avantage de sa mère, ce qui faisait de lui un sang mêlé particulièrement puissant. Et puis l'état de Parkinson, elle ne lui avait pourtant donné que des coups, rien d'autre, il en aurait mit sa main au feu, (il sourit à cette pensée) mais l'autre fille avait vraiment prit cher. On aurait dit que c'était un fauve qui l'avait attaqué. Un fauve.

Hermione referma la porte de sa chambre dans un claquement sourd. Jusqu'où pouvait elle aller ? Elle regarda ses mains, d'apparence si fragile, elles étaient des armes terrifiantes. Elle ne connaissait pas leurs limites. Qui étaient les siennes d'ailleurs. Elle avait besoin de réfléchir, de se retrouver elle même, et d'aller rendre visite à Luna par la même occasion. Elle se dirigea vers la tour des Ravenclaw afin de trouver son amie de (presque) toujours, sa s?ur dans le monde de la débauche comme il est dit précédemment.

Elle déboula dans la chambre de son amie qui était en train de discuter avec un tableau qui n'était pas sensé être là.

Luna se tourna vers Hermione.

-Oh salut Herm ! Ça va ?

-Ouais ouais, dit celle ci, légèrement décontenancée, hem, Luna, je peux te parler steuplaît ? Euh, en privé si possible.

-Okay, répondit Luna, puis, s'adressant au tableau, désolée Tepes, on continuera plus tard.

-Bien, dit le tableau un peu vexé, n'oubliez pas que je dois vous décrire l'empalement des ottomans que j'ai effectué dans ma jeunesse.

-J'ai hâte de l'entendre, fit Luna avec un sourire ravi, à plus tard !

Le tableau dénommé Tepes sortit de son cadre, et une fois que ses pas furent loin, Luna fit apparaître deux verres.

-Qu'est ce qui te tracasse Herm ? Tiens.

Elle lui tendit un verre de Manzanna qu'Hermione, malgré sa récente beuverie, et sa toujours présente gueule de bois prit avec plaisir.

-Euh, en fait, je ne me maîtrise plus vraiment, tu sais que j'ai certaines « particularités » . . .

-Que tu n'as jamais voulu me préciser ouais, la coupa Luna en se resservant un verre.

-Je te répète que je peux pas, mais toujours est il que . . .

-Que ?

-J'ai salement amoché Parkinson tout à l'heure.

Luna éclata de rire.

-C'est vrai ? Respect Hermione ! Depuis le temps que tu le prévoyais ! T'as enfin eu le courage de le faire !

-C'est pas drôle Lun' ! Elle a dû partir à l'infirmerie à cause de moi !

-Je te connais Herm, c'est pas ça qui te dérange !

-Nan c'est vrai, en fait, je pensais seulement lui donner des coups, mais elle a eu bien pire.

-Quelle sorte de pire ? demanda Luna, soudainement intéressée, il était de notoriété publique que Luna Lovegood était passionnée par tout ce qui était sanglant.

-Ce que tu adores.

-Coooooooooool ! Là tu m'impressionnes ! Sincèrement !

Hermione lui lança un regard indéchiffrable (ndla : ou peut être que j'ai pas le mot en tête pour le qualifier qui sait ? mais on va dire qu'il est indéchiffrable le regard) pendant que Luna re-vidait son verre d'une traite, ça faisait le troisième.

-Bon okay, telle que je te connais, à ce rythme là, tu va être saoule dans une heure, ce qui n'est pas assez pour t'expliquer la situation, mais j'aimerai quand même avoir un dernier verre pour la route.

-Aucun problème ma vieille !

Et sur un dernier verre (ndla : pas petit le verre) Hermione prit le chemin de sa chambre, perdue dans ses pensées.

Elle croisa le tableau avec qui Luna discutait avant sa venue, il était dans son cadre original et Hermione pu lire sa plaquette d'identification (ndla : nan c'est pas les plaquettes qu'y a au cou des soldats). Il était inscrit :

« V. de HUNEDOARA, dit « L'empaleur » +/- 1430-1510 »

Le décor dans lequel était le personnage était une cour de château, remplie de pals sanglants, tous surmontés d'une tête humaine.

« Charmant . . . »

Hermione déboucha dans la salle commune. Ou plutôt le dépotoir calamitique qu'était devenue l'ancienne salle commune des préfets en chef de Poudlard. Les elfes de maisons allaient avoir du boulot.

« Sont là pour ça. »

Ruminant de sombres pensées, Draco Malfoy revenait vers sa salle commune d'un pas lourd et légèrement énervé. Ses recherches ô combien intensives à la bibliothèque avaient été le summum de l'infructueux. Ajouter à cela la vieille chouette d'infirmière qu'il avait eu le malheur de croiser dans un couloir et qui avait encore passé sa frustration sur lui, aucun doute, il était persécuté. Pauvre victime de ce collège qu'il était, il avait besoin de réconfort. (Ndla : houlà ! je m'emporte moi !) Débouchant dans le précédemment dit dépotoir, la vision qu'il en eût lui tira une grimace compréhensible de dégoût. Il tenait cependant à sauver ses deux fioles si sacrées à ses yeux des mains impies des elfes de maison, et donc, du se résoudre à poser ses pauvres petites mains (ndla : de victime ne l'oublions pas) dans le bordel impressionnant qui régnait dans la fosse commune, oups pardon, salle commune dirons nous, car c'est ainsi qu'on l'appelle.

Passant parmi du sang de chat, de la bile, de la bave, et d'autres substances immonde dont le petit aristocrate qu'il était ne voulait pas connaître le nom, et encore moins l'existence, le serpentard finit par retrouver le nectar dans une coupe de fruits et l'ambroisie dans la gamelle de son hibou grand duc. Alors qu'il songeait à appeler les elfes de maison pour faire un nettoyage de printemps un peu en avance dans la pièce, il perçut une présence dans son dos. Se retournant vivement, il découvrit Hermione sur le pas de la porte de sa chambre, elle semblait ailleurs.

-Hi.

Elle leva la main et l'agita avec un sourire timide.

-Où est Pattenrond ? demanda-t-elle d'une petite voix.

-Paquoi ?

-Pattenrond, tu sais, mon chat.

-Oh ! Je. je l'ai amené à l'infirmerie, Pomfresh va me considérer comme un sadique maintenant.

Hermione sourit.

-Merci.

Un gros silence s'installa, Les deux préfets attendant une réaction de l'autre.

-Bon bé. commença la gryffondor, je vais aller dormir, c'est éreintant comme début de journée.

Au moment où elle s'apprêtait à entrer dans sa chambre, Draco l'arrêta.

-Euh. Granger ?

-Oui ?

-Je voulais savoir. tu. euh. a propos de ce qui s'est passé tout à l'heure.

-On en parlera plus tard si tu veux bien.

Et la porte se referma.

****************

En fin d'après midi, Draco, qui lisait tranquillement dans la salle commune entendit comme des gémissements venant de la chambre de la gryffondor. En alerte, il s'approcha de la porte et y colla son oreille. En effet, la jeune femme laissait échapper des sons facilement reconnaissables, de la douleur, de la peur. Sans plus attendre il tourna la poignée de la porte qui par chance n'était pas fermée à clefs.

Elle était là, endormie, agitée de soubresauts plus ou moins violents. Ses sourcils étaient arqués dans une position qui reflétait le souci, la peur. Soudain, elle se convulsa en poussant un gémissement de douleur. Automatiquement, Draco s'approcha du lit et lui caressa les cheveux en lui chuchotant dans mots d'apaisement ce qui sembla marcher dans un premier temps. Mais lorsque la gryffondor se cambra dans son lit, le visage creusé par la douleur, le serpentard paniqua et, la seule chose qu'il trouva à faire fut de la prendre dans ses bras.

Elle se débattit violemment mais Draco resserra doucement son étreinte et au bout d'un moment elle sembla plus apaisée. Draco allait la relâcher quand elle s'accrocha brutalement à sa chemise dans ce qui paraissait un mouvement désespéré. Elle s'accrochait à Draco comme on s'accroche à sa vie. Il lui chuchotait des mots incompréhensibles pour la calmer et lui caressait doucement les cheveux, puis le dos. Peu à peu, elle se calma, mais ses doigts ne lâchaient pas prise. Un craquement se fit entendre. Draco baissa la tête et ce qu'il vit le stupéfia, dans sa chemise étaient profondément enfoncés les ongles d'Hermione, qui, à ce stade là ne pouvaient qu'être qualifiés de griffes.

Les yeux de Draco s'élargirent. C'était donc vrai, elle avait « quelque chose ». Mais qu'est ce que c'était exactement ?

C'est ce moment là que choisit Hermione pour se réveiller. Quand elle se rendit compte qu'elle était dans les bras de quelqu'un, elle s'éloigna vivement de Draco et se mit en position f?tale à l'autre bout du lit.

« Elle est en position soumise, qu'est ce qui a bien pu lui arriver ? »

Croisant son regard, il y vit non seulement la peur mais aussi la colère.

-Qu'est ce que tu fais là Malfoy ?

Décidant que mentir ne servait strictement à rien, il lui dit la vérité :

-Tu n'avais pas l'air bien, je t'ais entendu gémir de la salle commune, alors je suis venu voir ce qui se passait.

Hermione sembla le croire et son regard s'adoucit légèrement, laissant la place à de la panique.

-Qu'est ce que j'ai dit ?

-Rien de particulier, tu semblais apeurée. Et tu t'es accrochée à moi comme une démente, regarde ce que tu as fait de ma chemise, dit il en montrant les trous que la gryffondor avait percés quelques minutes auparavant.

Il comptait bien regarder si elle aurait une réaction en voyant ça. Il ne s'était pas trompé, les yeux de la jeune femme s'agrandirent imperceptiblement tandis que ses pupilles se dilatèrent. Elle savait comment elle avait fait ça.

-Qui t'as fait du mal Granger ?

-Qu'est ce que tu racontes ?

-Tu réagis comme une enfant apeurée qui sent venir les coups.

-Comment peux tu analyser mes actes aussi précisément ? Tu n'en sais rien du tout.

-En général non en effet, mais sur le coup, tu oublies qui est mon père.

Laissant à la jeune femme un moment de réflexion, il regarda par la fenêtre.

Au bout d'un moment, il se retourna vers Hermione, celle-ci avait les larmes aux yeux.

-Qui t'as battu Granger ?

Elle lui lança un regard désespéré et il la prit dans ses bras, la réconfortant du mieux qu'il pouvait. Après quelques minutes il murmura :

-Tu dois avoir faim, je vais te chercher quelque chose.

Il revint peu après de la cuisine avec un plateau chargé de victuailles, ainsi que du thé. Hermione se sentait apparemment mieux, elle avait les yeux rouges, les lèvres gonflées et de grands cernes, mais il ne pu s'empêcher de la trouver belle malgré tout. S'installant à coté d'elle, il commença à lui beurrer une tartine, ce qui rendit son sourire à la gryffondor.

-Quoi ? demanda-t-il le sourire aux lèvres quand il s'aperçut qu'elle était joyeuse face à ce tableau.

-Oh rien, répondit elle d'une voix fatiguée, c'est juste que. c'est assez cocasse de voir Draco Malfoy beurrer une tartine à Hermione Granger.

-Si ce n'est que ça, je le fais dès que tu es dans cet état.

-Tu t'occupes de mon bien être maintenant ?

-Je n'ai pas envie de faire le devoir de deux préfets en chef.

Elle éclata d'un petit rire.

-Je me disais aussi.

Il lui sourit et lui tendis la tartine qu'elle prit en le remerciant d'un signe de tête.

Une fois qu'ils furent tout les deux rassasiés, Draco proposa d'aller dans la salle commune devant un bon feu.

Après migration, la conversation s'orienta une fois de plus sur les particularités d'Hermione. Celle-ci fut bien obligée de trouver quelque chose pour justifier l'état de la chemise du serpentard.

-Okay t'as gagné, j'ai bien une particularité.

-Mais encore ?

-Mais encore ? Tu n'en sauras pas plus.

-Même pas drôle.

-Ce n'est pas drôle à l'origine.

-Peut être mais ça peut le devenir. Ne pose pas de questions, ajouta-t-il en voyant la jeune femme s'apprêter à répliquer, je le sais c'est tout.

Silence.

-Qui t'as battu ?

-Pourquoi tu poses autant de questions ? Moi qui croyait être tranquille avec Malfoy ne pas gaspiller de salive.

Il éclata de rire.

-Tu m'intéresse c'est tout.

Elle eu un rictus.

-Quel honneur.

-Plus que tu ne le crois.

-Ironie Malfoy, je pensais que tu saurais la reconnaître, tu t'en sers à longueur de journée.

-Je suis si bon acteur que ça ?

Elle leva les yeux au plafond.

-Qui t'as battu ?

-Je suppose que tu ne me laissera pas tranquille tant que je ne te l'aurai pas dit.

-Tu supposes juste, répondit Draco avec un sourire charmeur aux lèvres.

-Très bien. C'est parti pour la folle histoire de ma vie. Histoire de faire court : c'est mon oncle.

Draco leva un sourcil. Perplexe.

-Quand j'étais petite, j'avais sept ans à peu près, j'ai du passer les vacances d'été chez mon oncle maternel, il s'est avéré que c'était un superbe alcoolique, violent, et pour couronner le tout, légèrement toxico sur les bords.

Draco renifla avec dédain, même s'il ne partageait pas avec autant de ferveur les dires de son père au sujet des moldus, il ne les appréciait pas non plus, comment pouvait on faire cela ?

Hermione sembla deviner ses pensées.

-Ils ne sont pas tous comme ça tu sais. Mes parents sont vraiment géniaux par exemple.

Malgré tout, Draco restait sceptique mais ne préféra rien dire. Elle avait vraiment été perturbée, cet homme ne devait pas être un tendre.

-Mais. Il ne t'as pas. enfin. tu vois quoi.

La gryffondor eut un sourire.

-Non, il n'a pas été jusque là.

Silence.

-Je suis ravie de voir que l'on peut avoir une conversation civilisée avec toi, dit elle avec un sourire moqueur.

L'incident de l'après midi était oublié.

-Moui. Je réserve cet honneur à quelques privilégiés.

Elle leva la tête et vit que lui aussi souriait, d'un franc sourire, teinté d'ironie.

-mais je suppose que tu réserves également ces moments à des lieux spéciaux, comme celui-ci, confinés, à l'abri des regards et des oreilles des autres.

-Tout juste charmante gryffondor.

-Bon eh bien, Môssieu Malfoy, merci de m'avoir accordé une audience aussi longue.

-C'est quand tu veux Granger, dit il dans un bâillement, quoi que tu puisses en dire, on a pas mal de points communs.

Ils étaient tous deux levés à présent.

Hermione s'approcha de Draco d'une démarche féline (ndla : je sais pas comment elle fait, après tout, elle s'est transformée en hamster en 2e année nan ?) pour s'arrêter à quelques centimètres de lui, il faisait environ une tête de plus qu'elle, et elle dû lever la tête pour le regarder dans les yeux. Tirant sur sa cravate afin qu'il baisse le visage, elle lui murmura à l'oreille :

-Amis ?

Il déglutit difficilement.

-Amis, répondit il dans un souffle.

-Bien. gentil garçon.

Elle lui mordilla le lobe avant de se dégager de la proximité du serpentard mais il la retint. Ses yeux gris bleus fixé dans ceux auburn de la gryffondor, toujours parsemés de filaments d'argent par instants. Celle-ci se mit sur la pointe des pieds et déposa un doux baiser sur les lèvres du serpentard avant de se retirer définitivement dans sa chambre.

Contemplant la lourde porte en chêne marquant la chambre d'Hermione, (ndla : une ?uvre d'art cette porte) Draco eut un sourire. Le jeu allait commencer.

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Les mois qui suivirent virent (ndla : c'est marrant à dire ça, suivirent virent.) un véritable jeu de séduction entre les deux préfets en chef. Parfois imperceptibles, parfois osés, les attaques se succédaient mais aucun ne cédait. Pour Hermione, c'était encore un jeu, elle savait qu'elle ressentait de l'attirance pour le serpentard mais cela s'arrêtait là. Pour Draco en revanche, c'était bien plus, au fond de lui, il savait qu'Hermione était celle qu'il lui fallait, si il ne l'avait pas un jour ou l'autre, ou qu'il la perdait, il n'aurait plus aucun repère.

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Voilà ! TSATSAN !! Voilà, ce chapitre est enfin bouclé et posté, et je dois dire que vous m'avez fait SUPER PLAISIR !! Plus de 30 rewiews pour un chapitre ! WAOUW ! Z'avez vu ! J'suis à 103 !!

Réponse à mes chères rewieweuses !! (Y a un mec ? si y en a un boulette.)

Morri : lol ! Merci !! Ça fait trop plaisir !!! J'espère que cette suite t'a plût malgré l'absence du lemon !

Callypso : Impardonnable que je suis ! Vraiment désolée pour l'absence du lemon ! Pis sinon, nan nan je te crois ! Toi une cuite ? Naaaaaaan !! T'es commeuh mwa ! Un angeuh ! Pis sinon, nan, je ne pense pas le faire trop intervenir Rogue, enfin, pour le moment.

Ptite elfe : lol ! Bah, tu le sauras bientôt t'inquiète ! Dans deux chapitres je pense, ou un qui sait ? Ça dépend de la longueur du lemon, qui sera dans le prochain chapitre, promis ! Un nouveau lattage de gueule ? Mouais c'est peut être faisable. gnark gnark gnark !

Ophélie : Bon ben encore une fois je m'excuse pour le non lemon, enfin, au moins c'est justifié. dsl. Pis sinon ben, ravie de voir que ça te plaît autant !

Angy : Lol ! Tu me connais quand même ! J'adooooore le sang ! Lol !

Tarahiriel : Ouais, tu peux parler hein ! Mwa je la met au moins la suite !

Hiroshima : lol ! Ravie que ça te plaise (Philibert jacquet), et dsl pour le non lemon encore une fois. moua sadique ? Comment peux tu croire ça ? Lol !

Hiroshima (bis) : Alors là ça fait trop bizarre ! MA SOEUREUH !!! lol ! Je viens de découvrir mon sosie ! lol ! ça fait vraiment zarb quand même ! o_0

Cloclo : lol ! Encore merci pour ta rewiew, et j'espère que la suite te plaît autant !

Zmija : lol ! Bonne cuite en tout cas ! Pis euh. pouvoir caché ? Je cache si mal les choses que ça mwa ? Bon en fait c'était volontaire.

Draco_tu_es_à_moi : Hey toi ! Je sais pas du tout la fréquence d'écriture, la preuve, ça faisait plus d'un mois que j'avais pas uploadé ! Donc c'est cool que tu adores autant de choses ! Au moins t'es pas difficile ! Lol ! Pis sinon je la suis ta fic t'inquiète pas ! Et stp, ne dis rien !!!

Dumati : Je me disais aussi, être triste pour PP, c débile ! Lol ! Voilà la suite !

Andréanne Malfoy : encore une fois dsl pour le non lemon (pitié pitié) et ravie que cette fic te plaise ! T'inquiète, Malfoy rime avec bad boy.

Frite 12 : lol ! Ouais ! Il se trouve que j'adore les bastons ! Étant moi- même pratiquante ! Lol ! Zoux

Klaris : LOL ! Okay, si tu arrives un jour à ce chapitre hein. en tout cas merci !

Cookie : Bon ! Là au moins c'est plus long ! lol ! Commeuh c'est bizarreuh ! Elle agit comme un chat ! Dire que je voulais qu'elle ressemble à un hamster ! Ah bon ? j'ai beaucoup utilisé cuite ? argh !! shame on me !!!

Petite_mag : merci !!!!

Fumseck : Houlà ! c'est vraiment l'upload le plus long que j'ai jamais fait, tu m'en vois désolée. sorry ! Pis t'inquiète, y en aura d'autres des chapitres !

Océ : Merci beaucoup !! lol ! pis elle pense comment Hermione ? euh. y a qque chose de spécial ?

Rowan : Voilà voilà je continue !! contente que ça te plaise ! ^^

Lizzie : Merci !! dsl pour le non lemon !

Dready girl : merci ! j'espere que la suite te plait autant !

Eldwina : lol ! okay, j'arreterais de me défouler sur les pékinois si tu veux ! lol ! merci bcp !

Mel Potter : Voilà la suite !! Contente que ça te plaise !

Kotohiki : Merci pour tout !! j'espere que la suite te plait aussi !

Lou : ben si ! je l'ai dit précédemment, vu ke en fait, l'idée de cette fic m'est venue en regardant dark angel, fallait bien que j'y fasse des clins d'?il nan ?

OUFEUH !! j'ai fini ! et oui c'est mwa !!! Bon, pour la suite, il faudra attendre après les vacances dsl. et là, PROMIS y aura un lemon !!