Sab : du calme Ginny, elle vas revenir, vivante ? fantôme ? niarkniarkniark
le dit po
Bon ici je sais pas core ce que je vais écrire, suis devant l'écran là, et je tape cette phrase, donc, sexe, ou sang, ou rien j'en sais keudale, vous verrez bien. :-)))))
Maintenant vous lisez et vous la fermez !! lol
Chapitre 5 : Réveil la bête qui est en toi !
Lord Voldemort était assis, ruminant de sombre penser, son liens avec le survivant venait de se rompre, aujourd'hui le dix sept oaut, jour de ce foutu marmot je ne peux même pas faire joujoux, et le faire souffrir, pensait-il un verre de vin( et non pas du sang) à la main. Il ne relevait pas la tête, il réfléchissait, à l'endroit où pourrait se trouver Harry Potter. Ce lien n'aurait pu être rompu ainsi, ça il le savait. A moin qu'Harry soit quelque part, où il est immuniser contre lui. Il relevât lentement la tête, levant son verre de vin en même temps. Il continuât à réfléchir dans cette position, le verre de vin lever, le faisant tourné de temps en temps. Puis il but tout d'une traite et appela son fidèle serviteur
-Quedverd ! Ici ! Ordonnât-il. Un petit homme replet à l'air soumis vint vers son le seigneur des ténèbres.
-Oui seigneur ? Que puis-je pour vous ?
-Où en sont les recherche avons nous retrouves le gosse ?
-Non mâitre, mais je ne pense pas que nous pourrions le retrouvé.....
-Hahahahah, tu penses ? Ha non trop fort, dit il avec la voix hilare, puis reprenant son sérieux et son regard froid. Endoloris....
Harry Potter se réveilla en sursaut, il venait encore de rêver. Pas un rêve comme les autres où tout était souffrance, non, un rêve où le seigneur des ténèbres avait perdu tout contact avec lui. Si tout ce passait bien il pourrait rester avec les loups jusqu'a la rentrer, rester près deux et oublier. Pendant encore treize jours Harry se levât, sortit de son pieux( un lit fait de feuille, assez confortable ^_^), et allât au dehors, voir les loups batifoler entre eux.
-Tirma, t'es où ? lançât-il. Le loup gris arriva et vint s'asseoir sur son séant devant le Maître des loups.
-Oui, Harry que puis-je pour toi ? Questionnât-il.
-Tu te souviens, hier, quand t'as rassemblé tout le monde tu as dit que tu m'aiderais à vaincre les ténèbres. Tu comptes faire quoi ? Demandât Harry .
-Réveillez la bête qui est en toi, t'apprendre la magie naturelle, et t'emmenez voir les autres peuples magiques.
-Mouai, et réveillez la bête qui est en moi, ça veux dire quoi ? Faire de moi un monstre ? La magie naturelle, excuse moi mais je vois pas trop en quoi elle vas me servir à part me crever, et faire un bête petit sort de rien du tout.
-Harry, la magie naturelle est la bases de toute magie, elle utilise la magie qui autour de toi, pas comme la blanche et la noir qui utilise la magie qui est en toi, c'est pour ça que vous arrivez à rien, vous vous focalisez tous sur vous, vous les humains. Et réveillez la bête qui est en toi, c'est pour te permettre d'avoir accès plus facilement à la magie naturelle. Ca ne veux pas dire te faire devenir un animal, tu ne te transformeras pas en monstre avec trente huit yeux, ne t'en fait pas.
-Bon ok, on commence quand, comment et où ? demandât un petit Harry Potter un peu plus rassurer.
-Nous commencerons près d'une source de magie, non loin d'ici, et avec l'aide de Fogra et moi même nous t'aiderons, au fait veux tu choisir un apprentis ?
-Ca veux dire quoi ? choisir un apprentis ? rétorqua Harry, incompréhensif.
-Tout simplement ton successeur à la tête des loups du mondes.
-A parce que Maître des loups, ça veux dire tout les loups, moldu ou pas ?
-Oui Harry, de toute façon tu n'as pas le choix c'est la tradition, enfin pour une meute, et on vas adapter ton pouvoir comme si les loups, tout les loups était une grosse meute, donc tu choisis un apprentis, de préférence un nouveaux né, généralement orphelin.
-Bon d'accord, j'ai pas le choix, et quoi je vais en faire quoi moi d'un bébé loups ?
-Ton fils, enfin en quelque sorte, il défendra ton honneur, grandiras avec tes conviction et apprendras tout ce que tu lui diras d'apprendre. Et si je peux me permettre, arrete de parler par la paroles quand tu t'adresse à nous on te comprendras mieux par l'esprit et c'est plus discret.
-Bon, ok, montre moi les successeur potentiel, et ok par la pensée, pensât- il .
-Bien tu apprends vite, quoi qu'il n'y avait rien à apprendre, dit Tirma une pointe de malice dans ses pensée, et dans le regard.
Tirma le guida par mis les loups, saluant, chaque personne, enfin loups, qu'il croisait, Harry faisait de même, à chaque fois, les loups baissait la tête en signe de soumission. Ca le faisait chier mais il n'avait pas le choix, à chaque fois qu'il prenait la paroles, on lui répondais « Bien maître, selon vos désir » ce qui le faisait encore plus chier. Ils finirent pas arriver, devant une grotte, d'ou sortait de petit gémissement, les gémissement d'une louve, mettant bas.
-Nous y voici, l'enfant vas bientôt naître Harry, la mère ne survivras pas, c'est sa quatrième portée, à chaque fois elle n'a eu qu'un seul louveteau, cherche pas à comprendre c'est la nature. Si tu le veux ce loup serait ton apprentis. Comparer aux humains, les louveteaux mettent très peu de temps à se faire comprendre deux semaines en générale, trois tout au plus.
Un cris d'agonie se fit entendre, et puis plus rien à part les jappements, d'un bébé loup, orphelin comme son maître. Harry s'approcha, du petit louveteau, et du corps de sa défunte mère.
-T'en fait pas petit, elle toujours là, en toi, dans ton c?ur. Tu comprends ce que je veux dire ? Malgré ce que Tirma lui avait dit Harry était persuadé que ce loup pouvait déjà le comprendre. Ce qu'il s'avérerais vrai, mais pas pour l'instant...
Harry nomma le loup Naëlion, ce que Tirma lui dit être un bon choix. Quand Harry lui demandât pourquoi, tout ce qu'il répondit fût.
-Tu es plus près de la bête que prévus, enfin de compte, Naëlion était le père du dernier ancien.
Il n'en dit pas plus, prétextant que c'était à Harry de découvrir qui était les anciens. Naëlion pris tout de suite Harry en affection, il ne le lâchait plus, il n'arrêtais pas de le suivre même pendant le réveil de la bête qui sommeillais en lui, Fogra était là aussi. Tirma l'avait emmener dans une clairière où une sorte de source d'eau jaillissait, mais ce n'était pas de l'eau, l'eau n'est pas verte, presque ambre. Harry s'en approchât, et passât sa main au travers des flux qui se répandais dans la nature. Il questionnât, encore, Tirma, qui lui répondit que c'était la source magique dont il lui avait parlé, que la magie qui en émanait venant du plus profond de la terre, là où toute les puissances de ce monde se reposait. Il finit son explication par une phrase que tout les loups répétait avant de s'endormir depuis des millénaires.
-Rah, mi'n ferol, Mirnir, farlug mefast hirgalionei rouirut, tuska farlug oi deir ma matuer . ( Traduction : puissance permettez nous de vivre jusqu'au grand jour, jusqu'au jour où le dernier ancien reviendra en maître, ( ne chercher aucune similitude dans la phrase y'en a aucune.)
La « cérémonie » commençât quand on demandât à Harry de se coucher sur la source, soudainement des centaines de loups sortirent de nulle part, la clairière semblait soudainement immense, on aurait pu y mettre des milliers de personne, mais ce ne fût pas des millier des personnes qui déferlait et qui se stoppait nette devant Harry Potter, c'était tout simplement des centaine de loups, tous venant aider à la cérémonie du réveil. Quand les loups ures finit d'arriver, un énorme tremblement de terre se fit ressentir, la source explosa faisant léviter Harry à quelque mètre du sol, celui-ci était tomber inconscient à son contact. La source n'était plus verte maintenant, elle était d'une couleur blanche profonde, parsemé d'éclair d'or. On aurait dit que toute la magie du monde s'échappait du c?ur de la terre, pour venir se regrouper dans cette clairière, sous le survivant. D'autres animaux et créatures magiques commencèrent à affluer, attirer par toute cette puissance magique qui se faisait sentire. Aigle, verne, porc, panthère, lion, griffon, elfes, centaure, tous les animaux du monde semblait se réunir, autour du survivant, même les phénix, les dragons et les créatures de l'éther était présente, tous réunis pour réveillez la bête sommeillant au fond d'un homme. C'était la première fois que cela ce produisait. Une lumière aveuglante se dégageât soudainement du corps de Harry, toute la magie étant sortie de la source se réunit en une énorme boule au dessus de Harry et fondit sur lui l'enrobant, et le rendant invisible dans cette explosion de blanc pure.
Harry se sentait bien, Tirma venait de le coucher sur la source. Tout ses soucis semblait s'être évaporer soudainement. Il ouvrit les yeux, s'entends des présences autour de lui, quand il les ouvrit, il ne se trouvait plus dans la clairière mais sur une colline, surplombant une plaine gigantesque. Des millier de créature magique et non magique se trouvait devant lui, toute criant, jappant, rugissant, barrissant, hurlant, ... à sa gloire, puis cessèrent se s'abaissèrent en signe de soumission. Puis le paysage changeât et il se retrouvât dans une crypte, elle était pas très grande, mais très accueillante. Une sorte de feu trônait en son centre, un feu nourrissant la vie. Harry s'en approchât et des formes en sortirent, ressemblant à des hommes, mais quelque chose ne pouvait permettre de l'affirmer. Ils en avaient le physique certes, mais pas l'aura, elle était trop puissante. Douze firent leur apparition. Trois femme, trois homme, trois elfes, et une sortent d'humain ailé ressemblant étrangement à Harry, sauf les yeux, noir.
L'homme ailé se mit à parler.
-Bienvenu à toi, fils. Sache que tu es la bienvenu ici, à jamais. Si tu veux revenir, concentre toi sur cette endroit et ton esprit viendra. A bientôt Valeru, père des anciens.
Harry tentât de dire quelque chose mais en vain, il fut happer vers l'arrière et se sentit remonter en flèches vers le ciel, enfin vers le haut, car le ciel était bien loin. Il se rendit compte soudainement qu'il était à la surface, regardant des animaux acclamant un corps volant dans au dessus d'une source de magie... Hein mais qu'est ce que je fous là bas moi ? Pensât-il soudainement. Puis sans savoir comment il se retrouvât de nouveau en lui, et la lumière de la source l'aveuglât il la vit venir se placer autour de lui et il ressentit une force immensse l'envahir. Il sentit en phase avec la nature, puis un cris sortit de sa gorge, pas un cris humain plutôt, un cris de bête digne d'un dragon.
La lumière s'effaçât soudainement laissant place au corps de Harry Potter, lévitant dans les airs, les bras ouvert en croix, telle jésus. La tête dresser vers le ciel, et criant comme un dragon, soudainement des ailes sortirent de son dos. Le faisant hurler encore plu. Puis son regard, couleur d'ambre, entièrement ambre à part l'iris de couleur or, semblant être une flamme, se posât sur la foule de créature qui se tenait devant lui, tout se baissèrent en signe de soumission, sauf cinq d'entre elle. Un phénix, un dragon, un hymor( créature de l'éther, ressemblant à un dragon blanc, presque translucide) Tirma et Naëlion. Le phénix vint se poser sur son épaule, et chantât, de son chant le plus pure. Le dragon vint se place sous lui, et se couchât, comme s'il gardait un trésor, l'hymor vint se placer aux coté du dragon et se coucha dans la même position. Tirma se couchât en signe de soumission et Naëlion hurlât, assis sur son séant, il hurlât telle un loup hurlant une nuit de pleine lune. Puis tout les animaux partirent en courant, non en fuyant, mais courant pour prévenir les autres de leurs peuples, tout les créature de la lumière était unie pour la seul et unique même cause. La survie d'un monde. Puis tout devint noir pour Harry et il se sentit chuter puis être rattraper par deux pattes bien vaillante, ses ailes disparurent et il fût couché sur le dragon par l'hymor, et les cinq créatures qu'il restait la purent voir un tatouage blanc, représentant un dragon blanc aux regards d'ambre. La bête était réveiller, les ténèbres n'on qu'a bien se tenir.
Albus Dumbledore, était à son bureau, dans poudlard, cherchant une solution pour trouver Harry. Il avait essayer des sort pour le ficher sur une carte, telle la carte des maraudeurs. Mais en vint, il semblait être devenu incartable. Il ruminait de sombre pensée, cherchant encore et encore sans jamais trouver. On toquât à la porte faisant sursaute le professeur.
-Entré, dit-il, Minerva McGonagal fit son apparition.
-Professeur, sortez un peu, vous ne devriez pas...
Quand elle allait continuer sa phrase, la terre se mit à trembler, et une forte énergie magique se fit ressentir, tout deux se regardèrent s'accrochant à quelque chose pour ne pas tomber. La vague de magie passât et le sol cessa de trembler.
-Par Merlin c'était quoi ça ? lâchât une Minerva McGonagal tout affolée.
-Minerva calmer vous, je ne sais pas c'était quoi, mais qu'elle puissance... dit-il les yeux dans la vague, ...vous l'avez aussi ressenti Minerva, vous avez ressentit c'était qui ?
-Euh, j'ai ressentit la vague, mais pas qui c'était seulement quelque chose de familier, et de bon, c'est tout et vous ? dit-elle.
-J'ai ressentit Harry, Minerva, c'était Harry, j'en suis sure, c'était son aura, quel puissance, tout ça en moins de vingt jours.
Albus allât se mettre devant la fenêtre et regarda dans la vague, vers la forêt interdite, cherchant du regard son protégé.
A St-Mangouste, tout les patients prirent peur début du tremblement de terre, puit ressentir une sérénité les envahir, tout leur maux les quitter. Des victimes de paralysie, se relevèrent et se mirent à marcher, d'autre dans le comas se réveillèrent, tous sautant de joie, ne cherchant pas à comprendre mais remerciant le ciel. Aucun ne remarquèrent la marque qu'il apparut soudainement derrière leur oreille, un petit dragon blanc, disparaissant aussi soudainement qu'il était apparut. Dans la chambre 178 du services des soins intensif, un corps était étendus sur un lit. Ce corps avait été soumis à un sort de conservation suite à la mort de la personne qui y vivait avant. Quand la vague déferla sur l'hôpital, le sort sauta. Le corps se remit soudainement à reprendre des couleurs. Il fut parcouru d'un soubresaut, puis se calmât, la cage thoracique se mit à trembler légèrement, puis elle se soulevât, par saccade, puis devint une respiration régulière comme si il dormait.
Au Terrier, la famille Weasley était effondrer, tous pleurait la nuit sur leur oreiller.
Hermione elle, n'arrivait plus à dormir seul, elle cauchemardait, elle voyait son meilleur ami partir, et une des seuls amie qu'elle avait eue mourir dans d'atroce souffrances, elle dormait toute les nuits avec Ron maintenant. Essayant de ne pas y penser.
Fred et George, eux, c'étaient enfermer dans leur chambre, et n'en sortait que pour chercher de la nourriture. Il confectionnait, invention sur invention, farce sur farce, noyant leur chagrin dans la poudre et les sortilège.
Percy lui ne revenait même plus à la maison, il passait son temps au ministère, sous des tonnes de paperasserie, sa petite amie, Pénélope, était tout les jours à ses coté, tout aussi effondrer que lui, tentant de l'obliger à manger. Mais en vain il ne mangeait pas, il essayait de ne pas y penser
Mrs Weasley, elle, n'arrêtais pas de pleurer, un beau jours elle c'était arrêté pour s'enfermer dans un mutisme plus qu'apparent, les yeux river sur la pendule familial espérant que l'aiguille reviendrait sur autre chose que « mort ».
Mr Weasley, lui avait été promus, le ministre pensant lui changer les idée, il était maintenant chef du département de la sécurité de l'état, c'est lui qui supervisait, les aurore, les langues de plombs, les oubliators et autres unité de sécurité du ministère de la magie. Ce travaille lui prenait tout son temps, il n'avait même presque plus le temps de manger. Travaillant, travaillant, ne pouvant s'empêcher de ne pas penser à sa fille, à son petit corps, frêle qu'il avait tenu dans ses bras jusqu'a l'hôpital.
Charly, lui, était repartis à son travaille, tout comme son père et son frère dans le but de ne pas y penser. Il avait failli se faire carboniser des dizaines de fois par les dragons dont il s'occupait. Mais à chaque sauver par un de ses collègues, et à chaque fois l'image de Ginny réapparaissait dans son esprit.
Bill, lui, était retourné à Gringotts, posant des sorts un peu partout, même sur son propre bureau, ne pouvant en sortir. Il y resta trois jours, puis décida de sortir se changer les idée, mais une fois au dehors, les images lui revenaient, et le faisait tomber en pleure.
Quand le sols se mit à trembler, Mrs Weasley sortis de son mutisme, Ron, Hermione, Fred, Goerge, Percy, Mr Weasley, Bill, Charly se retrouvèrent tous dans la cuisine près de leur mère, restant souder pendant ce moment de malheur. Certains était venu en transplanant d'autre en courant comme des malades. Puis soudainement une vague de magie passât au travers d'eux, les remplissant d'une joie intense. Tous reconnurent cette vague de magie, c'était l'aura d'Harry Potter. Mrs Weasley, criât son nom, puis en tournant ça tête vers la pendule, elle sautât de joie, enlaçant son mari, ses enfants, et Hermione. Tous tournèrent leurs regard vers l'horloge et sautèrent tous aussi de joie. L'aiguille de Ginny, était maintenant sur endormie.
Harry Potter ne se réveilla pas tout de suite après le réveille de sa « bête ». Il resta dans un état de coma pendant dix jours. Naëlion reposant sur son torse, ne c'était lui non plus pas réveillez pendant ce lapses de temps. Quand Harry se réveilla la première chose qu'il fit fut de crier de joie, les loups se demandant ce qu'il avait, puis Naëlion se joint à lui et tout deux crièrent en semble leur joie, un sachant pourquoi, l'autre non, mais imitant son maître.
-Elle est vivant, elle vivante, fut la seule phrase que Harry répéta pendant une bonne heure, courrant partout dans la forêt, faisant des aller et retour. Il s'arrêta quand il se rendit compte que Naëlion faisait et criait la même chose que lui. Puis il se mit à crier :
-Putain Naëlion tu parles !! criât-il tout enthousiaste et Naëlion criait à sa suite.
-Putain je parle, sur un ton enjouer.
Tout deux se mirent à courir vers le nord, et furent vite rattraper par Tirma et Fogra.
-Vous allez où comme ça ? leur demandat Tirma et Fogra en même temps.
-A Poudlard !! leur criât Harry.
-Ha ton école ? Bein c'est de l'autre côté. Répondit Tirma.
Harry essayât de s'arrêter mais se prit un arbre en essayant de tourner et de s'arrêter en même temps. Naëlion pareille à part qu'il ne se prit pas d'arbre mets fit des cumulet. Tout deux repartirent dans l'autre sens repassant à travers toute la meure de loup de Tirma, celui-ci leur disant de les suivres.
Pendant quatre jours entier ils coururent, à vive allure.( Yeah vive la rime) Puis vint Poudlard, se dressant majestueusement, au dessus du lac( pas au dessus de l'eau mais sur un promontoire rocheux, où est mi le château comme dans le film quoi) Les calèche sans chevaux des élèves se dirigeant vers le château. Tous les élèves purent voir une meute de loups, à leur tête un homme aux yeux couleur d'ambre( normal les yeux cette fois-ci) fonçant vers les marches du château et se perdant dans la nuit qui s'étalait devant la première calèche. Quand les élèves descendirent, ils furent stupéfait de voir le survivant, se tenir droit, en haut des marches du châteaux, et à ses pieds une trentaine de loups couché, et regardant les élèves la tête haute. Puis un cris retentit derrière eux, et ils se retournèrent pour laisser place à une tornade rousse, criant de joie. Les loups s'aidèrent le passage, à la jeune enfant, se rangeant en haie d'honneur de chaque coté des marches des escalier. Harry Potter, ouvrit grand les bras pour accueuillir, Ginny, SA Ginny, dans ses bras, et il les refermât pour l'envelopper de ses bras, lui faisant des baisers passionnée.
-Ho Harry, Merci, merci, merci, tu es vivant, je t'aime. Lui dit Ginny entre deux baisers.
-Moi aussi mon ange, moi aussi je t'aime, lui répondit son bien aimer, mais maintenant je vais te laisser pour une bonne nuit, d'accord ? car là ça fait quatre jours que je cours, et que j'ai pas dormis, alors je te dit bonne nuit. Et il se laissât tomber, tombant dans les vapes. Dumbledore arriva juste à ce moment là.
-Bien, je vois que Mr Potter, est de nouveau par mis nous. Bon rentrons, et ne faites pas attentions au loups, apparemment ils sont pas méchant. Dit il tout en caressant la tête de Fogra, qui laissait pendre sa langue paresseusement.
Tous rentrèrent et allèrent assister à la cérémonie de la répartition, sauf quatre personne qui était au chevet, de Harry. Ron, Hermione, et Ginny, pleurait de joie, devant son lit.
Tu vois Sab, elle est là Ginny, fallait pas t'inquiéter, et je dit une chose, je peux tout faire, tous les tuer si je veux hahahah aniarkniarniark haahhahaha( petit air sadique, et yeux de fous)
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-Tu te souviens, hier, quand t'as rassemblé tout le monde tu as dit que tu m'aiderais à vaincre les ténèbres. Tu comptes faire quoi ? Demandât Harry .
-Réveillez la bête qui est en toi, t'apprendre la magie naturelle, et t'emmenez voir les autres peuples magiques.
-Mouai, et réveillez la bête qui est en moi, ça veux dire quoi ? Faire de moi un monstre ? La magie naturelle, excuse moi mais je vois pas trop en quoi elle vas me servir à part me crever, et faire un bête petit sort de rien du tout.
-Harry, la magie naturelle est la bases de toute magie, elle utilise la magie qui autour de toi, pas comme la blanche et la noir qui utilise la magie qui est en toi, c'est pour ça que vous arrivez à rien, vous vous focalisez tous sur vous, vous les humains. Et réveillez la bête qui est en toi, c'est pour te permettre d'avoir accès plus facilement à la magie naturelle. Ca ne veux pas dire te faire devenir un animal, tu ne te transformeras pas en monstre avec trente huit yeux, ne t'en fait pas.
-Bon ok, on commence quand, comment et où ? demandât un petit Harry Potter un peu plus rassurer.
-Nous commencerons près d'une source de magie, non loin d'ici, et avec l'aide de Fogra et moi même nous t'aiderons, au fait veux tu choisir un apprentis ?
-Ca veux dire quoi ? choisir un apprentis ? rétorqua Harry, incompréhensif.
-Tout simplement ton successeur à la tête des loups du mondes.
-A parce que Maître des loups, ça veux dire tout les loups, moldu ou pas ?
-Oui Harry, de toute façon tu n'as pas le choix c'est la tradition, enfin pour une meute, et on vas adapter ton pouvoir comme si les loups, tout les loups était une grosse meute, donc tu choisis un apprentis, de préférence un nouveaux né, généralement orphelin.
-Bon d'accord, j'ai pas le choix, et quoi je vais en faire quoi moi d'un bébé loups ?
-Ton fils, enfin en quelque sorte, il défendra ton honneur, grandiras avec tes conviction et apprendras tout ce que tu lui diras d'apprendre. Et si je peux me permettre, arrete de parler par la paroles quand tu t'adresse à nous on te comprendras mieux par l'esprit et c'est plus discret.
-Bon, ok, montre moi les successeur potentiel, et ok par la pensée, pensât- il .
-Bien tu apprends vite, quoi qu'il n'y avait rien à apprendre, dit Tirma une pointe de malice dans ses pensée, et dans le regard.
Tirma le guida par mis les loups, saluant, chaque personne, enfin loups, qu'il croisait, Harry faisait de même, à chaque fois, les loups baissait la tête en signe de soumission. Ca le faisait chier mais il n'avait pas le choix, à chaque fois qu'il prenait la paroles, on lui répondais « Bien maître, selon vos désir » ce qui le faisait encore plus chier. Ils finirent pas arriver, devant une grotte, d'ou sortait de petit gémissement, les gémissement d'une louve, mettant bas.
-Nous y voici, l'enfant vas bientôt naître Harry, la mère ne survivras pas, c'est sa quatrième portée, à chaque fois elle n'a eu qu'un seul louveteau, cherche pas à comprendre c'est la nature. Si tu le veux ce loup serait ton apprentis. Comparer aux humains, les louveteaux mettent très peu de temps à se faire comprendre deux semaines en générale, trois tout au plus.
Un cris d'agonie se fit entendre, et puis plus rien à part les jappements, d'un bébé loup, orphelin comme son maître. Harry s'approcha, du petit louveteau, et du corps de sa défunte mère.
-T'en fait pas petit, elle toujours là, en toi, dans ton c?ur. Tu comprends ce que je veux dire ? Malgré ce que Tirma lui avait dit Harry était persuadé que ce loup pouvait déjà le comprendre. Ce qu'il s'avérerais vrai, mais pas pour l'instant...
Harry nomma le loup Naëlion, ce que Tirma lui dit être un bon choix. Quand Harry lui demandât pourquoi, tout ce qu'il répondit fût.
-Tu es plus près de la bête que prévus, enfin de compte, Naëlion était le père du dernier ancien.
Il n'en dit pas plus, prétextant que c'était à Harry de découvrir qui était les anciens. Naëlion pris tout de suite Harry en affection, il ne le lâchait plus, il n'arrêtais pas de le suivre même pendant le réveil de la bête qui sommeillais en lui, Fogra était là aussi. Tirma l'avait emmener dans une clairière où une sorte de source d'eau jaillissait, mais ce n'était pas de l'eau, l'eau n'est pas verte, presque ambre. Harry s'en approchât, et passât sa main au travers des flux qui se répandais dans la nature. Il questionnât, encore, Tirma, qui lui répondit que c'était la source magique dont il lui avait parlé, que la magie qui en émanait venant du plus profond de la terre, là où toute les puissances de ce monde se reposait. Il finit son explication par une phrase que tout les loups répétait avant de s'endormir depuis des millénaires.
-Rah, mi'n ferol, Mirnir, farlug mefast hirgalionei rouirut, tuska farlug oi deir ma matuer . ( Traduction : puissance permettez nous de vivre jusqu'au grand jour, jusqu'au jour où le dernier ancien reviendra en maître, ( ne chercher aucune similitude dans la phrase y'en a aucune.)
La « cérémonie » commençât quand on demandât à Harry de se coucher sur la source, soudainement des centaines de loups sortirent de nulle part, la clairière semblait soudainement immense, on aurait pu y mettre des milliers de personne, mais ce ne fût pas des millier des personnes qui déferlait et qui se stoppait nette devant Harry Potter, c'était tout simplement des centaine de loups, tous venant aider à la cérémonie du réveil. Quand les loups ures finit d'arriver, un énorme tremblement de terre se fit ressentir, la source explosa faisant léviter Harry à quelque mètre du sol, celui-ci était tomber inconscient à son contact. La source n'était plus verte maintenant, elle était d'une couleur blanche profonde, parsemé d'éclair d'or. On aurait dit que toute la magie du monde s'échappait du c?ur de la terre, pour venir se regrouper dans cette clairière, sous le survivant. D'autres animaux et créatures magiques commencèrent à affluer, attirer par toute cette puissance magique qui se faisait sentire. Aigle, verne, porc, panthère, lion, griffon, elfes, centaure, tous les animaux du monde semblait se réunir, autour du survivant, même les phénix, les dragons et les créatures de l'éther était présente, tous réunis pour réveillez la bête sommeillant au fond d'un homme. C'était la première fois que cela ce produisait. Une lumière aveuglante se dégageât soudainement du corps de Harry, toute la magie étant sortie de la source se réunit en une énorme boule au dessus de Harry et fondit sur lui l'enrobant, et le rendant invisible dans cette explosion de blanc pure.
Harry se sentait bien, Tirma venait de le coucher sur la source. Tout ses soucis semblait s'être évaporer soudainement. Il ouvrit les yeux, s'entends des présences autour de lui, quand il les ouvrit, il ne se trouvait plus dans la clairière mais sur une colline, surplombant une plaine gigantesque. Des millier de créature magique et non magique se trouvait devant lui, toute criant, jappant, rugissant, barrissant, hurlant, ... à sa gloire, puis cessèrent se s'abaissèrent en signe de soumission. Puis le paysage changeât et il se retrouvât dans une crypte, elle était pas très grande, mais très accueillante. Une sorte de feu trônait en son centre, un feu nourrissant la vie. Harry s'en approchât et des formes en sortirent, ressemblant à des hommes, mais quelque chose ne pouvait permettre de l'affirmer. Ils en avaient le physique certes, mais pas l'aura, elle était trop puissante. Douze firent leur apparition. Trois femme, trois homme, trois elfes, et une sortent d'humain ailé ressemblant étrangement à Harry, sauf les yeux, noir.
L'homme ailé se mit à parler.
-Bienvenu à toi, fils. Sache que tu es la bienvenu ici, à jamais. Si tu veux revenir, concentre toi sur cette endroit et ton esprit viendra. A bientôt Valeru, père des anciens.
Harry tentât de dire quelque chose mais en vain, il fut happer vers l'arrière et se sentit remonter en flèches vers le ciel, enfin vers le haut, car le ciel était bien loin. Il se rendit compte soudainement qu'il était à la surface, regardant des animaux acclamant un corps volant dans au dessus d'une source de magie... Hein mais qu'est ce que je fous là bas moi ? Pensât-il soudainement. Puis sans savoir comment il se retrouvât de nouveau en lui, et la lumière de la source l'aveuglât il la vit venir se placer autour de lui et il ressentit une force immensse l'envahir. Il sentit en phase avec la nature, puis un cris sortit de sa gorge, pas un cris humain plutôt, un cris de bête digne d'un dragon.
La lumière s'effaçât soudainement laissant place au corps de Harry Potter, lévitant dans les airs, les bras ouvert en croix, telle jésus. La tête dresser vers le ciel, et criant comme un dragon, soudainement des ailes sortirent de son dos. Le faisant hurler encore plu. Puis son regard, couleur d'ambre, entièrement ambre à part l'iris de couleur or, semblant être une flamme, se posât sur la foule de créature qui se tenait devant lui, tout se baissèrent en signe de soumission, sauf cinq d'entre elle. Un phénix, un dragon, un hymor( créature de l'éther, ressemblant à un dragon blanc, presque translucide) Tirma et Naëlion. Le phénix vint se poser sur son épaule, et chantât, de son chant le plus pure. Le dragon vint se place sous lui, et se couchât, comme s'il gardait un trésor, l'hymor vint se placer aux coté du dragon et se coucha dans la même position. Tirma se couchât en signe de soumission et Naëlion hurlât, assis sur son séant, il hurlât telle un loup hurlant une nuit de pleine lune. Puis tout les animaux partirent en courant, non en fuyant, mais courant pour prévenir les autres de leurs peuples, tout les créature de la lumière était unie pour la seul et unique même cause. La survie d'un monde. Puis tout devint noir pour Harry et il se sentit chuter puis être rattraper par deux pattes bien vaillante, ses ailes disparurent et il fût couché sur le dragon par l'hymor, et les cinq créatures qu'il restait la purent voir un tatouage blanc, représentant un dragon blanc aux regards d'ambre. La bête était réveiller, les ténèbres n'on qu'a bien se tenir.
Albus Dumbledore, était à son bureau, dans poudlard, cherchant une solution pour trouver Harry. Il avait essayer des sort pour le ficher sur une carte, telle la carte des maraudeurs. Mais en vint, il semblait être devenu incartable. Il ruminait de sombre pensée, cherchant encore et encore sans jamais trouver. On toquât à la porte faisant sursaute le professeur.
-Entré, dit-il, Minerva McGonagal fit son apparition.
-Professeur, sortez un peu, vous ne devriez pas...
Quand elle allait continuer sa phrase, la terre se mit à trembler, et une forte énergie magique se fit ressentir, tout deux se regardèrent s'accrochant à quelque chose pour ne pas tomber. La vague de magie passât et le sol cessa de trembler.
-Par Merlin c'était quoi ça ? lâchât une Minerva McGonagal tout affolée.
-Minerva calmer vous, je ne sais pas c'était quoi, mais qu'elle puissance... dit-il les yeux dans la vague, ...vous l'avez aussi ressenti Minerva, vous avez ressentit c'était qui ?
-Euh, j'ai ressentit la vague, mais pas qui c'était seulement quelque chose de familier, et de bon, c'est tout et vous ? dit-elle.
-J'ai ressentit Harry, Minerva, c'était Harry, j'en suis sure, c'était son aura, quel puissance, tout ça en moins de vingt jours.
Albus allât se mettre devant la fenêtre et regarda dans la vague, vers la forêt interdite, cherchant du regard son protégé.
A St-Mangouste, tout les patients prirent peur début du tremblement de terre, puit ressentir une sérénité les envahir, tout leur maux les quitter. Des victimes de paralysie, se relevèrent et se mirent à marcher, d'autre dans le comas se réveillèrent, tous sautant de joie, ne cherchant pas à comprendre mais remerciant le ciel. Aucun ne remarquèrent la marque qu'il apparut soudainement derrière leur oreille, un petit dragon blanc, disparaissant aussi soudainement qu'il était apparut. Dans la chambre 178 du services des soins intensif, un corps était étendus sur un lit. Ce corps avait été soumis à un sort de conservation suite à la mort de la personne qui y vivait avant. Quand la vague déferla sur l'hôpital, le sort sauta. Le corps se remit soudainement à reprendre des couleurs. Il fut parcouru d'un soubresaut, puis se calmât, la cage thoracique se mit à trembler légèrement, puis elle se soulevât, par saccade, puis devint une respiration régulière comme si il dormait.
Au Terrier, la famille Weasley était effondrer, tous pleurait la nuit sur leur oreiller.
Hermione elle, n'arrivait plus à dormir seul, elle cauchemardait, elle voyait son meilleur ami partir, et une des seuls amie qu'elle avait eue mourir dans d'atroce souffrances, elle dormait toute les nuits avec Ron maintenant. Essayant de ne pas y penser.
Fred et George, eux, c'étaient enfermer dans leur chambre, et n'en sortait que pour chercher de la nourriture. Il confectionnait, invention sur invention, farce sur farce, noyant leur chagrin dans la poudre et les sortilège.
Percy lui ne revenait même plus à la maison, il passait son temps au ministère, sous des tonnes de paperasserie, sa petite amie, Pénélope, était tout les jours à ses coté, tout aussi effondrer que lui, tentant de l'obliger à manger. Mais en vain il ne mangeait pas, il essayait de ne pas y penser
Mrs Weasley, elle, n'arrêtais pas de pleurer, un beau jours elle c'était arrêté pour s'enfermer dans un mutisme plus qu'apparent, les yeux river sur la pendule familial espérant que l'aiguille reviendrait sur autre chose que « mort ».
Mr Weasley, lui avait été promus, le ministre pensant lui changer les idée, il était maintenant chef du département de la sécurité de l'état, c'est lui qui supervisait, les aurore, les langues de plombs, les oubliators et autres unité de sécurité du ministère de la magie. Ce travaille lui prenait tout son temps, il n'avait même presque plus le temps de manger. Travaillant, travaillant, ne pouvant s'empêcher de ne pas penser à sa fille, à son petit corps, frêle qu'il avait tenu dans ses bras jusqu'a l'hôpital.
Charly, lui, était repartis à son travaille, tout comme son père et son frère dans le but de ne pas y penser. Il avait failli se faire carboniser des dizaines de fois par les dragons dont il s'occupait. Mais à chaque sauver par un de ses collègues, et à chaque fois l'image de Ginny réapparaissait dans son esprit.
Bill, lui, était retourné à Gringotts, posant des sorts un peu partout, même sur son propre bureau, ne pouvant en sortir. Il y resta trois jours, puis décida de sortir se changer les idée, mais une fois au dehors, les images lui revenaient, et le faisait tomber en pleure.
Quand le sols se mit à trembler, Mrs Weasley sortis de son mutisme, Ron, Hermione, Fred, Goerge, Percy, Mr Weasley, Bill, Charly se retrouvèrent tous dans la cuisine près de leur mère, restant souder pendant ce moment de malheur. Certains était venu en transplanant d'autre en courant comme des malades. Puis soudainement une vague de magie passât au travers d'eux, les remplissant d'une joie intense. Tous reconnurent cette vague de magie, c'était l'aura d'Harry Potter. Mrs Weasley, criât son nom, puis en tournant ça tête vers la pendule, elle sautât de joie, enlaçant son mari, ses enfants, et Hermione. Tous tournèrent leurs regard vers l'horloge et sautèrent tous aussi de joie. L'aiguille de Ginny, était maintenant sur endormie.
Harry Potter ne se réveilla pas tout de suite après le réveille de sa « bête ». Il resta dans un état de coma pendant dix jours. Naëlion reposant sur son torse, ne c'était lui non plus pas réveillez pendant ce lapses de temps. Quand Harry se réveilla la première chose qu'il fit fut de crier de joie, les loups se demandant ce qu'il avait, puis Naëlion se joint à lui et tout deux crièrent en semble leur joie, un sachant pourquoi, l'autre non, mais imitant son maître.
-Elle est vivant, elle vivante, fut la seule phrase que Harry répéta pendant une bonne heure, courrant partout dans la forêt, faisant des aller et retour. Il s'arrêta quand il se rendit compte que Naëlion faisait et criait la même chose que lui. Puis il se mit à crier :
-Putain Naëlion tu parles !! criât-il tout enthousiaste et Naëlion criait à sa suite.
-Putain je parle, sur un ton enjouer.
Tout deux se mirent à courir vers le nord, et furent vite rattraper par Tirma et Fogra.
-Vous allez où comme ça ? leur demandat Tirma et Fogra en même temps.
-A Poudlard !! leur criât Harry.
-Ha ton école ? Bein c'est de l'autre côté. Répondit Tirma.
Harry essayât de s'arrêter mais se prit un arbre en essayant de tourner et de s'arrêter en même temps. Naëlion pareille à part qu'il ne se prit pas d'arbre mets fit des cumulet. Tout deux repartirent dans l'autre sens repassant à travers toute la meure de loup de Tirma, celui-ci leur disant de les suivres.
Pendant quatre jours entier ils coururent, à vive allure.( Yeah vive la rime) Puis vint Poudlard, se dressant majestueusement, au dessus du lac( pas au dessus de l'eau mais sur un promontoire rocheux, où est mi le château comme dans le film quoi) Les calèche sans chevaux des élèves se dirigeant vers le château. Tous les élèves purent voir une meute de loups, à leur tête un homme aux yeux couleur d'ambre( normal les yeux cette fois-ci) fonçant vers les marches du château et se perdant dans la nuit qui s'étalait devant la première calèche. Quand les élèves descendirent, ils furent stupéfait de voir le survivant, se tenir droit, en haut des marches du châteaux, et à ses pieds une trentaine de loups couché, et regardant les élèves la tête haute. Puis un cris retentit derrière eux, et ils se retournèrent pour laisser place à une tornade rousse, criant de joie. Les loups s'aidèrent le passage, à la jeune enfant, se rangeant en haie d'honneur de chaque coté des marches des escalier. Harry Potter, ouvrit grand les bras pour accueuillir, Ginny, SA Ginny, dans ses bras, et il les refermât pour l'envelopper de ses bras, lui faisant des baisers passionnée.
-Ho Harry, Merci, merci, merci, tu es vivant, je t'aime. Lui dit Ginny entre deux baisers.
-Moi aussi mon ange, moi aussi je t'aime, lui répondit son bien aimer, mais maintenant je vais te laisser pour une bonne nuit, d'accord ? car là ça fait quatre jours que je cours, et que j'ai pas dormis, alors je te dit bonne nuit. Et il se laissât tomber, tombant dans les vapes. Dumbledore arriva juste à ce moment là.
-Bien, je vois que Mr Potter, est de nouveau par mis nous. Bon rentrons, et ne faites pas attentions au loups, apparemment ils sont pas méchant. Dit il tout en caressant la tête de Fogra, qui laissait pendre sa langue paresseusement.
Tous rentrèrent et allèrent assister à la cérémonie de la répartition, sauf quatre personne qui était au chevet, de Harry. Ron, Hermione, et Ginny, pleurait de joie, devant son lit.
Tu vois Sab, elle est là Ginny, fallait pas t'inquiéter, et je dit une chose, je peux tout faire, tous les tuer si je veux hahahah aniarkniarniark haahhahaha( petit air sadique, et yeux de fous)
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