Un jour peut-être
Titre : un jour peut-être (les titres c'est pas ma spécialité, je tiens à le dire ^^)
Inspiration : Shojo Kakumei Utena – avec une très libre inspiration des personnages, gomen ^^ + mon imagination débile qui fait beaucoup et qui ajoute son grain de sel à tout propos !!
Personnages : Tenjou Utena Himemiya Anthy Akio Otohori Kiryuu Touga Saionji Kyouichi Juri Arisugawa ; Miki Kaoru et d'autres certainement !!
Les personnages sont pas à moi sauf Elaya, Naoe et les gars du bar gay où travaille Saionji.
Auteur : chris chrisanimefan@yahoo.fr
Couple : Jury X Miki déclaré Genre : vous avez qu'à deviner
Conventions : *indique les pensées des personnages*
Déclaration de l'auteur : à la demande de l'un de mes lecteurs (qui a dit que je vous écoutais pas ??), je fais une petite digression pour approfondir la relation Elaya Naoe ^^ j'espère que ça lui plaira et à vous tous aussi chers lecteurs ^^
Dédicace : MERCI mais alors MERCI ^^ à toutes les personnes qui m'encouragent et suivent cette fic fleuve ^^ Je vous aiment vous savez ?? Sérieusement, vous êtes adorables ^^ je dédicace donc cette fic et ce chapitre –je sais pas si vous l'aimerez- à vous ^^ MERCI^^
Je cite euh tiens, je sens que mon cerveau va faire court-circuit, si j'oublie quelqu'un mes plus plates excuses mais mon cerveau entame une phase irrémédiable –ce à mon grand regret- de décadence vers la vieillesse, bref il fonctionne pas super
Alors, je dédicace à Camille, Catherine, Céline, Mathieu et Mélanie en particulier (ordre alphabétique – pas de jaloux – il manque quelqu'un mais qui ??? – cerveau au chômage)
Chapitre 23 la roue du destinTouga sanglotant : Saionji….
Touga pleurait de façon incontrôlé contre la chemise de Saionji à laquelle il s'accrochait désespérément. Ce dernier portait son ami, l'homme de sa vie.
Une fois sorti de l'académie, il héla un taxi qui les ramenèrent dans leur appartement.
La course payée, Saionji prit de nouveau Touga dans ses bras et l'emmena dans l'appartement.
Il le posa doucement sur le lit. Il lui fit un tendre baiser sur le front. Et s'apprêta à sortir quand Touga le retient en tenant un bout de sa chemise flottant en-dehors du pantalon.
Voyant le regard désespéré de son ami, il l'entoura de ses bras et entreprit de sécher ses larmes en les tamponnant avec sa chemise, seule morceau de tissu à sa disposition.
Saionji : Touga… Je ne vais pas partir ni te laisser mon ange… Juste te faire couler un bain… Ce sera mieux. Touga….
Voyant son ami pleurer, il se met à l'embrasser sur ses larmes ce qui ne fait que de les augmenter. Il l'embrasse alors sur la bouche très doucement et chastement surprenant Touga qui s'arrête de pleurer.
Saionji souriant avec douceur : Voilà qui est mieux… Touga, je te le jure, plus jamais il ne te touchera et ne te fera de mal, d'accord ??
Touga hoche la tête.
Saionji : C'est bien.
Il le prend alors dans ses bras contre lesquels Touga se blottit se sentant enfin en sécurité.
Ils restent quelques instants sans parler ni bouger, Saionji caressant avec douceur les joues encore humides de son ami.
Puis doucement, Saionji écarte Touga et le prend par la main. Il l'amène dans la cuisine où il lui sert à boire.
Saionji : Bois un peu, tu as tellement pleuré que ta gorge a du se dessécher. Je m'occupe de ton bain, d'accord ? ?
Touga le fixe quelque peu incrédule, s'apercevant qu'en effet, il se met à boire. Saionji l'embrasse sur le front puis part. Touga fixe la porte par laquelle il vient de partir.
Il repense et frisonne encore de ce qui lui est arrivé.
Flash backAkio : Ton prince charmant va bientôt arriver… Profitons en pour discuter encore un peu veux-tu ?? Je me pose une question vois tu.
RéalitéTouga : % Non non………. Non… arrêtes !! %
Touga se met à gémir tout en se prenant la tête.
Flash backAkio : Je me demande comment Saionji va réagir vois tu… Après tout, maintenant tu es souillé.
RéalitéTouga : % comment il va réagir ??? comment ???? je ne sais pas…. Oh je ne sais pas.. je ne sais plus…. Que dois je faire ??? Pourquoi ??? oh que cette lame est tentante.
Flash backAkio : Parce que tu crois que ton cher Saionji va vouloir de toi maintenant ?? Tu es sale !!
RéalitéTouga : % tu mens… tu mens…. Non…. Dis moi que tu mens.. dis mois que ce n'est pas vrai… %
Flash backAkio : Parce que tu crois que ton cher Saionji va vouloir de toi maintenant ?? Tu es sale !!
RéalitéUn rire sadique, sarcastique et sardonique se mit à raisonner dans sa tête, il se mit à pleurer, serrant plus fort sa tête dans ses mains espérant stopper le son de ce rire, de cette voix…
Il se mit à se balancer et tomba à genoux par terre. Touga se remit à pleurer…
Flash backAkio : Parce que tu crois que ton cher Saionji va vouloir de toi maintenant ?? Tu es sale !!
Réalité
Touga : % tu mens… %
Voix : Non, tu sais bien que non… Il ne voudra pas de toi. Tu es sale, tu es souillé !! AH HAAAAAA !!
Touga : % je ne veux pas… arrêtes %
Voix : Trop tard !!
Touga : % pourquoi ??!! Laisse moi seul… pourquoi ??!! Saionji !!! % Saionji !! SAIONJI !!
Aux cris de Touga, Saionji accourut pour voir se dernier prostré à terre, le verre cassé, un morceau dans sa main, une partie de son bras en sang et lui pleurant.
Saionji : TOUGA !!!
Le cri de Saionji raisonna comme un écho. Il fut bientôt aux cotés de Touga, s'agenouilla à terre, déchira immédiatement un pan de sa chemise bandant la plaie.
Touga continuait à pleurer se prenant la tête dans les mains et murmurant des non sans fin en une litanie continuelle.
Saionji le pris dans ses bras, enleva ses mains de sa tête les serrant dans la tête. Il se mit à bercer doucement Touga lui chantant avec douceur une berceuse.
Au bout de quelques instants, Touga arrêta de gémir se blottissant encore plus contre Saionji cherchant chaleur, réconfort et amour.
Saionji le pris dans ses bras, l'emmenant dans la salle de bains.
Saionji : Touga, je t'en prie, dis moi ce qui te tourmente… Je t'en prie. Ca me fait mal de te voir ainsi… Oui, très mal… je t'en prie. Confie toi à moi…
Touga le regardait d'un air perdu.
Saionji : Tu as confiance en moi, n'est-ce pas ??
Touga hocha doucement la tête.
Saionji : Jamais je ne te ferai de mal. Jamais je ne laisserai Akio te toucher et te tourmenter encore…. Je t'en prie, laisse moi t'aider…
Voyant Touga baisser le regard, Saionji pris doucement le visage de celui-ci dans sa main.
Saionji : Je t'aime Touga.
A ces mots, Touga frémit et referma ses bras autour de Saionji qui l'embrassa doucement et tendrement les mains léchant la blessure.
Au bout de quelques instants, Touga finit par se calmer.
Saionji : Je suis là pour t'écouter. Je ne veux pas te forcer à te confier à moi mais je suis là… Je suis là pour toi. D'accord ??
Touga le regarde dans les yeux et hoche la tête.
Saionji : Le bain est prêt. Brûlant comme tu les aimes.
Saionji se dirige vers Touga et commence à lui enlever la chemise qu'il lui a prêté.
Celui-ci fait un bond en arrière comme un animal apeuré. Saionji le regarde blessé.
Il commencer alors à se déshabiller sous les yeux éberlués de Touga quelques instants plus tard il est nu.
Saionji : A toi maintenant mon ange.
Touga frémit à ses mots, ne réagit pas. Saionji s'approche alors, il l'embrasse près de l'oreille et lui murmure.
Saionji : Tu veux que je t'aide ??
Touga se met à rougir, Saionji commence alors à lui déboutonner sa chemise, il frémit, serrant ses poings, se forçant à ne pas réagir. Une fois torse nu, il reçoit alors un tendre baiser sur la bouche auquel il répond avec empressement.
Il est en train d'être lavé des baisers d'Akio, de ses lèvres qu'il sent encore brûlantes et telle la peste sur son corps, autant de blessures, de toucher immonde, de répulsion pour lui, pour son corps. Mais Saionji est si tendre et si bon. Il s'aperçoit alors qu'il désire fortement celui qu'il a toujours considéré comme son meilleur ami.
Il approfondit le baiser, sa langue explorant avec délice le palais de Saionji, celui-ci répond ardemment au désir de Touga. Puis doucement, ils se détachent haletants tous les deux, Saionji finit de déshabiller rapidement Touga et l'entraîne vers le bain.
Il commence alors lui frotter doucement le dos avec une éponge, Touga se laisse aller, les gestes de Saionji sont doux. C'est agréable, oui, très.
Il sent de temps en temps des baisers ponctuer les gestes de son ami.
Et malgré ce qui s'est passé, son désir monte lentement.
Au bout de quelques instants, il insiste pour frotter le dos à un Saionji surpris qui se laisse faire.
Au bout de quelques minutes et après avoir joué à une bataille navale, les deux jeunes gens sortent, Saionji enveloppe aussitôt Touga dans un peignoir frais puis le traîne dans leur chambre. Il rapproche les deux lits pour qu'ils n'en fassent plus qu'un.
Saionji : Touga, fais moi confiance, je ne vais pas te faire de mal, je te le promets mais laisse moi enlever le goût de ce qui s'est passé, laisse moi le remplacer par le désir et sa satisfaction, laisse moi t'aimer. J'ai envie de toi, très. Je ne te forcerai pas mais il ne faut pas que tu te bloques sur ce qui s'est passé. Laisse moi te prouver que faire l'amour est aussi un acte de partage et d'affection, pas quelque chose que l'on vole et que l'on prend sans consentements.
En disant ces mots, Saionji commencer à caresser doucement le corps de Saionji à travers le peignoir.
A la fin de son discours, il l'embrasse tout d'abord timidement sur la bouche puis passionnément. Au début, Touga pétrifié par la peur se mit à frissonner.
Saionji l'attira alors contre lui et finit de le déshabiller avec douceur.
Il l'allongea sur le lit, caressant son visage.
Au bout de quelques instants, Touga se laissa faire. Il sentit alors les mains de Saionji descendre vers sa gorge ponctuant ses caresses de baissers et le léchant aussi tendrement.
C'était si bon, si doux…
Toutes les caresses et les baisers de Saionji montraient à Touga à quel point il tenait à lui, à quel point il l'aimait. Touga sentait tout cela.
Il finit par se détendre appréciant le contact si plaisant, si doux, et pourtant enivrant et existant à la fois. Un mélange de contraste, sa respiration s'accéléra.
Il se mit bientôt à gémir et à haleter et à répondre à tous ces gestes.
Saionji : « Déshabille moi, s'il te plaît » dit il en lui mordillant l'oreille.
Touga s'exécuta et observa Saionji nu sentant alors une vague de désir déferler sur lui, le submergeant tout entier. Bientôt, il s'abandonna et répondit à ses gestes. Ils firent l'amour lentement et tendrement, Saionji répondant aux moindres désirs de Touga.
Celui-ci n'avait jamais rien connu de tel, une passion, un désir. Il sentait son propre désir et celui de son compagnon. Pour le première fois de la vie, il n'était pas le seul à agir. Saionji le caressait, l'embrassait et l'excitait. Il agissait et lui ne pouvait que répondre à tous ses signes. Il se sentit très heureux quand ils jouirent en même temps et ne tarda pas à s'endormir blotti dans les bras de Saionji.
Il l'avait toujours considéré comme son ami, il était devenu en un soir, le soir où tout avait basculé, bien plus que ça. Il était devenu son amant et cher à son cœur car il lui faisait confiance et savait que jamais Saionji ne le trahirait.
Oui, il avait confiance en son amour.
Il s'endormit le sourire aux lèvres.
Le LendemainTouga se retourna dans son lit. Il avait froid et cherchait désespérément à se réchauffer dans les bras de son compagnon. Il avait beau se retourner comme une crêpe[C1] , il ne trouvait rien et surtout personne. Il se mit à tâtonner dans le lit pour ne rencontrer que le vide.
Grommelant, il se mit à la recherche du réveil.
Où pouvait il bien être ?? Ah là !! sur la commode, il le pris, ouvrit un œil pour constater l'heure : 9h00 !
Il se leva aussitôt.
Touga : QUOI !!??? Déjà si tard ?? merde je suis en retard !! mais pourquoi Saionji ne m'a pas réveillé ?? Saionji !! Saionji !! Saionji ?!! Où es-tu ??
Touga se mit à rechercher son ami, il atterrit [C2] dans la cuisine pour trouver sur la table une corbeille recouvert d'un torchon jaune et rouge à pois[C3] .
Il s'avança, hésitant, remarqua une lettre qu'il prit et lit.
Lettre : « Touga, bonjour.
J'espère que tu as bien dormi.
Je pense que tu as deviné que j'y suis allé.
Je sais tu m'as toujours maintes fois répétés que mon sens de l'honneur et la rigueur à tenir mes promesses étaient plus qu'exaspérant.
Mais je ne permettra pas qu'on te fasse de mal ni qu'on te touche, surtout lui.
N'aie pas peur. Je vais battre Utena et après je reviendrais m'occuper de toi, mon amour.
Aie confiance, je t'ai préparé ton petit déjeuner, n'oublie pas de le manger.
Repose toi, j'ai prévenu l'académie que tu avais un rhume et que tu serrais absent pour quelques jours. Bon appétit !!
Tu sais que tu es à croquer quand tu dors, mon ange ??
Je t'aime. Saionji »
Touga rougit quelque peu en lisant la lettre pleine d'affection que lui avait adressé Saionji.
Touga : Le fou !! Il faut que j'y aille !! Je ne peux le laisser seul, je veux être là pour le soutenir. Saionji, pourquoi ne m'as-tu pas réveillé ?? BAKA !! Je vais et sonner les cloches !!
Touga se précipite sous la douche, après s'être habillé, il prend la corbeille puis le bus où il déguste le petit déjeuner amoureusement préparé par son ami. Enfin il serait plus juste de dire amant mais il n'arrivait pas y penser dans ses termes là.
Quelques temps auparavant – Académie OtohoriLa cloche sonne, les élèves rentrent.
Sauf Saionji et Utena.
Le matin même, Saionji a attrapé Utena par la main et lui a tendu une rose blanche.
Saionji : Utena, je te défie en duel ce matin. Maintenant.
Utena : Comment ??!! Mais pourquoi ?? Saionji, je ne comprends pas.
Saionji : Je n'ai pas le choix et je gagnerai.
Utena soupire.
Utena : Comme tu le désires mais j'avoue être déçue. Je ne pensais pas que ce serait toi mon dernier opposant malgré cette lettre que j'ai reçu. J'ai toujours pensé que tu refuserais car tu es contre ces duels n'est-ce pas ? Alors pourquoi y prendre part ?
Saionji soupirant : J'ai promis et je tiendrais ma promesse, maintenant allons-y veux tu ??
Utena : Je suis bien obligée. Le dernier duel, enfin Anthy sera libre. Elle sera libre, elle en sera plus la fiancée de la rose !! Et il n'y aura plus de promise ni de révolution du monde. Anthy deviendra une fille normale. C'est tout ce que je désire. Peux-tu en dire autant de tes buts Saionji ?
Dans l'arèneIls montent dans l'arène rejoint par Anthy, Miki et Jury, seul Touga est absent.
Utena : Où est Touga ? C'est le seul qui manque. On ne peut commencer sans lui.
Saionji : Il ne viendra pas.
Les cloches sonnent, un son de guitare étouffé se fait entendre.
Saionji : Prête Tenjou Kun ?
Utena : Anthy prépara l'épée, c'est notre dernier duel.
Utena s'approche d'Anthy, lui caressant la joue, elle lui prend ses mains.
Utena : Ai confiance en moi Anthy. Je ne te laisserai personne ne te faire du mal, nous resterons ensemble, je gagnerai. Après ce duel, ce dernier duel, enfin, tu seras libre, tu seras une jeune fille comme les autres. Je te le promets, je gagnerai, tu as confiance ??
Anthy lève vers elle son regard vert profond et la regarde avec douceur et lui sourit, ne disant rien.
Utena : Bien, allons-y, préparons le duel.
Une musique commence à résonner.[C4] Une voix grave s'élance dans l'air.
Nanimo motomeruna Sugu ni nozomu darou
Subete te no hira de kieru Yokumo nanda tanoshimu ga ii
Utena : Saionji prépare toi.
Utena a l'épée de Dios en main. Saionji prend son sabre.
Saionji : Je t'attends, Utena.
Le duel commence.
Dame rau koto naku Mizukara meijite EstE[C5]
ESTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeeeee
Saionji se concentre, murmure une prière silencieuse envers le ciel et se lance vers Utena qui se prépare à l'affronter.
Utena : Je gagnerai !
Saionji : Je dois gagner !
La première confrontation n'aboutit à rien, de nouveau les adversaires s'élancent l'un contre l'autre. Saionji commence à prendre légèrement l'avantage.
Utena est essoufflée.
Nanimo hajirauna Sugu ni somaru darou
Douse nijinmo nokorazu Kiete ikunda anadau ga ii
Utena se précipite vers Anthy en faisant un salto arrière appelant ANTHY.
Utena : ANTHY, donne moi le pouvoir de Dios.
Anthy tend les mains vers l'épée, la caresse doucement, celle-ci prend une lueur rouge.
Aussitôt, elle se dirige vars Saionji, bientôt, la tendance est renversée. Saionji a fort à faire pour repousser les attaques d'Utena, toujours plus vive, toujours plus proche de sa rose.
Saionji : Je ne peux pas perdre.
Saionji réussit à stopper au dernier moment l'épée d'Utena, ils se retrouvent proches, l'épée à la main, chacun essayant de faire plier l'autre par sa force et sa volonté.
Furueru se naka ni tsuki ga michi kakeru EstE[C6]
ESTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeeeee
Utena : Saionji pourquoi te bas-tu ?? Tu n'as personne à protéger !! J'ai Anthy. Pourquoi la veux-tu encore ?? Je croyais que tu avais quelqu'un, tu me l'avais dit !! Pourquoi la veux-tu ?? Ce n'est pas une poupée, ce n'est pas un objet.
Saionji : Je sais !! Ce n'est pas Anthy que je veux !! Peu m'importe Anthy, elle n'est rien pour moi !!
Utena est surprise par ces mots, elle voit Saionji pleurer.
Saionji : Mais je ne te laisserai pas gagner !! Jamais.
Dame rau koto naku Mizukara meijite EstE[C7]
ESTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeeeee
Saionji appui alors d'un coup sur son sabre plus lourd que celui d'Utena.
Dame rau koto naku Mizukara meijite EstE[C8]
ESTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeeeee
Furueru se naka ni tsuki ga michi kakeru EstE[C9]
ESTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeeeee
Dame rau koto naku Mizukara meijite EstE[C10]
ESTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeeeee
ESTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeeeee
ESTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEeeeeee
Touga arrive à ce moment sur l'arène pour contempler le combat éberlué.
Il lui arrache alors l'épée d'un habile coup, l'envoyant. Ne perdant pas de temps, il arrache aussitôt à la main la rose blanche d'Utena et l'écrase dans sa main, les pétales blancs se répandant dans le vent. Utena est choquée. Saionji n'en croit pas ses yeux.
Soudain la musique cesse. Les cloches sonnent à toute volée, des roses de toutes les couleurs : jaune, roses, blanches, noires, rouges, bleues… tombent du ciel tout doucement.
Saionji a gagné.
Dans une tour, des jumelles ont observées toutes la scène, le propriétaire se lève souriant et applaudit.
Akio : A mon tour d'entrer en scène maintenant et de révolutionner le monde.
Dans l'arèneLes roses continuent de tomber.
Les duellistes et leurs spectateurs ne sont pas encore remis de leur surprise.
Soudain une lumière aveuglante provenant du château illumine la scène.
Utena : Mon sabre !!
En effet, le sabre de Dios vient de disparaître des mains d'Utena en fragments de mille lumières. Il réapparaît quelques secondes plus tard, à la stupéfaction de tous, dans les mains de Saionji qui le laisse tomber à terre comme s'il le brûlait.
Touga se précipite dans les bras de Saionji.
Dès que le sabre de Dios est tombé à terre, une musique résonne.[C11]
Une musique douce, transcendante, enveloppante comme un cœur d'ange.
Aie aie ai aiddies tris….ahhhhhhhhhhhhhhhhh
Aie y aie aie yyyyyyyyy o magnes parm… parm ia yy yyyyyii ii ooahhhhhhhhhhh
Magie… light….
Touga : Saionji, tu vas bien ??
Touga enlace son ami, il est légèrement inquiet.
Saionji : Touga, que fais tu ici ??? Tu devais rester au lit. Tu as vu ?? j'ai gagné !!
Touga : Pourquoi ne m'as tu pas réveillé ?
Saionji : Tu as besoin de te reposer.
Touga : Tu aurais dû, tu es vraiment odieux quand tu t'y mets.
Saionji : Comment ça odieux ??
Touga : Oui… Tu ne m'as pas demandé si je voulais t'accompagner. Ce n'est pas gentil ça. Je voulais te soutenir.
Saionji : Pardonne moi.
Touga se blottit plus étroitement contre Saionji qui resserre ses bras sur la taille de son ami.
Utena : Saionji ?
Saionji : Désolé, Utena, je suis désolé. Mais tu sais je ne veux pas Anthy ni de ce pouvoir, je n'ai pas eu le choix, tu sais, crois moi.
Utena : Je ne sais pas. Et Anthy ??
Saionji : Demandons lui son avis.
Les tambours résonnent, la musique s'intensifient comme une vague gonflante. Devenant plus forte, envahissant tout, les personnes et les objets.
Aie aie ai aiddies tris….ahhhhhhhhhhhhhhhhh
Aie y aie aie yyyyyyyyy o magnes parm… parm ia yy yyyyyii ii ooahhhhhhhhhhh
Magie… light….
La chute des roses s'accélèrent, toutes celles qui sont tombées commencent à former un tapis qui recouvre l'arène, arrivant au pied de tous le monde. Elles tombent, tombent encore, virevoltant au vent. Elles sont des milliers, des dizaines de milliers, des millions, et puis enfin des milliards. Tombant, toujours en chute libre, encore et encore, sans discontinuer.
Utena et Saionji se tournent vers Anthy qui serre dans ses bras l'épée de Dios.
Utena : Anthy ??
Soudain, un vent souffle.
Aie aie ai aiddies tris….ahhhhhhhhhhhhhhhhh
Aie y aie aie yyyyyyyyy o magnes parm… parm ia yy yyyyyii ii ooahhhhhhhhhhh
Les pétales tombent dans les yeux de tous le monde qui doivent se servir de leurs mains comme abri pour leurs yeux.
Anthy serre fort l'épée de Dios, elle se relève.
Puis soudain, dans un coin apparaît un portail ayant un halo vert.
Anthy sourit et y court.
Elle disparaît à l'intérieur.
Le portail disparaît soudainement après une lumière verte qui illumine la scène.
Tous le monde est éberlué.
La musique commence à retomber doucement mais les roses tombent toujours plus, elles sont arrivées aux genoux des duellistes.
Utena : Anthy ! ANTHYYYYYYYYYYYYYYYY !! Anthy reviens !!
Jury : Il faut qu'on sorte d'ici sous peine d'être noyé sous les roses.
Utena : Et Anthy ?
Miki : J'espère qu'on la retrouvera plus tard.
Jury : « Tu ne vois pas qu'elle nous a trahi »dit elle en giflant Utena.
Touga s'approche suivi de Saionji.
Touga : Les filles, je vous en prie, ce n'est pas le moment de vous disputer, il faut sortir d'ici.
Miki : Touga a raison.
Utena : Par où ?
Saionji : Regardez !! le portail est reparu. Utena, vas y en premier et essaye de raisonner Anthy.
Aie aie ai aiddies tris….ahhhhhhhhhhhhhhhhh
Aie y aie aie yyyyyyyyy o magnes parm… parm ia yy yyyyyii ii ooahhhhhhhhhhh
Utena se précipite et disparaît avec le portail. Les roses sont jusqu'à la taille des protagonistes.
Saionji : Jury, Miki, vous irez ensemble. Nous n'aurons pas le temps d'y aller un par un. Les fleurs vont finir par envahir l'arène bientôt. Nous n'avons pas le temps d'attendre. Préparez-vous !!
Miki : Et vous ??
Saionji : Nous irons ensemble.
Miki : Vous aurez le temps ?
Touga : Miki, Jury, allez-y, le portail est là !!
Jury : A tout à l'heure !!
Ils disparaissent aussi, le portail aussi.
Touga se blottit contre Saionji.
Touga : Je me demande où tout cela va nous mener ??
Saionji : Dans le château je pense.
Touga : Pourquoi Anthy a t-elle fait tout cela ??
Saionji : Tu n'as pas deviné qui était les confins du monde ?? Nous sommes manipulés depuis le début, je m'en rend compte maintenant.
Touga : Akio ?
Saionji : Oui, Akio, le vice-président de notre académie est derrière tout cela.
Touga : Pourquoi ??
Saionji : Je ne sais pas encore. Tu es prêt ??
Touga : J'irais au bout du monde avec toi, restons ensemble.
Saionji sourit doucement et embrasse Touga sur le front qui lui sourit en retour.
Les roses arrivent au niveau des épaules des deux garçons.
Saionji : Allons y !!
Saionji et Touga disparaissent.
L'arène est recouverte de roses, la musique et les cloches s'éteignent en même temps.
*** *** ***
A suive ^^ Encore ?? ben oui encore !! Le scénario n'est pas fini ^^ ça vous a plus ?
Quelque chose à dire ??? des commentaires ? Des questions ?? des fraises tagada ??
Encore un peu de patience.
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\# "'Page : '#'
'" [C1]Super la
comparaison
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\# "'Page : '#'
'" [C2]par un vol direct, ok
c'est nul J
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\# "'Page : '#'
'" [C3]qui a deviné la superbe
référence à –50 euros ??
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\# "'Page : '#'
'" [C4]pour ceux qui
connaissent, c'est EstE, la chanson de Crawford dans Weiss Kreuz.
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\# "'Page : '#'
'" [C5] Les larmes blessantes
me ravagent tous le temps et mes propres désirs sont mis de côtés. EstE – traduction
approximative.
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\# "'Page : '#'
'" [C6] Traduction
approximative : Tremblant, je me retourne et je ne peux voir la
rédemption. Jamais…. EstE
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\# "'Page : '#'
'" [C7] traduction : Les
larmes blessantes me ravagent tous le temps et mes propres désirs sont mis de
côtés. EstE –
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\# "'Page : '#'
'" [C8] traduction : Les
larmes blessantes me ravagent tous le temps et mes propres désirs sont mis de
côtés. EstE –
PAGE
\# "'Page : '#'
'" [C9] Traduction
approximative : Tremblant, je me retourne et je ne peux voir la
rédemption. Jamais…. EstE
PAGE
\# "'Page : '#'
'" [C10] traduction : Les
larmes blessantes me ravagent tous le temps et mes propres désirs sont mis de
côtés. EstE –
PAGE
\# "'Page : '#'
'" [C11]il s'agit de
« Awake » d'Aquarian Age dont j'ai pas les paroles donc ces dernières
sont devinées.