IX- Detention
Je n'y crois pas mes oreilles, c'est un rêve. Dites moi que je vais me reveiller dans peu de temps. Ca ne peut être qu'un cauchemard. Ca ne peut pas être vrai. Je ne bouge pas, le regard dans le vide. J'ai froid, je tremble de partout. Pourquoi me font-ils cet effet ? Ce ne sont que des membres du Ministere ... Rien de plus. Suivez nous. Ne nous obliger à utiliser la force. Je ne bouge toujours pas et demande dans un murmure ! Pourquoi ? - Vous avez étè apperçut par un membre important du Ministere de la Magie, tuant un groupe de jeunes Moldus, en utilisant un sort impardonable. Vous avez le droit de garder le silence, il baisse le ton et ajoute; mais ça ne vous sera pas favorable. Il lève les bras, claque des doigts et me designe avec l'index. Les battements de mon coeur s'accellerent de plus en plus, la Panique. J'apperçoit deux détraqueurs qui s'avancent lentement vers moi. Je me sens vider, j'ai froid, je n'arrive plus à bouger ! NON ! PITIE ! Je ne veux pas aller à Azkaban ! Je prefere mourir ici et tout de suite ! Je suis foutu. JE VOUS EN PRIS !! Je ne veux pas mourir ainsi. Je sais que je suis une ordure ... mais pitié, pas ainsi. Je n'ai plus de force pour me débattre, plus d'espoir non plus. C'est comme ça. Si je dois partir, qu'il en soit ainsi. On me cramponne les bras de chaques côtés et je me sens tomber. Mes paupieres deviennent lourdes e tombent à leur tour ... je meurs.
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J'ouvre les yeux. Tout est noir autour de moi, je panique, je ne sens plus mon corps, j'ai l'impression d'être impuissant. Je ne sais même pas où je suis. Au secours ! Un signe, faites moi un signe. Je vous en pris, j'ai besoin d'aide. Un claquement de porte. Je sursaute et me plaque violemment contre le dossier de chaise sur laquelle je suis assis. J'avais la tête dans mes bras, c'est pour cela que je ne voyais rien. Je regarde autour de moi rapidement. C'est une piece circulaire, sombre, en pierre grise, sans ouvertures. Aucuns trous, aucunes fenètres, juste une porte. Une odeur de moisissure flotte autour de moi et de cet homme, debout devant la porte et me fixant depuis plusieurs minutes. Je tremble, ma respiration est saccadée, je deteste cette piéce, j'ai peur. Je ne veux pas rester ici, j'ai l'impression d'être dans mon cerceuil. C'est tout comme. Je ne comprend pas ... Comment a-t-il put entendre ce que j'ai penser ? Ai- je parler tout fort sans m'en rendre compte ? Non, j'arrive à lire dans vos pensées tout simplement. Tout ce que vous pensez, la moindre petite pensée je l'entend comme si vous me la criez aux oreilles. Je ne peux donc rien cacher. Rien du tout. C'est bien pour cela qu'on a fait appelle à moi. Vous avez un esprit trés torturé jeune homme. Quel âge avez vous ? Il s'installe face à moi et dépose des papiers sur lesquels il prend note. Alors ? - Vingt et un ans. - Vingt et un ans ? Vous êtes mal partit dans la vie vous. - Je sais. - Et pas trés bavard en plus de ça. Vos pensées sont plus passionantes que votre conversation. Ca va être plus long que je pensais ... Savez vous où vous êtes ? Azkaban, je suis forcement à Azkaban. Exactement. Vous êtes trés percepicasse. Ne pense pas. Ne pense pas. Ne pense pas. Pas la peine de vous forcez Mr ... Habbitburg. C'est ça ? - Oui - Savez vous pourquoi vous êtes ici ? - Oui - Vous pouvez me le dire ? - Non. - Il faudra pourtant que vous collaboriez. - Pourquoi ? Je vais mourir dans tous les cas. - Ce n'est pas une raison valable. Pensez à vos victimes. - Bien sur que si s'en est une ! Je pousse violemment la table et cours frapper le mur avec mon poing. J'entend le gars du Ministere rammasser les feuilles qui sont tombées. Ne vous enervez pas. Je ne repond pas. J'ai du mal à respirer, il faut que je me calme. Qu'est que vous essayez de faire exactement ? - Je suis payé pour découvrir la psychologie des assacins. Pourquoi avez vous tuer ces Moldus? - Ca ne vous regarde pas. Je ne veux pas parler à quelqu'un qui peut s'introduire dans ma tête et qui est payer pour ça ! J'entend sa plume gratter les parchemins. Qu'est ce que vous ecrivez encore ?! Je me retourne et lui arrache la feuille des mains. Je ne prend pas la peine de lire et je la dechire en plusieurs morceaux avant de les fourrer dans ma bouche et de les avaler pour pas qu'il puisse les recoller. J'ai pas besoin d'un Psy à deux francs ! Si je dois creuver, j'emmenerais ma tête avec moi ! Maintenant SORTEZ !!! Il se lèvre, me fait un signe de tête polit et sort comme je lui ai demander. Je me laisse tomber contre le mur et glissele long de celui-ci. Je ramene mes jambes contre mon torse, le visage ruisselant de sueurs froides, dans mes mains. Je suis secoué de Spasms. Je ne me controlle plus, je deviens fou. Pourquoi dois-je endurer cela ? C'est la derniere chose à laquelle j'aurais penser. Je ne vis que par ça, mes pensées c'est toute ma vie. C'est ma derniere liberté, ne me l'enlever pas. Je n'y arrive déja plus, j'ai l'impression d'être mort. De toute façon tout le monde se fiche de moi. Où et que fait ma famille en ce moment ? Ils m'ont oublier. Je ne suis plus le fils de ma mère et le frère de ma soeur. Je n'ai plus d'existance, je n'existe plus, je suis mort ... dans tous les cas. Mais ils vont revenir, c'est certain ... Ils ne me laisseront jamais en paix, jamais. Je suis leur cible et ils ont déja commencer à me fusiller. Mais je me promet de rien dire, c'est promis. Ils ne sauront jamais que j'ai tuer Emma. Jamais ils ne le sauront ! Je te le promet, il faut donc que j'arrette de penser à toi. Je me lève et m'approche de la porte. Je pose mes mains à plat sur celle ci, ainsi que mon oreille. J'essaye de percevoir toutes les vibrations qui m'entourent. Je suis certains qu'ils preparent quelque chose. Je m'attend au pire... Vont-ils venir me tuer tout de suite ou vont-ils me poignarder à plusieurs reprises ? Je suis déja en pleine agonie, achevez moi ! Si j'avais su que ma vie serait ainsi, j'aurais réagis plus vite, en mettant fin à mes jours de maniere radicale. Maintenant c'est trop tard. Je n'ai plus la force. Je me laisse glisser le long de la porte et m'allonge sur le sol froid et sale de la piece. Mes paupieres deviennent lourdes et je tombe enfin dans les bras de Morphée.
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Aïe ! Quelque chose de dur heurte mon épaule à plusieures reprises. Ca m'a reveiller, je dormais si paisiblement. J'ouvre les yeux et me relève rapidement, laissant la porte s'ouvrir pour de bon. C'est surement quelqu'un du MInistere, je me retourne refusant de regarder, et va poser mes mains sur la table, dos à la porte. Laissez moi en paix ! J'entend la porte se refermer. Est-il partit ou est-il en train de m'observer ? Je soupir et tente un regard. Je tourne legerement la tête sur le côté, je ne vois toujours rien. Il doit être partit, je me retourne completement. C'est alors que, en face de moi, à quelques centimetres de mon visqge, je vois ce qui manque de me tuer sur place. Je n'arrive pas à detacher mon regard de son visage si ... vivant. Le seul son qui put sortir de ma bouche à ce moment, fut: Emma ...
Je n'y crois pas mes oreilles, c'est un rêve. Dites moi que je vais me reveiller dans peu de temps. Ca ne peut être qu'un cauchemard. Ca ne peut pas être vrai. Je ne bouge pas, le regard dans le vide. J'ai froid, je tremble de partout. Pourquoi me font-ils cet effet ? Ce ne sont que des membres du Ministere ... Rien de plus. Suivez nous. Ne nous obliger à utiliser la force. Je ne bouge toujours pas et demande dans un murmure ! Pourquoi ? - Vous avez étè apperçut par un membre important du Ministere de la Magie, tuant un groupe de jeunes Moldus, en utilisant un sort impardonable. Vous avez le droit de garder le silence, il baisse le ton et ajoute; mais ça ne vous sera pas favorable. Il lève les bras, claque des doigts et me designe avec l'index. Les battements de mon coeur s'accellerent de plus en plus, la Panique. J'apperçoit deux détraqueurs qui s'avancent lentement vers moi. Je me sens vider, j'ai froid, je n'arrive plus à bouger ! NON ! PITIE ! Je ne veux pas aller à Azkaban ! Je prefere mourir ici et tout de suite ! Je suis foutu. JE VOUS EN PRIS !! Je ne veux pas mourir ainsi. Je sais que je suis une ordure ... mais pitié, pas ainsi. Je n'ai plus de force pour me débattre, plus d'espoir non plus. C'est comme ça. Si je dois partir, qu'il en soit ainsi. On me cramponne les bras de chaques côtés et je me sens tomber. Mes paupieres deviennent lourdes e tombent à leur tour ... je meurs.
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J'ouvre les yeux. Tout est noir autour de moi, je panique, je ne sens plus mon corps, j'ai l'impression d'être impuissant. Je ne sais même pas où je suis. Au secours ! Un signe, faites moi un signe. Je vous en pris, j'ai besoin d'aide. Un claquement de porte. Je sursaute et me plaque violemment contre le dossier de chaise sur laquelle je suis assis. J'avais la tête dans mes bras, c'est pour cela que je ne voyais rien. Je regarde autour de moi rapidement. C'est une piece circulaire, sombre, en pierre grise, sans ouvertures. Aucuns trous, aucunes fenètres, juste une porte. Une odeur de moisissure flotte autour de moi et de cet homme, debout devant la porte et me fixant depuis plusieurs minutes. Je tremble, ma respiration est saccadée, je deteste cette piéce, j'ai peur. Je ne veux pas rester ici, j'ai l'impression d'être dans mon cerceuil. C'est tout comme. Je ne comprend pas ... Comment a-t-il put entendre ce que j'ai penser ? Ai- je parler tout fort sans m'en rendre compte ? Non, j'arrive à lire dans vos pensées tout simplement. Tout ce que vous pensez, la moindre petite pensée je l'entend comme si vous me la criez aux oreilles. Je ne peux donc rien cacher. Rien du tout. C'est bien pour cela qu'on a fait appelle à moi. Vous avez un esprit trés torturé jeune homme. Quel âge avez vous ? Il s'installe face à moi et dépose des papiers sur lesquels il prend note. Alors ? - Vingt et un ans. - Vingt et un ans ? Vous êtes mal partit dans la vie vous. - Je sais. - Et pas trés bavard en plus de ça. Vos pensées sont plus passionantes que votre conversation. Ca va être plus long que je pensais ... Savez vous où vous êtes ? Azkaban, je suis forcement à Azkaban. Exactement. Vous êtes trés percepicasse. Ne pense pas. Ne pense pas. Ne pense pas. Pas la peine de vous forcez Mr ... Habbitburg. C'est ça ? - Oui - Savez vous pourquoi vous êtes ici ? - Oui - Vous pouvez me le dire ? - Non. - Il faudra pourtant que vous collaboriez. - Pourquoi ? Je vais mourir dans tous les cas. - Ce n'est pas une raison valable. Pensez à vos victimes. - Bien sur que si s'en est une ! Je pousse violemment la table et cours frapper le mur avec mon poing. J'entend le gars du Ministere rammasser les feuilles qui sont tombées. Ne vous enervez pas. Je ne repond pas. J'ai du mal à respirer, il faut que je me calme. Qu'est que vous essayez de faire exactement ? - Je suis payé pour découvrir la psychologie des assacins. Pourquoi avez vous tuer ces Moldus? - Ca ne vous regarde pas. Je ne veux pas parler à quelqu'un qui peut s'introduire dans ma tête et qui est payer pour ça ! J'entend sa plume gratter les parchemins. Qu'est ce que vous ecrivez encore ?! Je me retourne et lui arrache la feuille des mains. Je ne prend pas la peine de lire et je la dechire en plusieurs morceaux avant de les fourrer dans ma bouche et de les avaler pour pas qu'il puisse les recoller. J'ai pas besoin d'un Psy à deux francs ! Si je dois creuver, j'emmenerais ma tête avec moi ! Maintenant SORTEZ !!! Il se lèvre, me fait un signe de tête polit et sort comme je lui ai demander. Je me laisse tomber contre le mur et glissele long de celui-ci. Je ramene mes jambes contre mon torse, le visage ruisselant de sueurs froides, dans mes mains. Je suis secoué de Spasms. Je ne me controlle plus, je deviens fou. Pourquoi dois-je endurer cela ? C'est la derniere chose à laquelle j'aurais penser. Je ne vis que par ça, mes pensées c'est toute ma vie. C'est ma derniere liberté, ne me l'enlever pas. Je n'y arrive déja plus, j'ai l'impression d'être mort. De toute façon tout le monde se fiche de moi. Où et que fait ma famille en ce moment ? Ils m'ont oublier. Je ne suis plus le fils de ma mère et le frère de ma soeur. Je n'ai plus d'existance, je n'existe plus, je suis mort ... dans tous les cas. Mais ils vont revenir, c'est certain ... Ils ne me laisseront jamais en paix, jamais. Je suis leur cible et ils ont déja commencer à me fusiller. Mais je me promet de rien dire, c'est promis. Ils ne sauront jamais que j'ai tuer Emma. Jamais ils ne le sauront ! Je te le promet, il faut donc que j'arrette de penser à toi. Je me lève et m'approche de la porte. Je pose mes mains à plat sur celle ci, ainsi que mon oreille. J'essaye de percevoir toutes les vibrations qui m'entourent. Je suis certains qu'ils preparent quelque chose. Je m'attend au pire... Vont-ils venir me tuer tout de suite ou vont-ils me poignarder à plusieurs reprises ? Je suis déja en pleine agonie, achevez moi ! Si j'avais su que ma vie serait ainsi, j'aurais réagis plus vite, en mettant fin à mes jours de maniere radicale. Maintenant c'est trop tard. Je n'ai plus la force. Je me laisse glisser le long de la porte et m'allonge sur le sol froid et sale de la piece. Mes paupieres deviennent lourdes et je tombe enfin dans les bras de Morphée.
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Aïe ! Quelque chose de dur heurte mon épaule à plusieures reprises. Ca m'a reveiller, je dormais si paisiblement. J'ouvre les yeux et me relève rapidement, laissant la porte s'ouvrir pour de bon. C'est surement quelqu'un du MInistere, je me retourne refusant de regarder, et va poser mes mains sur la table, dos à la porte. Laissez moi en paix ! J'entend la porte se refermer. Est-il partit ou est-il en train de m'observer ? Je soupir et tente un regard. Je tourne legerement la tête sur le côté, je ne vois toujours rien. Il doit être partit, je me retourne completement. C'est alors que, en face de moi, à quelques centimetres de mon visqge, je vois ce qui manque de me tuer sur place. Je n'arrive pas à detacher mon regard de son visage si ... vivant. Le seul son qui put sortir de ma bouche à ce moment, fut: Emma ...
