Voilà, comme j'ai eu une question très importante dont je ne peux que vous donner la réponse, je vous mets un petit bonus en plus mais c'est tout ce qu'il y aura en rajout pour cette fic. Je vous remercie encore pour vos reviews et vous fais de gros bisous.
Pomy : C'est pas moi, c'est l'épilogue et si l'épilogue dit 7 enfants et bien il y aura 7 enfants. Je n'y suis pour rien moi… Comme si j'avais écrit l'histoire ! ^^
Dark Jez : Le CD ? Bah, chez tous les bons disquaires. ^^ Et vi, on l'a eu. Héhé. ^^Mad-eye-amarad : Bah, vi. Déjà que c'est Maugrey qui lui avait coupé la main à cause de son nom alors il n'aurait pas eu de pitié et puis là, c'était pour une bonne cause : l'amour ! ^^
Arcadiane : C'est vrai que j'ai un penchant pour ces détails-là. En plus, je visualise donc…^^
Maëlle : De rien. Je t'avais dit que je te les mettrais et je n'ai qu'une parole… surtout pour écrire plus de conneri** ^^
La fameuse question revient à Cachou à qui vous devez ce 10ème 'chapitre' : Donc où est Ducky ? Et bien je vais y répondre.
Mais où est Ducky ?- Prison d'Azkaban, 3 semaines après la chute de Voldemort –
Lucius Malfoy se caressait la tête en se remémorant la sensation voluptueuse d'une chevelure douce qu'il ne possédait plus. Il comprenait, maintenant pourquoi son ancien maître avait tué Goyle lorsqu'il avait sacrifié son unique cheveux… Une larme coula sur la joue du blond… euh… du chauve et il recommença à creuser la terre sèche à l'air de sa petite cuillère.
L'écho d'une voix familière se fit entendre brusquement dans sa cellule et il releva la tête.
« Petit brun ? » appelait Queudver inlassablement. « Petit brun ? Où es-tu ? » Il y eu le bruit d'une chute. Puis, l'homme reprit, « S'il vous plaît, où sont les placards à gâteaux ? Y a quelqu'un ? S'il vous plaît… ? »
Lucius secoua la tête, désespéré.
« 5 gallions qu'il va nous ramener des biscuits » dit Avery soudainement.
« Mais on n'a plus de gallion » murmura Nott.
« Ah ouais c'est vrai ! » soupira Avery. « On peut peut-être utiliser autre chose ? »
« Autre chose ? ... Mais il n'y a rien dans cette prison ! »
« Ouais RIEN ! » s'écria Lestrange. « Pas même une petite olive… »
« Ca y est, il nous la refait ! » soupira Lucius avec un désespoir résigné.
« … Qu'est-ce que je la regrette cette pizza ! J'vous avais dit que c'était pas la peine de se presser. Lucius aurait pu faire sa maccarena et on aurait pu finir le repas mais Non, il fallait que Messieurs aillent secourir le maître… et on a très bien vu comment ça s'est fini ! » bouda Lestrange.
« On peut peut-être utiliser nos boutons de chemise et de pantalons » suggéra Avery.
Tous les ex-mangemorts le regardèrent sans comprendre.
Il ajouta donc, « Pour les paris… en guise de monnaie ! »
« N'importe quoi ! » répondit Nott. « Et comment nos superbes vêtements dernière mode vont tenir sans les boutons ? »
« Ah vi, j'y avais pas penser » soupira Avery.
« C'est à cause de ces maudits détraqueurs, » s'exclama Lestrange. « Il en reste peu et sont sous haute surveillance… un peu comme nous… mais ils nous dérègle tout… J'en ai même le transit perturbé. Hier encore, j'ai… »
« Oui, Rodolphus… C'est pas la peine d'en dire plus, on a compris » s'exclama Lucius.
« Bah quoi ? » s'offusqua Lestrange, légèrement vexé.
« Si seulement, on pouvait s'échapper » soupira Avery.
« Ouais, » acquiesça Nott. « Mais maintenant, c'est impossible. Il y a trop de sécurité, on n'a pas nos baguettes et… »
« Chuuuttt ! »siffla Malfoy. « Quelqu'un vient ! »
En effet, ils pouvaient entendre des bruits de pas lourds retentirent puis l'écho d'une voix, « Petit brun ? Petit brun ? Tu es là ? »
« Pfffff, c'est Queudver ! » dit Nott. Il réfléchit 5 secondes et ajouta prestement, « Vous croyez qu'il est pus atteint que nous par les détraqueurs ? »
Lucius répondit vivement, « Je crois qu'il est plus atteint que nous tout court. »
Ils rirent tous, ce qui était rare à Azkaban.
« Où est ce placard à gâteau bon sang ! »
« Et la pizza ? » murmura Lestrange, déprimé et nostalgique.
« Bon, ça va avec ta pizza Rodolphus » dit Avery, excédé.
« Mais elle était aux pepperonni ! »
Lucius se prit sa tête lisse dans les mains. Ca y est c'était repartie. L'ancien blond comprenait maintenant aussi pourquoi la prison était aussi horrible.
« Petit brun ? »
« Et aux champignons ! »
« On peut peut-être utiliser des cailloux ? »
Avery était une fois de plus, la cible de tous les regards.
« Les paris !!! »
« Ah ouais, ça c'est une bonne idée » s'exclama Nott, ravi.
« Petit brun ? »
« J'te dis qu'il va nous ramener des biscuits ! » s'exclama Avery.
« Elle était aussi relevée avec de la sauce pimentée et des oignons ! »
« 5 cailloux qu'il nous en ramène aux chocolats ! »
« Avec des gros morceaux de jambon »
« Des gâteaux au jambon ?… Ca doit être les détraqueurs ! »
« Et des rondelles de poivrons ! »
« Les détraqueurs ! » acquiesça Nott. « Quelles sales bêtes ! »
« Dis Lulu, tu nous la fais cette maccarena ? » demanda soudainement Lestrange.
Lucius s'insurgea, « Mais ! Je ne vais pas danser ici… et en plus il n'y a pas de musique ! »
Et les ex-mangemorts s'écrièrent tous ensemble, « Oh sssiiiiiiiii Lulu ! Fais-nous voir ta maccarena ! »
« Pas de musique ! » s'exclama Lucius.
Comme un fait exprès, ils sortirent tous leurs petites cuillères et commencèrent à taper le rythme sur les barreaux. Une maccarena parfaite !
Lucius n'eut pas d'autre choix que de remuer son popotin. Une main tendue en avant, puis l'autre. Une main sur le bras puis sur l'autre. Sur la cuisse et l'autre. Et un mouvement du bassin et hop, on saute !
« Ouais Lulu !!!! » criaient les ex-mangemorts.
« La maccarena ! Ah Ah, Ah Ah ! »
Un mouvement de bassin et hop !
« Allez Lulu ! Ouais !!! »
« MAIEUHHHH… QU'EST-CE QUE C'EST QUE TOUT CE RAFFUT-LA ? » demanda un détraqueur qui avait glissé sournoisement vers la cellule.
Lucius se figea en plein mouvement du bassin et les autres se paralysèrent également, la cuillère à la main.
« Euh… rien du tout » balbutia Lucius.
« Une tentative d'évasion ? » suggéra le détraqueur, incorruptible.
« Mais non ! C'est pas ça » dit Nott.
« Faites attention » s'écria la bête de toute la largeur de sa bouche béante. « J'ai des moyens de pressions ! »
Les prisonniers frissonnèrent, effrayés. Ils hurlèrent de terreur quand le détraqueur sortit un petit livre de sa poche.
« NON ! TOUT MAIS PAS CA ! » crièrent tous, affolés.
Le détraqueur ricana et leur offrit un petit échantillon de ce qu'il pouvait leur infliger. Il ouvrit le livre et le plaqua vivement devant la cellule, droit dans leur champ de vision.
« AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!! »
Maugrey Fol Œil se tenait debout, dans une pose suggestive, légèrement alanguie, dans un petit string léopard.
Maugrey et Dumbledore se trémoussant sur les rythmes sensuelles des danses tahitiennes, vêtus d'un short et d'une couronne de fleurs.
Voldemort, son tutu relevé au vent, glissait sur la rampe d'un escalier de Poudlard.
Voldemort se faisant masser les fesses par Queudver.
« PPPPIIIIITTTTTTIIIIIIIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE ! PITIE !!! NNNOOOONNNNNN »
Le détraqueur referma le livre en riant de bon cœur et les quitta pour aller jeter un coup d'œil à la personne qui criait à tue-tête 'Petit brun ?'
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« Poupoune ? Poupoune ? » appelait le fantôme limace de Madame Impérium à son mari.
Ils étaient installés depuis trois semaines dans le magasin préféré de son époux 'Le paradis de Ducky'.
« Oui mon cœur ? » répondit le fantôme de Voldie la limace qui se prélassait dans les airs, en compagnie de son Ducky.
« Tu veux voir ma cacahuète ? » demanda Madame Impérium Riddle d'un air taquin.
« Ou plutôt ta ventouse ! » répondit Tom, en attrapant sa femme par la taille. (Ils peuvent faire ça entre fantômes – Se tenir bande d'obsédé ! Oh mais c'est qu'ils ont l'esprit mal tourné ! C'est po vrai ! ^^)
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« Hé coucou les gars ! » dit Queudver à ses amis ex-mangemorts. « Qui veut un cookie ? »
« Chocolat ? » demanda Avery.
« Comment tu le sais ? » dit Queudver, d'un air admiratif.
Avery ricana et Nott lui tendit 5 cailloux.
« Tu as trouvé le Petit brun Queudver ? » demanda Lestrange.
« Non, pas encore » se désespéra l'animagus qui avait perdu tous ses pouvoirs.
« Et bien cherche » répondit Rodolphus.
« Je crois que je les vu aller vers la droite Queudver » dit Lucius.
« Oh merci » s'extasia-t-il en allant dans la direction indiqué. « Petit brun ? Petit brun ? »
Les ex-mangemorts ricanèrent. Mais leur joie ne fût que de courte durée. Une semaine plus tard, tous les cailloux étaient enlevés d'Azkaban ainsi que les petites cuillères.
Lucius, dont les cheveux repoussaient un peu, fût rasé une nouvelle fois. Il en pleura pendant des jours. Les détraqueurs commandèrent des pizzas et la mangèrent devant Lestrange tandis qu'on avait dit à Queudver que les placards à gâteaux avaient tous été déplacés et qu'il n'y en avait plus dans la prison. Il ne se désespéra jamais pour autant d'en retrouver.
Et chaque semaine, quelques belles photos, leur étaient montrées pour tenter de les expier de tous leurs péchés.
Lucius comprit le sens de la phrase : Il vaut mieux être seul que mal accompagné. Ainsi que de tant qu'il y a des cheveux, il y a de l'espoir.
Il était donc plus désespéré que jamais et le resterait.
