Auteur : Zorca
Titre : Grey Day
Base : Fruits Basket
Genre : Yaoi , P.O.V. de Kyô, et... heu… pas de T-Tland, mais c'est limite ^^;;;
Grade : J'le passe en R pour le simili lemon du chap 1… Mieux vaut trop censurer que pas assez ^-^
Disclaimer : Les persos sont à Natsuki Takaya/ Hakusensha… Tant pis.
Chapitre : One-shot tout court.
Avertissement : Heu… bé… je vais m'appuyer sur l'épisode 16, la golden week et les journées au lac, parce qu'il y a plein de trucs louches dedans lol
Je le reprends donc à ma façon, en analysant leurs actions, leurs phrases et en créant leurs pensées dans l'optique de 'White day' et… ça colle lol
Donc, attention, dans ce chapitre je spolie les dix premières minutes de l'épisode 16. La majorité des actions et les phrases échangées ne sont pas de moi, elles sont directement retranscrites de l'animé ^__^
Et… Heu… Je crois par contre que pour bien comprendre ce chapitre, il vaut mieux avoir vu l'épisode… Vala ^__^
Pitit mot :
Alors… ce simili one-shot prend place dans un simili arc de peut-être trois parties 'Des jours'.
Pitite Note :
« … … » Réminiscence de dialogue.
Des jours
Grey day
Ce fut un jour…
Je ne comprends plus.
Nous étions assis tous les deux à l'arrière… Maudite soit la providence, maudit soit Shigure qui voulait absolument se placer près de Hatori… Mais Tôru était là, installée entre nous, calme, heureuse…
Un petit porte-bonheur…
Un garde-fou…
car fous nous sommes, tous, de respirer encore avec persévérance cet air qui nous a maudit…
d'entraîner dans notre bal des damnés cette enfant à l'âme pure…
La salissons-nous en la laissant rester là ?
Shigure et elle ont discuté ensemble comme si rien d'autre n'existait que ce panorama qu'il détaillait pour s'amuser et qu'elle contemplait avec émerveillement… Toujours ce même regard d'enfant qu'elle pose sur toutes choses comme si elle observait un monde extraordinaire, un monde mystique où la montagne est un Dieu, les arbres des esprits bienveillants, où le dragon fait la rivière…
C'est doux, c'est tiède, ça réchauffe de l'intérieur…
Ca fait du bien
et ça fait peur aussi…
quand on sait comme moi que l'on pourrait tout perdre.
Nous sommes partis en voyage pour la golden week, pour passer quelques journées au vert, c'est ce qu'a souhaité l'écrivain. Il a finement joué et nous sommes tous venus, Tôru pour réparer l'injustice, Yuki pour la suivre, Hatori pour nous conduire et moi…
Moi je ne sais pas. Pour me changer les idées certainement.
Le premier jour est fini et là, allongé de tout mon long sur le toit, je pense, j'y repense, à un tout, à des petits riens… Depuis cette nuit-là je ne peux plus m'en empêcher…
Mon cauchemar est devenu un chemin de croix.
… coloré…
Ce fut une journée bleue comme le ciel sans nuage qui a éclairé notre ballade… particulière.
Je ne me sentais pas bien… Je n'étais pas à l'aise… J'ai dû appelé ça 'pas en forme' il me semble pour la rassurer.
Yuki marchait devant moi, en silence. Je le suivais, plongé dans mes réflexions, mes yeux redessinant sans que je le veuille les courbes de son corps que je n'avais pas touchées … Tôru fermait la marche, un peu en retrait, mais je n'y avais pas prêté attention sur le coup, jusqu'à ce que elle s'excuse inutilement…
Elle n'y était pour rien, à mon silence, à notre silence très certainement.
C'est là que tout a basculé, en même temps que moi, une nouvelle couleur qui disperse mes ténèbres, qui assombrit mes pensées, qui sème un nouveau chaos dans mon âme champ de ruines.
J'ai voulu m'approcher d'elle et j'ai glissé, je suis tombé, tout cela à cause d'une empreinte d'ours…
Bien que tu le sois déjà, maudit sois-tu encore Shigure, toi et tes stupides plaisanteries !
Encore plus maudit sois-je, moi qui n'y comprends jamais rien.
Jason !
Elle a eu peur et je dois me faire violence, j'ai eu peur aussi… je ne suis qu'un chat malgré tout et Jason était sensé être un ours tueur.
Elle était terrifiée et commença à aller à reculons, en nous disant qu'il fallait rentrer vite… Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle bascula en arrière dans un dénivelé abrupte.
Ce fut une journée blanche comme la peur qui a pâli ma peau.
Nous nous sommes transformés. Yuki était contre l'arbre, certainement un peu écrasé par le poids de Tôru et moi j'étais étalé par terre… La dignité n'a jamais été mon fort… sauf quand elle est froissée.
Comment être digne de toute manière quand on est ce que je suis ?
Tôru-kun s'excusa, encore et toujours et Yuki lui demanda si elle allait bien.
Je n'ai jamais aimé être… attentif et attentionné, je n'ai jamais aimé montrer que je m'occupais des autres parce que je n'aime ni les excuses, ni les remerciements. Que l'on me voit, que l'on me remarque, que l'on me trouve digne d'intérêt m'a toujours mis mal à l'aise et je préfère râler, attaquer, plutôt que de toucher, d'être touché…
C'est logique en soi quand comme moi, on n'est qu'une image humanisée de la réalité.
Je lui ai dit de faire gaffe à où elle mettait les pieds. Elle a dit oui et est partie ramasser nos vêtements.
J'ai pu alors y repenser… à quand elle est tombée.
J'ai été plus rapide que Yuki… C'est plutôt étonnant… Peut-être a-t-il trébuché entre temps ?
Certainement a-t-il trébuché. Ce ne peut-être que ça, ça expliquerait la suite.
J'ai pris Tôru dans mes bras, un bras dans son dos, une main derrière la tête et je l'ai serrée contre moi, son front sur mon épaule, mon visage dans ses cheveux…
Ils sentent bons.
Tôru sent bon. Elle sent la fraise.
Son corps est fin, fragile, tendre dans mes bras, tiède… J'ai eu le temps de penser à tout ça, je prends le temps d'y repenser plus maintenant…
J'aime profondément Tôru…
Même si ça me fait peur de me l'avouer…
Même si je suis prêt à le désavouer dans la seconde pour me protéger, pour fuir ce qui n'existe que par un jeu de miroir.
Elle est une sorte d'ange que j'ai peur de souiller mais dont je ne peux pas me passer…
Elle me fait peur parfois… souvent.
Elle tombe, elle se cogne partout, elle est émotive et elle tape toujours dans le mille…
Faible, courageuse et déterminée, fragile, si fragile…
J'ai peur pour elle…
J'ai peur d'elle…
Je suis… si sale face à elle, un démon face à un ange…
Je n'ai pas eu le temps d'y penser, à ça, alors que je la serrais dans mes bras… et heureusement je crois, car je l'aurais lâchée pour ne pas salir en touchant ce que je souille déjà par ma simple présence, par mon silence.
Je suis un monstre. Je ne lui laisse pas réellement le choix. Si elle savait, peut-être qu'elle ne serait pas là, près de moi, à me sourire, à me parler…
Si elle savait, peut-être qu'elle voudrait fuir, comme je le souhaite moi-même, au plus vite.
Je n'ai pas eu le temps d'y penser, même si les secondes se sont étirées pour devenir longues comme des minutes, même si mon esprit réfléchissait à toute vitesse…
Je n'ai pas eu le temps d'y penser parce que…
Ce fut une journée rouge comme le sang qui m'est monté aux joues.
Yuki est arrivé quelques centièmes de seconde plus tard…
Il avait dû trébucher, ce ne peut être que ça.
Il a passé une main autour de sa hanche et l'autre… l'autre autour de la mienne et il est venu se serrer contre nous… nous serrer contre lui…
Le contact de son corps… et j'ai senti à nouveau…
La chaleur de Yuki se répandre et se perdre sur mon corps…
Les chats ne peuvent pas rougir… J'ai trouvé le premier bon côté de ma malédiction aujourd'hui.
J'ai frissonné avant de me transformer. Ce contact m'a emmené loin, très loin, pas si loin que ça vers des souvenirs que je n'ai pas pus oublier.
Juste quelques centièmes de secondes qui effacèrent pour de longues minutes toute ma vie…
Des lèvres légères sur les miennes.
Des doigts puissants sur mes poignets.
Un corps tiède nu face à moi, une peau nacrée qui me hante jusque dans mes rêves… éveillés.
Une main hésitante qui se referme sur mon sexe et l'extase, le blanc qui colora mon existence, le coton qui m'entourait…
Chimère !
Mensonge !
Que des mensonges !
Que ça fait mal.
Un piège à rat, le piège du rat, nouveau, encore et stupide chat, stupide chat je m'y suis laissé prendre, à nouveau.
Nous nous sommes disputés, comme d'habitude… Yuki a attaqué le premier, ça ce n'est pas normal…
Peut-être est-ce le fait de m'avoir touché… à nouveau… Ecœuré ?
C'est vrai que lui sait.
Mais ça fait mal.
« Un chat stupide me dit d'apprendre ? »
Stupide, stupide, oui je l'ai été.
« Au fait, Jason est un personnage de film d'horreur. »
Maudit sois-tu Shigure, même si je te l'ai déjà dit, maudis sois-tu encore.
« Ne fais pas le malin ! Un ours dans un film d'horreur, et alors ? »
« T'es vraiment stupide ! »
Incontestablement je le suis, toujours face à lui…
Stupide, stupide, oui, mais ça fait mal de l'entendre dans sa bouche, ça me rappelle combien j'ai pu l'être bien au-delà de ça…
« T'es mort ! Aujourd'hui tu pousseras ton dernier soupir ! »
Ca me fait mal, comme j'aimerais lui faire mal, comme j'aimerais pouvoir à nouveau extraire de sa gorge blanche un semblant de gémissement…
Encore…
Tout est de sa faute, toujours.
Ma malédiction et la chaleur qu'il a fait naître en moi, cette chaleur qui me brûle aujourd'hui et qui me rappelle que je n'étais rien, rien ce soir-là ! Comment puis-je prétendre être plus ?
Je n'ai pas de vie, je ne peux pas en avoir et je n'en aurai jamais.
Notre joute verbale a continué, lui impassible, moi en colère et Tôru y a mis fin… en riant.
Il est descendu de son arbre, inquiet…
« Honda-san ? »
Je me suis tourné vers elle, je l'étais tout autant. Elle pleurait et riait en même temps.
« Qu'est-ce que t'as ? »
« Excusez-moi ! Ce n'est pas très gentil de rire alors que vous vous battez. Mais je suis rassurée. Vous êtes redevenus comme d'habitude. Penser cela m'a rassurée et… C'est étrange… »
Ce fut une journée violette comme ses yeux qui m'ont tétanisé…Il s'est tourné vers moi et m'a regardé, pour la première fois depuis cette nuit-là, sans dégoût, sans mépris, sans indifférence.
Il m'a regardé et ses yeux n'étaient pas vides…
Ils étaient interrogateurs, perdus et je savais la question qu'ils contenaient, je me posais la même…
Nous sommes-nous comportés si différemment depuis la nuit aux sources thermales ?
Je savais avoir été différent mais je n'avais pas fait attention à lui et j'ai su que c'était pareil de son côté…
Regret ?
Dégoût ?
Qu'y avait-il dans ce regard-là qui m'échappe encore ?
Son attention m'a cloué sur place.
Les yeux de Yuki, vivants dans les miens, me confèrent une importance que je sais ne pas avoir, ne pas mériter.
D'un seul coup je ne suis plus un monstre, je ne suis plus le chat, je suis… Kyô. Je suis un humain.
Il me regarde, moi, mais en même temps voit au-delà…
Il ne m'a jamais vu.
Mais il sait.
Je tremble,
j'ai peur.
J'ai envie de fuir, loin de ses yeux, loin d'elle,
encore.
Je ne veux pas qu'ils me voient…
Et pourtant, j'aimerais tant, qu'ils me reconnaissent.
Nous nous sommes chamaillés, encore.
Nous nous sommes rhabillés, tous deux derrière deux arbres, côte à côte et j'ai tout fait pour ne pas laisser couler mon regard sur le côté.
« Heu… Mes excuses ! »
Nous avons tourné la tête en même temps. Tôru était assise dos à notre vestiaire improvisé et elle recommençait… à s'excuser…
Est-ce que j'en mérite…
Moi au moins…
Des excuses ?
« J'ai fait fausse route et j'ai fait tout ce bruit… Mais ça m'a fait plaisir.
Ah ! Pardon d'être contente de votre malaise !
Nous retrouver ensemble est tellement naturel… Vous n'avez pas à cacher que vous n'êtes pas en forme. Si ça ne va pas restez vous-mêmes…
Heu… Je veux dire…
Je ne dis pas que c'est une bonne chose, mais je suis contente de vous voir naturels. »
Elle n'avait pas vu que nous nous étions placés face à elle pendant qu'elle parlait… Ce fut Yuki qui lui fit remarquer en parlant.
« Tout va bien ! »
J'ai complété pour la rassurer.
« Y'a rien de spécial. »
Et dans un fier ensemble, alors que nous nous tournions un peu le dos, nous nous sommes montrés du doigt en rajoutant :
« Sauf que je le déteste encore plus ! »
« Quoi ? »
Ca m'a fait mal, tellement mal, Yuki a ce pouvoir à présent sur moi.
C'est sorti tout seul, avant que j'y pense… Je ne pense de toute façon que très rarement avant de parler.
Peut-être est-ce un bien parce que Yuki a répondu et ce que je n'ai pas voulu analyser sur le coup me laisse un goût sucré à présent sur la langue.
« Et toi alors ? »
Moi ? J'avais envie de lui cracher à la figure que je n'avais pas oublié, mais j'ai fui, comme je fuis toujours.
« Je te détesterai jusqu'à ma mort ! »
C'est si vrai… tellement vrai.
Je le hais, lui qui m'a fait ressentir, qui m'a donné une importance, la cruelle illusion que j'étais comme les autres et que je pouvais prétendre aux mêmes droits, aux mêmes bonheurs.
Je le hais, lui le rat par la faute de qui je suis si sale, si écœurant…
Je le hais !
C'est tellement vrai…
C'est si faux.
« Merci beaucoup. Je partage ce sentiment. »
Vraiment ? Sait-il ce qu'il a partagé ?
Le savait-il ?
En était-il loin ?
Il ne pouvait qu'en être loin… Comment peut-il en être autrement ?
Tôru s'est remise à rire et nous avons arrêté pour ce jour-là nos accrochages quotidiens.
… comme le sont les jours…
Ce fut une journée grise comme ses cheveux qui ondulent sous la caresse du vent…Ces cheveux que je n'ai pas caressés, je le regrette aujourd'hui…
Voilà qui est dit.
… gris.
Ce fut une journée grise comme l'est mon âme depuis cette nuit-là.
Je ne me comprends plus.
J'ai voulu oublier.
J'ai tout fait pour oublier mais je n'y suis pas arrivé.
J'ai voulu le haïr.
J'ai tout fait pour le haïr comme je le haïssais avant mais…
Depuis quand avais-je donc appris à l'apprécier, à le connaître ?
Tôru… Que fais-tu de nous ?
Yuki… Qu'as-tu fais de moi ?
Depuis je rêve, toutes les nuits, à son corps tiède et chaud sur le mien… Je deviens même entreprenant…
Est-ce des rêves ?
Ou des cauchemars ?
Depuis je fais tout ce que je n'ai pas fait cette nuit-là et qui me manque…
Je me plonge dans son regard au lieu de fermer les yeux.
Je caresse ses cheveux, encore et encore… Ils ont l'air soyeux.
Je touche cette peau de nacre dont la texture m'échappe.
Je lie mes doigts aux siens et je veux ressentir sur mon corps tout le poids du sien… les vêtements en moins.
Depuis je rêve, tous les jours, à chaque fois que je m'isole.
Je revois son corps nu près du mien et je ressens la morsure du manque, de ce que je n'ai pas fait…
Pas regardé.
Pas touché.
Pas senti.
Pas profité…
Je n'en ai pas assez profité.
Mais les images en boucle me reviennent, m'assaillent comme une torture douce et cruelle…
Je n'ai pas pu oublier, je n'ai pas su et ça fait mal.
J'y repense là, sur le toit de ce chalet Sôma où malheureusement il y a assez de place pour que l'on ait tous notre chambre…
Qu'est-ce que ça y aurait changé de toute manière hein ?
Je ne sais pas… mais je me prends à rêver éveillé que ça aurait pu recommencer, encore.
J'ai voulu tout envoyer au Diable mais c'est moi qui y suis. J'ai un Enfer dans le corps, dans l'esprit, qui brûle et me consume… et je ne comprends pas, ce que je veux vraiment…
Parce que je le hais… je le hais réellement.
Tout est de sa faute, de sa faute à lui, de celles des siens, des rats.
Il a détruit ma vie, il m'a tué dès que je suis né maudit par le chat.
Parce que je me hais, je le hais réellement, lui qui m'a offert des souvenirs sucrés que je ne pourrai plus jamais éprouver.
Parce que je le hais, autant que je le désire, autant que stupidement je le remercie d'avoir fait de moi autre chose, l'espace d'une nuit.
Depuis j'analyse, tous ces petits rien, qui me font me demander ce que lui pense vraiment…
A-t-il oublié ?
M'a-t-il pris dans ses bras en même temps que Tôru ?
A-t-il changé lui aussi depuis cette nuit-là ?
Y repense-t-il comme moi ?
A-t-il dit ce qu'il pensait et son contraire, tout comme moi ?
Des petits riens qui font un tout…
Ai-je le droit d'espérer ?
Est-ce de l'espoir ?
J'aimerais savoir à la fin ce que c'est !
Qui suis-je, moi, pour désirer ?
Depuis j'évince de ma mémoire ma réalité, ce paramètre supplémentaire que les autres maudits n'ont pas et qui me pourrit la vie…
Je n'ai pas oublié et je sais pourquoi.
C'était un moment blanc, un moment où j'ai été digne…
Digne de quoi ? D'être l'objet d'une nuit ?
C'est déjà beaucoup pour moi… Je n'aurais jamais cru pouvoir être autant dans l'esprit d'un être qui savait.
J'évince ce détail qui ne l'est pas, parce que je sais qu'avec lui je ne peux même pas me permettre d'espérer recommencer, de rêver à plus…
Je ne suis rien, je le sais.
Il m'a offert la vie avant de me la reprendre sur un silence.
Je le hais tellement…
Il m'aurait torturé qu'il ne m'aurait pas fait aussi mal, pas pareil…
Je le désire tellement…
Il a dit : « Le soleil se couche déjà. », et par automatisme j'ai répondu : « Allons au lac demain ! »…
Et c'est là que je l'ai vu.
Le ciel se teintait de jaune, d'orangé… du métal en fusion.
Ce fut une journée comme de l'or, métal froid à la couleur chaude, une journée qui m'offre la sensation amère du manque en allumant dans mon esprit la flamme d'un espoir ridicule…
Ce fut une journée colorée, comme seuls peuvent l'être les jours gris.
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FINNNNNNNNNNNNNN !!!!!
Hu…
Bé ouep…
Vala le numéro 2 ^__^
Contente de moi, ça a été vite pour faire la trame et pour l'écrire mais ça faisait un moment que je le travaillais dans ma petite tête… Pis… Il n'est pas bien long aussi il faut avouer ^^
Mais chouette quand-même, j'ai finieuh ! ^__^
Au suivant ? ^__-
Zorca *objectif Fruits Basket : lancement effectué sans gros dommage.*
