Tout brûler, ne rien laisser

Auteur : Chris (chrisanimefan@yahoo.fr) – c'est moi ^^ et vi encore !!

Titre : Tout brûler, ne rien laisser. C'est le titre de Catherine, il est sympa ne ??

J'avais pensé à « Manipulations et machinations » mais finalement l'idée de Catherine me plaît bien, on peut mettre plein de choses !!

Série : Gensomaden Saiyuki

Disclamer : Je ne me fais pas d'argent avec cette fic. Quoique si vous êtes un charmant jeune homme j'accepte les dédommagements en nature et si vous êtes une fille, prêtez-moi vos mangas et on sera quitte. Bref, Minekura Kazuya a le copyright de Saiyuki. Allez dit, sois gentille Kazuya chéri, dis que je peux en prendre un mais juste un. Allez, vous êtes tous témoins, elle a dit oui. YATTTTTTTTTTAAAAAAAAAaa !!

KOUGAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIJIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Choupi, tu sais que je t'aime toi ?? Embrasse et saute sur Kôgaiji. MIAOU !!

Couple : surprise pour l'instant, vos paris ?? (par curiosité professionnelle dirons-nous)

ALORS VOS COUPLES ??

Genre : euh euh yaoi, shonen ai et intrigues à gogo, d'autres questions ?

Dédicace et déclarations de l'auteur : Pour Catherine, affectueusement ^^ Merci de supporter, de me supporter et de lire mes interminables fics et de m'encourager. Comment tu fais ?? je suis admirative !! Sinon j'aime Kôgaiji, il est trop, bref il est rien que pour moi, pas touche !! J'aime bien aussi les autres. Vous inquiétez pas, je suis un peu à jeter.

Dédicace pour tous les fans de Saiyuki ^^

Convention:  *pensées *   % souvenir, souvenir % (comme d'hab quoi ^^)

NB : j'ai pas envie de mettre des titres de chapitres, pas grave ??

Pour ceux qui ne savent pas à quoi ressemblent les personnages, me demander !! j'ai des images

Résumé : toujours pas

Chapitre 7[C1]

Flash Back – début -

Hakkai et Sanzo se regardent.

Hakkai : Les deux affaires me semblent liées.

Sanzo : A moi aussi. A quoi ressemblait cet homme ??

Gréogorio : Un homme avec des lunettes aux cheveux noirs courts.

Hakkai : Vous ne souvenez rien d'autre ?

Gréogorio : Si. Il portait une blouse blanche. Et il avait un lapin en peluche à la main.

Hakkai : Vous a t il dit son nom ?

Gréogorio : Attendez que je me souvienne. Oui, ça y est, il disait être professeur et s'appeler Nii.

Les quatre jeunes gens se regardent.

Hakkai + Sanzo + Goku + Gojyo : Nii ??

Gréogorio : Vous le connaissez ?

Hakkai : Pas particulièrement.

Gojyo : Nous sommes ennemis vrai dire.

Flash Back – fin –

Hakkai était assis sur l'un des lits de la chambre d'hôtel, il réfléchissait à ce qui s'était passé, à leur aventure dans le désert…

Pour lui, cela ne présageait rien de bon.

Il ne connaissait pas Nii.

Il savait juste ce que Sanzo leur avait dit.

% Sanzo : Nii. Je connais juste son nom. Nous l'avons affronté une fois… On ne sait rien de lui ni de ses buts. Juste que c'est un scientifique. Il a des cheveux noirs et courts un peu en brosse. Il est toujours vêtu d'une blouse blanche de laboratoire. Il porte une barbe de trois jours et des lunettes. Il est au service de Gokyumen. Mais j'ignore qui manipule l'autre…

Ses buts sont inconnus, sa puissance aussi, bref une donnée bien mystérieuse... Les divinités pensent qu'il s'est allié à Gokyumen dans le but de réaliser ses expériences interdites mélangeant humain, youkai et machines… Mais qui sait la vérité… Je me demande bien ce qu'il prépare mais cela n'augure rien de bon. Méfiez-vous !! %

En somme des explications fort mince qui n'avançaient pas à grand chose.

Nii était venu dans ce village on ne savait pourquoi et il avait transformé un humain en un terrible youkai avec des pouvoirs inimagineables…

Comment une telle chose était-elle possible ??

Lui-même d'humain, il était devenu youkai. Mais la transformation était due à ce qu'il avait fait, aux meurtres qu'il avait commis.

En repensant à cette période, son cœur se serra et il regarda sa main.

Il la revit couverte de sang.

Il porta la main à son œil et vit qu'il pleurait.

Une triste période vraiment.

Il se leva.

Hakkai : Je ne devrais pas penser à tout ça !!

Regardant à la fenêtre, il remarque que la lune est pleine.

Hakkai : La lune est si belle. Je vais aller observer les étoiles…. Cela me fera certainement du bien…

Hakkai sort en prenant soin de fermer la porte sans bruit pour ne pas réveiller ses deux compagnons dormant à poings fermés.

Il constata avec regret que le lit de Gojyo était vide. Leur compagnon aux cheveux cramoisi était parti plutôt dans la soirée en courant après des femmes et n'était toujours pas revenu.

Hakkai : Yappari [C2] !!

Le magicien secoua la tête et se décida à sortir dehors au frais pour chasser toutes ses idées noires.

Il vit Goku bouger dans son lit.

Goku : Sanzo…

Le petit singe se rapprocha inconsciemment du moine encore blessé pour l'entourer de ses bras.

A la vue des deux endormis, il sourit.

Il savait que le moine ne s'était pas encore totalement remis de ses blessures et en souffrait. Mais il ne disait rien, seuls des accès de mauvaise humeur injustifiés indiquait cet état de santé.

Goku était le seul à pouvoir apaiser le moine en supportant ses coups de baffeurs qui ne manquaient pas de tomber à chaque fois que lui et Gojyo se disputaient… c'est à dire très fréquemment…

Observant les deux hommes endormis côté à côté, il souhaita mentalement bonne chance à Goku, Sanzo ne serait pas un compagnon facile et agréable. Mais le jeune garçon avait bien peut être ses chances car Sanzo se comportait malgré son air revêche avec beaucoup de douceur envers lui…

Il sourit en voyant ces deux là.

Puis il sortit.

*****

Dans le château / forteresse de Gokyumen and Cie.[C3]

Gokyumen se faisait peigner les cheveux par l'une de ses servantes et laquer les ongles par une autre. De son autre main, elle pianotait nerveusement de ses ongles longs et crochus l'accoudoir en pierre de son trône.

Gokyumen : Allez me chercher mon beau-fils [C4] et plus vite que ça !!

Un des youkai servant s'empressa de partir à la recherche de Kôgaiji, fils de Gyumao qui s'était remarié avec Gokyumen. Il était de notoriété publique que les deux personnages ne s'appréciaient guère. Mais tous les deux avaient la même ambition : réveiller Gyumao.

C'était ce qui les unissait.

C'était aussi la demeure des youkais, ils pouvaient y vivre en paix.

Chose fort étrange, Ririn, la fille de Gokyumen et Gyumao était plus proche de son demi-frère que de sa mère. Il fallait dire aussi que cette dernière ne faisait pas grand chose à part se faire laquer les ongles et brosser les cheveux. Elle menait une vie de reine et inspirait la terreur.

La seule personne pouvant s'opposer à elle était le prince youkai Kôgaiji.

Le serviteur se dirigea naturellement vers les appartements du prince qu'il trouva en train d'entraîner des youkais avec Dôkugaiji, son commandant en second.

Serviteur : Mon prince, dame Gokyumen vous fait demander.

Kôgaiji : Que me veux encore cette sale sorcière [C5] ?

Serviteur : Je ne sais pas mon prince mais elle souhaiterait vous voir tout de suite.

Kôgaiji : Espèce de vieille peau, Dôkugaiji, occupe toi de l'entraînement. Yaone, reste là sinon elle va encore s'énerver contre toi !!

Yaone : Bien, Kôgaiji sama.

Le serviteur précéda le prince.

Arrivés dans la salle du trône, Gokyumen renvoya ses serviteurs.

Gokyumen : Approche mon cher fils.

Kôgaiji tiqua à ses mots.

Kôgaiji : Que voulez-vous ?

Gokyumen : Ne sois pas si distant et appelle-moi, mère veux-tu ?

Kôgaiji : Ma mère est toujours de ce monde.

Gokyumen : Pour l'instant ce n'est qu'une statue de pierre !! Mais laissons-la tomber nos disputes, veux-tu ?

Kôgaiji : Vous avez besoin de mes services ?

Gokyumen : Oui. Je cherche à réveiller ton père comme tu le sais… Je sais que deux sutras suffiraient pour réaliser notre projet. Nous en avons déjà un en notre possession… Mais tu ne sembles pas en mesure de pouvoir récupérer l'autre me semble t-il…

Kôgaiji serra ses poings, il rêvait plus que tout de pouvoir frapper cette intrigante qui avait su si bien manœuvrer qu'elle était maintenant au sommet… Encore un peu de patience et il pourrait la chasser. En l'observant, il se demandait ce que Ririn, sa demi-sœur bien aimée avait hérité de sa mère, mais fort heureusement, cela ne semblait pas être grand chose….

Kôgaiji : Vous savez fort bien que nous avons à plusieurs reprises affrontés le groupe de Sanzo… Mais simplement ce n'est pas aussi facile que vous vouliez bien le croire. Ils sont très puissants. Il me semble pourtant que vous aviez dit qu'il existait cinq sutras dans ce monde. Ne serait-ce pas plus simple d'en chercher un autre ?

Gokyumen : Approche Nii.

Le scientifique sortit de l'ombre, son lapin rose dans une main, tout sourire.

Nii : Vous m'avez fait demander, ô ma reine ??

Kôgaiji serra les poings en avant, il avait une certaine appréhension envers le scientifique, ne sachant pas bien qui il était et encore moins ce qu'il voulait…

Nii : Mon prince.

Nii salua Kôgaiji.

Kôgaiji : Vous savez quelque chose Nii ?

Gokyumen : Il semblerait en effet qu'il ait fait une découverte des plus intéressante pour une fois. Raconte !!

Nii : Ô ma reine, vous vous méprenez sur mes efforts. Je travaille jour et nuit d'arrache pieds afin de réveiller sa majesté Gyumao.

Kôgaiji : Venons-en aux faits !

Nii : Bien, mon prince. J'ai découvert selon d'anciennes sources qu'il existerait une mystérieuse perle qui aurait des grands pouvoirs.

Kôgaiji : Quels types de pouvoirs exactement ?

Nii : Je ne sais pas bien encore… Mais certaines sources mentionnent le retour à la vie, une plus grande force ou bien de nouveaux pouvoirs…

Kôgaiji : Tout ça dans un seul objet ?? N'est-ce pas étrange et suspicieux ?

Nii : Certainement… Mais il me semble judicieux de tenter le coup.

Kôgaiji : Pourquoi donc ?? Vous ne semblez pas sûr de vous.

Nii : Les légendes mentionnent aussi de mystérieux et puissants gardiens… Or, comme vous le savez pertinemment, si cet objet n'avait aucune valeur, il ne serait pas gardé, n'est-ce pas ?

Kôgaiji : Sans aucun doute…

Nii : C'est pourquoi j'aimerais pouvoir l'expérimenter.

Gokyumen : Mon cher fils, seuls toi et tes compagnons sont puissants, vous pourrez affronter et sûrement vaincre ces monstres. En plus, je sens que vous avez besoin d'exercices. Ramenez-moi ce bijou.

Kôgaiji : Cela me semble être une quête utile, j'y vais de ce pas.

Kôgaiji part en laissant Gokyumen et Nii seuls.

Gokyumen : Tu sais ce qui te reste à faire ?

Nii : Certainement, ô ma reine.

Nii part aussi silencieusement qu'il est arrivé.

*****

De retour dans un hôtel de campagne quelque part vers l'Ouest.

Gojyo était dehors en train de fumer une clope entourant de ses bras une femme quand Hakkai le trouva.

Il eut un petit pincement de cœur et s'éloigna vers la forêt.

Alors qu'il marchait, il se demandait pourquoi son cœur s'était serré ainsi.

Il ne comprenait pas bien et décida de réfléchir un peu.

Au détour d'un bois, il tomba sur un petit lac dans lequel se reflétait la lune.

Il s'assit et commença à lancer d'un geste machinal une pierre qu'il essaya de faire ricocher le plus de fois possible. C'était un jeu auquel il s'amusait beaucoup plus jeune.

Cela avait le don de le calmer car il trouvait apaisant le son du ricochement [C6] de la pierre sur la surface de l'eau comme une musique.

Il se plongea alors naturellement dans ses pensées.

Il était heureux d'accompagner Sanzo et les autres. Grâce à eux et à leur aventure, sa vie avait pris un nouveau sens.

Avant, il vivait seul avec Gojyo tranquillement.

Il connaissait le demi-youkai depuis si longtemps lui semblait-il.

Il se remémora leur première rencontre.

Il pleuvait ce jour là.

Après être devenu youkai, très grièvement blessé, il s'était tant bien que mal traîné dans la forêt.

Il espérait pouvoir rendre son dernier souffle tranquillement seul dans la forêt.

Mais le sort et la venue de Gojyo en avaient décidé autrement…

Il avait vu apparaître un homme aux cheveux rouges comme le sang sur ses mains. Il l'avait prié de le tuer, mais cet homme n'en avait rien fait et l'avait recueilli sans rien lui demander ni lui poser aucune question.

Sanzo était venu le récupérer afin de lui infliger un châtiment à la mesure des meurtres qu'il avait commis, ce à juste titre… Mais là aussi Gojyo l'avait protégé.

Il avait été jugé puis relâché.

N'ayant nulle part où aller, il était retourné auprès de Gojyo qui n'avait rien dit et l'avait accepté…

En y repensant, cet homme avait fait beaucoup pour lui…

Oui, beaucoup, il lui devait la vie….

Il ne savait pas si c'était une bonne ou une mauvaise chose mais cela était sans aucun doute.

Il fallait faire avec…

Il espérait qu'un jour il pourrait payer sa dette envers Gojyo bien que celui-ci n'ai jamais rien exigé de lui…

Il se sentait très proche de Gojyo…

Très proche mais à la fois si lointain…

Ile ne comprenait pas toujours son compagnon qui lui semblait si insouciant…

Ces derniers temps, il se posait trop de questions, oui beaucoup trop de questions.

Sur lui et sur Gojyo…

En le voyant avec des filles, il se souvint de ce qu'il avait éprouvé alors : un serrement de cœur.

Le voir avec des filles lui faisait de plus en plus souvent cet effet là….

Il se demandait parfois ce qu'il lui arrivait.

Il montrait des signes certains de jalousie.

Oui, jalousie était bien le mot approprié.

En voyant cette fille tout sourire dehors accroché au bras de Gojyo et ce dernier lui souriant tendrement et plaisantant avec elle… Il avait eu envie…

Oui, il avait presque éprouvé l'envie de la tuer, de l'éliminer, de la traîner à terre pour que Gojyo ne la regarde plus.

Oui, c'est ce qu'il avait eu envie de faire.

Mais pas seulement, il aurait aussi aimé pouvoir être à sa place.

Oui… C'était cela…

Et ceci l'inquiétait…

Il rêvait de sentir les bras de Gojyo autour de sa taille et de plonger les yeux dans son regard carmin…

De le voir et de le faire sourire, d'écouter le seul son de sa voix et de sentir son parfum musqué…

En y repensant, il secoua la tête.

Il ne fallait pas qu'il y pense.

Il fallait qu'il oublie, qu'il ne pense pas à Gojyo.

Se concentrer sur Kanan, sa bien aimée morte et pour laquelle il était devenu youkai par erreur…

En repensant à sa bien aimée morte, il l'imaginait en train d'étendre le linge sur une corde pour le faire sécher au soleil. Le vent faisait balancer les draps.

Puis, l'image de Gojyo vint se superposer à celle de Kanan.

Et il s'endormit doucement sur l'herbe ses pensées allant toutes vers Gojyo.

*****

Quant au kappa, après avoir vu Hakkai sortir à la lune, il l'avait suivi des yeux et n'avait écouté la jeune fille que d'une oreille discrète.

Il repensait à la démarche gracieuse de son compagnon et avait cru voir un regard triste se tourner vers lui.

Il mourrait d'envie de lui courir après et de le faire sourire, vraiment sourire.

Pas ses sourires de faux-semblants mais un sourire dansant dans ses yeux.

Il savait qu'il pensait encore à la mort de sa bien aimée et décida de le laisser seul.

C'était sûrement ce qu'il souhaitait.

Il passa ensuite le  reste de la soirée avec la jeune fille.

Une fois ses envies satisfaites, il lui dit au revoir.

Il retourna discrètement dans la chambre d'hôtel qu'ils partageaient à quatre pour plus de sûreté…

Ils continuaient à se faire attaquer régulièrement par des youkais cherchant à s'approprier les pouvoirs du moine en le mangeant. D'ailleurs ce dernier était encore souffrant des dernières blessures de combat dont il se remettait lentement faute de vrai repos très certainement…

Il vit le singe comme il l'appelait blotti dans les bras du moine.

Il émit un petit rire sarcastique à la vue de ces deux imbéciles si différents.

Il chercha inconsciemment Hakkai mais ne le vit pas.

Où était-il allé ??? Etait-il en danger ??

Mort d'inquiétude pour son compagnon, il se dirigea vers la forêt comme il l'avait vu faire.

Gojyo : Hakkai !! Hakkai !!

Il criait mais personne ne lui répondait…

Il continua à chercher se fiant à son sixième sens pour trouver son compagnon.

Aucune trace. Son œil fut attiré par le reflet de la lune dans un lac.

Il s'y dirigea et trouva son ami endormi.

Gojyo : Quel imbécile je fais !! Il est dans les bras de Morphée !!

Gojyo prit son compagnon dans ses bras et le ramena à l'hôtel prenant bien soin de ne pas le réveiller.

Gojyo : Je vais pas le laisser là, il risque d'attraper mal !!

* * *

A suivre…

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'"  [C1] C'est reparti pour un tour,,

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'"  [C2] c'est du japonais, on pourrait traduire par « je l'avais deviné » « je l'aurais parié

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'"  [C3]Quelqu'un a t-il une appellation d'origine contrôlée ??

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'"  [C4]je crois que ça se dit comme ça,, fils de son mari -

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'"  [C5]Je précise : c'est pas le grand amour,,

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'"  [C6]Est-ce que ce mot existe ?