Rebonjour à tous !! Oui, je sais, c'est ma troisième fic, mais celle ci est un one shot, je pense qu'elle ne devrait pas prendre beaucoup de temps !!!!;p

Je crois que j'avais abusé du français ce soir là, mais, je vous en fait profiter quand même.Et on n'oublie pas de donner ses impressions !!!Merci à vous tous et même à ceux qui me lisent mais qui ne review pas. Bisous !!

Un certain M. P., qui habitait une grande maison proche de la mienne, était
un grand

philosophe. Il savait profiter de la vie et connaissait toutes les
émotions. Il passait ses journées

dehors, à l'air, sur sa chaise en plastique à l'ombre du saule pleureur,
triturant un petit

morceau de bois comme pour l'aider dans sa réflexion. Et quand le temps ne
lui permettait pas

d'honnorer ses bégonias de sa présence, il restait à l'intérieur, dans la
pièce la plus clair et la

plus chaleureuse qu'il m'ait été d'admirer à travers des fenêtres toujours
étincelante.Il agitait

son bois, machinalement, en faisant des moulinets grossiers, pour garder
toute son énergie

pour sa pensée, et murmurant, les yeux dans le vague, dans une espèce de
transe, avant

d'éclater en sanglots, remoulinant son bois, murmurant de nouveau, puis
repleurant. Quelque

fois, ce grand homme se levait, marchait, appréciait chaque pas qu'il
faisait, se jetait à

genoux, hurlait de rage, puis reprenait sa place, doucement, comme honteux
de son geste. Ses

théories étaient si grandes, ses propos si justes que, parfois, quand un
élément semblait à tout

prix vouloir le contredire, il s'anéantissait de l'intérieur, mais
recommençait, reconstruisait,

echafaudait, et repartait de plus belle. Un jour en revenant de mon travail
si triste, je fus

surpris de ne pas le surprendre dans son jardin par une magnifique journée
d'été. Deux

hommes vêtus de violet entrèrent dans son sanctuaire, et je fut outré de
tant d'insolence, que,

en les voyant ouvrir sans ménagement la porte de cette demeure austère, je
bondis en

m'écriant de laisser ce pauvre homme tranquille. J'en oubliais les bonnes
manières, et me

précipitais et vociférait sur eux d'une telle force que je ne me rendis pas
compte tout de suite

qu'ils étaient déjà sortis. Je ne me souviendrait pas de ce qu'ils
faisaient là, toujours est-il que

je ne revis plus jamais ce cher M.P. J'appris le lendemain dans un journal
assez étrange que le

vent avait porté de mes voisins jusque chez moi que ce brave homme avait
passé l'arme à

gauche d'une douce folie que lui avait donné un ultime combat contre un
certain M.Lord

Voldemort.

* Ce jour là, le reste du monde des sorciers encore debout s'écroula pour
de bons, entraînant avec lui le désespoir incommensurable de ceux qui avaient eut le courage de rester en vie, et l'espoir de reconstruire leur
vie avec leur défenseur qui, lui, n'attendait que sa mort. *