Auteur : Nortylak
E-mail de l'auteur : nortylak@yahoo.com
Traductrice : Izzie
Disclaimer : les persos et les lieux mis en scène appartiennent à J.K.Rowling et l'histoire (géniale, soit dit en passant) appartient à Nortylak qui m'a très gentiment accordé la permission de la traduire… Vous pouvez lui envoyé vos commentaires, je suis sûre que cela lui fera plaisir…
Note de la traductrice : Merci pour vos review, c'est vraiment très gentil et voilà le news chapter ! Désolée pour le temps qu'il a mit à arriver, surtout qu'il était déjà traduit depuis longtemps mais je n'ai pas eu le temps (ni le courage) de tout le taper à l'ordi avant ce soir…
Chapitre 3C'était sûrement la première fois de l'histoire entière de Poudlard que tout le monde, et je veux dire tout le monde, était excité d'assister au cour de potions. Depuis ce matin, dans le grand hall, quand Rogue est entré ressemblant à une sorte de Dieu des ténèbres, personne ne parlait plus d'autre chose. Personne ne pensait plus à autre chose, et spécialement une certaine Griffondor rousse.
« Pourquoi penses-tu qu'il a fait ça ? » demanda Hermione à Ron. « Je veux dire, tout d'un coup, se ramener… comme il a fait », elle stoppa, une teinte rosée tachant ses joues.
Ron rencontra son regard avec une expression perplexe, cherchant ce qu'avait exactement voulu dire Hermione avec sa précédente déclaration. Elle remarqua comment il la regardait et se mit immédiatement sur la défensive. « Ron ! Je ne voulait pas dire que c'est…, tu ne penses pas que je trouve que Rogue est… Attends ! Je ne suis pas aveugle tu sais ! Rappelle-toi comme tu bavait devant Fleur ? Tu ne peux pas me demander de simplement ignorer ce que je vois ! Il est bien, set-tu satisfait ? » La mâchoire de Ron pendait presque jusqu'à sa poitrine. « Sexy même. » Ses yeux s'agrandirent. L'avait-il bien entendue ? Est-ce que Hermione venait d'admettre qu'elle trouvait Rogue… Sexy ?
« Qu-» Ron était encore blessé par la remarque sur Fleur. « Mione ! C'était il y a longtemps. » Elle le regarda du coin de l'œil. « As-tu dit que Rogue était sexy ? Qu'est-ce que je suis dans ce cas, un boule de fumier ? » Elle sourit simplement et l'embrassa.
« Ron, je n'ai jamais dit qu'il était plus sexy que toi. »
« Oh » dit Ron, son visage rougissant.
« Geez, vous deux, prenez une chambre, voulez-vous ? » les taquina Harry. Ron lui donna un coup de coude dans les côtes.
« Vous deux, vous êtes impossible ! » Hermione roula les yeux et rit d'eux.
Ginny traînait en arrière ce matin. D'habitude, elle faisait tout pour être aussi près de Harry qu'elle le pouvait, mémorisant avec attention la façon dont ses cheveux glissaient sur son front lorsqu'il marchait, la façon dont ses lunettes glissaient sur son nez. Elle avait toujours remarqué toutes les petites choses à son sujet, comme comment ses robes pendait toujours de travers et comment ses lacets se défaisaient parfois et reposaient sur le sol. Il se promenait avec ses mains roulée comme s'il tenait une baguette. Elle pouvait dessiner son sourire les yeux bandés, tracer la forme exacte de sa cicatrice avec ses doigts. Elle savait tout les contours de son visage, toutes les nuances de couleur de ses yeux.
Mais aujourd'hui, c'était différent.
Aujourd'hui, un autre visage hantait son esprit : un visage aussi différent de celui de Harry qu'elle pouvait imaginer. Le visage de Sévérus (Ne pas l'appeler Rogue plus longtemps semblait lui convenir) était plus anguleux, plus défini. Ciselé. Ses yeux étaient noirs, pas vert étoilé. Lorsque Sévérus la regardait, c'était comme si il pouvait voir dans son âme. Il la regardait comme si elle était une sorte de fleur délicate (pas du tout la façon dont la regardait Harry). Ses cheveux étaient long et de la nuance la plus profonde de noir que Ginny pouvait imaginer. Les cheveux de Harry semblait presque blonds en comparaison. Cela lui rappelait une photo qu'elle avait vu d'un volcan. La lave, lorsqu'elle émerge du creux de la terre est d'un orange-rouge brillant. C'était le feu liquide. Et une fois qu'il a coulé à une vitesse extrêmement rapide, elle se transformait en obsidienne, la roche noire qui correspondait parfaitement au cheveux de Sévérus. C'était doucement ironique, la lave ardente et l'obsidienne noire… rouge et noir. Juste comme eux.
Ce matin-là, Sévérus avait pour le première fois depuis longtemps été à sa hauteur complète. Il tenait sa tête haute lorsqu'il marchait, avec une confiance notable. Il possédait une certaine grâce qui avait été cachée depuis des années au-dessous des couches de pitié et de haine. Il semblait majestueux. Harry n'avait certainement jamais été comme ça.
Et au même moment, Ginny se sentait horrible de comparer Harry à Sévérus. Harry n'avait que dix-sept ans, Sévérus quelque chose dans les trente. Et même si Ginny ne se souciait pas de la différence d'âge, cela ne semblait pas juste de comparer Harry à quelqu'un qui avait deux fois son âge. Harry était un garçon merveilleux, qu'elle avait toujours regardé et admiré, mais maintenant…
« Ginny, tu viens ? » l'appela Harry. Elle releva la tête et réalisa qu'elle était vingt mètres derrière les autres. Rapidement, elle reprit de la vitesse et trotta à côté des autres. Harry lui sourit lorsqu'elle fut à ses côtés. Pourquoi étais-ce maintenant, lorsqu'elle avait finalement trouvé quelqu'un d'autre, que Harry lui consacrait du temps ?
« Je ne peux pas attendre d'aller en potion aujourd'hui. » Harry continuait la conversation qui avait été commencée en l'absence de Ginny. « Je me demande ce que pense les Serpentard du relookage de Rogue ! »
« Il pense probablement que Rogue est devenu fou, » dit Ron. « Oh mon Dieu ! »ajouta-t-il rapidement. « Je me demande comment Malefoy prend ça ! Son prof préféré, soudain… et bien rien à voir avec Rogue maintenant ! »
« Ron ! » signala Hermione. »Ce n'est pas parce que son apparence à changé que sa personnalité aussi. Peut-être qu'il s'est seulement réveillé se matin et a réalisé qu'il était absolument repoussant ! Pour quelqu'un qui est apparemment très intelligent, il a prit longtemps pour mettre le doigt dessus. »
Ginny écoutait les trois autres critiqué Sévérus, essayant de laisser les insultes qu'ils jetaient glisser derrière elle. Ce n'était pas son rôle de le défendre. Elle-même avait déjà partagé leur avis dans le passé.
Il tournèrent au dernier coin avant les escaliers en direction des donjons. Harry, Ron et Hermione avait potion tout de suite alors que Ginny devait souffrir avec histoire de la magie. Elle sentit une pointe de jalousie lorsqu'elle vit les trois autres commencer à descendre les escaliers menant à la classe de Sévérus. Harry se retourna pour lui dire quelque chose mais elle était déjà partie dans un autre couloir.
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Sévérus était assis derrière son bureau, tapant impatiemment du pied sur le sol, attendant les premiers étudiant qui descendront dans les donjons. Tout semblait plus brillant, plus vivant pour lui ce matin. Spécialement Miss Weasley… Stop ! se réprimanda-t-il pour la millième fois ce matin. Mais à chaque fois qu'il essayait de l'oublier, cette administration innocente que ces yeux possédait, faisait manquer un battement. Quelqu'un le voulait… Ou en tout cas, il le sentait comme ça.
Il revivait encore et encore la nuit passée. Heureusement, moins de personne que ce qu'il aurait cru avait remarqué qu'il avait danser. La plupart des élèves étant trop occuper à marchander avec leurs hormones en fureur pour lui jeter un deuxième coup d'œil. Les Serpentard étaient de l'autre côté de la pièce. Les Griffondors étaient entrain de faire du limbo avec Hagrid. Il était presque sûr que Colin Crivey avait prit une photo d'eux ensemble, mais il était aussi certain que le garçon serait trop effrayé pour distribuer des copies… soupira-t-il. C'était dommage. Sévérus aurait bien aimé une copie.
Les septièmes années avait cours en premier. Il devait attendre encore quelques heures avant de al voir. Que dirait-elle ? Il ne pouvait pas avoir une conversation avec elle au milieu de la classe. Il ne pouvait pas laisser échappé que la seule raison pour laquelle il s'était transformé c'était pour l'impressionner. Et ce n'était pas la seule raison pour laquelle il était passé au travers de ses ennuis. Il avait aussi d'autre raison bien sûr. Il ne pouvait tout simplement pas penser à elles maintenant. Il ne pouvait pas pensé à quoi que ce soit en plus d'elle.
Le son des pas résonnant sur le sol froid sonnait dans ses oreilles, lui faisant relever sa ligne de vision en direction de la porte. Les *trois mousquetaires*, comme il aimait pensé à eux, faisait silencieusement leur chemin de la porte, en direction du côté Griffondor de la salle. Sévérus regarda que Hermione Granger continuait de le regarder, les yeux élargis, son visage rouge écarlate. Il trouvait cela très amusant, mais il étouffa le sourire qui tirait sur les coins de sa bouche. Les trois élèves s'assirent et murmurèrent entre eux.
Les Serpentard commencèrent à arriver par groupe. Millicent Bullstrode lui fit un clin d'œil avant de s'asseoir. Pansy Parkinson arriva avec ses cheveux bouclé à l'anglaise, du maquillage précautionneusement appliqué. Elle lui sourit avant d'aller s'asseoir. Simulatrice… pensa Sévérus. Miss Weasley ne se peinturlure pas pour être belle… Drago arriva avec Crabbe et Goyle de chaque côté de lui. Il avait une expression très mélangée sur le visage. C'était peut-être de la colère ? Mais pas sûr. De l'amusement ? Peut-être. De la confusion ? elle était définitivement présente. Il regarda Rogue au travers de ses yeux gris, le scrutait de derrière ses mèches blondes argent qui tombait sur son front pâle.
Sévérus observa la scène devant lui. Aucun bruit résonnait entre les murs excepté les occasionnels murmures d'une fille de Griffondor rougissante, ou d'un Drago Malefoy confus. Tout les yeux étaient sur lui. Et pour la première fois, personne dans la salle ne le regardait avec dégoût. C'était un sentiment qu'il n'avait jamais connu avant. Il s'était laisser pousser à être si repoussant, que les regards de dégoût était presque amis avec lui.
Personne n'avait la moindre idée de ce à quoi il devait s'attendre de lui. Ils étaient assis sur le bord de leurs siège, espérant une quelconque sorte d'explication. Sévérus se sourit, tapotant avec confiance ses doigts ensemble. Ce serait un jour amusant.
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Ginny pouvait dire que Harry allait se retourner et lui dire quelque chose alors elle s'esquiva dans le virage le plus proche et soupira. Elle ne voulait pas penser à lui, pas maintenant. Pas quand elle pouvait pensé à Sévérus à la place. Harry semblait si… gamin. Sévérus était une énigme.
Sa vitesse diminuait tandis que son esprit divaguait. Elle pouvait le voir dans son esprit, souriant de ce qu'elle avait fait la nuit précédente. Elle pouvait encore sentir sa main sur sa taille, ses doigts entremêlé au sien. Elle se rappelait ce qu'elle ressentait d'être contre lui. C'était formidable.
Bien sûr, il y avait un problème d'âge, mais Ginny ne voyait pas exactement ça comme un problème, mais comme un défi. Hermione avait toujours dit à Ginny de se défier, et bien que Ginny savait que ce n'était pas exactement ce qu'Hermione voulait dire par défi, elle décida que c'était qualifié à un certain degré. Par ailleurs, Ginny avait seize ans et techniquement, c'était légal. Il y avait ensuite le problème élève/professeur…
Ginny s'arrêta devant une fenêtre ouverte au-dessus du terrain de Poudlard. C'était si beau le matin. La rosée accrochée qui brillait dans les rayons matinaux du soleil. Elle pouvait voir le Saule Cogneur à l'horizon, cognant sur une chose ou une autre. La cabane de Hagrid avait un filet de fumée qui s'échappait de la cheminée. C'était une lumière irréelle sur le monde ce jour-là, plus comme celle émanant du visage de Ginny. Elle voulait rester là et regarder ça, qui vous coupait le souffle, pour l'éternité mais l'histoire de la magie l'attendait. En ensuite… potion.
Elle réalisa soudain que le reste des sixième années de Griffondor n'était nulle part en vue. Avait-elle prit un faux tournant ? Ginny se donna une claqua sur le front. Elle avait été si impatiente de quitter Harry qu'elle était allée dans la mauvaise tour ! Et penser à Sévérus tout le matin ne lui avait pas clarifié l'esprit. Se réprimandant d'être amoureuse d'un homme qu'elle savait si résistant, elle fit son chemin aussi vite qu'elle le pouvait jusqu'à la classe du professeur Binns.
Ginny savait qu'elle était terriblement en retard pour le cours, probablement d'au moins vingt minutes. Sa petite observation à la fenêtre avait durer plus longtemps qu'elle ne le pensait. Elle pouvait entendre le son constant du vrombissement de la voix du professeur pendant qu'elle tournait au dernier coin. Rien comparé à la voix de Sévérus, pensa-t-elle pendant qu'elle parvenait à la poignée de la porte et fit son chemin très cite au travers de la classe, espérant secrètement que le professeur s'ennuierait tellement lui-même qu'il ne remarquerait rien.
Mais il le remarqua.
« Miss Weasley » lui parla-t-il sans aucune inflexion dans la voix, » essayer d'arriver en classe à des heures raisonnable. Vous avez manqué une histoire absolument fascinante à propos de- » il stoppa lorsqu'il entendit le son distinct de ronflements qui venait d'un coin reculé. « S'il vous plait, prenez simplement place, Miss Weasley. »
« Oui, professeur Rogue » dit distraitement Ginny en s'asseyant. Elle entendit une slave de rire traverser la classe. Ginny sentit son visage devenir écarlate. Le professeur Binns étouffa un rire.
« Miss Weasley » Commença-t-il. « Je suis peut-être beaucoup de chose, mais je peut vous assurer que je ne suis pas un serpent graisseux. Bien qui » médita-t-il. « Il apparaît que Sévérus n'en est plus un, non plus ! » il assistait en ce moment à un très rare événement. Tout les yeux étaient sur lui. Personne ne dormait. Cela ne s'était plus produit depuis… bien, pensa-t-il, depuis que la chambre des secrets avait été réouverte. Il sourit, fier, se réjouissant du moment qu'il vivait. Après un moment cependant, cela devint troublant, alors le professeur Binns s'éclaircit la gorge et toussa. « Bien sûr, je ne sais pas pourquoi le professeur Rogue s'est soudain transformer » un gémissement général résonna à travers la salle et, bientôt, le miraculeux événements fut passé et les élèves retournèrent à leur sieste.
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Les septième années de Griffondor et de Serpentard quittaient les donjons ce matin, encore plus confus à propos du professeur qu'ils ne l'étaient au petit déjeuner. Premièrement, il n'avait pas été tenté d'expliquer ce qui avait causé son changement dramatique d'apparence. Plusieurs élèves avaient essayé de le questionner mais il les avait juste regardé avec une expression très confuse comme s'il n'avait aucune idée de ce dont ils parlaient !
Il avait réellement autorisé la classe à choisir leur partenaire pour la première fois et il ne s'en étaient pas prit à Harry et Ron lorsqu'ils se mirent automatiquement ensemble. Hermione, comme d'habitude, s'était mis avec Neville Longdubat qui avait passé près de vingt minutes à trier et compter désespérément les mèches de crin de licorne qui reposaient, pour la plupart, sur le sol. Pour la première fois, Sévérus ressentit presque de la sympathie pour la fille. Non, pensa-t-il immédiatement. C'est juste de l'écœurement.
Millicent Bullstrod ne voulait pas détourner ces yeux de lui, ce qui le troubalit à la fin. Qu'Hermione Granger rougisse lorsqu'elle le regardait était une chose, mais Millicent… Eurk ! pensa-t-il. Même avec son ancienne apparence, il n'était pas si… Il ne trouvait pas de mot pour ça.
L'incident le plus amusant, impliqua Pansy Parkinson. Elle regardait Sévérus par-dessus le bord de son chaudron devant lequel elle était assise, roulant ses boucles du bout de ses doigts. Lorsqu'il levait les yeux, elle battait des cils vers lui et faisait la moue. Elle était plus drôle comme ça, mais ce n'était pas la sorte de poisson à qui Sévérus voulait faire plaisir. Il approcha de son chaudron pour noter sa potion et elle était si occupée à battre des cils qu'elle ne remarqua pas lorsque la manche de sa robe prit feu.
« Miss Parkinson » Sévérus parlait d'une voix très calme et basse. « Si vous arrêtiez de me faire de l'œil, il se pourrait que cela vienne à votre attention que vos robes sont en feu. » Le cri de Pansy aurait pu être entendu depuis le grand hall. Heureusement, elle n'avait pas été blessée. Bien, en tout cas pas physiquement.
Drago Malefoy était assis dans la classe avec un sourire suffisant sur le visage, sûr que son professeur favori deviendrait net lorsque les Griffondor ne seraient plus autour. Il avait attendu que tout le monde ait quitter les donjons pour confronter Rogue là-dessus.
« professeur Rogue ? » dit-il avec désinvolture, comme s'ils étaient de vieux amis. Sévérus retourna la tête pour rencontrer le regard du garçon.
« Oui ? » répondit-il, essayant de rester aussi stoïque que possible.
Drago le regarda simplement d'un regard entendu derrière ses mèches blondes-argent, comme s'il essayait de lire dans l'expression de Sévérus une explication. Sévérus le regarda simplement en retour, ne trahissant rien de sa radieuse particularité. « Voulez-vous quelque chose Monsieur Malefoy ? » demanda Sévérus après un moment inconfortable.
Le visage de Drago rosit lentement, et se sentant embarrassé, il quitta les donjons, laissant Sévérus à son triomphe. Il n'était pas seulement arriver à choque l'école entière, mais il avait réussi à le faire sans avoir à donner quelque sorte d'explication rationnelle pour ses actes.
Oui, pensa Sévérus lorsqu'il songea au matin. C'était splendidement bien.
Il s'assit é son bureau, ses pieds posés, ses mains derrière la tête. Seulement quelque minutes et les sixièmes années seraient en potion. Sixième années… Miss Weasley… Il se sentit soudainement nerveux, des maux de cœur agitait soudain son estomac. Il ne pouvait pas faire comme s'il ne se passait rien, il était lui. Et c'était incroyablement difficile de considérer qu'il se sentait comme une personne totalement différente.
Et pour quelque étrange raison qu'il ne pouvait commencer à expliquer, il espérait simplement qu' *elle* le remarquerai.
