Second Chapitre : Les problèmes sont de retour
Aussitôt qu'il eu terminé de lire ses lettres, Harry alla se coucher, et
rêva qu'il utilisait les farces des jumeaux Weasley sur son cousin et sa
bande. Après avoir passé une bonne nuit sans cauchemar, Harry décida qu'il
pourrait sortir un peu se dégourdir les jambes en guise de cadeau
d'anniversaire, malgré la promesse qu'il avait fait à Dumbledore au sujet de
ne pas s'éloigner du quartier de Privet Drive.
En sortant, Harry ne put s'empêcher de remarquer que son cousin était
affreusement pâle et qu'il n'était pas sortit depuis deux jours. Mais avant
qu'il est eu le temps de réfléchir à cela, quelque chose d'autre attira son
attention, mais, ce coup-ci, ce ne fut pas son cousin, mais un étrange bruit
strident provenant d'une petite maison placée un peu plus loin dans Privet
Drive. Harry pressa le pas comme si quelque chose d'irrésistible l'attirait
vers cette maison, mais, une fois qu'il fut devant la maison, il remarqua que
s'était la maison de Mme Figgs, aussitôt la peur s'empara de lui, car le cri
qu'il avait entendu n'était pas celui de cette femme.
Sans trop réfléchir, Harry pénétra à l'intérieur de la maison et la trouva
Dévastée; au lieu de l'habituelle odeur de chou, on pouvait sentir une odeur
de pourriture. Mais ce ne fut qu'une fois qu'il vit se qui attaquait Mme Figg
qu'il réalisa qu'il n'avait pas sa baguette sur lui. Prit par la panique, il
pensa très fort au fait qu'il avait été stupide de sortir sans sa baguette et
quelques secondes plus tard, il entendit un léger sifflement qui pénétra à
l'intérieur de la maison et s'arrêta a quelque centimètre de lui.
Harry n'en revenait pas, il venait d'appeler sa baguette par la pensée, il
avait fait une fois de plus de la magie sans baguette. Après ces quelques
secondes d'hésitations, Harry essaya de distraire les cinq harpies pour que
Mme Figg puisse sortir de la maison. Harry essaya de se rappeler à toutes
vitesse au moyen que lui avait appris le faux professeur Maugrey pour détruire
les harpies pendant que celles-ci commençaient à l'entourer.
"Les harpies sont des créatures des ténèbres possédant une forte
résistance à la magie et les seuls sorts efficaces sont très difficiles à
exécuter et demandent une grande pratique avant de les réussir, car ce sont
des sorts de magie noire. Mais leur faiblesse tient dans leur faible force
physique, donc le sort idéal pour s'en débarrasser est celui qui permet de
transformer sa baguette en une épée, mais ce sort demande une forte puissance
magique et je doute que l'un d'entre vous arrive à le réaliser."
Harry n'avait pas le choix, il devait essayer de transformer sa baguette en
épée ou partir en courant.
-Metamorphosus epico revelatum, dit-il sans grande conviction.
Et à sa grande stupéfaction, il y eu de grand flashs rouges et or pendant
quelque secondes et quand ce fut finit, il ne tenait plus sa baguette, mais
une grande épée incrustée de diamants qu'il connaissait bien, car il l'avait
déjà utilisée contre un basilic il y a quelques années, c'était l'épée de
Gryffondor.
Après la surprise de savoir qu'il avait réussit son sort, il s'aperçut que les
harpies qui étaient devant lui, commençaient à reculer à la vue de son épée.
Puis, d'un de ses réflexes de quidditch, il planta son épée dans le corps tout
fripé de la harpie qui était à coté de lui et qui explosa en fumée. Puis il
recommença à tuer celles de devant, mais pendant qu'il les attaquait, il fut
blessé au niveau du bras par une harpie qui était derrière lui. Quelques
minutes plus tard, toutes les harpies étaient disparues de la maison, mais
celle-ci n'était plus reconnaissable. Harry était fier de lui, car il s'en
était bien sortit contre cinq harpies.
Mais à l'instant où il sortit de la maison, tout sentiment de bonheur et
de fierté s'envola, car des dizaines de harpies se trouvaient dans la rue
entrain d'encercler une personne qui se débrouillait assez mal contre les
harpies.
Alors Harry décida d'aller l'aider, et il commença à éventrer les harpies
qui ne l'avaient pas encore remarqué. Après avoir tué une dizaine de harpies,
il se retrouva encerclé avec Victor Krum, mais tout les deux ensemble, ils
arrivaient à se défendre et à décimer les harpies jusqu'à ce qu'il n'y en ait
plus, s'en sortant simplement avec quelques coupures et égratignures. Après
leur terrible combat, Harry se décida de poser la question qui le tourmentait
depuis qu'il avait vu Victor, mais Victor commença avant lui.
- Merci beaucoup Harry, c'est incroyable, c'est toi qui me sauve alors que
c'est moi qui suis sensé te protéger, on peut dire que j'ai brillé pour ma
première mission de l'Ordre, dit il désespérément.
- Ne t'inquiète pas, Dumbledore ne t'en voudra pas, mais pourquoi d'autres
membres de l'Ordre ne sont pas venu nous aider, répondit Harry.
- Oh mince, j'ai oublié de les prévenir, au revoir, il faut que j'y aille,
prépare tes affaires on vient te chercher ce soir, dit il précipitamment
avant de transplaner.
Alors harry décida de remétamorphoser sa baguette avant de rentrer chez son
oncle et sa tante, mais en partant, il repensa à Mme Figg qu'il n'avait plus
revue depuis qu'il était entré dans la maison et se promis de demander à
Victor s'il ne l'avait pas vue. Sur le chemin du retour, Harry ne remarqua pas
que les rues étaient désertes et que tout les moldus du quartiers étaient
scotchés à leur fenêtre entrain de regarder une grande tête de mort flotter
au-dessus de la maison de Mme Figg, c'est seulement quand il se retourna
qu'il vit le symbole de Voldemort flotter sur le quartier, ce qui le surprit
étant donné que seuls les mangemorts pouvaient la faire. Il en déduit donc
qu'il y avait eu des mangemorts, mais ce qui était bizarre, c'était le fait
qu'ils ne l'aient pas attaqué.
Harry ne prit même pas la peine d'expliquer à son oncle et sa tante ce qui
s'était passé et monta directement dans sa chambre où l'habituel hiboux du
ministère l'attendait. Il se dirigea donc vers le hiboux et prit la lettre:
Cher Mr Potter,
Nous avons reçu des informations selon lesquelles vous auriez exécuté une
multitude de sortilèges, ce matin, à 7h15, dans une zone habitée par des
moldus et en présence de nombre d'entre eux. En raison de cette violation du
décret sur la Restriction de l'usage da la magie chez les sorciers de premier
cycle et des nombreux avertissements que vous avez reçu précédemment, nous
vous demandons de rester à votre domicile, des représentants du ministère se
présenteront dans les plus brefs délais à votre domicile afin de juger de
votre comportement et décideront la sentence qui vous convient, en
espérant que vous aurez de bonnes explications,
Mafalda Hopkrik
Service des usages abusifs de la magie
Ministère de la Magie
Après avoir relu à deux reprises la lettre, Harry remarqua la dernière phrase
de la lettre qui montrait la différence avec les lettres de l'année dernière.
Même avec cette phrase d'encouragement, Harry s'inquiétait beaucoup de la
réaction du ministère quand il devra expliquer qu'il s'est battu avec
plusieurs dizaines de Harpies et qu'il s'en n'est sortit qu'avec de simples
égratignures. Même si le ministère sait que Voldemort est revenu et qu'il a
fait ses excuses à Dumbledore et à Harry, Fudge a encore beaucoup de rancœur
et tient toujours à garder son poste malgré la pression de la communauté
sorcière.
Après quelques minutes de réflexion intenses sur l'explication qu'il devra
fournir aux employés du ministère, Harry décida d'aller se reposer sur son
lit. Mais à ce moment là, l'Oncle Vernon frappa violemment à la porte et Harry
alla ouvrir.
-Qu'est ce que c'est que tout ces fous avec leur...enfin... tu sais quoi dans
leur main qui s'en serve sur tous les voisins?
-Quoi! Déjà! Répondu Harry.
-Dèjà quoi ? Répondu immédiatement Vernon.
-Mme Figg a été attaquée et j'ai du utiliser la magie pour la sauver,
maintenant, laisse moi passer je vais aller voir les gens du ministère.
Harry descendit rapidement l'escalier pour arriver dans le salons où Mme Bones
et Dumbledore l'attendaient.
-Bienvenue Harry s'exclama Albus en le voyant arriver.
-Bonjour professeur Dumbledore, bonjour Mme Bones. Répondit timidement Harry.
-Ne sois pas timide Harry, on est juste venus pour s'expliquer, allez raconte
nous tout en détails.
Harry raconta tout dans les détails à ses deux interlocuteurs, Albus n'eut
aucune réaction à la fin du récit, contrairement à Amélia qui parut horrifiée.
-T'avais raison Albus quand tu disais que ce petit était fabuleux. S'exclama
Mme Bones.
-C'est vrai que Harry a beaucoup de courage, mais il a le don de se mettre
toujours où il ne faut pas, en particulier quand on lui ordonne de rester
tranquille. Répondit malicieusement Dumbledore.
-Qu'allez-vous faire pour tous les moldus qui m'ont aperçut chez Mme Figg?
(car Harry avait omit de préciser qu'il était accompagné de Victor Krum)
Demanda Harry.
-On a envoyé une brigade entière d'Oubliator s'en charger. Répondit Mme Bones.
-Bon, je pense que c'est clair que Harry est dans le même cas que l'été
précédent et que donc il est acquitté, car il a utiliser la magie uniquement
pour sauver sa vie et celle d'une autre personne. Dit soudainement Dumbledore.
-Certainement Albus, mais j'aimerais savoir où Harry passera le reste des
vacances étant donné que je ne pense pas que vous allez le laisser ici après
ce qui c'est passé. Demanda Amelia.
-S'il l'accepte, il pourra passer le reste des vacances à Poudlard, mais
j'aimerais que cela reste entre vous et moi, Amélia, car comme je vous l'ai
rappelé il y a quelque jours, Voldemort a des espions partout et,
malheureusement, même au ministère. Rétorqua le directeur de Poudlard.
-Effectivement, je pense que, comme, lors de la première guerre il doit avoir
ses espions au ministère, donc je garderai cette information le plus
secrètement possible, Albus.
-Bon si c'est tout ce que tu voulais nous dire, tu peux aller dans ta chambre
pour préparer tes affaires et attendre le moment où tu devras partir. Décida
finalement Dumbledore.
-D'accord.
Après quelques secondes d'hésitation, Harry monta les escaliers quatre à
quatre pour préparer ces affaires avant que les membres de l'Ordre arrivent le
chercher.
Mais il fut stoppé net devant la porte de sa chambre par son oncle fou de rage
avec sa veine sur la tempe qui était prête çà exploser.
-Répond-moi maintenant, que font ces personnes avec leur machin sur les
voisins, est-ce qu'il leur font du mal, est ce qu'ils se souviendront de
quelque chose? Rugit son oncle.
-Non ils leur font tout oublier et maintenant laisse moi préparer mes
affaires. Répondit furieusement Harry.
-Quoi? Tu t'en vas? Tu pourrais nous demander notre avis à ta tante et à moi!
-Je n'en ai rien à faire de vous, vous n'êtes pas mes parents!
-Ben heureusement, sinon j'aurais finit en chair à saucisse. Répondit en
rigolant d'un air sadique l'oncle Vernon. Et, de toute façon, toutes les
personnes qui t'aiment finissent par mourir comme des bons à rien qu'ils
étaient.
-Retire sa tout de suite!!! Hurla Harry
-Et pourquoi gamin, je dis seulement la vérité, c'était de vrais bons à rien
avec leur troupe de fou qui les suivaient tous le temps. Et je félicite
totalement ce lord machin chose pour nous avoir débarrassé de cette sale
vermine, même si Pétunia dit que c'est un véritable monstre, moi j'y croit
pas.
Harry fulminait, il n'arrivait pas à ce calmer, son oncle était en train de
faire l'éloge de la personne la plus horrible au monde et critiquait les
personnes qui ont donnés leur vie pour empêcher Voldemort de tuer tous les
moldus. Non, s'en étais trop il ne pouvait pas continuer à écouter de
telles bêtises, il fallait qu'il fasse quelque chose, mais quoi...Tout d'un
coup, l'oncle Vernon fut projeté contre le mur à l'autre bout du couloir avec
une telle force qu'il fit trembler tout la maison, puis se mis a dégringoler
dans les escaliers pour finalement atterrir dans le salon, juste devant les
pieds de Dumbledore qui fit un bon en arrière pour l'éviter.
En voyant l'oncle à Harry débouler de cette façon les escaliers, Dumbledore se
précipita vers le premier étage où il trouva Harry, allongé par terre entouré
d'une aura impressionnante de couleur rouge et or. Harry était par terre la
tête penché sur le coté, les paupières fermées et sa baguette dans la poche
arrière de son jean (lol) vibrait et projetait des étincelles qui auraient pu
éclairer les couleur si on avait été la nuit.
Dumbledore se précipita à ses cotés, murmura une longue formule et Harry
sortit de sa torpeur, les yeux grands ouverts, encore déboussolé.
-Ça va Harry? Tu te sent bien? Murmura le directeur de Poudlard.
-Euh...enfin...oui je crois...qu'est ce qui c'est passé tout à l'heure, je me
souviens que je me suis énervé et j'ai vu l'oncle Vernon partir frapper
l'autre bout du couloir, projeté par une étrange lumière sang et or.
-J'ai ma petite idée à ce sujet, mais je ne t'en ferai pas part pour
l'instant, peut être plus tard.
Après avoir parlé un petit moment, Harry se leva et alla directement dans sa
chambre préparer ses affaires, tandis que Dumbledore retournait voir Mme Bones
pour repartir au ministère faire son rapport au Mangenmagot.
Aussitôt qu'il eu terminé de lire ses lettres, Harry alla se coucher, et
rêva qu'il utilisait les farces des jumeaux Weasley sur son cousin et sa
bande. Après avoir passé une bonne nuit sans cauchemar, Harry décida qu'il
pourrait sortir un peu se dégourdir les jambes en guise de cadeau
d'anniversaire, malgré la promesse qu'il avait fait à Dumbledore au sujet de
ne pas s'éloigner du quartier de Privet Drive.
En sortant, Harry ne put s'empêcher de remarquer que son cousin était
affreusement pâle et qu'il n'était pas sortit depuis deux jours. Mais avant
qu'il est eu le temps de réfléchir à cela, quelque chose d'autre attira son
attention, mais, ce coup-ci, ce ne fut pas son cousin, mais un étrange bruit
strident provenant d'une petite maison placée un peu plus loin dans Privet
Drive. Harry pressa le pas comme si quelque chose d'irrésistible l'attirait
vers cette maison, mais, une fois qu'il fut devant la maison, il remarqua que
s'était la maison de Mme Figgs, aussitôt la peur s'empara de lui, car le cri
qu'il avait entendu n'était pas celui de cette femme.
Sans trop réfléchir, Harry pénétra à l'intérieur de la maison et la trouva
Dévastée; au lieu de l'habituelle odeur de chou, on pouvait sentir une odeur
de pourriture. Mais ce ne fut qu'une fois qu'il vit se qui attaquait Mme Figg
qu'il réalisa qu'il n'avait pas sa baguette sur lui. Prit par la panique, il
pensa très fort au fait qu'il avait été stupide de sortir sans sa baguette et
quelques secondes plus tard, il entendit un léger sifflement qui pénétra à
l'intérieur de la maison et s'arrêta a quelque centimètre de lui.
Harry n'en revenait pas, il venait d'appeler sa baguette par la pensée, il
avait fait une fois de plus de la magie sans baguette. Après ces quelques
secondes d'hésitations, Harry essaya de distraire les cinq harpies pour que
Mme Figg puisse sortir de la maison. Harry essaya de se rappeler à toutes
vitesse au moyen que lui avait appris le faux professeur Maugrey pour détruire
les harpies pendant que celles-ci commençaient à l'entourer.
"Les harpies sont des créatures des ténèbres possédant une forte
résistance à la magie et les seuls sorts efficaces sont très difficiles à
exécuter et demandent une grande pratique avant de les réussir, car ce sont
des sorts de magie noire. Mais leur faiblesse tient dans leur faible force
physique, donc le sort idéal pour s'en débarrasser est celui qui permet de
transformer sa baguette en une épée, mais ce sort demande une forte puissance
magique et je doute que l'un d'entre vous arrive à le réaliser."
Harry n'avait pas le choix, il devait essayer de transformer sa baguette en
épée ou partir en courant.
-Metamorphosus epico revelatum, dit-il sans grande conviction.
Et à sa grande stupéfaction, il y eu de grand flashs rouges et or pendant
quelque secondes et quand ce fut finit, il ne tenait plus sa baguette, mais
une grande épée incrustée de diamants qu'il connaissait bien, car il l'avait
déjà utilisée contre un basilic il y a quelques années, c'était l'épée de
Gryffondor.
Après la surprise de savoir qu'il avait réussit son sort, il s'aperçut que les
harpies qui étaient devant lui, commençaient à reculer à la vue de son épée.
Puis, d'un de ses réflexes de quidditch, il planta son épée dans le corps tout
fripé de la harpie qui était à coté de lui et qui explosa en fumée. Puis il
recommença à tuer celles de devant, mais pendant qu'il les attaquait, il fut
blessé au niveau du bras par une harpie qui était derrière lui. Quelques
minutes plus tard, toutes les harpies étaient disparues de la maison, mais
celle-ci n'était plus reconnaissable. Harry était fier de lui, car il s'en
était bien sortit contre cinq harpies.
Mais à l'instant où il sortit de la maison, tout sentiment de bonheur et
de fierté s'envola, car des dizaines de harpies se trouvaient dans la rue
entrain d'encercler une personne qui se débrouillait assez mal contre les
harpies.
Alors Harry décida d'aller l'aider, et il commença à éventrer les harpies
qui ne l'avaient pas encore remarqué. Après avoir tué une dizaine de harpies,
il se retrouva encerclé avec Victor Krum, mais tout les deux ensemble, ils
arrivaient à se défendre et à décimer les harpies jusqu'à ce qu'il n'y en ait
plus, s'en sortant simplement avec quelques coupures et égratignures. Après
leur terrible combat, Harry se décida de poser la question qui le tourmentait
depuis qu'il avait vu Victor, mais Victor commença avant lui.
- Merci beaucoup Harry, c'est incroyable, c'est toi qui me sauve alors que
c'est moi qui suis sensé te protéger, on peut dire que j'ai brillé pour ma
première mission de l'Ordre, dit il désespérément.
- Ne t'inquiète pas, Dumbledore ne t'en voudra pas, mais pourquoi d'autres
membres de l'Ordre ne sont pas venu nous aider, répondit Harry.
- Oh mince, j'ai oublié de les prévenir, au revoir, il faut que j'y aille,
prépare tes affaires on vient te chercher ce soir, dit il précipitamment
avant de transplaner.
Alors harry décida de remétamorphoser sa baguette avant de rentrer chez son
oncle et sa tante, mais en partant, il repensa à Mme Figg qu'il n'avait plus
revue depuis qu'il était entré dans la maison et se promis de demander à
Victor s'il ne l'avait pas vue. Sur le chemin du retour, Harry ne remarqua pas
que les rues étaient désertes et que tout les moldus du quartiers étaient
scotchés à leur fenêtre entrain de regarder une grande tête de mort flotter
au-dessus de la maison de Mme Figg, c'est seulement quand il se retourna
qu'il vit le symbole de Voldemort flotter sur le quartier, ce qui le surprit
étant donné que seuls les mangemorts pouvaient la faire. Il en déduit donc
qu'il y avait eu des mangemorts, mais ce qui était bizarre, c'était le fait
qu'ils ne l'aient pas attaqué.
Harry ne prit même pas la peine d'expliquer à son oncle et sa tante ce qui
s'était passé et monta directement dans sa chambre où l'habituel hiboux du
ministère l'attendait. Il se dirigea donc vers le hiboux et prit la lettre:
Cher Mr Potter,
Nous avons reçu des informations selon lesquelles vous auriez exécuté une
multitude de sortilèges, ce matin, à 7h15, dans une zone habitée par des
moldus et en présence de nombre d'entre eux. En raison de cette violation du
décret sur la Restriction de l'usage da la magie chez les sorciers de premier
cycle et des nombreux avertissements que vous avez reçu précédemment, nous
vous demandons de rester à votre domicile, des représentants du ministère se
présenteront dans les plus brefs délais à votre domicile afin de juger de
votre comportement et décideront la sentence qui vous convient, en
espérant que vous aurez de bonnes explications,
Mafalda Hopkrik
Service des usages abusifs de la magie
Ministère de la Magie
Après avoir relu à deux reprises la lettre, Harry remarqua la dernière phrase
de la lettre qui montrait la différence avec les lettres de l'année dernière.
Même avec cette phrase d'encouragement, Harry s'inquiétait beaucoup de la
réaction du ministère quand il devra expliquer qu'il s'est battu avec
plusieurs dizaines de Harpies et qu'il s'en n'est sortit qu'avec de simples
égratignures. Même si le ministère sait que Voldemort est revenu et qu'il a
fait ses excuses à Dumbledore et à Harry, Fudge a encore beaucoup de rancœur
et tient toujours à garder son poste malgré la pression de la communauté
sorcière.
Après quelques minutes de réflexion intenses sur l'explication qu'il devra
fournir aux employés du ministère, Harry décida d'aller se reposer sur son
lit. Mais à ce moment là, l'Oncle Vernon frappa violemment à la porte et Harry
alla ouvrir.
-Qu'est ce que c'est que tout ces fous avec leur...enfin... tu sais quoi dans
leur main qui s'en serve sur tous les voisins?
-Quoi! Déjà! Répondu Harry.
-Dèjà quoi ? Répondu immédiatement Vernon.
-Mme Figg a été attaquée et j'ai du utiliser la magie pour la sauver,
maintenant, laisse moi passer je vais aller voir les gens du ministère.
Harry descendit rapidement l'escalier pour arriver dans le salons où Mme Bones
et Dumbledore l'attendaient.
-Bienvenue Harry s'exclama Albus en le voyant arriver.
-Bonjour professeur Dumbledore, bonjour Mme Bones. Répondit timidement Harry.
-Ne sois pas timide Harry, on est juste venus pour s'expliquer, allez raconte
nous tout en détails.
Harry raconta tout dans les détails à ses deux interlocuteurs, Albus n'eut
aucune réaction à la fin du récit, contrairement à Amélia qui parut horrifiée.
-T'avais raison Albus quand tu disais que ce petit était fabuleux. S'exclama
Mme Bones.
-C'est vrai que Harry a beaucoup de courage, mais il a le don de se mettre
toujours où il ne faut pas, en particulier quand on lui ordonne de rester
tranquille. Répondit malicieusement Dumbledore.
-Qu'allez-vous faire pour tous les moldus qui m'ont aperçut chez Mme Figg?
(car Harry avait omit de préciser qu'il était accompagné de Victor Krum)
Demanda Harry.
-On a envoyé une brigade entière d'Oubliator s'en charger. Répondit Mme Bones.
-Bon, je pense que c'est clair que Harry est dans le même cas que l'été
précédent et que donc il est acquitté, car il a utiliser la magie uniquement
pour sauver sa vie et celle d'une autre personne. Dit soudainement Dumbledore.
-Certainement Albus, mais j'aimerais savoir où Harry passera le reste des
vacances étant donné que je ne pense pas que vous allez le laisser ici après
ce qui c'est passé. Demanda Amelia.
-S'il l'accepte, il pourra passer le reste des vacances à Poudlard, mais
j'aimerais que cela reste entre vous et moi, Amélia, car comme je vous l'ai
rappelé il y a quelque jours, Voldemort a des espions partout et,
malheureusement, même au ministère. Rétorqua le directeur de Poudlard.
-Effectivement, je pense que, comme, lors de la première guerre il doit avoir
ses espions au ministère, donc je garderai cette information le plus
secrètement possible, Albus.
-Bon si c'est tout ce que tu voulais nous dire, tu peux aller dans ta chambre
pour préparer tes affaires et attendre le moment où tu devras partir. Décida
finalement Dumbledore.
-D'accord.
Après quelques secondes d'hésitation, Harry monta les escaliers quatre à
quatre pour préparer ces affaires avant que les membres de l'Ordre arrivent le
chercher.
Mais il fut stoppé net devant la porte de sa chambre par son oncle fou de rage
avec sa veine sur la tempe qui était prête çà exploser.
-Répond-moi maintenant, que font ces personnes avec leur machin sur les
voisins, est-ce qu'il leur font du mal, est ce qu'ils se souviendront de
quelque chose? Rugit son oncle.
-Non ils leur font tout oublier et maintenant laisse moi préparer mes
affaires. Répondit furieusement Harry.
-Quoi? Tu t'en vas? Tu pourrais nous demander notre avis à ta tante et à moi!
-Je n'en ai rien à faire de vous, vous n'êtes pas mes parents!
-Ben heureusement, sinon j'aurais finit en chair à saucisse. Répondit en
rigolant d'un air sadique l'oncle Vernon. Et, de toute façon, toutes les
personnes qui t'aiment finissent par mourir comme des bons à rien qu'ils
étaient.
-Retire sa tout de suite!!! Hurla Harry
-Et pourquoi gamin, je dis seulement la vérité, c'était de vrais bons à rien
avec leur troupe de fou qui les suivaient tous le temps. Et je félicite
totalement ce lord machin chose pour nous avoir débarrassé de cette sale
vermine, même si Pétunia dit que c'est un véritable monstre, moi j'y croit
pas.
Harry fulminait, il n'arrivait pas à ce calmer, son oncle était en train de
faire l'éloge de la personne la plus horrible au monde et critiquait les
personnes qui ont donnés leur vie pour empêcher Voldemort de tuer tous les
moldus. Non, s'en étais trop il ne pouvait pas continuer à écouter de
telles bêtises, il fallait qu'il fasse quelque chose, mais quoi...Tout d'un
coup, l'oncle Vernon fut projeté contre le mur à l'autre bout du couloir avec
une telle force qu'il fit trembler tout la maison, puis se mis a dégringoler
dans les escaliers pour finalement atterrir dans le salon, juste devant les
pieds de Dumbledore qui fit un bon en arrière pour l'éviter.
En voyant l'oncle à Harry débouler de cette façon les escaliers, Dumbledore se
précipita vers le premier étage où il trouva Harry, allongé par terre entouré
d'une aura impressionnante de couleur rouge et or. Harry était par terre la
tête penché sur le coté, les paupières fermées et sa baguette dans la poche
arrière de son jean (lol) vibrait et projetait des étincelles qui auraient pu
éclairer les couleur si on avait été la nuit.
Dumbledore se précipita à ses cotés, murmura une longue formule et Harry
sortit de sa torpeur, les yeux grands ouverts, encore déboussolé.
-Ça va Harry? Tu te sent bien? Murmura le directeur de Poudlard.
-Euh...enfin...oui je crois...qu'est ce qui c'est passé tout à l'heure, je me
souviens que je me suis énervé et j'ai vu l'oncle Vernon partir frapper
l'autre bout du couloir, projeté par une étrange lumière sang et or.
-J'ai ma petite idée à ce sujet, mais je ne t'en ferai pas part pour
l'instant, peut être plus tard.
Après avoir parlé un petit moment, Harry se leva et alla directement dans sa
chambre préparer ses affaires, tandis que Dumbledore retournait voir Mme Bones
pour repartir au ministère faire son rapport au Mangenmagot.
