Auteur : Nahamy
Adresse: Nahamy@aol.com
Base : FF8
Couple S+S
Genre : Romance yaoi.
Disclamer: Toujours pas à moi. Deuxième chapitre de la trilogie
Résumé : Euh pas lisez se sera plus simple.
TENEBRES
Quand nous sommes-nous séparés ? A quelle croisée lugubre des chemins ? Est-ce toi qui m'as quittés ? Est-ce moi qui t'ai abandonné ?
Seul, terriblement seul, entouré par mes deux amis mais seul tout de même car tu n'ai pas là. Depuis l'orphelinat on a toujours était ensemble toi et moi, moi et toi. Puis il y eu la BGU, et la ranc?ur a commencé, je suis désolé pour tout ce que je t'ai fait, mais c'était pour te rendre plus fort, pour que plus jamais tes larmes ne coulent à causes d'une personne qui t'aurait blessé. C'est à ce moment que nous avons commencé à nous séparer, je te rendais plus fort mais je te perdais également. Nous avons continué notre chemin, toi dans la lumière et moi dans les ténèbres.
Et le mur rigide élevé entre toi et moi ; et le silence dressé entre toi et moi ; et les ténèbres tendues, piège lugubre, entre toi et moi auraient fait des étrangers de toi et de moi.
Seul, solitaire, c'est se que resterai, toi et moi ne sommes plus que des étrangers l'un envers l'autres. J'ai effacé les larmes de tes yeux, pourtant j'aurai aimé les effacer avec des mots doux, plutôt qu'avec une arme. J'aurai aimé que tu viennes pleuré la nuit sur mon épaule après que tu es fait un quelconque cauchemar, mais tu n'es jamais venus. Entre nous il n'y eu que des silences entrecoupé d'insultes. Comme j'aimerai écrasé se mur de silence qui me garde prisonnier des ténèbres, mais toi seul peut le faire.
Et le temps qui divise, le temps, ce train toujours en partance et qui s'arrête à peine, le temps, semeur de pavots, chute insensible de poussière, sur le beau voile ensoleillé du souvenir, sourdement laisserait l'invisible araignée tisser la toile ténébreuse de l'oubli comme un second linceul plus profond que la tombe, entre toi et moi ?
Jean-F. BRIERE (j'ai remplacé les nous d'origine par des moi pour que ça aille avec la fic)
Tous me disent que le temps dissipera cette noirceur dans laquelle je m'enlise jours après jours, mais je crains le temps. Il a se pouvoir suprême de faire disparaître les souvenirs, et je ne veux pas disparaître, je ne veux pas qu'il m'oublie. Les ténèbres ne partiront pas toute seule et je n'ai pas la force de les repousser. Lui le peut, il a cette lumière en lui, tout au fond, je l'ai cacher dans son c?ur en l'endurcissant pour que personne ne la lui vole. Lui seul peut me ramener vers la lumière. Je t'en supplie reviens vers moi, fait disparaître mes cauchemars et mes peurs, je t'en supplie reviens vers moi Squall.
FIN ou A SUIVRE
TENEBRES
Quand nous sommes-nous séparés ? A quelle croisée lugubre des chemins ? Est-ce toi qui m'as quittés ? Est-ce moi qui t'ai abandonné ?
Seul, terriblement seul, entouré par mes deux amis mais seul tout de même car tu n'ai pas là. Depuis l'orphelinat on a toujours était ensemble toi et moi, moi et toi. Puis il y eu la BGU, et la ranc?ur a commencé, je suis désolé pour tout ce que je t'ai fait, mais c'était pour te rendre plus fort, pour que plus jamais tes larmes ne coulent à causes d'une personne qui t'aurait blessé. C'est à ce moment que nous avons commencé à nous séparer, je te rendais plus fort mais je te perdais également. Nous avons continué notre chemin, toi dans la lumière et moi dans les ténèbres.
Et le mur rigide élevé entre toi et moi ; et le silence dressé entre toi et moi ; et les ténèbres tendues, piège lugubre, entre toi et moi auraient fait des étrangers de toi et de moi.
Seul, solitaire, c'est se que resterai, toi et moi ne sommes plus que des étrangers l'un envers l'autres. J'ai effacé les larmes de tes yeux, pourtant j'aurai aimé les effacer avec des mots doux, plutôt qu'avec une arme. J'aurai aimé que tu viennes pleuré la nuit sur mon épaule après que tu es fait un quelconque cauchemar, mais tu n'es jamais venus. Entre nous il n'y eu que des silences entrecoupé d'insultes. Comme j'aimerai écrasé se mur de silence qui me garde prisonnier des ténèbres, mais toi seul peut le faire.
Et le temps qui divise, le temps, ce train toujours en partance et qui s'arrête à peine, le temps, semeur de pavots, chute insensible de poussière, sur le beau voile ensoleillé du souvenir, sourdement laisserait l'invisible araignée tisser la toile ténébreuse de l'oubli comme un second linceul plus profond que la tombe, entre toi et moi ?
Jean-F. BRIERE (j'ai remplacé les nous d'origine par des moi pour que ça aille avec la fic)
Tous me disent que le temps dissipera cette noirceur dans laquelle je m'enlise jours après jours, mais je crains le temps. Il a se pouvoir suprême de faire disparaître les souvenirs, et je ne veux pas disparaître, je ne veux pas qu'il m'oublie. Les ténèbres ne partiront pas toute seule et je n'ai pas la force de les repousser. Lui le peut, il a cette lumière en lui, tout au fond, je l'ai cacher dans son c?ur en l'endurcissant pour que personne ne la lui vole. Lui seul peut me ramener vers la lumière. Je t'en supplie reviens vers moi, fait disparaître mes cauchemars et mes peurs, je t'en supplie reviens vers moi Squall.
FIN ou A SUIVRE