Chapitre 14 : Dans la chambre de la licorne
Bien.maintenant que nous avons tout les éléments en main, il faut essayer de trouver une solution. Il n'y en a aucune.dit Harry Ecoutez.Pour le moment, vous allez rester ensemble. Professeur Ganvier restera avec vous. Je vais monter dans mon bureau, il faut que j'aille réfléchir. Je vais ouvrir un salle cachée et l'aménagée un peu : il ne faut pas que vous sortiez. Vous resterez là, avec professeur Ganvier, jusque quand j'aurai trouver quelque chose Mais.Mais nos cours ? Ecoutez, Mlle Montfort.je sais que ce n'est pas très agréable à entendre mais.vous n'en avez plus besoin... Je suis désolé. Sir.Sylvain, je vous laisse avec eux, je vous appelerai dès que j'aurai préparé la salle. OK Dumbledor sortit de l'infirmerie. Les 3 concernés étaient tremblants. Lisa et Rose pleuraient, et Harry était reparti dans un de ses rêve. Dans l'après-midi, Dumbledor revint les voir. Il n'avait encore rien trouvé, mais il avait préparé leur chambre, et ils sortirent. La pièce était près du bureau de Dumbledor, et caché par une statue de licorne. On y entrait en caressant son museau. La pièce était très spacieuse, et décoré très modernement. Il y avait 3 lit à baldaquins ( les mêmes que dans leur chambre ), une grande table avec des chaises, un sofa vert, de grandes armoires rouges remplies de livres, des gardes-robes jaunes où leurs affaires avaient été placées et une grande cheminé, puis dans une autre pièces fermée par une porte noire, une superbe salle-de-bain, semblable à celle des préfets où Harry avait été une fois. Les murs étaient verts clair, et le sol était recouvert d'une grosse moquette bleu clair très moilleuse. Harry s'assit sur un des lit. Sirius observait la bibliothèque, Rose regardait par la grande fenêtre qui donnait sur le lac et Lisa était facinée par la salle-de-bain. Le soir, alors que Harry était perdu dans ses rêves, Sirius s'approcha. Lisa dormait deja, et Rose était dans la salle de bain. Harry ? Oui. Je voulais te dire quelque chose.cela ne fait pas très longtemps que tu me connais et je suis vraiment triste de ne pas t'avoir connu plus tot.Tu es quelqu'un que j'apprécie énormement. Tu es exactement comme ton père, sourit Sirius. Les mêmes qualités, le même physique.le même courage. Il m'a donné il y a longtemps quelque chose pour toi. Il savait que.Voldemort arrivait et ta mère et lui ont écrit ceci pour toi. C'est une lettre qui a maintenant plus de 14 ans, et j'attendais le bon moment pour te la donner. Sirius prit quelque chose dans sa cape et le donna à Harry. C'était une lettre. Le papier était jauni par le temps, et on pouvait lire sur l'enveloppe « Pour Harry », en lettre rouge sang. Harry attendit que Sirius se soit éloigné, puis l'ouvrit, tremblant d'impatience. Il sortit la lettre avec précaution. Elle était assez longue, et toujours écrite avec la même écriture. « Cher Harry, Nous ne savons pas quand tu vas lire cette lettre, ni si tu la liras un jour. Nous savons que Voldemort arrive, et que nous ne pourrons pas l'arreter, mais si tu lis cette lettre, c'est que tu auras survécu. Toutes les nuits, nous te couchons en espérant pouvoir te reveiller le lendemain matin. La peur grandit en nous de jour et jour, et nous sentons l'ombre de plus en plus proche. Nous ne savons pas pourquoi il nous recherche, mais nous savons que nous sommes les premiers de sa liste. Nous vivons nos derniers jours avec toi. Tu grandis tellement vite ! Nous aimerions de tout notre c?ur te voir grandir, dire tes premiers mots, prendre le Poudlard express pour la première fois, venir te voir à un match de Quidditch, sport où nous sommes sûr que tu seras très bon, et être là, l'été quand tu reviendras de Poudlard, t'envoyer des sucreries chaques semaines, puis être là, quand te recevras ton BUSE et ton ASPIC, t'accompagner à ton premier travail, fêter ton mariage,. Tout ce que nous aurions voulu faire avec toi si nous l'avions pu ne tiendrais pas sur cette lettre. Seulement, nous ne pourrons jamais voir tout cela. Notre fin est proche, et nous serons privés de toi trop longtemps. Tu ressembles deja à ton père ! Tu es la, par terre, à gazouiller. Tu es trop petit pour comprendre ce qu'il se passe, et on espère que quand tu auras l'age de comprendre, tu ne vivras pas sous la meme peur que nous. Nous espèrons que tu vivras dans un monde libre. Sirius s'occupera de toi, après notre mort. Nous sommes sûr qu'il s'occupera de toi comme un père. Harry, notre plus grand regrès lorsque nous ne serons plus sur terre, sera de ne pas etre avec toi. Nous t'aimons de tout notre c?ur, plus fort encore, et pour toujours. Nous nous reverrons, mais plus tard, beaucoup plus tard. Nous t'envoyons 1000 baisers, et n'oublie jamais que nous n'avons jamais cesser de t'aimer. Lily et James, ta mère et ton père qui t'aiment » Harry avait relu cette lettre des centaines de fois, lorsque Dumbledor fit son apparition dans la chambre de la licorne
Bien.maintenant que nous avons tout les éléments en main, il faut essayer de trouver une solution. Il n'y en a aucune.dit Harry Ecoutez.Pour le moment, vous allez rester ensemble. Professeur Ganvier restera avec vous. Je vais monter dans mon bureau, il faut que j'aille réfléchir. Je vais ouvrir un salle cachée et l'aménagée un peu : il ne faut pas que vous sortiez. Vous resterez là, avec professeur Ganvier, jusque quand j'aurai trouver quelque chose Mais.Mais nos cours ? Ecoutez, Mlle Montfort.je sais que ce n'est pas très agréable à entendre mais.vous n'en avez plus besoin... Je suis désolé. Sir.Sylvain, je vous laisse avec eux, je vous appelerai dès que j'aurai préparé la salle. OK Dumbledor sortit de l'infirmerie. Les 3 concernés étaient tremblants. Lisa et Rose pleuraient, et Harry était reparti dans un de ses rêve. Dans l'après-midi, Dumbledor revint les voir. Il n'avait encore rien trouvé, mais il avait préparé leur chambre, et ils sortirent. La pièce était près du bureau de Dumbledor, et caché par une statue de licorne. On y entrait en caressant son museau. La pièce était très spacieuse, et décoré très modernement. Il y avait 3 lit à baldaquins ( les mêmes que dans leur chambre ), une grande table avec des chaises, un sofa vert, de grandes armoires rouges remplies de livres, des gardes-robes jaunes où leurs affaires avaient été placées et une grande cheminé, puis dans une autre pièces fermée par une porte noire, une superbe salle-de-bain, semblable à celle des préfets où Harry avait été une fois. Les murs étaient verts clair, et le sol était recouvert d'une grosse moquette bleu clair très moilleuse. Harry s'assit sur un des lit. Sirius observait la bibliothèque, Rose regardait par la grande fenêtre qui donnait sur le lac et Lisa était facinée par la salle-de-bain. Le soir, alors que Harry était perdu dans ses rêves, Sirius s'approcha. Lisa dormait deja, et Rose était dans la salle de bain. Harry ? Oui. Je voulais te dire quelque chose.cela ne fait pas très longtemps que tu me connais et je suis vraiment triste de ne pas t'avoir connu plus tot.Tu es quelqu'un que j'apprécie énormement. Tu es exactement comme ton père, sourit Sirius. Les mêmes qualités, le même physique.le même courage. Il m'a donné il y a longtemps quelque chose pour toi. Il savait que.Voldemort arrivait et ta mère et lui ont écrit ceci pour toi. C'est une lettre qui a maintenant plus de 14 ans, et j'attendais le bon moment pour te la donner. Sirius prit quelque chose dans sa cape et le donna à Harry. C'était une lettre. Le papier était jauni par le temps, et on pouvait lire sur l'enveloppe « Pour Harry », en lettre rouge sang. Harry attendit que Sirius se soit éloigné, puis l'ouvrit, tremblant d'impatience. Il sortit la lettre avec précaution. Elle était assez longue, et toujours écrite avec la même écriture. « Cher Harry, Nous ne savons pas quand tu vas lire cette lettre, ni si tu la liras un jour. Nous savons que Voldemort arrive, et que nous ne pourrons pas l'arreter, mais si tu lis cette lettre, c'est que tu auras survécu. Toutes les nuits, nous te couchons en espérant pouvoir te reveiller le lendemain matin. La peur grandit en nous de jour et jour, et nous sentons l'ombre de plus en plus proche. Nous ne savons pas pourquoi il nous recherche, mais nous savons que nous sommes les premiers de sa liste. Nous vivons nos derniers jours avec toi. Tu grandis tellement vite ! Nous aimerions de tout notre c?ur te voir grandir, dire tes premiers mots, prendre le Poudlard express pour la première fois, venir te voir à un match de Quidditch, sport où nous sommes sûr que tu seras très bon, et être là, l'été quand tu reviendras de Poudlard, t'envoyer des sucreries chaques semaines, puis être là, quand te recevras ton BUSE et ton ASPIC, t'accompagner à ton premier travail, fêter ton mariage,. Tout ce que nous aurions voulu faire avec toi si nous l'avions pu ne tiendrais pas sur cette lettre. Seulement, nous ne pourrons jamais voir tout cela. Notre fin est proche, et nous serons privés de toi trop longtemps. Tu ressembles deja à ton père ! Tu es la, par terre, à gazouiller. Tu es trop petit pour comprendre ce qu'il se passe, et on espère que quand tu auras l'age de comprendre, tu ne vivras pas sous la meme peur que nous. Nous espèrons que tu vivras dans un monde libre. Sirius s'occupera de toi, après notre mort. Nous sommes sûr qu'il s'occupera de toi comme un père. Harry, notre plus grand regrès lorsque nous ne serons plus sur terre, sera de ne pas etre avec toi. Nous t'aimons de tout notre c?ur, plus fort encore, et pour toujours. Nous nous reverrons, mais plus tard, beaucoup plus tard. Nous t'envoyons 1000 baisers, et n'oublie jamais que nous n'avons jamais cesser de t'aimer. Lily et James, ta mère et ton père qui t'aiment » Harry avait relu cette lettre des centaines de fois, lorsque Dumbledor fit son apparition dans la chambre de la licorne
