Printemps
Le printemps est là, les arbres ploient sous le poids
Léger des fleurs et s'agitent dans la brise
Parfumée. Je lève la tête vers le toit
Que forment les branches. Le ciel s'irise
Dans les intervalles qu'elles forment, et là,
La lumière éblouit les passants de blancheur.
Je baisse alors les yeux et regarde au-delà
Du cours d'eau vers l'endroit où réside mon coeur.
Soudain, un mouvement attire mon regard
Sur le pont où traversent les gens affairés
Tu es là, marchant vers moi, coiffée avec art
Dans ta beauté qui envoie mon esprit errer.
Hypnotisé, je bois chacun de tes gestes.
A cet instant, tu me vois et tu me souris;
Ce sourire fait s'évanouir le reste
Je ne vois plus que toi, que j'aime et je chéris.
Le printemps est là, les arbres ploient sous le poids
Léger des fleurs et s'agitent dans la brise
Parfumée. Je lève la tête vers le toit
Que forment les branches. Le ciel s'irise
Dans les intervalles qu'elles forment, et là,
La lumière éblouit les passants de blancheur.
Je baisse alors les yeux et regarde au-delà
Du cours d'eau vers l'endroit où réside mon coeur.
Soudain, un mouvement attire mon regard
Sur le pont où traversent les gens affairés
Tu es là, marchant vers moi, coiffée avec art
Dans ta beauté qui envoie mon esprit errer.
Hypnotisé, je bois chacun de tes gestes.
A cet instant, tu me vois et tu me souris;
Ce sourire fait s'évanouir le reste
Je ne vois plus que toi, que j'aime et je chéris.
