Et voilà la suite, pour mes lecteur. J'ai pas bokou de review, ça me rend triste. =(. S'il vous plait, donnez moi votre avis.
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5- Préparatifs en Isengard :
Deux jours après leur arrivé sur les Terres du milieu et la disparition des douze, que bizarrement personne n'a remarqué, la brigade Charlie, devenu le Gant de Fer de la Main Blanche, se préparait à fondre sur les Gué de l'Isen, puis sur le Gouffre de Helm.
Saroumane fit monter le Colonel Drengist dans Orthanc. Le colonel avait toujours le même regards vitreux, comme ses hommes. Ils n'auraient pas mangé si Saroumane ne leur avait pas dit. Celui-ci lui expliquait les raisons de cette « convocation ».
- Mon cher colonel, une autorité supérieur a manifesté l'envie de vous voir. Mon allié aimerait mieux connaître, finit-il en entrant dans une salle où le colonel vit une boule, noir, au centre.
Touchez le ! ordonna Saroumane.
Ce que fit Drengist, qui soudain écarquilla les yeux. Il venait de rencontrer Sauron. Pour mieux comprendre cette rencontre, il convient de s'imaginer que c'est un dialogue, car on ne parle pas à travers un palantir.
« Ainsi donc, voici ce qui me permettra d'éradiquer la racaille du Gondor et les derniers elfes. Ta haine est grande. Bien ! Maintenant je vais te libérer de l'emprise du vieux cloporte pour te prendre dans la mienne, esclave ! Montre moi que tu es digne de me servir ! »
Drengist était comme figé, le regard plongeant dans le palantir. Il tremblait, et une ombre noir passa du palantir dans le corps du colonel. Il sortit de la tour le regard mauvais, colérique, et un rictus terrifiant et dément. Il passa au travers de ses hommes et l'ombre de haine du Mordor se répandit sur tous les soldats. Les orcs, à l'écart, la sentir aussi et furent pris de haine et poussèrent de grands hurlement et se préparant pour la bataille. Le sort de Saroumane s'était substitué à celui de Sauron.
Les blindés furent repeint en noir, tous les soldats revêtir cette même couleur. Tous prenaient des cimeterres orcs et hurlaient comme des hommes sauvages. Le colonel ordonna que 5 transports de troupes blindés et 3 chars d'assaut partent contre les rohirrim. Saroumane trouva cela peut, mais Drengist lui répondit : « Mes ordres me viennent du Seigneur de la Terre du Millieu. Vous n'avez plus de contrôles sur moi ! »
Saroumane savaient que l'Isengard pouvait être rasé par cette force. Mieux vaut ne pas insisté. Drengist parti avec le reste vers le Mordor. Le Rohan était vide de défenseur, tous partis au même point et rien de saurait arrêter le « Poing de Sauron ». Saroumane avait voulu toute cette puissance pour lui, mais Sauron le découvrit grâce à ses espions et s'appropria cette menace pour le mettre à son avantage. Ce qu'il lui laissait pour détruire les Rohirrim devrait suffire.
Drengist ne laissa à Saroumane que les équipages des blindés et soixante soldats car dans un transport de troupe, il n'y a de place que pour douze soldats. Les américains partirent le troisième jour à la tombée de la nuit pour le Mordor. Saroumane, par peur de Sauron, n'osa les en empêcher.
Le même jour, il envoya ses 10.000 orcs et les soldats qui étaient restés mettre fin à la bataille des Gué de l'Isen et finalement écrasé les Rohirrim à Fort le Cor. Ces « tanks », bien que trois, pouvaient faire beaucoup de dégâts quand les rohirrims n'ont rien à leur opposer. La victoire lui semblait. . . Certaine !
6- Course contre la montre :
Les Rohirrim et leurs nouveaux alliés chevauchaient en toute hâte vers Fort le Cor, et la nuit approchait déjà. Ryan, assis dans la charrette avec les autres, regardait autour de lui. Ses autres camarades se trouvaient dans une autre charrette avec les autres caisses d'armes. Les deux filles du groupe s'efforçaient tant bien que mal de tenir sur les chevaux. Les cavaliers affichaient tous un visage sévère et de mauvaises augures pour d'éventuels ennemis. Il faisait confiance à Gandalf, sa bienveillance brillait sur tous, ainsi qu'une impression de grande puissance cachée en lui. Il porta finalement son attention sur l'échange entre Aragorn et Will :
« Bon, si je comprend, y a une espèce de seigneur noir, Sauron, qui veut anéantir le monde et il a corrompu ce Saroumane pour s'en faire un allié. Et Saroumane lui a créer une armée d'Orcs. Et les Orcs, c'est des elfes pervertis il y a des siècles par le patron de Sauron. Puis cette armée va détruire le ce pays, le Rohan, pour que l'autre pays, Gondol. . .
- Gondor, rectifia calmement Aragorn.
- Si vous voulez. Donc pour qu'aucune aide ne parvienne en Gondor pour arrêter l'armée de Sauron, qui est beaucoup plus énorme que celle de tous les alliés réunis, termina Will, la mine partagée entre rire et terreur.
- Oui, c'est exactement cela.
- Et nous, on est mêlé à ça à cause de Saroumane qui nous a enlevés pour utiliser notre armement, mais nous 12 là, on doit vous aider à les repousser ?
- Selon Gandalf, oui, dit Aragorn
- Mouai, on est mort, conclua Mike
- Pourquoi Gandalf vous aurait il amener ici si vous ne pouvez nous aider ? se manifesta Legolas pour la première fois depuis qu'il est monter dans le chariot.
- Ben, c'est bien tes histoires de guerre chais pas koi, mais en face ils ont des tanks, des obus, des mitrailleuses montaient sur les blindés et tous pleins de flingues ! C'est pas avec des flèches que tu vas arrêter les transporteurs de troupes qui vont pas se gêner, continua un Mike effrayé.
Aragorn et Legolas le fixèrent comme des ahuris, en fin Aragorn, car Legolas a juste levé un sourcil, ce qui est déjà beacoup pour un elfe.
- Quels mots étranges avez-vous employés ? Je n'en connais aucun. Qu'est-ce qu'un Tanks ou . . . un flingue ? interrogea Aragorn
- Ce sont des armes, intervint Will, des armes d'une puissances que vous ne soupçonner pas.
Il se lança alors dans une explication sur les systèmes d'armes de la brigade Charlie, qui laissèrent perplexe l'elfe et le rôdeur. Ils se doutaient que ces armes étaient terribles, même sans en comprendre le principe. Puis ils furent pétrifiés de terreurs quand Will leur expliqua que la Brigade Charlie seule, soit 1634 hommes moins 12, pourrait faire plus de dégâts qu'une armée de 100.000 soldats équipés de lances et d'épées
- Cela ne se peut . . . , souffla Aragorn. Je ne peux m'imaginer une telle force
- Nous, si. J'ai vu les dégâts de ces machines de nombreuses fois. Ce doit être pour cela que Gandalf, lorsqu'il nous « manipula » dans notre fuite nous a fait rassembler. . . CA !
Will exhibait un TOW, un lance roquette anti-char transportable. Il leur dits qu'ils n'en avaient pû soutirer que deux caisses, ce qui ne faisaient que six TOW, lanceurs et missiles compris. Ils allaient devoir faire mouche à chaque tir.
- Mais pour le combat, n'avez donc pas d'épées ? ou d'arcs et de flèches ? poursuit Aragorn
- Nous n'avons pas d'épées, fit d'un coup Ryan, juste nos poignard, et nous ne nous en servons pas au combats à moins d'y être contraints. Mais pour ce qui est des flèches ! Nous avons nos fidèles M-16, fit-il fièrement avant de sortir le chargeur et une balle pour poursuivre son exposé. Pour faire simple, il s'agit d'envoyer de petits bouts de métal dans le corps de votre ennemi en pressant ceci, ce qui active un mécanisme venant percuté ce petit point, là, entraînant une petite explosion qui propulse la pointe vers la cible. Évidemment, il faut penser à recharger ce que vous pourriez considérer comme un carcan.
Il leur montra le chargeur et leur expliqua qu'il contenait 30 balles. Il aurait bien voulu leur faire une démonstration, mais il n'y avait rien à tirer et surtout ils fonçaient à la bataille.
Will se rendit alors compte qu'ils n'avaient procéder à aucun inventaire des armes qu'ils ont rassemblé. Il décida qu'il fallait le faire immédiatement.
- Nous avons des armes mais j'ignore combien. Ryan, faut faire un inventaire ! Et il faut prévenir les autres ! Je vais descendre et . . .
- Ton cerveau a fondu ? dit Mike. On a toujours nos radios. Et les piles ont été changé avant le début de notre offensive en Irak. Puis on en a tous en réserves. T'as oublié ou quoi ?
- Ah ouai. . . Pas con. . . Pas con, fit Will. Chariots deux, y'a quelqu'un qui m'entend ?
- Ouais, c'est Stu, crépita la radio.
Aragorn et Légolas bondirent en entendant la voix répondre. Will eut l'air amusé, puis continua.
- Faites un inventaire des armes qui sont de votre côté.
- No problemo, mec.
- Désolé de vous avoir fait peur, se tourna enfin Will vers les deux "primitifs" (surtout Aragorn). Ce nous permet de rester en contact à distance.
- Très pratique, remarqua Légolas.
Ryan porta son attention vers l'avant. Le soleil se couchait, rougeoyant. Puis soudain, l'avant garde s'arrêta et tous les cavaliers. L'agitation était perceptible et Aragorn et Légolas se précipitèrent à l'avant. Will et Ryan pensaient qu'une attaque était lancée contre eux. Ils saisirent leur M-16 et attendirent. Finalement, il ne se passa rien si ce n'est un cri de Théoden :
« Volons au secours d'Erkenbrand ! »
Gandalf s'approcha du roi tandis que Ryan distinguait un homme à qui l'ont donnait un cheval et qui avait l'air fatigué et revenant du combat. Gandalf partit alors brusquement et plus vite que le vent. Melissa et Sam étaient descendues de cheval et montèrent dans la charrette de Will et Ryan.
- Qu'est-ce qui se passe ? demanda immédiatement Will.
- Un message du général Erkenbrand est arrivé et nous a annoncé que les soldats du roi qui se trouvent plus loin à l'ouest ont été repoussés par l'ennemi. Le roi a voulu se précipiter sur ce lieu, les Gué de l'Isen, mais Gandalf l'en a empêché. On continue notre route vers la forteresse dont on nous a parlé. Et j'oubliais ! Le messager a fait état de grands insectes sans pattes et avec une sorte de lance qui lance des boules de feu. Vous savez de quoi il parle , Will.
- Ouai. . . Mike, t'as raison. On est cuit, dit piteusement Ryan. Nos propres amis vont nous détruires.
Toute l'éored s'ébranla alors, et filait vers le sud, à mesure que la nuit tombait. Ils chevauchèrent longtemps. Les douze avaient fini leur inventaire : six Missiles TOW, trois M60 (grosses mitrailleuses), une caisse de munitions pour celles-ci, deux petites caisses remplies de cinquante chargeurs pour M16 (25 par boîte), douze M16 supplémentaires, 20 grenades, des rations de combats, six gilets pare-balles supplémentaires, et , oh surprise ! un fusil de sniper et ses munitions. Personne ne comprenait sa présence dans le lot mais il était là. Le bilan était catastrophique pour Will. Ils pourraient aussi bien se battre à mains nues contre les tanks.
La chevauchée arrivé dans une petite vallée entourée de rochers aux falaises à pic. Le Gouffre de Helm, ça ne pouvait être autre chose. Ryan regarda derrière lui et vie dans l'obscurité naissante des flammes au loins, qui s'approchaient, et devant ces flammes, il vit des hommes comme les cavaliers qui fuyaient vers le fonds du gouffre, là où devait être la fameuse forteresse. Les fuyards se firent de plus en plus nombreux. Finalement, la hordes des cavaliers arriva devant un énorme mur d'enceinte avec une pente sur la droite qui montait vers une porte et avec une haute tour derrière. Ils étaient enfin arrivés. Et la bataille n'allait pas tardé à les rejoindre.
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Voilà pour l'instant ! C'est long, hein ? La grande fête de boyaux et de cadavres est pour le prochain chapitre !!
Mais pour l'instant, reviewez !!! s'il vous plait !!!! j'écris pour vous !! pas seulement pour moi !!!
