Rêve douloureux
En se réveillant le lendemain, Harry comprit un peu mieux l'importance de sa sélection dans l'équipe espoir. Il allait jouer dans l'équipe nationale, dans une compétition officielle. Ce regain de renommé au sein de l'école produisit un effet auquel il ne s'attendait pas. Les filles lui portaient soudain un intérêt immense, allant même jusqu'à lui demander des autographes dans les couloirs. Il se rappela qu'il avait remarqué ce genre de comportement envers Viktor Krum l'année précédente.
Contrairement à Harry, qui n'appréciait pas trop cette nouvelle popularité, Ron pavanait. Il était souvent en compagnie de nombreuses fans, qui lui trouvaient subitement un charme fou. Parmi elles, Harry avait remarqué que Padma Patil et Lavande Brown l'accompagnaient très fréquemment. Harry se demandait les répercutions que cela pourrait avoir sur les relations entre Ron et Hermione. De toute évidence il se trompait, Hermione continuait à se comporter comme une préfète parfaite.
Ce jour là, tous les élèves de cinquième de Gryffondor attendaient dans le couloir devant la salle de défense contre les forces du mal. Le professeur était en retard. Les élèves commençaient à chahuter, Hermione tentait de ramener le silence. Depuis que Dumbledor assurait lui même cette matière, toute la classe adorait ce cours.
Dis donc Hermione, qu'est ce qu'il fait Dumbledor ? D'habitude, il n'est jamais en retard ! lui demanda Harry. Ce n'est plus lui qui assurera le cours à partir d'aujourd'hui, mais le professeur définitif. Maintenant un peu de silence ! Cria t- elle.
Rien n'y faisait, les Gryffondor continuaient leur chahut. Soudain Rogue surgit dans le couloir, il s'avança rapidement vers eux.
Mais qu'est ce que c'est que ce cirque, vous vous croyez peut être dans un stade de Quidditch. Miss Granger, vous pourriez maintenir le calme ! Je vois que vous prenez votre rôle de préfet plutôt à la légère. J'enlève 50 points à Gryffondor.
Le silence revint soudain dans les rangs. Mais aucun d'entre eux tenta de s'expliquer, pas même Hermione. Ils savaient depuis longtemps qu'essayer de tenir tête à Rogue, le motivait encore plus à retirer des points, surtout aux élèves de leur maison. Mais soudain, ils entendirent raisonner des pas dans le couloir. Ils virent courir une jeune femme aux cheveux roux, presque rouges. Elle était habillée avec des vêtements étranges aux couleurs chamarrées. Elle arriva légèrement essoufflée au niveau de Rogue.
Alors Severus toujours aussi rabat-joie à ce que je vois ! Dit-elle en lui donnant une grande tape dans le dos.
Ce dernier tellement surpris, faillit tomber en avant mais se reprit. Il lui jeta un regard noir. La jeune femme posa ses mains sur ses hanches et le regarda avec un grand sourire. Rogue vexé, tourna les talons et repartit rapidement.
Excusez-moi les enfants je suis en retard. Dit-elle en ouvrant la porte de la salle. Je me présente, je suis Lina Inverse, votre nouveau prof de défense contre les forces du mal.
Harry qui était déçu de ne plus avoir Dumbledor comme professeur, changeait un peu d'avis. Cette professeur paraissait si amusante. Elle se mit à commencer son cours, et soudain en regardant dans la classe, elle se mit à hurler littéralement.
Hé, toi là ! hurla t- elle en pointant du doigt Ron. Tu dois être Ronald le frère de Charlie, non ? C'est bien ça ? Heuuu oui c'est bien moi ! répondit-il surprit par la réaction soudaine de cette drôle de professeur. J'ai longtemps travaillé avec ton frère. Lui dit-elle en lui frottant les cheveux énergiquement. Et oui mes enfants, je suis une chasseuse de dragon.
Malgré son caractère atypique, Le professeur Inverse était extrêmement compétente. Hermione l'a trouvait un peu trop original à son goût tout de même. En tout cas, elle était très juste car elle avait attribué 50 points à Gryffondor pour compenser la sanction de Rogue.
Les jours passaient et se ressemblaient. Harry avait beau lire la gazette du sorcier, il n'entendait jamais parler de problèmes qui auraient pu avoir Lord Voldemort comme origine. Cela le soulageait mais aussi l'inquiétait, que pouvait bien préparer son ennemi mortel. ? Pour Harry, cette année semblait si calme. Mais pour Ron s'était sa plus belle année, sa popularité était au plus haut. Un groupe d'une dizaine de filles avait même créé son fan club, elles le suivaient partout. En le regardant, Harry se rappela d'une phrase que Gilderoy Lockhart lui avait dit : « Harry , la renommée est une amie infidèle ! », Ron ferait bien d'entendre ces paroles.
Le soir du 13 février, Harry fut surpris de ne voir pratiquement aucune fille dans la salle des Gryffondor. Georges lui expliqua, qu'elles étaient toutes en train de préparer leur chocolat pour la Saint Valentin. Harry se rappela alors qu'à cette occasion, les filles devaient offrir du chocolat à l'élu de leur c?ur. Ce soir là, Harry lu le journal de l'école, il y avait un article sur la sélection pour l'équipe espoir. Il fut très amusé par les plaintes de Malefoy, qui ne comprenait pas pourquoi lui, n'était pas sélectionner. Il s'endormit rapidement.
Il se réveilla à cause du froid intense qui parcourait ses membres. Il était étendu dans l'herbe, surpris, il se releva rapidement. Il tenait dans ses mains le trophée des trois sorciers, il entendit alors des pas derrière lui. Harry se retourna et vit en face de lui Lord Voldemort la baguette à la main. Je suis encore en train de refaire le même cauchemar se disait-il. Il allait revoir la scène de la mort de Cédric Diggory. Habituellement il voyait la scène comme un spectateur invisible, mais cette fois Voldemort semblait le regarder.
Alors Harry comment te portes-tu ? Dit-il en souriant. Ravi de te revoir, que dirais tu si on s'amusait avec ta camarade. MA camarade ! Harry se retourna pour voir la silhouette de Cédric mais il fut pétrifié de voir Cho à sa place. Par quoi allons nous commencer Harry, hmmm ? Lui demanda Voldemort d'un ton à glacer le sang. Non, laissez la tranquille.. Oh mais tu sembles tenir à cette petite, c'est encore mieux alors.. ENDOLORIS.
Cho se mit à crier en se tordant de douleur. Harry hurlait « Non arrêtez, pitié laissez la tranquille ». Il était aux bords des larmes. Mais plus il implorait Voldemort et plus ce dernier prenait du plaisir à la faire souffrir. Elle hurlait les yeux révulsés par ce qu'elle subissait. Malgré tous ses efforts, Harry n'arrivait pas à bouger son corps. Il regarda le seigneur des ténèbres avec une telle haine, que si ses yeux avaient été des baguettes Voldemort aurait été calciné par le sortilège qu'il venait d'apprendre.
Oh ce n'est plus amusant, tu ne me supplies plus. Très bien alors finissons en. Avada Ke.. Nonnnnnnnnn Harry, Harry, Harry réveille toi bon sang réveille toi. Ron était en train de le secouer. Ron, que. Qu'est ce tu fais ici. Où est Voldemort. Cho ! Cho où est elle ? Il la chercha autour de lui mais ne vit que ses camarades de classe autour de lui. Le baldaquin de son lit était calciné, Hermione était là aussi. Elle lançait un sortilège de refroidissement sur les couvertures de son lit. Ca va tu te sens bien Harry ? lui demanda t- elle. Heu, oui qu'est ce qui se passe ? Je faisais juste un cauchemar. Oui c'est bien ce que l'on a supposé, répondit Ron. Tu criais tellement fort que tu nous a tous réveillés. Tu t'agitais dans ton lit lorsque ton baldaquin a pris feu.
L'incident passé, les garçons se recouchèrent, Harry n'arrivait plus à dormir. D'ailleurs il ne le voulait plus, si c'était pour revivre cela. Il prit sa cape d'invisibilité et partit dans les couloirs de l'école, il marcha un moment dans le froid. Il ne savait pas où aller, sans y penser il se retrouva devant la cabane de Hagrid. De la lumière brillait, Harry frappa à la porte.
Hagrid l'accueillit et lui offrit un excellent thé. Harry n'arrivait pas à lui parler, Hagrid essayait de lui demander ce qui le tracassait. Harry commença à lui raconter son rêve. Le géant était très affecté de le voir dans cet état.
Tu tiens beaucoup à cette jeune fille, Harry ? lui demanda t- il Oui, je l'aime, répondit-il en se mettant à pleurer dans les bras du géant
La chaleur des bras de Hagrid et la détente que lui apporta la crise de larmes eurent raison de ses angoisses et il s'endormit.
En se réveillant le lendemain, Harry comprit un peu mieux l'importance de sa sélection dans l'équipe espoir. Il allait jouer dans l'équipe nationale, dans une compétition officielle. Ce regain de renommé au sein de l'école produisit un effet auquel il ne s'attendait pas. Les filles lui portaient soudain un intérêt immense, allant même jusqu'à lui demander des autographes dans les couloirs. Il se rappela qu'il avait remarqué ce genre de comportement envers Viktor Krum l'année précédente.
Contrairement à Harry, qui n'appréciait pas trop cette nouvelle popularité, Ron pavanait. Il était souvent en compagnie de nombreuses fans, qui lui trouvaient subitement un charme fou. Parmi elles, Harry avait remarqué que Padma Patil et Lavande Brown l'accompagnaient très fréquemment. Harry se demandait les répercutions que cela pourrait avoir sur les relations entre Ron et Hermione. De toute évidence il se trompait, Hermione continuait à se comporter comme une préfète parfaite.
Ce jour là, tous les élèves de cinquième de Gryffondor attendaient dans le couloir devant la salle de défense contre les forces du mal. Le professeur était en retard. Les élèves commençaient à chahuter, Hermione tentait de ramener le silence. Depuis que Dumbledor assurait lui même cette matière, toute la classe adorait ce cours.
Dis donc Hermione, qu'est ce qu'il fait Dumbledor ? D'habitude, il n'est jamais en retard ! lui demanda Harry. Ce n'est plus lui qui assurera le cours à partir d'aujourd'hui, mais le professeur définitif. Maintenant un peu de silence ! Cria t- elle.
Rien n'y faisait, les Gryffondor continuaient leur chahut. Soudain Rogue surgit dans le couloir, il s'avança rapidement vers eux.
Mais qu'est ce que c'est que ce cirque, vous vous croyez peut être dans un stade de Quidditch. Miss Granger, vous pourriez maintenir le calme ! Je vois que vous prenez votre rôle de préfet plutôt à la légère. J'enlève 50 points à Gryffondor.
Le silence revint soudain dans les rangs. Mais aucun d'entre eux tenta de s'expliquer, pas même Hermione. Ils savaient depuis longtemps qu'essayer de tenir tête à Rogue, le motivait encore plus à retirer des points, surtout aux élèves de leur maison. Mais soudain, ils entendirent raisonner des pas dans le couloir. Ils virent courir une jeune femme aux cheveux roux, presque rouges. Elle était habillée avec des vêtements étranges aux couleurs chamarrées. Elle arriva légèrement essoufflée au niveau de Rogue.
Alors Severus toujours aussi rabat-joie à ce que je vois ! Dit-elle en lui donnant une grande tape dans le dos.
Ce dernier tellement surpris, faillit tomber en avant mais se reprit. Il lui jeta un regard noir. La jeune femme posa ses mains sur ses hanches et le regarda avec un grand sourire. Rogue vexé, tourna les talons et repartit rapidement.
Excusez-moi les enfants je suis en retard. Dit-elle en ouvrant la porte de la salle. Je me présente, je suis Lina Inverse, votre nouveau prof de défense contre les forces du mal.
Harry qui était déçu de ne plus avoir Dumbledor comme professeur, changeait un peu d'avis. Cette professeur paraissait si amusante. Elle se mit à commencer son cours, et soudain en regardant dans la classe, elle se mit à hurler littéralement.
Hé, toi là ! hurla t- elle en pointant du doigt Ron. Tu dois être Ronald le frère de Charlie, non ? C'est bien ça ? Heuuu oui c'est bien moi ! répondit-il surprit par la réaction soudaine de cette drôle de professeur. J'ai longtemps travaillé avec ton frère. Lui dit-elle en lui frottant les cheveux énergiquement. Et oui mes enfants, je suis une chasseuse de dragon.
Malgré son caractère atypique, Le professeur Inverse était extrêmement compétente. Hermione l'a trouvait un peu trop original à son goût tout de même. En tout cas, elle était très juste car elle avait attribué 50 points à Gryffondor pour compenser la sanction de Rogue.
Les jours passaient et se ressemblaient. Harry avait beau lire la gazette du sorcier, il n'entendait jamais parler de problèmes qui auraient pu avoir Lord Voldemort comme origine. Cela le soulageait mais aussi l'inquiétait, que pouvait bien préparer son ennemi mortel. ? Pour Harry, cette année semblait si calme. Mais pour Ron s'était sa plus belle année, sa popularité était au plus haut. Un groupe d'une dizaine de filles avait même créé son fan club, elles le suivaient partout. En le regardant, Harry se rappela d'une phrase que Gilderoy Lockhart lui avait dit : « Harry , la renommée est une amie infidèle ! », Ron ferait bien d'entendre ces paroles.
Le soir du 13 février, Harry fut surpris de ne voir pratiquement aucune fille dans la salle des Gryffondor. Georges lui expliqua, qu'elles étaient toutes en train de préparer leur chocolat pour la Saint Valentin. Harry se rappela alors qu'à cette occasion, les filles devaient offrir du chocolat à l'élu de leur c?ur. Ce soir là, Harry lu le journal de l'école, il y avait un article sur la sélection pour l'équipe espoir. Il fut très amusé par les plaintes de Malefoy, qui ne comprenait pas pourquoi lui, n'était pas sélectionner. Il s'endormit rapidement.
Il se réveilla à cause du froid intense qui parcourait ses membres. Il était étendu dans l'herbe, surpris, il se releva rapidement. Il tenait dans ses mains le trophée des trois sorciers, il entendit alors des pas derrière lui. Harry se retourna et vit en face de lui Lord Voldemort la baguette à la main. Je suis encore en train de refaire le même cauchemar se disait-il. Il allait revoir la scène de la mort de Cédric Diggory. Habituellement il voyait la scène comme un spectateur invisible, mais cette fois Voldemort semblait le regarder.
Alors Harry comment te portes-tu ? Dit-il en souriant. Ravi de te revoir, que dirais tu si on s'amusait avec ta camarade. MA camarade ! Harry se retourna pour voir la silhouette de Cédric mais il fut pétrifié de voir Cho à sa place. Par quoi allons nous commencer Harry, hmmm ? Lui demanda Voldemort d'un ton à glacer le sang. Non, laissez la tranquille.. Oh mais tu sembles tenir à cette petite, c'est encore mieux alors.. ENDOLORIS.
Cho se mit à crier en se tordant de douleur. Harry hurlait « Non arrêtez, pitié laissez la tranquille ». Il était aux bords des larmes. Mais plus il implorait Voldemort et plus ce dernier prenait du plaisir à la faire souffrir. Elle hurlait les yeux révulsés par ce qu'elle subissait. Malgré tous ses efforts, Harry n'arrivait pas à bouger son corps. Il regarda le seigneur des ténèbres avec une telle haine, que si ses yeux avaient été des baguettes Voldemort aurait été calciné par le sortilège qu'il venait d'apprendre.
Oh ce n'est plus amusant, tu ne me supplies plus. Très bien alors finissons en. Avada Ke.. Nonnnnnnnnn Harry, Harry, Harry réveille toi bon sang réveille toi. Ron était en train de le secouer. Ron, que. Qu'est ce tu fais ici. Où est Voldemort. Cho ! Cho où est elle ? Il la chercha autour de lui mais ne vit que ses camarades de classe autour de lui. Le baldaquin de son lit était calciné, Hermione était là aussi. Elle lançait un sortilège de refroidissement sur les couvertures de son lit. Ca va tu te sens bien Harry ? lui demanda t- elle. Heu, oui qu'est ce qui se passe ? Je faisais juste un cauchemar. Oui c'est bien ce que l'on a supposé, répondit Ron. Tu criais tellement fort que tu nous a tous réveillés. Tu t'agitais dans ton lit lorsque ton baldaquin a pris feu.
L'incident passé, les garçons se recouchèrent, Harry n'arrivait plus à dormir. D'ailleurs il ne le voulait plus, si c'était pour revivre cela. Il prit sa cape d'invisibilité et partit dans les couloirs de l'école, il marcha un moment dans le froid. Il ne savait pas où aller, sans y penser il se retrouva devant la cabane de Hagrid. De la lumière brillait, Harry frappa à la porte.
Hagrid l'accueillit et lui offrit un excellent thé. Harry n'arrivait pas à lui parler, Hagrid essayait de lui demander ce qui le tracassait. Harry commença à lui raconter son rêve. Le géant était très affecté de le voir dans cet état.
Tu tiens beaucoup à cette jeune fille, Harry ? lui demanda t- il Oui, je l'aime, répondit-il en se mettant à pleurer dans les bras du géant
La chaleur des bras de Hagrid et la détente que lui apporta la crise de larmes eurent raison de ses angoisses et il s'endormit.
