***N/A Important!!*** Rebonjour tout
le monde!!! S'il vous plait, ne me tuez pas pour avoir encore commencé
quelque chose... Mais disons que je ne pouvais pas passer à côté
de cette histoire ^__^ Elle vient à nouveau de Polaris, un auteur
anglais exceptionnel! Pour tout ceux qui ont lu Dangers dans le passé
(Danger in the past), vous pouvez considérer cette histoire comme
son préquel (ce qui s'est passé avant). Pour tous les autres,
ne vous inquiétez pas, vous comprendrez très bien toute l'histoire.
Bon, j'arrête de vous embêter et je vous laisse savourer ce
premier chapitre! ^_^ Bonne Lecture!!
Disclaimer : Bon bah l'histoire appartient bien sûr
à Polaris. Tous ce que vous connaissez déjà à
JK.Rowling. Et que me revient-il? Bof, la traduction ^_^
Tissu de Mensonges (Web of lies)
Chapitre 1
Cela faisait deux semaines depuis la fin de la quatrième année de Harry. Le garçon avait été malheureux dès le moment où il avait aperçut le visage renfrogné de son oncle à la station de train, sachant que ses vacances d'été ne seraient pas plaisantes du tout. Ce devint même un euphémisme. Sa tante et son oncle avaient commencé à l'enfermer dans sa chambre, trop effrayés de lui pour le renvoyer dans son placard, mais assez furieux pour le garder loin du reste de la maisonnée. Ils lui permettaient seulement de sortir de sa chambre deux fois par jour pour qu'il puisse utiliser la salle de bain, mais c'était tout.
Après la première semaine de son emprisonnement forcé, les souvenirs du tournoi des Trois Sorciers le menèrent à une dépression profonde. Les cauchemars à propos de la mort de Cédric, dans lesquelles le garçon le blâmait, le poussaient lentement mais sûrement vers le précipice et il ne pouvait pas les arrêter, ils continuaient juste à venir. Après quelques jours, il ne pouvait plus s'amener à s'en préoccuper. Il arrêta de manger; pas que cela faisait une grande différence avec ce que sa tante Pétunia lui donnait à manger. Il avait aussi commencé à ignorer les lettres de ses amis qui arrivaient régulièrement. À la fin de la seconde semaine, il n'était pas seulement à un poids anormalement bas, mais il était aussi malade.
Une partie de Harry savait que si les choses continuaient telles qu'elles étaient, il ne reverrait plus Poudlard; il serait mort par malnutrition, ou alors par sa propre main. Il avait perdu tout le support qu'il recevait des autres et il était maintenant perdu dans son propre monde de cauchemars. Personne n'était là pour l'aider, personne n'était là pour se préoccuper de lui, personne ne serait là pour assister à sa mort.
C'était durant l'un de ces moments de réflexion, dans lesquels il savait que Voldemort n'aurait pas le plaisir de le tuer, que Harry décida d'écrire une lettre. Il savait que si les choses continuaient comme cela, il y aurait beaucoup de personnes qui le prendraient mal. Il s'était fait dire maintes et maintes fois par les autres qu'ils s'inquiétaient pour lui mais, en ce moment, peu lui importait. Ils ne le verraient pas de la même façon, ils ne comprendraient pas que c'était mieux de cette façon, qu'il apportait seulement de la douleur et de la tristesse. Il devait leur dire que c'était ce qu'il voulait, les faire comprendre que c'était la seule solution. Il devait aussi les remercier de l'avoir endurer et supporter durant tant d'années.
Prenant l'un des derniers morceaux de parchemin présents dans sa chambre, il s'assit devant son bureau, son mince corps fatigué tremblant sous l'effort de se déplacer. Lentement, il commença à écrire, essayant d'empêcher sa main maigre de trop trembler. Il était à peine rendu à la moitié lorsqu'il réalisa combien cette lettre était inutile. Pourquoi est-ce que quelqu'un se soucierait-il de ce qu'il pensait? Et même s'ils le faisaient, ils seraient trop entêtés pour le comprendre, ils ne l'accepteraient pas. De plus, il se sentait trop épuisé, peut-être devrait-il oublier tous les autres et essayer de dormir un peu plus, espérant qu'aucun cauchemar ne viendrait interrompre son repos dont il avait profondément besoin. Étant parvenu à cette décision, il retourna lentement vers son lit et laissa son corps épuisé tomber dessus, ne se préoccupant même pas de tirer les couvertures sur son corps frêle. Il savait de toute façon qu'elles ne le tiendraient pas au chaud puisque sa fièvre avait continué à monter depuis quelques heures. Soupirant, il tomba endormi, inconscient des yeux dorés qui avaient suivi chacun de ses mouvements.
Hedwige avait regardé silencieusement son maître de sa cage. Elle était vraiment inquiète pour le garçon, mais n'était pas parvenue à ce qu'il écrive quelque chose. Maintenant qu'il avait enfin mis quelque chose sur papier, elle n'allait pas le laisser se gaspiller. La chouette sortit de sa cage en volant, puis atterrit à côté du morceau de parchemin que Harry avait laissé sur la table. Le prenant prudemment, elle se demanda où elle devrait aller le porter. Finalement, elle pensa au seul homme qui pouvait toujours aider son jeune maître puis, sans arrière pensée, elle s'envola par la fenêtre et vola dans la direction où ses sens lui disaient que se trouvait Albus Dumbledore.
*~*~*
Le directeur était, à ce moment-là, assis paisiblement dans le bureau de sa résidence d'été. Il n'utilisait pas souvent cette maison puisqu'il préférait rester à Poudlard durant ses vacances mais, cette année, cela s'était révélé impossible. Des Aurors étaient en ce moment au château, mettant à jour les anciens sortilèges de protection. Même si Fudge ne croyait pas au retour de Voldemort, il avait reçu assez de pression de la part de ses ministres pour consentir à placer plus de protection autour de l'école. Dumbledore en avait été légèrement surpris, mais l'avait permis. Un groupe d'Aurors serait beaucoup plus efficace dans cette tâche que les professeurs l'auraient étés. Alors, son personnel enseignant et lui avait été forcés de déménager de l'école jusqu'à ce que le semestre ne prenne son commencement.
Soupirant, Dumbledore poussa plus loin quelques papiers. Il essayait d'organiser une défense contre Voldemort mais, ce n'était pas évident sans l'aide directe du ministère. Il fut soudainement sortit de ses pensées lorsqu'une chouette entra par la fenêtre. La chouette blanche comme neige se posa délicatement devant lui, le faisant froncer des sourcils. Il serait capable de reconnaître la chouette de Harry Potter n'importe où. Caressant doucement l'oiseau, il ramassa la lettre qu'elle avait déposée sur la table, se demandant si Harry avait à eu de nouveaux cauchemars concernant Voldemort. Regardant le parchemin, il fronça les sourcils. Il pouvait à peine déchiffrer ce qui était écrit. Il semblait que la main d'Harry avait tremblé énormément lorsqu'il avait écrit ceci.
Se penchant vers le parchemin, il plissa les yeux, puis commença à lire la lettre.
Cher Dumbledore,
Je ne suis pas certain quant à la raison pour laquelle j'écris
ceci. Je suppose que je veux seulement vous remercier pour tous les efforts
que vous avez faits pour me garder en sécurité. Je viens
juste de réaliser que je ne vous avais jamais remercié pour
tout ce que vous aviez fait pour moi et puisque je ne vous reverrai probablement
plus jamais, j'ai seulement pensé que
La lettre s'interrompait brusquement, laissant Dumbledore extrêmement inquiet. Se tournant vers la chouette, il la caressa doucement. "Est-ce que Harry t'a demandé de me donner ceci?"
Hedwige le regarda pendant un moment avant de secouer la tête lentement. Dumbledore caressa à nouveau sa tête, puis soupira. Bien sûr que non. Harry n'aurait jamais envoyé une telle lettre. Ce qui inquiétait réellement le directeur était qu'il en était venu jusqu'à écrire cela. Harry n'était pas un dramatique, il était très près de ses émotions et cela en prenait beaucoup pour que le garçon dise comment il se sentait. Quelque chose allait vraiment mal.
Se réinstallant dans sa chaise, il se demanda s'il devait envoyer Sirius et Remus vérifier l'état du garçon. Il avait réellement un mauvais pressentiment quant à tout cela, mais il réalisa rapidement que c'était impossible de les envoyer là-bas puisque les deux hommes étaient partis en mission pour lui en Irlande. Ils ne seraient pas de retour avant quelques semaines et il ne voulait vraiment pas attendre si longtemps. Regardant à nouveau la chouette blanche comme neige, il soupira à nouveau, puis se leva; il devrait aller lui-même jeter un coup d'œil sur le garçon. Ordonnant à Hedwige de rester là, il sortit de son bureau. Une fois sortit des sortilèges anti-transplanage, il concentra sa magie pour enlever les barrières présentes sur Privet Drive, puis transplana aussitôt, espérant qu'il ne ferait pas sursauter Harry.
À suivre...
* * * * *
Valà pour ce premier chapitre!! Si vous avez aimé et que vous voulez le prochain chapitre, je crois que vous savez ce que vous devez faire, non? *chuchote* Un indice? *regarde autour d'elle* *dit tout bas* Review! ^__^ Allez, vous êtes capables! lol! Et si vous vous demandez quand sera le prochain chapitre... Bah, dès que Polaris l'aura écrit Mdr! Ça va me faire tout bizarre, ce sera la première fois que je ne saurai pas plus la suite que mes lecteurs :-þ Bon bah je vous laisse sur ça! Et n'oubliez pas de reviewer si vous voulez la suite!!
[|F@n¥|]
