Je l'aime, mais lui ?

Et voilà, encore une autre fic. ET comme, je suis très méchante ( vous avez du le remarquer, je l'ai encore coupé !) et maintenant pour avoir la suite, je veux pleins de reviews.

C'était le veille de Noël à Poudlard. Presque tous les Gryffondors avaient quitté les lieux pour rentrer chez eux. Harry était assis dans la salle commune , il pensait toujours à la même personne, c'était toujours elle qui occupait son esprit ses derniers temps, elle et personne d'autre. Seulement, elle ne le savait pas, ni Ron. Harry refusait de s'admettre amoureux. De toute façon en ce moment elle aussi avait quitté Poudlard à son plus grand regret pendant toutes la durée des vacances. Qu'allait-il bien pouvoir faire sans elle, qu'allait-il devenir durant 15 jours.

Hermione était assise devant la fenêtre. Elle pensait à lui, lui toujours lui. Elle lui donnerait tant si seulement, il la voyait telle qu'elle était ? Mais Hermione ne disait rien, elle l'aimait trop. Elle souffrait en silence par peur que leur amitié soit briser. Elle l'aimer pour ce qu'il était, ce qui lui avait donné et pas pour sa célébrité ou sa cicatrice. Après tout  Hermione aimait le  célèbre Harry Potter pour sa générosité, sa beauté, sa courtoisie, sa gentillesse, son amitié. Durant 15 jours, elle ne pourrait plus le voir, le toucher, lui parler. Durant 15 jours, elle allait être séparé de lui.

Sa mère entra dans sa chambre, elle s'asseye à côté de son bébé et la regarda tristement. Elle passa une main dans les longs cheveux d'Hermione.

- Je le connais lui demanda doucement sa maman.

- Mais qui ?

- Ce garçon qui ose te mettre dans un état pareil !

- Je ne pense pas.

- Racontes-moi, tu sais je suis ta mère mais moi aussi j'ai été jeune et amoureuse.

- Maman , pourquoi l'amour est si compliqué ?

- Parce que c'est l'amour, c'est justement là tout le mystère. Aimer ce n'est pas facile ma chérie, c'est même souvent plus  facile de haïr celui que tu aimes que de l'aimer tout simplement. Racontes moi, il est comment ce garçon ?

- Merveilleux ! Incroyablement beau. Il est si ….. et tellement… Oh maman, si tu le connaissais.

- Je vois tu l'aimes tant que ça. Mais lui sait-il que tu l'aimes ?

- Euh.. pas exactement ! mais je lui ai laissé pleins de sous entendu se défendit la jeune fille.

- Alors qui sait peut-être que lui aussi t'aime mais qui ne te le dit pas. La rassura sa mère.

- Non, il ne m'aime pas, pour lui je suis juste Hermione,  la copine intello.

- Comment peux-tu en être aussi sur ma puce.

Harry fut sortit de ses pensées par l'arrivé de Ron.

- Je croyais que tu étais parti pour les vacances s'étonna Harry.

- Moi aussi, jusqu'à ce que je loupe mon bus.

- Je te reconnais bien là, Ron se moqua Harry.

- En faîte, je regrettais de te laisser tout seul à Poudlard.

- C'est gentil à toi.

- Et toi qu'est ce que faisait ?

- Rien mentit Harry.( il pensait à elle mais comment l'avouer à Ron, qu'il était amoureux d'Hermione. Harry avait 16 ans et il aimait sa meilleure amie.)

- Harry Potter est amoureux ricana une voix derrière lui.

- Qu'est ce que tu racontes ? répondit Harry .

- C'est vraiment n'importe quoi ! s'exclama Ron

- Depuis deux jours, tu reste assis là songeur. Deux jours entiers soit depuis le départ des élèves. Arrêtes si je me trompe. Donc j'en déduis que cette personne est une élève.

- Harry qu'est ce qu'il raconte ?

- Alors par déduction, c'est une Griffondors comme tu ne t'adresses à aucune fille des autres maisons. Ici, tu ne parles qu'à

- Hermione murmura Ron hébété

- Bingo ! lâcha Drago amusé de la situation. Harry Potter aime la Sang de Bourbe ! hurla le jeune homme.

- Ne l'appelle plus jamais Sang de Bourbe, Malefoy.

- Harry , mon pauvre Harry ! Combien de fois faudra-t-il que je te le répète, les sang de Bourbes ainsi que les Weasley ne sont pas fréquentables !

Drago partit sur ses mots. Harry regarda Ron  maintenant il ne pouvait plus rien lui cacher.

- C'est vrai ce que Drago a dit ?

- Oui, c'est vrai.

- Mais pourquoi me l'as-tu jamais dit ? Harry , je suis ton ami.

- Je ne savais comment te le dire. Depuis 5 ans qu'on vit ici, je me suis rendu compte en début d'année qu'Hermione avait changé durant l'été.

- Harry, tu n'as pas à te justifier. Hermione est une fille extra. Tu vas lui dire ?

- Non mais tu es fou. Comment pourrais-je lui dire et qu'est ce que je ferai si elle ne m'aimait pas ?

- Comme tous les autres gars, comme moi.

- Comment ça comme toi ?

- Ben oui, qu'est ce que tu crois, moi aussi je suis tombé amoureux une fois.

- Et toi aussi tu ne ma l'as jamais dit !

- C'était l'année dernière, moi aussi j'ai commencé à la voir différemment. Elle était si belle, le soir du bal. Mais elle ne m'as jamais regardé autrement que comme un ami.

- Tu veux dire qu'elle est ici.

- Harry, tu sais très bien qui c'est ?

- Hermione !

- Oui moi aussi, je l'ai regardé différent.

- Mais comment as-tu su qu'elle ne t'aimait pas.

- Parce que c'est toi, qu'elle aime depuis toujours.

Ce que sa mère lui avait fait admettre la fit sourire comment pouvait-elle être sur que Harry Potter ne l'aimait pas, elle, la Sang de Bourbe, sa meilleure amie depuis 5 ans. A quel geste pouvait-elle être sur qu'Harry ne pensait pas à elle. Dès qu'il la voyait rentré dans une pièce son visage s'illuminait d'un sourire, elle se rappelait de cette lueur dans les yeux quand elle lui parlait. Peut-être que sa mère avait raison et que lui aussi l'aimait. Une lueur d'espoir se lisait dans ses yeux. Harry pensait-il à elle en ce moment et l'aimait-il comme sa mère le disait. Après tout elle n'avait rien à perdre à espérer que ce soit le cas.

Les vacances de Noël étaient passés, Poudlard avait de nouveau repris le cours de sa vie.

Harry repensé à ce que Ron lui avait dit, qu'Hermione l'aimait. Comment ne l'avait-il pas remarqué lui aussi. Comment Ron avait pu le savoir avant lui ? Toutes ses questions trottés dan sa tête et la seule personne qui pouvait y répondre, était celle qui le rendait malheureux.

Hermione Granger entra la salle de classe, elle s'asseya à côté d'Harry. Il pouvait l'entendre respirer, sentir son parfum, la toucher. Presque dans tous les cours Hermione et lui étaient à côté mais il n'avait jamais remarqué à quel point il aimait son odeur.

La journée était fini, chaque élève devait à présent retourné dans les dortoirs respectifs. Hermione monta lentement les marches qui la mène à Gryffondor, elle était pensif, tellement ailleurs qu'elle ne remarqua pas que l'escalier avait encore fait des siennes et la conduisit vers Serpentard. Elle entra de cette maison , et entendit Malefoy ricanait en parlant d'Harry Potter et de sa mystérieuse petite amie. Hermione sentit son cœur battre de plus en plus vite, des larmes coulaient silencieuse mais  abondamment sur sa joue. Elle réalisait alors qu'elle n'était pas dans le bon dortoir et s'enfuit en courant. Dans sa course, elle percuta Dumbledore. Elle bredouilla quelque excuse et repartit en pleurant de plus belles. Comment avait-elle pu croire que le célèbre Harry Potter, son meilleur ami avait jeté son dévolu sur elle, la sorcière moldu, la honte des sorciers. Tant de personne qui souhaitaient sortir avec lui, alors pourquoi s'interreserait –il à elle plus qu'à une autre.

Elle arriva devant le tableau qui menait à sa maison, marmona le mot magique mais sa tristesse lui encombrait quelques syllabes. Harry arriva derrière- elle et lui prit le bras.

Sa peau était si douce, mais elle se replia sur la défensive et se débattit pour qu'il le lâcha. Harry ouvrit la porte et partit tristement vers sa chambre.

Comment avait-il pu laisser Ron lui faire qu'elle l'aimait. La preuve était même qu'il ne pouvait plus la touchait comme avant sans qu'elle le repousse.