Auteur : Célé
Rating : PG-13
Genre : Drama.
Pairing : Pas DE SLASH !!!!!!!
Il est 7 heures du matin, le 4 Septembre, le jeune garçon qui était dans une petite chambre sans lumière, est dans une gare. Elle est bondée de moldus. Lui est recouvert d'un manteau sans formes et d'une casquette, cachant sa honte, ses bleu, ses coups, qui ne veulent plus disparaître, qui ne veulent plus le laisser en paix.
Il avance rapidement, il ne veut pas qu'un seul de leurs regards, le juge, il ne veut pas être là. Il veut être invisible, ne pas exister.
Il arrive enfin devant cette poutre, immense poutre, si seulement elle pouvait ne pas le laisser passer, si seulement elle n'existerait pas. Il la traverse comme si ce n'était rien qu'un mirage, il la traverse comme il aurait traversé, la porte d'une prison.
Il n'y a personne sur le quai. Rien que le silence, un silence,ni pesant ,ni chargé de tension. Un silence neutre. Pour une fois pendant ces vacances, il aime ce qu'il ressent, le silence est comme une porte de sortie, il englobe tout. Il englobe tout comme si rien n'existait. Après quelques minutes de cette torpeur silencieuse, il se remet en chemin, vite, il ne veut que personne ne le remarque, les portes du train sont ouvertes, pour les voyageurs qui viennent en avance.
Il entre dans un compartiment, enfin, seul sans personne prêt de lui, rien que le vide, le vide et le silence. Il se sent mieux, il n'est plus opprécé, il n'est plus. Il ressent enfin, la magie courir dans ses veines, ces mêmes veines où coulaient il y a quelques temps la douleur, la haine, la rage et l'impuissance. Il peut enfin l'utiliser, il ouvre sa malle, et en ressort sa baguette magique. Il l'a regarde, la fait tournoyé entre ses mains, ses mains squelletiques et froides. Il veut savourer enfin se petit moment de bien- être, la magie peut apporter tellement de chose, elle ne peut être qu'un simple plaisir, elle peut être bonne, comme elle peut être mauvaise, et n'apportée que de la souffrance. Il ferme les yeux.
Il vérrouille la porte de son compartiment, ne voulant être déranger, il a enfin utiliser cette magie, qui ne demandait que de sortir. Il a envie de recommencé, il doit le faire. Il ouvre un livre d'enchantements avancées. Cherche les pages des yeux, celles qu'il a lus et relus pendant tout ces jours de calvaire, il trouve la première. Il se mets en tailleur par terre, ce qui lui fait échappée, des gémissement de douleur, il aime la douleur, il repense au couteau qui est resté dans la cuisine, il l'a utilisé toute les nuits, laissant s'échapper sa peine, sa tristesse. Il n'a plus ce couteau, cette lame si brillante, mais il a bien pire, il a sa magie.
Il récite la formule, il doit ne faire aucune faute, une formule longue, aux intonations métalliques. Après plusieurs minutes, il sent enfin, cette magie, qui circule à la surface de sa peau, qui circule sur tout son corps. Elle ne lui fait ni du bien, ni du mal, elle se contente de passer a chaque endroits, et de faire disparaître, ses blessures, ses plaies, ses hontes, sa répugnance. Il se fait disparaître, il se dissout dans la magie. Il n'est plus lui- même, il se cache, il se cache, pour ne plus être celui, que lui seul connaît.
Après plusieurs minutes, la magie cesse de passer sur son corps. Il se relève, il est fatigué, mais ne veut pas le voir. Il enlève ce manteau, enlève sa chemise, il regarde son torse, ses bras, il n'y a plus rien. Tout a disparu. Rien n'est. Il respire. Il se détend enfin. Il s'est affaibli, il a mis beaucoup de puissance dans ce sortilège, pour que personne ne puisse voir a travers. Pas même Dumbledore. Il doit se reposer, il fera le 2nd sortilège, qui lui tient a c?ur, plus tard. Il faut qu'il dorme. Il faut que son c?ur arrête de s'affoler.
Il s'assoit sur la banquette du compartiment, ferme les yeux, avant il vérifie le sort qui bloque sa porte, puis l'heure, il est 10H07, il peu entendre déjà, les rires, les pleurs, les cries, des enfants qui vont bientôt, embarquer dans ce train, pour une nouvelle année scolaire .
Il ferme ses yeux. Il aimerait ne jamais les rouvrir, ne jamais revoir ce monde, si laid, ce monde si brutal, ce monde si dur. Il se laisse emporter par Morphée. Rêvant, à cette lame.. si fine, si douce. si coupante.
Il est 19H15. Le train s'arrête enfin. Harry se réveille, il avait dormit pendant tout le trajet. Personne n'avait réussit a ouvrir le compartiment. Il se change, mets ses habits de sorcier. Il sort de sa poche, un petit morceau de métal. Il reflète la lumière. Il y a inscrit dessus : Préfet en Chef.
Il l'accroche a son torse. Il se prépare. Il doit remettre son masque, se montrer en tant que Harry Potter. Harry Potter le héros, il ne doit y a voir aucune faille. Ni dans ses paroles, ni dans ses yeux. Il se plaque un faux sourire ensommeiller sur le visage. Grosteque imitation, il ne sait plus trop comment faire.Il va devoir réapprendre. Il détend ses muscles, se relâche. IL ouvre enfin la porte de son compartiment, faignant de se réveiller. Il sort, et descends sur le quai.
Le jeu de rôle peut commencer.
Merci pour les Rewiews, je sais pas trop encore avec qui Harry serra ami, j'ai pas trop eu de réponses.
Zou Célé.
Il est 7 heures du matin, le 4 Septembre, le jeune garçon qui était dans une petite chambre sans lumière, est dans une gare. Elle est bondée de moldus. Lui est recouvert d'un manteau sans formes et d'une casquette, cachant sa honte, ses bleu, ses coups, qui ne veulent plus disparaître, qui ne veulent plus le laisser en paix.
Il avance rapidement, il ne veut pas qu'un seul de leurs regards, le juge, il ne veut pas être là. Il veut être invisible, ne pas exister.
Il arrive enfin devant cette poutre, immense poutre, si seulement elle pouvait ne pas le laisser passer, si seulement elle n'existerait pas. Il la traverse comme si ce n'était rien qu'un mirage, il la traverse comme il aurait traversé, la porte d'une prison.
Il n'y a personne sur le quai. Rien que le silence, un silence,ni pesant ,ni chargé de tension. Un silence neutre. Pour une fois pendant ces vacances, il aime ce qu'il ressent, le silence est comme une porte de sortie, il englobe tout. Il englobe tout comme si rien n'existait. Après quelques minutes de cette torpeur silencieuse, il se remet en chemin, vite, il ne veut que personne ne le remarque, les portes du train sont ouvertes, pour les voyageurs qui viennent en avance.
Il entre dans un compartiment, enfin, seul sans personne prêt de lui, rien que le vide, le vide et le silence. Il se sent mieux, il n'est plus opprécé, il n'est plus. Il ressent enfin, la magie courir dans ses veines, ces mêmes veines où coulaient il y a quelques temps la douleur, la haine, la rage et l'impuissance. Il peut enfin l'utiliser, il ouvre sa malle, et en ressort sa baguette magique. Il l'a regarde, la fait tournoyé entre ses mains, ses mains squelletiques et froides. Il veut savourer enfin se petit moment de bien- être, la magie peut apporter tellement de chose, elle ne peut être qu'un simple plaisir, elle peut être bonne, comme elle peut être mauvaise, et n'apportée que de la souffrance. Il ferme les yeux.
Il vérrouille la porte de son compartiment, ne voulant être déranger, il a enfin utiliser cette magie, qui ne demandait que de sortir. Il a envie de recommencé, il doit le faire. Il ouvre un livre d'enchantements avancées. Cherche les pages des yeux, celles qu'il a lus et relus pendant tout ces jours de calvaire, il trouve la première. Il se mets en tailleur par terre, ce qui lui fait échappée, des gémissement de douleur, il aime la douleur, il repense au couteau qui est resté dans la cuisine, il l'a utilisé toute les nuits, laissant s'échapper sa peine, sa tristesse. Il n'a plus ce couteau, cette lame si brillante, mais il a bien pire, il a sa magie.
Il récite la formule, il doit ne faire aucune faute, une formule longue, aux intonations métalliques. Après plusieurs minutes, il sent enfin, cette magie, qui circule à la surface de sa peau, qui circule sur tout son corps. Elle ne lui fait ni du bien, ni du mal, elle se contente de passer a chaque endroits, et de faire disparaître, ses blessures, ses plaies, ses hontes, sa répugnance. Il se fait disparaître, il se dissout dans la magie. Il n'est plus lui- même, il se cache, il se cache, pour ne plus être celui, que lui seul connaît.
Après plusieurs minutes, la magie cesse de passer sur son corps. Il se relève, il est fatigué, mais ne veut pas le voir. Il enlève ce manteau, enlève sa chemise, il regarde son torse, ses bras, il n'y a plus rien. Tout a disparu. Rien n'est. Il respire. Il se détend enfin. Il s'est affaibli, il a mis beaucoup de puissance dans ce sortilège, pour que personne ne puisse voir a travers. Pas même Dumbledore. Il doit se reposer, il fera le 2nd sortilège, qui lui tient a c?ur, plus tard. Il faut qu'il dorme. Il faut que son c?ur arrête de s'affoler.
Il s'assoit sur la banquette du compartiment, ferme les yeux, avant il vérifie le sort qui bloque sa porte, puis l'heure, il est 10H07, il peu entendre déjà, les rires, les pleurs, les cries, des enfants qui vont bientôt, embarquer dans ce train, pour une nouvelle année scolaire .
Il ferme ses yeux. Il aimerait ne jamais les rouvrir, ne jamais revoir ce monde, si laid, ce monde si brutal, ce monde si dur. Il se laisse emporter par Morphée. Rêvant, à cette lame.. si fine, si douce. si coupante.
Il est 19H15. Le train s'arrête enfin. Harry se réveille, il avait dormit pendant tout le trajet. Personne n'avait réussit a ouvrir le compartiment. Il se change, mets ses habits de sorcier. Il sort de sa poche, un petit morceau de métal. Il reflète la lumière. Il y a inscrit dessus : Préfet en Chef.
Il l'accroche a son torse. Il se prépare. Il doit remettre son masque, se montrer en tant que Harry Potter. Harry Potter le héros, il ne doit y a voir aucune faille. Ni dans ses paroles, ni dans ses yeux. Il se plaque un faux sourire ensommeiller sur le visage. Grosteque imitation, il ne sait plus trop comment faire.Il va devoir réapprendre. Il détend ses muscles, se relâche. IL ouvre enfin la porte de son compartiment, faignant de se réveiller. Il sort, et descends sur le quai.
Le jeu de rôle peut commencer.
Merci pour les Rewiews, je sais pas trop encore avec qui Harry serra ami, j'ai pas trop eu de réponses.
Zou Célé.
