Un jour peut-être
Titre : un jour peut-être (titre en cours de gestation donc susceptible de changement !!)
Inspiration : Shojo Kakumei Utena – avec une très libre inspiration des personnages, gomen ^^ + mon imagination débile qui fait beaucoup et qui ajoute son grain de sel à tout propos !!
Personnages : Tenjou Utena Himemiya Anthy Akio Otohoru Kiryuu Touga Saionji Kyouichi Juri Arisugawa ; Miki Kaoru et d'autres certainement !!
Auteur : chris chrisanimefan@yahoo.fr (moi quoi !!)
Genre : yaoi, avec je l'espère une touche d'humour (on verra ce que je peux faire !!)
Conventions : *indique les pensées des personnages*
Couples : je vous laisse deviner, ils se font au fur et à mesure ^^
J'AI DECOUVERT COMMENT INSERER LES COMMENTAIRES ^^Bon vous cliquez, ils servent à rien mais bon
Résumé : Saionji a embrassé Touga qui l'a giflé et a demandé de sérieuses explications quant à ce geste. Explication interrompue parce que Jury va affronter Utena en duel. Après un combat éprouvant, très surtout pour cette pauvre Utena qui manque d'être battue, le hasard veut qu'elle gagne.
Akio fait une apparition des plus étrange et console les dames délaissées par leurs maris.
Le duel terminé, Miki invite tous le monde à la maison, Nanami, l'encombrante sœur de Touga arrive. Saionji et elle passe un marché des plus étrange. Jury rentre avec Miki Touga avec Saionji. Jury arrive chez Miki où ils sont accueillis par Kozue ce qui vaut une « bataille » entre les deux femmes se disputant la compagnie de ce pauvre Miki qui ne sait plus où se mettre ni quoi faire. Jury emporte la 1ère manche non sans mal. Chez Saionji, enfin l'explication tant attendue du baiser qui est quand même assez vaseuse il faut bien le dire ^^ D'ailleurs le pauvre ne sait quoi dire et finit par avouer non sans mal que c'est parce qu'il en mourait d'envie. Après cet aveux, Touga explique que lui est follement amoureux d'Utena. Saionji est amoureux lui aussi mais refuse de dire de qui.
Chapitre 15 : Séductions
(mmm, le titre promet^^)
Dans une tour haut perchée blanche, il fait sombre.
Soudain la voûte s'illumine d'étoiles.
Une femme s'approche.
Son pas est silencieux. Elle est aussi sombre que la nuit.
Sa peau est noire, ses cheveux aussi le sont.
Seul le reflet de ses lunettes indique qu'elle est là.
Silencieusement elle s'approche.
Un homme est perché sur la luette astronomique contemplant silencieusement la voûte céleste. Qu'elle est belle parsemée d'étoiles, qu'elle est mystérieuse, si inaccessible. Si porche et pourtant si lointaine, une quête, un désir. Celui de briller dans le monde des humains comme une étoile. Que le monde reconnaisse son talent, le reconnaisse. Modéliser à sa guise, soumettre à ses désirs, avoir l'inaccessible, tout avoir.
Pouvoir, séduction, richesse, amour, gloire…
Que de rêve, de folie même, l'homme renifle une rose aussi noire que le reste de la pièce. Il la porte à son nez, l'hume et la laisse choir.
En décrivant une courbe gracieuse, elle tombe à terre.
Aux pieds de le jeune fille qui contemple silencieusement le jeune homme.
Celui-ci l'aperçoit et d'un mouvement léger, gracieux comme celui d'une panthère, il se retrouve à terre. Il n'a fait aucun bruit.
Il s'approche de le jeune fille qui le regarde comme un dieu, comme son soleil.
Doucement il lui caresse les cheveux puis les joues. Et puis lui enlève des lunettes.
Il défait son chignon….
Les cheveux noirs tombent en cascade sur les épaules de la fille.
Ses cheveux sont magnifiques, ainsi, elle est vraiment belle, magnifique même. Beauté noire et ensorcelante.
Homme : Je te préfère ainsi.
La jeune fille acquiesce.
L'homme l'enlace, la prenant dans ses bras tendrement. Appréciant ce contact, elle se blottit aussi contre lui, recherchant réconfort et tendresse.
L'homme la caresse doucement. Le visage, le dos. Puis doucement ôte délicatement le nœud de sa chemise d'étudiante.
Le corsage ainsi ouvert, il caresse doucement le corps tout en embrassant la jeune fille qui lui répond avec fougue. Il fait glisser son corsage et tout en enlaçant, il l'entraîne vers le canapé où ils se donnent l'un à l'autre.
Dans une chambre étudiante.
La nuit illumine la pièce d'une lumière bleutée. La télévision allumé diffuse un nuage de points noirs et blancs, l'heure est trop tardive pour les émissions.
La lune illumine un instant la chambre.
Nous voyons dans sur la table entre une assiette de cookies à moitié entamée et une assiette vide, un drôle d'animal. Il est gris, il a de grandes oreilles roses à l'intérieur, il porte une sorte de masque sur le visage et ronfle en faisant « Chuchu ».
A côté de lui une télécommande dans la main, Utena s'est endormie sur la table devant la télé à côté de Chuchu.
Un ronflement plus fort que les autres de l'animal, la réveille.
Elle se frotte les yeux bouffis par le sommeil et regarde autour d'elle.
Ne voyant personne, elle éteint al télévision.
Utena : Anthy n'est toujours pas rentrée… Je me demande bien où elle est allée, qui elle est allée voir… Elle ne me parle jamais de ses sorties nocturnes…
Le Lendemain. Au Campus de l'académie OtohoriFilles : KYAAAaaaaaaaa !!
Filles : Regardez, il est là !!
Filles : Il est revenu !!
Filles : ENFIN !!
Filles : SAIONJIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII SEMPAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!
En effet, Saionji fait une entrée plus que remarquée. Il salue doucement en souriant les filles qui s'esclaffent et le regardent avec admiration.
Heureusement pour lui, les cours commençant avant qu'elles aient eues le temps se précipiter sur lui et l'assassiner de questions.
Flash-back
Touga : NON !! NON !! J'ai dit non !! Tu m'entends un peu ??? Tête de pioche ! BAKKKKKKAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!
Touga crie sur Saionji qui l'écoute calmement.
Saionji : Mais Touga… Il faut que je m'entraîne, tu as oublié le tournoi de kendo à la fin de l'année. Je suis leur champion, je ne peux les abandonner…
Touga : NON !!
Il le prend pas le col et lui crie dans les oreilles : NOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNn !!
Saionji : Du calme Touga… J'ai demandé au docteur. Regarde !!
Il lui tend un mot du médecin autorisant son patient à sortir à condition de se ménager.
Touga : C'est bien ce que je te disais !! NON !! Ca se voit que le médecin ne te connaît pas !! Te ménager !!! N'importe quoi !!
Saionji : Je ne peux pas encore m'entraîner mais mon appariation aux entraînements a remonter le moral des troupes. En plus, j'ai raté le début du second semestre, c'est important. Il faut que j'aille en cours sinon je vais avoir du mal à m'en sortir.
Touga : Ane bâté !! PFFFFFFffff !! J'abandonne !! Fais comme tu veux, après va pas te plaindre… Tu m'entends ??
Saionji s'approche de Touga et l'embrassa près l'oreille lui murmure « Tu t'inquiètes pour moi mon beau Touga ?? » dit il en lui lançant un clin d'œil.
Touga : « Toi ! Je te retiens !! » rouge comme une tomate.
Saionji rit aux éclats.
Saionji : Je te promets d'être sage comme une image, Touga, promis !!
Touga : On verra ça ! !! Demain, c'est le grand jour…
Saionji : Qu'y a t-il de spécial ?
Touga : L'anniversaire d'Utena.
Saionji : Je… vois… Tu lui as acheté quelque chose ?
Touga : Oui, j'espère que ça va lui faire plaisir… Je vais aussi l'inviter au restaurant.
Saionji de mauvaise humeur : Pas la peine que je t'attende demain soir alors ??
Touga : Non !! De toute façon, si tu va mieux, je vais retourner chez moi. Je n'ai plus de raison de rester ici.
Saionji surpris : Alors tu refuses ?
Touga : Il faut que j'en parle à Nanami. Et puis, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée. Tu sais… j'ai l'impression d'abuser de toi et de ton hospitalité.
Saionji : Oh non !! Ca me fera plaisir tu sais. Très je t'en prie, reste vivre ici…
Touga : Le problème c'est Nanami, je me vois pas la laisser seule dans cette grande maison… Mes parents ne seront pas d'accord.
Saionji : Elle devrait aussi prendre un logement étudiant. C'est important pour elle de vivre des fois un peu loin de sa famille, pour acquérir sa personnalité, son indépendance.
Touga : Je verrais bien ce qu'elle en dit…
Saionji : Je me charge de la convaincre. Mais, toi, je t'en prie, ne m'abandonne pas !!
Touga est sidéré par le ton implorant de son ami qui le regarde avec des grands yeux légèrement humides et si inquiets.
Il s'approche alors de Saionji jusqu'à le toucher. Celui-ci assis, le prend dans ses bras, alors qu'il reste debout surpris. Comprenant la peine et surtout la solitude inattendue de son ami, il lui caresse doucement les cheveux. Saionji le serre alors plus fort.
Touga : Je m'arrangerai… si ça te fait tant plaisir que ça …
Saionji relevant la tête : Oui !! Bon, allons nous coucher, je suis encore un peu fatigué…
Touga : Tu as intérêt à faire attention à toi sinon je vais me fâcher.
Saionji : Promis, Touga. Oyasumi !!
Touga : Bonne nuit, tête de piaf !!
Fin du flash-back
Ainsi, malgré tout Saionji était retourné à l'académie…
Pour le plus grand bonheur des filles qui béatifiaient et se retournaient sur son passage.
Après une journée fatigante, avec de nombreuses interrogations de la part des autres étudiants mais aussi des professeurs, Saionji en avait profité pour se réfugier dans le calme tout relatif de la salle d'entraînement de kendo.
En effet, le retour de Saionji s'était répandu comme un feu de poudre en pleine brousse, toute l'académie était au courant. « Radio couloir » ou « radio potins » fonctionnaient à fond.
Dans un endroit les célèbres ombres A-ko et B-ko étaient mêmes intervenues [MSOffice1] en ombres chinoises comme à leur habitude.
A-Ko : Sais-tu ? sais-tu ce que je sais ?
B-Ko : Non, je ne sais, non je ne sais !!
A-Ko : Imagine, imagine, imagine une académie…
B-Ko : J'aime pas étudier…. J'aime pas travailler.
A-Ko : Mais la connaissance apporte beaucoup, c'est un trésor si précieux à chérir
B-Ko : mais il n'a aucune valeur ton trésor et c'est pas parce que t'as fait des études que tu trouves un job à la clef
A-Ko : La vérité parle par ta bouche, ô mon enfant…
B-Ko : Alors quel intérêt ??
A-Ko : qui sait ? pour soi-même, avoir des connaissances, avoir une certaine appréhension de l'univers, pouvoir comprendre, deviner, faire et deviner, élaborer des théories, être cultivé…
B-Ko : C'est des fois un fardeau, je pense qu'il vaudrait mieux être lobotomisé parfois. Au moins tu t'interroge pas sur toi-même, ta place dans le monde et la société, ton rôle à jouer dans cette vaste comédie qu'est la vie… Ne pas réfléchir, vivre au jour le jour… Ne pas s'interroger, ne pas savoir, ne pas voir… La connaissance est un fardeau…
A-Ko : Chaque chose a son contre-poids, ses exigences, tu n'as rien sans rien… Sais-tu ? sais-tu ce que je sais ?
B-Ko : Je ne sais qu'une chose c'est que je ne sais rien…[MSOffice2]
Les filles avaient donc sues que le beau et libre Saionji (en effet, depuis sa rupture avec Anthy, les filles lui couraient après, toutes plus empressées les unes que les autres) était revenu, elles s'étaient empressées d'aller le voir, espérant le voir s'entraîner en tenue traditionnelle où il était si sexy notamment quand son yukata laissait voir sa poitrine albâtre…
Les pratiquants de kendo [MSOffice3] étaient largement dégoûtés de tout se monde, les filles piaffant à qui mieux mieux et s'extasiant devant Saionji n'étaient même pas venues une fois les encourager alors qu'ils s'entraînaient si dur, notamment en vue de la coupe du championnat de cette fin d'année.
Mais ils les comprenaient aussi… Saionji était doués, il pratiquait cet art ainsi que d'autres arts martiaux depuis l'enfance, son habilité et sa technique étaient tout bonnement incroyable. L'académie plaçaient d'ailleurs ses espoirs en lui afin de lui remporter enfin une coupe et donc gloire.
Déçues, elles se rendirent vite compte que Saionji ne s'entraînerait pas aujourd'hui. Elles étaient restées jusqu'à ce que l'entraîneur les chasse. Ceci avait permis à tous les sportifs de se réunir et de fêter dignement et tranquillement le retour de leur capitaine qu'ils admiraient tous et aimaient.[MSOffice4]
Pendant ce temps, Jury et Miki se baladaient ensemble, se tenant la même la main. Le dîner de la veille semblait avoir changé pas mal de choses entre eux. Cela faisait plaisir de voir le sourire béat et innocent de Miki et aussi Jury être moins austère voir presque souriante. Saionji et Touga étaient très contents pour ces deux là qu'ils trouvaient assortis, les deux jeunes garçons avaient prévu de se retrouver le soir même pour préparer une petite surprise de leur crue aux amoureux (qu'ils organiseraient pour le week-end).
Quand à Touga, il avait repris ses tactiques d'approche de la non moins célèbre Utena en lui murmurant des « I want you Baby » ce qui la faisait invariablement rougir. Il l'accompagnait partout, à dîner, au cours ensemble…
Utena était à la fois excédée, amusée et flattée de ce petit manège. Elle avait décidé de prendre le taureau par les cornes une bonne fois pour toutes.
Utena : TOUGA !!!!!!!!!!!!
Touga : Oui, délicieuse Utena ? Que puis-je pour ton aimable service ??
Utena : Si tu m'expliquais un peu ce que tu veux, au lieu de me tourner autour.
Touga : Avoue que tu n'aimes pas ça ??
Utena rougissant : Ce n'est pas ce que tu crois…
Touga : Tu sais ce que je croie ? t'intéresserais-tu à moi, ma douce ?
Utena : N'importe quoi !! Alors que me veux-tu ??
Touga : Je te rappelle que c'est toi qui n'arrête pas de me regarder à la dérobade, ce serait plus à moi de te poser le question, non ??
Utena : Tu délires mon vieux !! Ils faut arrêter de prendre tes rêves pour des réalités !! La moquette c'est mauvais pour la santé !! N'IMPORTE QUOI !! Je m'en vais !!
Utena commence à se retourner mais Touga l'attrape par le poignée.
Touga : Tss ! Farouche demoiselle, ne vous en allez pas si précipitamment. Pourquoi refusez d'affronter la réalité ??
Utena : Je te regarde pas !! Tu m'es indifférent !!
Touga : « Au vue d'une réaction si véhémente, je ne peux que me poser des questions, non ? » Dit il en caressant ses cheveux « Magnifique tout comme toi, mon oiseau effarouché »
Utena : Je ne suis pas ton oiseau !!
Touga : « Tu n'aimerais pas que je te fasse chanter ?? » dit il en lui lançant un clin d'œil séducteur.
Utena devient toute rouge.
Touga : « Accordes moi une soirée je te prie, ma belle »
Utena : En échange, tu me laisseras enfin la paix ?
Touga riant : Si c'est ce que tu désires mais je vais et faire changer d'avis.
Utena *Aucune chance mon gars !! * « Bon ce soir ça te va ?3
Touga : Que de précipitation, tu as tant hâte de ma voir ?
Utena : J'ai plutôt hâte de me débarrasser de toi !!
Touga : « Quel humour, très cher. Ce soir, il y a aucun problème » * Saionji se débrouillera bien sans moi * « Je viendrai te chercher chez toi à 20h, cela te convient-il ? »
Utena : Bien… bon, je vais en cours !!
Touga : A ce soir, ma charmante princesse !!
Touga passe la fin de la journée après les cours à se préparer pour la soirée en prévision. Soudain, pris de remords, il écrit un mot à Saionji qu'il laisse en évidence sur la table. Puis, il passe acheter un bouquet de roses rouges et s'en va sonner à la porte d'Utena.
Pendant ce temps, Saionji a assisté à l'entraînement de kendo et a un peu participé afin de ne pas perdre le coup de main.
Quant à Miki, il avait décidé d'avoir enfin une discussion très sérieuse avec sa sœur Kozue à propos de sa jalousie manifeste envers toute personne, et notamment Jury, qui l'approchait.
Jury avait décidé de s'entraîner pour le championnat d'escrime qui devait bientôt avoir lieu et qu'elle rêvait de remporter.
Un coup frappé à la porte. On ouvre. Elle prend ses bagages et ses affaires, d'une longue robe vêtue et part accompagnée de son prince d'une soirée.
Pour ce rendez-vous, Utena s'est mise en robe rose claire vêtue d'un filet long en soie type chinois blanc. Quand à Touga, il a pris un pantalon noir moulant avec un haut court de la même couleur et une veste rouge sang. Tous les deux sont très élégants et bien assortis, d'ailleurs, les gens se retournent sur leur passage.
Utena : Où allons-nous ?
Touga : Je suis ton humble chevalier servant, chère Utena. Où veux-tu aller ?
Utena : Que dirais-tu d'un café-théâtre ?
Touga : Excellente idée !! Cela fait bien longtemps que je n'y suis pas allé mais j'aime beaucoup. Tu en connais de bien ?
Utena : Oui, puisque j'y pense, il y a le 'Boui Boui' [MSOffice5] dont j'ai beaucoup entendu parlé.
Touga : Je te suis.
La soirée ce passe bien. Le café théâtre est dans le vieux Tokyo, la compagnie est agréable et détendue. Les gens boivent du bon vin mais point top n'en faut… Le repas est simple mais de bon goût et surtout, le spectacle est une perle. Une merveille d'humour, excellent. Utena et Touga rient de bons cœurs, oubliant ainsi les soucis quotidiens qui les accablent, déposant leur fardeau un instant. C'est très drôle, léger et humoristique.
Au cours de cette soirée, Utena se surprend à apprécier Touga. Elle est loin du poncif qu'elle imaginait. Il est très intelligent, sa compagnie est fort agréable. Il est beau garçon et très troublant. Elle se surprend à plusieurs reprises à rougir à quelques uns de ses compliments et aussi à lancer quelques regards en sa direction. Il n'y avait pas à dire, il était beau. Il était charismatique et il était très très attirant.[MSOffice6]
Cette soirée se déroulait parfaitement. Après le spectacle, les deux jeunes gens se baladèrent tranquillement dans Tokyo. La nuit illuminait la ville, la rendant encore plus belle. Les monuments et les magasins brillaient à la lueur des néons [MSOffice7] donnant des couleurs orangées, rosées, verdâtres… une véritable symphonie de couleur. Les gens se baladaient, des salary men bourrés comme des coings essayant vainement de se détendre de leur dur labeur et n'ayant que peu envie de retrouver leur femme qu'ils avaient épousé par mariage arrangé. Des étudiants se baladaient à moto faisant le plus de bruit essayant de semer la terreur à force de cris bruyants. Les couples aussi s'accrochaient l'un à l'autre. Les prostituées attiraient le chaland. Quelques magasins épars étaient encore ouvert. Ils allèrent ensuite à un karaoké chanter quelques chansons.
Utena avait passée un très bonne soirée avec Touga qu'elle trouvait décidément très charmant mais aussi troublant. Il lui rappelait quelque fois le prince de son enfance, ce parfum de rose éparse, ce charme, l'impression de confiance et le charisme qui émanait de lui tout cela était indéniable. Et surtout il ne la considérait pas comme un faible femme mais comme une personne en tant que telle, il était toujours très poli. Bref, un vrai prince charmant. Il la raccompagna jusqu'à chez elle.
Touga : Alors ?? comment était-ce ??
Utena : Très bien, cela faisait longtemps que je n'avais pas passé une aussi bonne soirée.
Touga : Tu m'en vois ravi.
Utena ne dit rien le regardant tout en rougissant légèrement.
Touga : Tu m'autorises maintenant à te faire la cour en bonne et due forme ? et à ne plus me rejeter ?
Utena : Euh … Oui… si cela te fait plaisir….
Touga : Parfait, à demain, ma belle !!
Touga partit en agitant la main.
Petit retour en arrière, [MSOffice8] l'entraînement de kendo s'est terminé. Les étudiants sont vraiment ravis du retour de Saionji qui leur a remonté le moral. A la sortie des cours, une jeune étudiante, Elaya, [MSOffice9] la voisine de Saionji et Touga, cartable à la main est là, attendant visiblement quelqu'un. Quand elle voit Saionji, elle se précipité vers lui.
Elaya : « Saionji, par là !! » dit elle en agitant la main.
Saionji : Elaya ?? !! Que fais-tu ici ?
Elaya : J'ai été admis dans votre académie. J'ai aussi appris que tu étais l'un des tenants du titre de kendo. Je suis impressionnée…
Saionji : J'aime beaucoup le kendo, je trouve cela si reposant, un exercice du corps et de l'âme.
Elaya : Cela m'étonne pas de toi. Tu permets que l'on rentre ensemble ? Je connais pas encore grand monde vu que c'est mon 1er jour ici, et puis nous sommes voisins.
Saionji : Pas de soucis.
Sur le chemin, ils discutent activement. Elaya est une jeune fille directe, dynamique, pleine d'entrain et gaie elle rêve de faire carrière comme journaliste et aussi comme écrivain.
Elle adore d'ailleurs raconter des histoires, elle s'est déjà essayé à quelques nouvelles dont un a retenu l'attention d'un magazine qui compte la publié ce dont elle est ravie ce complément d'argent n'étant pas de refus. Les deux jeunes gens discutent activement, ils en profitent pour faire les courses aussi.[MSOffice10]
Ils se séparent, promettant de se revoir car Elaya s'est gentiment proposée pour aider les deux jeunes garçons à organiser une soirée spéciale pour Jury et Miki, qu'elle rencontrera à l'occasion, enfin après avoir tellement entendu parler d'eux par Saionji et Touga mais aussi dans l'université.[MSOffice11] .
Seul, Saionji trouve le mot de Touga lui indiquant qu'il rentrera tard pour cause de rendez-vous amoureux. Soupirant, Saionji froisse d'un mouvement colérique la lettre et l'envoie directement dans la poubelle en s'écriant « Panier !! »
Malgré tout, il est triste. Quelques instants plus tard, il sonne chez sa voisine qui lui ouvre surprise.
Elaya : Saionji ??
Saionji : Touga m'a planté là, j'ai pas trop envie de manger seul. Alors je me disais que… si t'avais rien de prévu… qu'on aurait pu…
Elaya : Bien sûr !! Pas de problème !! Je vais te faire goûter ma spécialité : les nems faits maison. Tu aimes ?
Saionji : Ce sera parfait, merci beaucoup Elaya… T'es une chic fille !!
Elaya rit à cette remarque, les deux jeunes gens discutent et mangent tranquillement.
Elaya : Ca te dit de voir une cassette vidéo ? Je l'ai loué hier ?
Saionji : Que me proposes-tu ?
Elaya : Shrek[MSOffice12] !!
Saionji : Pourquoi pas ? je l'ai jamais vu après tout !!
Elaya : Bien allons-y !!
Après le film… Elaya : Dis moi Saionji, j'ai une question à te poser ?
Saionji : Oui, je t'écoute…
Elaya : Es-tu amoureux de Touga ??
A suivre…
Je sais je suis diaboliquement cruelle de vous faire finir sur cette interrogation mais il faut que je vous encourage à suivre ma fic, ne ?? Alors que va répondre Saionji ? Que va t-il se passer ensuite . Utena va t-elle tomber amoureuse de Touga qui semble être son adversaire désigner pour le 4ème duel ? Et que va dire Anthy de tout ça ?? Bref, et plein d'autres questions que vous vous posez certainement[MSOffice13] , ne ?
A la prochaine ^^
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[MSOffice1] (Chris : je sais je les
ai oubliés celle là, que voulez vous, le cerveau est pas toujours opérationnel.
Saionji : parce qu'il a été ?? Chris : mmm, bonne question à 1 000 000 points Saionji : et c'est quoi la réponse ? . Si j'ai 1 million de points, je peux m'en aller ?? Chris : bah t'as pas bien avec moi ??
Saionji : C'est long ton truc !! j'en ai marre d'être le pauvre cloche de service Chris : mais t'es le héros de mon histoire Saionji : m'en fous !! alors t'as un cerveau ? Chris : biologiquement, j'en ai besoin donc oui Saionji : ça c'est de la réponse Chris : ^^ paraît qu'il fume même
Saionji : tu m'étonnes….. Ca marche du tonnerre en plus
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[MSOffice2] Alors, celui qui
a deviné à quoi mon génialissime cerveau a pensé (quoi il est pas génial le
cerveau ??? non ??? bon ok, il est pas génial, je m'en va) et a fumé
pour pondre ça. Bref, si vous voyez ce que je veux dire et le rapport obscur
(au secours) avec sa fic à le droit à une dédicace (Saionji : tu parles
avec ça comme carotte, personne va te répondre Chris :
ORO ?? mais tu veux que je donne quoi, ma chemise ? Saionji : tu parles elle est élimée,
laisse tomber, dédicace !!
Chris : savait que t'allait dire ça, t'es chou !! Cœur ^^ Saionji : MDR !! Au secours !!)
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[MSOffice3] je ne sais pas
comment ça s'appelle ? des kendokas ??
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[MSOffice4] en tout bien
tout honneur !!! à quoi vous pensez hein ??
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[MSOffice5] Le 'Boui Boui'
est un café théâtre de Lyon assez sympa pour le peu que j'y suis allée.
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[MSOffice6]
TOUGAAAAAAAAAAAAA !! je craque aussi pour ce perso !! Yeux en forme
de cœur. Veux le même à la maison
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'" [MSOffice7] A Tokyo il y a
peu très peu de lampadaire, ce qui éclaire la ville, c'ets els néons des
magasins.
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'" [MSOffice8] Ben oui, j'en ai
oublié un de perso en cours de route, je vais pas le semer
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'" [MSOffice9] je répète que
c'est un personnage de mon cru !!
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'" [MSOffice10] Ben ouais, le
frigo il se rempli pas tout seul ,,
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'" [MSOffice11] Ils sont super
célèbres dans le DAN alors dans la fic aussi
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'" [MSOffice12] C'est le
dernière vidéo - hors animation
japonaise je précise - que j'ai vu, c'est pour ça je sais je ferais
mieux la prochaine fois !!
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'" [MSOffice13] N'hésitez pas à
les poser à l'auteur, en l'occurrence moi, je vais voir si je peux semer des
indices pour vous répondre ou faire des « scènes spéciales »