Chapitre 7 : Ce que Harry à sur le c?ur
Une semaine avait déjà passée depuis leur arrivée à Poudlard, et les 3 amis avaient l'intention de profiter du jeudi pour faire leur recherche à la réserve. Ils n'auraient pas cours d'auto-défense avant octobre, et avaient donc leur après-midi de libre. Apres avoir mangé leur midi, ils se dirigèrent vers la bibliothèque. Vous n'avez pas cours, demanda un voie sifflante derrière eux. A mais bien sur.vous avez cours d'auto-défense. Vous en avez bien besoin, c'est vrai. Le sang-de-bourbe, l'ami des moldu et le survivant.quelle belle équipe. Au moins quand Il tuera l'un de vous, vous ne souffrirez pas trop de chagrin : vous le rejoindrez assez vite. Toi tu dois avoir cours de défense contre le forces du mal.répondit Harry à Drago. Tu as trop peur qu'on te prenne pour modèle que tu ne vas pas au cours ? Potter, Potter, Potter.Je vois que tu ne peux être guérit.Mais au moins, tu ne verra pas le monde utopique du seigneur des Ténèbres : tu es le premier sur la liste, je peux maintenant te le certifiez ! Et ton cher ami, le directeur de cette belle école, est le 2eme.IL ne frappera pas dans longtemps maintenant. Profite bien de ta vie car elle devient de plus en plus courte. Drago regarda Harry droit dans le yeux alors que Harry retenait son regard. Ron et Hermione paraissaient vraiment choqué par ce que Malfoy venait de dire et furent prit d'une vague de panique. Vous venez, demanda Hermione reprenant tout de même ses esprits. Elle savait que si on n'arrêtait pas Malfoy tout de suite, il pouvait détruire Harry en quelques phrases. nous n'avons pas de temps à perdre avec quelqu'un qui est si mal dans sa peau qu'il doit changer quelque chose en lui, reprit Hermione en prenant Harry et Ron par le bras et en les amenant vers la bibliothèque. Drago leur lança un regard mauvais puis se retourna et partit. Arrivé dans la bibliothèque, il y eu un silence gênant. Harry.commença Hermione qui était mal à l'aise Bon, on va dans cette Réserve ? coupa Harry Hermione et Ron était assez mal à l'aise et lançaient quelques regards furtifs à Harry pendant qu'ils rentraient dans la réserve. Ecoute Harry, je sais que c'est dur à entendre mais Malfoy n'est qu'un.retenta Hermione. Bon, c'est toi qui écoute maintenant, répondit Harry en colère. Je sais très bien qu'il me recherche, d'accord ? Depuis toujours il me recherche et je le sais mieux que personne, OK ? C'est pas vous qui devez avoir peur, mais moi ! Un malaise s'installa entre les 3 amis. Harry baissa la tête puis repris plus calmement, mais on sentait que les sanglots lui montaient aux yeux lorsqu'il parlait. Vous n'avez jamais vu ces yeux rouge et entendu ce rire. Vous avez encore vos parents, et vous ne devez pas attendre toute vie que la baguette magique de votre ennemis leur redonne vie pour quelque minutes. Vous ne voyez pas ce que je vois la nuit quand j'arrive enfin à m'endormir. Vous n'imaginez même pas ce que j'entend lorsqu'un détraqueur s'approche de moi. Je pensais que ma vie s'était remise à marchez normalement, jusqu'à la fin de l'année passé, mais je me trompais. Tout à recommencer. J'ai toujours vécu détester de ma seule famille. Je me suis mis à revivre lorsque j'ai appris la vérité sur ma vie, enfin, ce qu'on voulait bien me dire. J'ai été tellement heureux lorsque je suis arrivé à Poudlard. Puis il est revenu, et pendant 2 ans, j'ai vécu dans la crainte. L'année après, j'ai cru que j'allais enfin pouvoir vivre, avec Sirius. Avoir une vrai famille, être aimé, rentrer chez moi pendant les vacances, mais il y à eu encore quelqu'un pour tout faire rater. L'année dernière, j'ai enfin cru que j'allais pouvoir vivre normalement, mais j'ai été prit dans un flot de catastrophe que je n'imaginais même pas. Ma participation au tournois, quand j'ai cru que j'allais vous perdre, puis tout à la fin, quand je l'ai vu renaître, alors que je voyais un corps sans vie à coté de moi. C'est comme si il enlevait la vie à quelqu'un pour lui revivre. Ensuite, il a faillit me tuer, et pour la première fois, j'ai vraiment cru que j'allais mourir, et à ce moment la, je revois mes parents. Pendant ces courtes minutes, j'ai cru que tout était fini, que je pouvais enfin vivre, mais non. Toute ma vie, je vivrai dans la crainte qu'il me trouve, jusqu'au moment où il me tuera. Tout le monde m'admire, mais maintenant qu'il est revenu, il n'y a plus rien à faire . Pourquoi tout le monde continu à m'admirer, moi, qui n'ai pas réussit à le tuer ? J'en ai eu l'occasion. Vous devriez vraiment vous reculer de moi car chaque seconde que vous passez avec moi, vous êtes en danger de mort ! Ni Hermione, ni Ron de répondit. Tout les deux étaient comme pétrifiez. Ils ne savaient quoi dire ni quoi faire. Hermione se mit à pleurer, mais Harry n'avait pas fini, et continua, maintenant complètement calme Vous n'avez jamais entendu quelqu'un lancer un sortilège mortel, vous n'avez jamais vu le reflet vert de la mort, ni un corps qui tombe à coté de vous, sans vie. Vous parler de Voldemort, et vous le craignez plus que tous vos pires cauchemars, vous n'osez même pas le nommer ! Vous en avez même encore plus peur que moi, alors que vous ne l'avez jamais vu. Tout ce que vous savez de lui, c'est ce qu'on a bien voulu vous dire. Comment vous pouvez juger ? Comment vous pouvez essayer de me consoler d'une peine qui ne sera jamais stoppée ? Je porterai toute ma vie ces malheurs et cette cicatrice. C'est comme si mon corps était remplit de plaies qui se rouvrait à chaque fois que quelqu'un en parle. Personne, non personne, ne peut en avoir plus peur que quelqu'un qui l'a vraiment vu. Malgré tout ce que j'ai vu, tout ce que j'ai subi dans ma vie, des choses que vous ne pouvez même pas imaginer, vous essayer de me consoler ? Comment quelqu'un pourrait me consoler un jour de tout ça ? Qui pourra me rendre mes parents ? Qui pourra me faire oublier ? Qui ? Hermione pleurait encore plus fort. Vous êtes toujours la pour me consoler, pour me donner des conseils, mais vous ne savez même pas de qui vous parler. Vous avez tous grandit dans une bonne petite famille, vous avez été aimé et chéri, mais moi personne ne m'a jamais aimé. Je n'avait plus de famille bien avant que je sache dire maman. Maman.Papa. ce mot, je ne l'ai jamais dit à personne. Je ne suis pas né avec les même chances que vous. Je n'en peux plus ! J'étouffe de l'intérieur ! Il me faut de l'air, quelque chose à respirer. Je respire, et tout ce que j'expire ressort de moi comme hanté. N'y a t'il que l'air qui me comprenne ? Il n'y a que quand je suis sur un balais que j'oublie tout. Lorsque l'air me réconforte. Vous ne pourrez jamais tout à fait me comprendre. Je pourrai rire avec vous, bavarder, faire tout normalement, seulement, je n'ai jamais ris normalement. Mon rire, ce n'est que quelque chose qui me rend un ptit peu mieux. Jamais une personne ne pourra me rendre mieux, et c'est horrible que ce ne soit que des sentiments, des objets ou tout simplement de l'air qui le fasse. N'asseyez plus jamais de me réconforter, vous n'y réussiriez pas. Ce mal, je l'aurai tout le temps en moi, quoi que vous disiez, quoi que vous fassiez. Il hante mes jours et mes nuit et je suis moi même comme hanté. Vous le savez, depuis notre rencontre, vous avez risqué plus d'une fois votre vie. Tous ceux qui s'approche de moi maintenant sont en danger de mort, et je devrai vivre normalement, alors que ma vie est maudite ? Harry se retourna pour partir, lorsque Dumbledor sorti de derrière un rayon de livre. il était apparemment entrain de chercher un livre, mais avait surment tout entendu
Harry, le rappela t'il alors que Harry s'était mis à courir en direction de la sortie. Harry se retourna, et vit Dumbledor. Viens dans mon bureau, Harry. Dumbledor s'approcha de lui et le prit par les épaules, et l'emmena vers son bureau. Ils ne parlèrent pas avant être entré dans son bureau. Il fit s'asseoir Harry, et prit un bout de parchemin, griffonna quelque chose dessus, puis chercha des yeux Fumsek pour envoyer ce qu'il venait d'écrire. Harry regarda derrière l'épaule de Dumbledor et vit Fumsek, resplendissant. Depuis qu'il avait tout dit à ses amis, il était comme dans un état second. Il regarda Fumsek, les yeux dans le vide, souriant bêtement. Il était dans un autre monde. Il se revoyait soudain tout petit, assit par terre, un arbre de Noël juste à coté, et ses parents riant en regardant leur fils qui gazouillait de bonheur. Tout était beau, comme dans un rêve. Sa mère l'embrassait et son père le prenait dans ses bras. Derrière, il y avait Sirius qui riait, lui aussi, prenant son jeune filleul dans ses bras. Puis, comme si il se mettait à voler très vite, il sorti de la maison, qu'il vit de haut, et qui devenait de plus en plus petite, à fur et à mesure qu'il s'envolait encore plus haut. Il vit ensuite le quartier, la ville, le pays, le continent, et plus il s'élevait, plus il revoyait le rire de ses parents. Il atterrit ensuite comme sorti soudainement d'un rêve dans le bureau de Dumbledor, où il n'était enfaîte pas vraiment parti. Dumbledor regardait Fumsek qui s'envolait pour porter un message.
Une semaine avait déjà passée depuis leur arrivée à Poudlard, et les 3 amis avaient l'intention de profiter du jeudi pour faire leur recherche à la réserve. Ils n'auraient pas cours d'auto-défense avant octobre, et avaient donc leur après-midi de libre. Apres avoir mangé leur midi, ils se dirigèrent vers la bibliothèque. Vous n'avez pas cours, demanda un voie sifflante derrière eux. A mais bien sur.vous avez cours d'auto-défense. Vous en avez bien besoin, c'est vrai. Le sang-de-bourbe, l'ami des moldu et le survivant.quelle belle équipe. Au moins quand Il tuera l'un de vous, vous ne souffrirez pas trop de chagrin : vous le rejoindrez assez vite. Toi tu dois avoir cours de défense contre le forces du mal.répondit Harry à Drago. Tu as trop peur qu'on te prenne pour modèle que tu ne vas pas au cours ? Potter, Potter, Potter.Je vois que tu ne peux être guérit.Mais au moins, tu ne verra pas le monde utopique du seigneur des Ténèbres : tu es le premier sur la liste, je peux maintenant te le certifiez ! Et ton cher ami, le directeur de cette belle école, est le 2eme.IL ne frappera pas dans longtemps maintenant. Profite bien de ta vie car elle devient de plus en plus courte. Drago regarda Harry droit dans le yeux alors que Harry retenait son regard. Ron et Hermione paraissaient vraiment choqué par ce que Malfoy venait de dire et furent prit d'une vague de panique. Vous venez, demanda Hermione reprenant tout de même ses esprits. Elle savait que si on n'arrêtait pas Malfoy tout de suite, il pouvait détruire Harry en quelques phrases. nous n'avons pas de temps à perdre avec quelqu'un qui est si mal dans sa peau qu'il doit changer quelque chose en lui, reprit Hermione en prenant Harry et Ron par le bras et en les amenant vers la bibliothèque. Drago leur lança un regard mauvais puis se retourna et partit. Arrivé dans la bibliothèque, il y eu un silence gênant. Harry.commença Hermione qui était mal à l'aise Bon, on va dans cette Réserve ? coupa Harry Hermione et Ron était assez mal à l'aise et lançaient quelques regards furtifs à Harry pendant qu'ils rentraient dans la réserve. Ecoute Harry, je sais que c'est dur à entendre mais Malfoy n'est qu'un.retenta Hermione. Bon, c'est toi qui écoute maintenant, répondit Harry en colère. Je sais très bien qu'il me recherche, d'accord ? Depuis toujours il me recherche et je le sais mieux que personne, OK ? C'est pas vous qui devez avoir peur, mais moi ! Un malaise s'installa entre les 3 amis. Harry baissa la tête puis repris plus calmement, mais on sentait que les sanglots lui montaient aux yeux lorsqu'il parlait. Vous n'avez jamais vu ces yeux rouge et entendu ce rire. Vous avez encore vos parents, et vous ne devez pas attendre toute vie que la baguette magique de votre ennemis leur redonne vie pour quelque minutes. Vous ne voyez pas ce que je vois la nuit quand j'arrive enfin à m'endormir. Vous n'imaginez même pas ce que j'entend lorsqu'un détraqueur s'approche de moi. Je pensais que ma vie s'était remise à marchez normalement, jusqu'à la fin de l'année passé, mais je me trompais. Tout à recommencer. J'ai toujours vécu détester de ma seule famille. Je me suis mis à revivre lorsque j'ai appris la vérité sur ma vie, enfin, ce qu'on voulait bien me dire. J'ai été tellement heureux lorsque je suis arrivé à Poudlard. Puis il est revenu, et pendant 2 ans, j'ai vécu dans la crainte. L'année après, j'ai cru que j'allais enfin pouvoir vivre, avec Sirius. Avoir une vrai famille, être aimé, rentrer chez moi pendant les vacances, mais il y à eu encore quelqu'un pour tout faire rater. L'année dernière, j'ai enfin cru que j'allais pouvoir vivre normalement, mais j'ai été prit dans un flot de catastrophe que je n'imaginais même pas. Ma participation au tournois, quand j'ai cru que j'allais vous perdre, puis tout à la fin, quand je l'ai vu renaître, alors que je voyais un corps sans vie à coté de moi. C'est comme si il enlevait la vie à quelqu'un pour lui revivre. Ensuite, il a faillit me tuer, et pour la première fois, j'ai vraiment cru que j'allais mourir, et à ce moment la, je revois mes parents. Pendant ces courtes minutes, j'ai cru que tout était fini, que je pouvais enfin vivre, mais non. Toute ma vie, je vivrai dans la crainte qu'il me trouve, jusqu'au moment où il me tuera. Tout le monde m'admire, mais maintenant qu'il est revenu, il n'y a plus rien à faire . Pourquoi tout le monde continu à m'admirer, moi, qui n'ai pas réussit à le tuer ? J'en ai eu l'occasion. Vous devriez vraiment vous reculer de moi car chaque seconde que vous passez avec moi, vous êtes en danger de mort ! Ni Hermione, ni Ron de répondit. Tout les deux étaient comme pétrifiez. Ils ne savaient quoi dire ni quoi faire. Hermione se mit à pleurer, mais Harry n'avait pas fini, et continua, maintenant complètement calme Vous n'avez jamais entendu quelqu'un lancer un sortilège mortel, vous n'avez jamais vu le reflet vert de la mort, ni un corps qui tombe à coté de vous, sans vie. Vous parler de Voldemort, et vous le craignez plus que tous vos pires cauchemars, vous n'osez même pas le nommer ! Vous en avez même encore plus peur que moi, alors que vous ne l'avez jamais vu. Tout ce que vous savez de lui, c'est ce qu'on a bien voulu vous dire. Comment vous pouvez juger ? Comment vous pouvez essayer de me consoler d'une peine qui ne sera jamais stoppée ? Je porterai toute ma vie ces malheurs et cette cicatrice. C'est comme si mon corps était remplit de plaies qui se rouvrait à chaque fois que quelqu'un en parle. Personne, non personne, ne peut en avoir plus peur que quelqu'un qui l'a vraiment vu. Malgré tout ce que j'ai vu, tout ce que j'ai subi dans ma vie, des choses que vous ne pouvez même pas imaginer, vous essayer de me consoler ? Comment quelqu'un pourrait me consoler un jour de tout ça ? Qui pourra me rendre mes parents ? Qui pourra me faire oublier ? Qui ? Hermione pleurait encore plus fort. Vous êtes toujours la pour me consoler, pour me donner des conseils, mais vous ne savez même pas de qui vous parler. Vous avez tous grandit dans une bonne petite famille, vous avez été aimé et chéri, mais moi personne ne m'a jamais aimé. Je n'avait plus de famille bien avant que je sache dire maman. Maman.Papa. ce mot, je ne l'ai jamais dit à personne. Je ne suis pas né avec les même chances que vous. Je n'en peux plus ! J'étouffe de l'intérieur ! Il me faut de l'air, quelque chose à respirer. Je respire, et tout ce que j'expire ressort de moi comme hanté. N'y a t'il que l'air qui me comprenne ? Il n'y a que quand je suis sur un balais que j'oublie tout. Lorsque l'air me réconforte. Vous ne pourrez jamais tout à fait me comprendre. Je pourrai rire avec vous, bavarder, faire tout normalement, seulement, je n'ai jamais ris normalement. Mon rire, ce n'est que quelque chose qui me rend un ptit peu mieux. Jamais une personne ne pourra me rendre mieux, et c'est horrible que ce ne soit que des sentiments, des objets ou tout simplement de l'air qui le fasse. N'asseyez plus jamais de me réconforter, vous n'y réussiriez pas. Ce mal, je l'aurai tout le temps en moi, quoi que vous disiez, quoi que vous fassiez. Il hante mes jours et mes nuit et je suis moi même comme hanté. Vous le savez, depuis notre rencontre, vous avez risqué plus d'une fois votre vie. Tous ceux qui s'approche de moi maintenant sont en danger de mort, et je devrai vivre normalement, alors que ma vie est maudite ? Harry se retourna pour partir, lorsque Dumbledor sorti de derrière un rayon de livre. il était apparemment entrain de chercher un livre, mais avait surment tout entendu
Harry, le rappela t'il alors que Harry s'était mis à courir en direction de la sortie. Harry se retourna, et vit Dumbledor. Viens dans mon bureau, Harry. Dumbledor s'approcha de lui et le prit par les épaules, et l'emmena vers son bureau. Ils ne parlèrent pas avant être entré dans son bureau. Il fit s'asseoir Harry, et prit un bout de parchemin, griffonna quelque chose dessus, puis chercha des yeux Fumsek pour envoyer ce qu'il venait d'écrire. Harry regarda derrière l'épaule de Dumbledor et vit Fumsek, resplendissant. Depuis qu'il avait tout dit à ses amis, il était comme dans un état second. Il regarda Fumsek, les yeux dans le vide, souriant bêtement. Il était dans un autre monde. Il se revoyait soudain tout petit, assit par terre, un arbre de Noël juste à coté, et ses parents riant en regardant leur fils qui gazouillait de bonheur. Tout était beau, comme dans un rêve. Sa mère l'embrassait et son père le prenait dans ses bras. Derrière, il y avait Sirius qui riait, lui aussi, prenant son jeune filleul dans ses bras. Puis, comme si il se mettait à voler très vite, il sorti de la maison, qu'il vit de haut, et qui devenait de plus en plus petite, à fur et à mesure qu'il s'envolait encore plus haut. Il vit ensuite le quartier, la ville, le pays, le continent, et plus il s'élevait, plus il revoyait le rire de ses parents. Il atterrit ensuite comme sorti soudainement d'un rêve dans le bureau de Dumbledor, où il n'était enfaîte pas vraiment parti. Dumbledor regardait Fumsek qui s'envolait pour porter un message.
