Chapitre 8 : Dans le bureau de Dumbledor
Je pense que tu devrais prendre un petit peu de repos, Harry, dit Dumbledor, en se retournant. Je ne suis pas fatigué, répondit Harry Dumbledor ne répondit pas. Il était debout et regardait Harry. Ses yeux pétillaient comme toujours, mais il paraissait frustré. Il avait l'air d'avoir de la pitié pour Harry. Tu sais, Harry, reprit t'il, tu devrais allez voir quelqu'un avec qui tu pourrais parler. Sache que si tu as un problème, tu peux venir m'en parler.
Il se tut pendant quelque minutes, puis reprit Je comprend très bien ce que tu ressens, Harry Personne ne peut comprendre ! Harry.j'ai aussi perdu mes parents très tôt. j'ai toujours été au premier plan de la lutte contre Voldemort. personne ne peut mieux comprendre que moi. Harry regarda Dumbledor dans les yeux. Il se dit qu'il était très égoïste. Il comprit qu'il avait était méchant avec ses amis. Il trouva marrant que Dumbledor, en quelques phrases, lui avait remonté le moral, alors que ses amis n'y était jamais parvenus.
Tu sais, Harry, je m'identifie beaucoup à toi, mais je sais qu'il y a des choses horrible que tu as vu, et que je ne verrai jamais. Je te demande pourtant de ne pas te renfermer comme tu viens de le faire. Tes amis n'ont jamais voulu te blesser, et c'est vraiment difficile parfois pour eux de vivre à coté de toi, car ils savent qui tu as vu des choses monstrueuses, et que eux non : ils ne peuvent pas t'aider, on ne peut pas aider quelqu'un alors qu'on ne sait pas de quoi il parle ! Ils savent que tu es beaucoup plus mature que eux, car toutes les expériences que tu as vécu t'ont fait grandir. Je te certifie que si ils pouvaient faire quelque choses, ils le feraient.malheureusement, rien ne peut effacer ce que tu as vu et vécu. C'est quelque chose qui restera toujours avec toi, qui t'accompagnera toute ta vie. Tu as grandi trop vite, Harry, et mal. Tu ne partais pas avec les mêmes chances, seulement ça t'apporte énormément de choses que les gens n'ont pas. Tu es plus fort, plus solide.
Les minutes passaient et Harry se sentait de plus en plus bête.
Tout était enfouit en toi, en jamais en 14 ans, tu en as parler. Tu subis, mais tu gardes tout pour toi. Je pense que si tu en avais parler plutôt à quelqu'un, on n'en serait pas là aujourd'hui. C'est pourquoi j'ai demander à Sirius de venir. Il va rester quelque temps avec toi, et sache qui si il est là, c'est pour t'écouter. Parle lui de tout ce que tu voudras, ne te retient pas. si tu gardes encore tout pour toi, il se pourrait que tu en arrives à redire ce que tu viens de dire à tes amis. Je voudrai aussi que tu me promettes quelque chose : si tu sais quelque chose, si tu apprends quelque chose, n'importe quoi, viens me le dire. N'essaie pas de tout faire tout seul, en emmenant avec toi tes amis. Deux fois, c'est ce que tu as fait, et tu as faillit perdre la vie. C'est promis ? Oui, murmura Harry Tu sais qu'il y a des centaines de salles inconnue dans ce château ? Reprit Dumbledor, alors qu'il reprenait son air enfantin, amusé de tout. Il y en a une près de l'entrée de la tour Griffondor. C'est la chambre que Sirius occupera le temps qu'il restera à l'école. L'entrée est derrière un tableau de bibliothèque, et il suffit de dire « Celo » pour avoir accès à la chambre qui se trouve derrière. Tu peux y allez quand tu veux, et parler avec lui. Si tu veux me parler, tu sais aussi où allez. Il faut maintenant que tu retournes en cours, j'espère que je t'aurai aidé. Je te dirai dès que ton parrain sera arrivé. Et ne dis à personne, même pas Ron et Hermione, qu'il est là. Au revoir, Harry Harry se leva, ouvrit la porte et sortit. Il était très heureux de la venue de Sirius. Pendant qu'il descendait les escaliers, il se dit que cette année, il ne ferait pas de bêtises, et que si il se passait quelque chose d'anormal, et irait tout de suite le dire à Dumbledor. Seulement, quand Harry pensait à quelque chose d'anormal, il n'était pas près d'imaginer ce que allait arriver quelques jours après.
Je pense que tu devrais prendre un petit peu de repos, Harry, dit Dumbledor, en se retournant. Je ne suis pas fatigué, répondit Harry Dumbledor ne répondit pas. Il était debout et regardait Harry. Ses yeux pétillaient comme toujours, mais il paraissait frustré. Il avait l'air d'avoir de la pitié pour Harry. Tu sais, Harry, reprit t'il, tu devrais allez voir quelqu'un avec qui tu pourrais parler. Sache que si tu as un problème, tu peux venir m'en parler.
Il se tut pendant quelque minutes, puis reprit Je comprend très bien ce que tu ressens, Harry Personne ne peut comprendre ! Harry.j'ai aussi perdu mes parents très tôt. j'ai toujours été au premier plan de la lutte contre Voldemort. personne ne peut mieux comprendre que moi. Harry regarda Dumbledor dans les yeux. Il se dit qu'il était très égoïste. Il comprit qu'il avait était méchant avec ses amis. Il trouva marrant que Dumbledor, en quelques phrases, lui avait remonté le moral, alors que ses amis n'y était jamais parvenus.
Tu sais, Harry, je m'identifie beaucoup à toi, mais je sais qu'il y a des choses horrible que tu as vu, et que je ne verrai jamais. Je te demande pourtant de ne pas te renfermer comme tu viens de le faire. Tes amis n'ont jamais voulu te blesser, et c'est vraiment difficile parfois pour eux de vivre à coté de toi, car ils savent qui tu as vu des choses monstrueuses, et que eux non : ils ne peuvent pas t'aider, on ne peut pas aider quelqu'un alors qu'on ne sait pas de quoi il parle ! Ils savent que tu es beaucoup plus mature que eux, car toutes les expériences que tu as vécu t'ont fait grandir. Je te certifie que si ils pouvaient faire quelque choses, ils le feraient.malheureusement, rien ne peut effacer ce que tu as vu et vécu. C'est quelque chose qui restera toujours avec toi, qui t'accompagnera toute ta vie. Tu as grandi trop vite, Harry, et mal. Tu ne partais pas avec les mêmes chances, seulement ça t'apporte énormément de choses que les gens n'ont pas. Tu es plus fort, plus solide.
Les minutes passaient et Harry se sentait de plus en plus bête.
Tout était enfouit en toi, en jamais en 14 ans, tu en as parler. Tu subis, mais tu gardes tout pour toi. Je pense que si tu en avais parler plutôt à quelqu'un, on n'en serait pas là aujourd'hui. C'est pourquoi j'ai demander à Sirius de venir. Il va rester quelque temps avec toi, et sache qui si il est là, c'est pour t'écouter. Parle lui de tout ce que tu voudras, ne te retient pas. si tu gardes encore tout pour toi, il se pourrait que tu en arrives à redire ce que tu viens de dire à tes amis. Je voudrai aussi que tu me promettes quelque chose : si tu sais quelque chose, si tu apprends quelque chose, n'importe quoi, viens me le dire. N'essaie pas de tout faire tout seul, en emmenant avec toi tes amis. Deux fois, c'est ce que tu as fait, et tu as faillit perdre la vie. C'est promis ? Oui, murmura Harry Tu sais qu'il y a des centaines de salles inconnue dans ce château ? Reprit Dumbledor, alors qu'il reprenait son air enfantin, amusé de tout. Il y en a une près de l'entrée de la tour Griffondor. C'est la chambre que Sirius occupera le temps qu'il restera à l'école. L'entrée est derrière un tableau de bibliothèque, et il suffit de dire « Celo » pour avoir accès à la chambre qui se trouve derrière. Tu peux y allez quand tu veux, et parler avec lui. Si tu veux me parler, tu sais aussi où allez. Il faut maintenant que tu retournes en cours, j'espère que je t'aurai aidé. Je te dirai dès que ton parrain sera arrivé. Et ne dis à personne, même pas Ron et Hermione, qu'il est là. Au revoir, Harry Harry se leva, ouvrit la porte et sortit. Il était très heureux de la venue de Sirius. Pendant qu'il descendait les escaliers, il se dit que cette année, il ne ferait pas de bêtises, et que si il se passait quelque chose d'anormal, et irait tout de suite le dire à Dumbledor. Seulement, quand Harry pensait à quelque chose d'anormal, il n'était pas près d'imaginer ce que allait arriver quelques jours après.
