Un jour peut-être

Titre : un jour peut-être (titre en cours de gestation donc susceptible de changement)

Inspiration : Shojo Kakumei Utena – avec une très libre inspiration des personnages, gomen ^^ + mon imagination débile qui fait beaucoup et qui ajoute son grain de sel à tout propos !!

Personnages : Tenjou Utena Himemiya Anthy Akio Otohori Kiryuu Touga Saionji Kyouichi Juri Arisugawa ; Miki Kaoru et d'autres certainement comme Kozue, Mamiya, Mikage, Nanami… (sauf que j'ai mis leurs caractères à ma sauce !!)

Auteur : Chris chrisanimefan@yahoo.fr

Genre : yaoi – enfin shonen ai-, avec je l'espère une touche d'humour et de poésie

Conventions : *indique les pensées des personnages*      % souvenir, souvenir%

Résumé des épisodes précédents :

Utena est une élève dynamique qui a fait connaissance avec l'exubérante Wakaba. Celle-ci a envoyé au beau et impassible Saionji pour qui son cœur bat. Quand à ce dernier, malgré les avertissements de Touga et ses tentatives pour le sortir un peu de sa rêverie, il sort toujours avec Himemiya Anthy dont il semble éperdument amoureux.

La lettre de Wakaba a été placardé sur l'affichage central de l'académie et elle fut la risée de tous. Ne pouvant supporter la douleur de Wakaba, Utena provoque Saionji en duel

Chapitre 8 : Utena VS Saionji

Utena se tient prête pour le combat, armée de son bâton de bambou, elle veut en découdre à tout prix avec Saionji et lui montre un peu de quel bois elle se chauffe. Non, mais !!

Comme convenu, elle se dirige vers le grand chêne près de la colline.

Pendant ce temps, deux étranges ombres de filles tiennent des propos abyssaux (d'ailleurs on se demande ce qu'elles viennent faire là à cette heure du soir et ce qu'elle raconte, le pourquoi et le rapport avec notre trame principale)

A-Ko : Sais-tu ? sais-tu ce que je sais ?

B-Ko : Non, je ne sais, non je ne sais !!

A-Ko : Imagine, imagine, imagine un désert…

B-Ko : Oui, il fait chaud…

A-Ko : Terriblement, tu as soif, ta gorge réclame à corps et à cri de l'eau, de quoi la déshydrater, de quoi la rafraîchir, de quoi la faire refleurir.

B-Ko : Je meurs de soif dit elle en se tenant à un bâton la langue pendante… Je vais m'écrouler d'un instant à l'autre…

A-Ko : Et soudain, ô miracle au loin, tu vois une oasis…

B-Ko : Oui, je la vois, de l'eau !! je suis sauvée !!

A-Ko : Peut-être, qui sait ? est-ce un mirage ? est-ce une illusion ? est-ce la réalité ? et la distance quelle est elle ? Auras-tu assez de force pour l'attendre ou t'éteindras-tu avant ?

Le désert est lui aussi remplit de serpents qui sont là à te guetter pour te mordre.

B-Ko : Ah ! je me meurs !!

A-Ko : imagine imagine, sais-tu ce que je sais ?

(le 1er qui a deviné l'obscur rapport avec le reste de ce chapitre a gagné une boite de bonbons haribos !!^^ les paris sont ouverts, je sens que je vais me bidonner !!)

Utena est arrivée au pied de la colline au dessus de laquelle se dresse un majestueux chêne, elle pénètre dans une petite cour blanche et fait face à un portail fermé.

Utena : Qu'est-ce que … ? Comment rentrer ? il n'y a pas de clef.

Utena s'approche, alors qu'elle arrive devant le portail. Elle voit une poignée, tire dessus. Après quelques instants, un étranger phénomène se passe.

L'eau se résorbe sur les côté pour tomber en une fontaine d'eau, des cœurs se font entendre « Zettai Umei, Zettai Umei, Mokishoruku ». Un portail de rose en fer blanc apparaît et s'ouvre et une ouverture est ainsi créée.

Utena, étonnée, continue son chemin, et se trouve dans une grande salle voûtée blanche d'où part un escalier qui semble fin et en colimaçon, cet escalier se dirige vers le ciel et est la seule porte de sorite.

Utena : Quel étrange endroit ? où suis-je ? Où vais-je ?

« Zettai Umei, Zettai Umei, Mokishoruku ».

N'ayant pas le choix, elle continue et commence à gravir l'escalier qui ne semble pas avoir de fin et tourner sur lui même. « Zettai Umei, Zettai Umei, Mokishoruku ».

Au bout d'un temps qu'elle ne saurait définir, elle arrive en haut, dans une arène blanche avec au sol dessiné une rose rouge. Anthy et Saionji sont là eux aussi.

Pendant ce temps là, Touga attend Saionji au « Cat Café ». Il est abordé par une serveuse, peinée et ravie de voir un si beau jeune homme seul «quelle aubaine ! »

Serveuse : « Que puis-je pour vous beau jeune homme ? »

Touga est rêveur, il a la tête appuyée sur sa main et regarde au loin, il est plongé dans ses pensées et n'entend rien.

Serveuse : ça va pas se passer comme ça mon coco ! * « Monsieur, monsieur ! Oh ! beau gosse ! MONSIEUR !! » finit elle par crier.

Touga se retourne surpris : « Qu'est-ce…. ? »

Serveuse : « Excusez-moi, jeune homme, je viens chercher votre commande. »

Touga : « Oh oui, bien sûr »

Serveuse : se penchant afin de monter son décolleté « Que puis-je faire pour vous ? que désirerez-vous commander ? »

Touga : « Je ne sais pas… Que me conseillez-vous ? »

Serveuse : « MMM … Les spécialités de la maison sont excellentes, on peut vous faire des faveurs en plus, pour un si beau jeune homme » dit elle en lui lançant un clin d'œil et en se penchant encore plus.

Touga : « … Euh, c'est à dire que j'attends quelqu'un… Il ne devrait plus tarder. Je vais vous prendre un brownie et un chocolat viennois ».

Serveuse : « Bien sûr, monsieur. N'oubliez pas que je suis là si vous avez le moindre désir, n'est-ce pas ? » dite elle en lui lançant un autre clin d'œil et en dodelinant des fesses pour s'éloigner.

Touga : * Saionji, que fais-tu ? Maudite soit cette fille qui te change tant… Tout cela ne me dit rien qu'il vaille…. Saionji, j'espère que … Tu n'as rien… Saionji ….*

Les réflexions de Touga sont interrompues par la serveuse –qui revient à la charge-

Serveuse : « Monsieur, voilà ce que vous avez commandé !! Cane vous dérange pas si je bavarde un peu avec vous ? mon patron m'a accordé 5 minutes de pause. Et puis, vous m'aviez l'air si seul que je me suis dit que… Que vous voudriez sûrement de la compagnie. Un beau jeune homme comme vous ne devrait pas rester seul… Alors, je reste.

Comme si de rien était, elle s'installe.

Serveuse : « Je m'appelle Nanako, et toi ? »

Touga : « Euh… pardon, mais vous savez j'attends quelqu'un… »

Serveuse : « Je sais, je sais mais ta petite copine a l'air de t'avoir posé un lapin, ça fait bientôt une demie-heure que tu es ici seul à brasser du noir. Viens plutôt avec moi, mon service finit à 20h. Je connais plein de restaurants sympas et de bons petits ciné ».

Autre Serveuse : « Nanako, la pause est finie ! remets-toi au boulot ! »

Serveuse : « J'arrive !! à tout de suite mon bel apollon »

Touga : * Saionji, dépêche toi, je n'ai aucune envie de finir la soirée avec cette fille !!*

Pendant ce temps là, dans l'arène du combat, Utena remarque le château inversé qui flotte dans l'air.

Utena : « Qu'est-ce que cela ? »

Saionji : « Un mirage, une illusion, je ne sais pas bien. Je pensais qu'en tant que duelliste tu saurais des choses mais visiblement toute cette affaire te dépasse toi aussi ».

Utena : « Je ne comprends rien à cette histoire de duellistes. Je suis juste venue pour venger Wakaba, compris ? Tiens toi prêt Saionji !! »

Saionji : « Comme tu voudras, tu seras mon premier adversaire. Anthy, prépares le duel !! »

Anthy cueille alors deux roses : une blanche pour Utena et une verte pour Saionji. Elle s'approche de Saionji et lui accroche sur son cœur à sa boutonnière la fleur verte.

Saionji : caressant document les cheveux d'Anthy « Tu ne me souhaites pas bonne chance, Anthy ? »

Anthy : « Si bien sûr, Saionji sempai, je sais que t u vas gagner, tu n'as pas besoin de chance ! »

Saionji : « Si tu le dis, Anthy, je gagnerai pour toi, tu sais ? »

Anthy ne répond pas et se dirige vers Utena, tout en accrochant la rose blanche à la veste de cette dernière, elle lui dit :

Anthy : « Utena sama. Le 1er qui touche la fleur de l'autre a gagné. Pourquoi êtes-vous venue seulement avec un boken ? Utena sama, bonne chance »

Utena : « … Euh, merci ! »

Saionji, furieux, se dirige rapidement vers Anthy et la frappe violemment.

Saionji : « Comment oses-tu lui souhaiter bonne chance ? Ne veux-tu pas que je gagne ? Tu soutiens plus l'adversaire que mon ton élu !! »

Utena : « Saionji, du calme ! N'as-tu pas honte de faire cela à ta petite amie ? Pourquoi la frappes-tu et la traites-tu comme un objet ? N'éprouves-tu pas quelque chose pour elle ?»

Saionji : « La promise se moque bien des sentiments des autres. Elle ne peut comprendre les sentiments, elle n'en a pas !! Trêve de bavardage, commençons ! Anthy !! »

Anthy se relève la joue brûlante mais souriante, elle s'approche de Saionji et commence à réciter une sorte de prières « Ô roses, révélez le pouvoir de Dios. Pour révolutionner le monde ».

Alors qu'elle prononce ces étranges paroles, son corps se met à briller d'une étrange lueur. Anthy commence à basculer en arrière, soutenue par le bras de Saionji, une poignée commence à surgir de son ventre. Saionji la tire et dégaine un katana.

Saionji : « En garde, Utena ! » dit il en commençant à s'élancer.

Anthy observe le combat son expression est impénétrable. Une chanson retentit dans l'arène du duel.

« When Where Who Which                                              When Where Who Which

When Where Who Which                                                               When Where Who Which

kioku no ori no chi no nagare sennen shifuku no yurikago no watashi wa haiyuu tatoete eikyuu

sabaku no fuyu no SUFINKUSU FINKUSU

tanjou shibou no nikutai no                             kanashiki kaze wo kimi shiru ya

seinaru haiyuu tatoete eikyuu                          naraku e ochita aninkou MARUJINO-

hikare moe yo   samete utae                              sekai ni tanjou   shunkan tanjou                      sono kurikaeshi

Saionji court vers Utena, le katana au clair. Il assène un coup d'épée vertical très rapidement. Utena échappe de justesse, non sans perdre quelques cheveux dans l'incident, en roulant en arrière. Elle se remet aussitôt debout, s'élance sur Saionji et frappe un coup de boken que ce dernier arrête facilement. Il réplique en lui assénant un coup, elle met son boken pour se protéger tant bien que mal. Son bâton de bambou éclate et il ne lui en reste que la  garde et un petit morceau, le reste ayant roulé à terre sous l'impact.

Saionji : « Quelle idée de venir te battre ici avec un boken !! Veux-tu déclarer forfait ? »

Utena : « Jamais !! »

Alors qu'elle dit ses mots, Utena voit une sorte de chevalier portant une tenue blanche aux cheveux violets descendre du ciel. Elle est à terre, doucement, il se pose sur elle et semble l'envelopper un instant puis la pénétrer.

Anthy : « Dios !? »

Utena a alors l'impression de savoir manier l'épée depuis toujours. Cet inconnu, Dios, se superpose à elle. Elle se relève, Saionji est estomaqué de voir tout ça et n'a pas le temps de parer la fulgurante attaque d'Utena qui avec ce qui lui reste de son boken déchire sa rose verte.

Au loin des cloches sonnent annonçant la fin du duel et la victoire d'Utena.

Les pétales de roses se déversent sur l'arène diffusant une odeur envoûtante. Anthy s'approche d'Utena et lui dit :

Anthy : « Utena-sama, maintenant je vous appartient. Je suis la fiancée de la rose, je suis votre fiancée »

Utena : « Himemiya Anthy ? Que s'est-il passé ? »

Saionji : « Anthy !! ne me dis pas que tu me quittes ?… »

Anthy : « Saionji sempai, Utena a gagné, je lui appartiens. Je ferais tout ce qu'elle me diras de faire… Je suis la fiancée de la rose »

Saionji : « N'éprouves-tu pas des sentiments pour moi ? Tu te moques de ce que je ressens ? Qui es-tu donc ? et pourquoi fais-tu tout ça ? »

Anthy : « Utena-sama, allons-y je vous en prie »

Utena : « Mais tu ne vas pas le laisser ainsi ! N'était-il pas ton petit ami. Il te traitait mal certes mais si tu étais avec lui, c'est parce que tu éprouvais quelque chose pour lui ».

Saionji : « C'est vrai, elle a raison. Tu me laisses en plan comme ça, comme si tu jetais une vieille paire de chaussette. Tu me traites comme une marionnette, comme ta poupée. Anthy, tu sais ce que j'éprouve pour toi. Pourquoi es-tu si dure ? »

Anthy : « Saionji sempai, je n'éprouve rien pour vous. Je n'ai jamais rien éprouvé. Utena-sama, allons-y maintenant je vous en prie. »

Utena : « Comme tu le souhaites Anthy » se dirigeant vers Saionji « Ce n'est pas grave, vous en trouverez une autre qui répondra à vos sentiments »

Saionji : « Merci, Utena, t'es une chic fille. Je crains qu'il y ait eu des malentendus entre nous, je le regrette. Bonne chance à toi. Bonne soirée. Adieu Anthy, à partir de maintenant, tu n'es plus rien pour moi ».

Utena et Anthy rentrent ensemble dans la chambre d'Utena où Anthy va dorénavant s'installer pour vivre avec elle. Utena fait la connaissance de Chuchu, l'espèce de singe d'Anthy, très gourmand qui émet un cri bizarre « Chuchu » d'où son surnom. Ce dernier est le seul ami d'Anthy.

Pendant ce temps là, Saionji est reparti.

Au « Cat Café », cela fait plus de 2 heures que Touga attend il s'est mis à pleuvoir.

Serveuse : « Vous êtes encore là, monsieur ? Votre amie n'est pas venue, elle vous a vraiment posée un lapin. Nous allons fermer dans ½ heure. Il faut que vous partiez, mais vous m'attendez, hein ? on s'amusera bien ensemble.

Touga : « Comme vous voulez. Je vous attend à la sortie »

Serveuse : « Alors à tout à l'heure !!

Touga : * Saionji… Pourquoi n'es-tu pas venu ? Pourquoi… ?

Touga sort dehors, il pleut de plus en plus fort Zut !! Quand je pense que j'ai laissé mon parapluie à la maison !! … Saionji… cette fille t'a vraiment ensorcelée !! mais elle ne s'en sortira pas comme ça !! je te parlerai !! mais pas aujourd'hui, c'est trop tard… Et puis, j'ai trouvé quelqu'un qui semble avoir très envie de ma compagnie. Et cela faisait longtemps que je n'avais pas eu de nouvelle petite amie, elle me changera de toutes ces étudiantes qui minaudent sans arrêt autour de moi… Quand je pense que… Saionji… t'es vraiment un enfoiré !! Pourquoi je fais tout ça ? je suis vraiment qu'un idiot !!

Saionji : « Touga !! » Saionji arrive en courant, il a une serviette et un parapluie. Il se précipité vers Touga, l'abrite sous son parapluie et lui met la serviette sur la tête.

Saionji : « Tiens moi ça » dit il en lui tenant le parapluie.

Touga : « Saionji ?!! On peut dire que tu t'es fait attendre ! » Touga prend le parapluie. Saionji lui pose alors la serviette sur la tête et commence à lui frotter ses cheveux pour enlever l'humidité.

Touga : « Qu'est-ce que tu fais ? »

Saionji : « J'enlève l'humidité, pardi !! tu vas attraper un rhume !! »

Touga : « Atchoum !! »

Saionji : « J'avais raison !! T'aurais dû attendre à l'intérieur ! » Saionji ôte sa veste et la met sur les épaules de son ami « Tiens, prend ça, sinon, tu vas attraper froid. Tu viens chez moi ce soir ? Ca fait longtemps qu'on s'est pas loué une cassette et qu'on a pas passé une soirée entre hommes ! » dit Saionji en souriant.

Touga : « Saionji, tu es redevenu normal ? Comment cela se fait-il ? Atchoum !! »

Saionji : « Je vais tout t'expliquer mais rentrons vite sinon t'es bon pour aller voir le médecin et c'est pas le moment de louper les cours, c'est la semaine prochaine, ton exposé sur les relations franco-japonaises, n'oublie pas !! »

Touga : « T'as raison, j'ai presque fini d'ailleurs mais j'aurais besoin de ton avis sur un ou deux points notamment au niveau juridique… »

Saionji et Touga parlent tout en se dirigeant vers la bouche de métro la plus proche. Touga a une serviette sur la tête et le veste de Saionji autour de ses épaules. Saionji porte le parapluie pour protéger son ami.

Deux minutes plus tard, la serveuse Nanako, sort rapidement de son lieu de travail et regarde aux alentours, en voit personne.

Serveuse : « Shit ! il m'a posé un lapin ! Dommage, il était à mon goût celui-là !! Ce n'est que partie remise mon gars ! La prochaine fois, tu t'en sortiras pas comme ça ».

Elle part furieuse dans le sens opposé.

Dans le métro qui les mène à l'appartement de Saionji.

Touga : « Flûte !! J'ai oublié, j'avais rendez-vous avec la serveuse !! Mince !!  Elle va être furieuse contre moi !! »

Saionji : « Tu iras t'excuser demain en lui offrant des fleurs et en faisant Don Juan comme tu sais si bien le faire ! » dit il en riant.

Touga : « Qu'y a t-il de drôle ? »

Saionji : « Ben tu t'es pas ennuyé à ce que je vois et tu fais toujours des ravages dans la gente féminine à ce que je vois !! Un vrai play-boy !! »

Touga : « Pourtant je n'y suis pour rien, on m'a dragué en bonne et due forme !! »

Saionji : « Vraiment ? Faut que tu me racontes ça !! »

Et Touga raconte sa soirée, Saionji rit de bon cœur.

Touga : * Saionji, c'est si bon de te voir à nouveau rire, de mordre la vie à pleine dents et d'être vivant. J'espère que tu me raconteras ce qu'il s'est passé. Je remarque une certaine tristesse dans tes yeux…. Pourquoi ? Que s'est-il passé ? Et pourquoi ne me parles-tu pas d'Anthy ? C'était pourtant le mot que tu répétais tous le temps… Est-ce que tu aurais rompu ou conclu ? Pourquoi ne pas te confier à moi ? Saionji, en tout cas, peut importe ce qui s'est passé, je serais à tes côtés, tu es mon meilleur ami, et cela depuis toujours. Alors je serais là pour te soutenir comme je sais que tu seras là si j'ai besoin de toi…*« Atchoum !! »

Saionji : « Ce soir, je te fais un bon grog, une bonne soupe à l'oignon et au fromage chaude. Et puis directe au lit !! J'ai encore quelque cachets, tu les prendras tout de suite pour éviter d'attraper un rhume. Je te donnerai des couvertures chaudes pour dormir, en rentrant, t'auras qu'à prendre un bain chaud et changer de vêtements car tu es tout mouillé ! »

Touga : « Bien, Bien !! »

A suivre…