X- La fin
Emma ... Elle ne bouge pas. Elle me fixe, m'observe sans rien dire. Son visage a l'air aussi vivant qu'avant sa mort. Ce n'est pas possible. Ca ne peut PAS être elle. Non, c'est impossible. C'est un cauchemard, et je vais me réveiller. Il faut que je me réveille, il le faut. Je me passe fortement les mains sur le visage, me cramponne les cheveux pour me faire mal, je ferme les yeux. Je ne veux pas la voir, je ne veux pas la voir. Je vais vers le mur et me tape la tête contre celui-ci, je dois me réveiller ... Charles, arrêtte ... Parle moi. Je me retourne violemment vers elle et lui cris dessus: TAIS TOI !! TU ES MORTE ! LES MORTS NE PARLENT PAS !!! - Charles calme toi. Je ne suis pas morte, j'ai survécue. Il m'a fallut du temps pour m'en remettre, mais je suis là maintenant. Quand j'ai appris, dans la gazette du sorcier, le drame qui venait de ce passer, et que j'ai vu que tu étais impliquer dans cette affaire ... je n'ai pas put m'empecher de venir. Je veux savoir pourquoi tu as fait ça, essayer de comprendre du moins. Je ne te reconnais plus, tu n'etais pas comme ça avant .... Je me rapproche peu à peu d'elle, soutenant son regard. Ses yeux sont les mêmes, elle est identique à ce que j'ai connu d'elle ... Trop identique, elle n'a pas vieillit. Tu n'as pas changer ... - Merci du compliment. - Tu es toujours la belle jeune fille de dix-sept ans que j'ai connu ... quand on meurt on ne vieillit plus. - Mais je ne suis pas morte Charles, j'ai survécue. Si j'étais morte, tu ne pourrais pas me toucher, ni me parler. Je m'approche encore un peu plus d'elle. Je tend ma main lentement vers son visage, le bout de mes doigts touchent sa douce peau. Je la sens frissoner sous mes caresses, on dirait qu'elle a peur. Charles, explique moi pourquoi tu as tuer ces Moldus... - Tu ne peux pas être vivante ... - Explique moi ! - Tu ne peux pas, c'est impossible. Ce n'est pas toi. - Pourquoi dis tu cela ? Je l'embrasse tendrement ... et la repousse violemment. PARCE QUE JE T'AI VU MOURIR ! JE T'AI TUER ! AURAIS TU OUBLIER ?! VOUS ETES DES SALAUDS, JE VOUS DETESTE. ME FAIRE CA C'EST SALE ET GRAS !!! Je tombe à genoux, en larme. Un cri de desespoir sort alors de ma bouche. EMMMAAA !!! Je me relève et attrappe l'imposture par les épaules, j'approche ma bouche de son oreille et murmure : Vous avez salit son âme. Je lui mord fortement l'oreille avant que la porte s'ouvre, et je la pousse violemmebt hors de ma cellule. La porte se referme aussitôt et moi je me laisse tomber contre la pierre froide. J'ai commit l'irréparable, j'ai avouer. J'ai l'impression que je vais étouffer, c'est foutu. Je suis à la fin de mon existence. Je me dégoute. Je tremble de partout et je sens les larmes monter à mes yeux. La porte s'ouvre à nouveau, et un homme barbu apparait devant moi. Redressez le ! Je sens des mains me cramponer sous les aisselles et me soulever. On me pose sur la chaise, je suis complement flasque. Je fais tous les efforts possible pour que ma tête reste droite. Le visage de l'homme est ferme, mais il ne me fait pas peur. Loin de là. Felicitation ... on peut dire que nous avons obtenu de nouvelles informations. Maintenant dites-nous dans quel but avez vous tuer toutes ces personnes, dés votre plus jeune âge ... ? Je le fixe, je réflechis ... Je n'ai plus rien à perdre de toute façon. C'etait le souhait de mon maître. - Votre maître ? Quel est son nom ? - On ne le prononce jamais. - Sagit-il de vous-savez-qui ? - Oui ... - Tendez votre bras. Je fais ce qu'il me demande. Il l'agrippe, me faisant horriblement mal et remontre ma manche. La marque noire apparait sous nos yeux. Je vois l'homme tremblait de jubilation. Vous êtes un Mangemort ! Il crit victoire. Bravo, felicitation. Il se lèvre de son siege et m'annonce glorieusement : Vous devriez vous faire une toilette pour votre procés ... il aura lieu demain. Il ouvre la porte et fini par me dire : Bonne nuit Mr Habbitburg. Il sort.Moi je met du temps à réagir, mon procés ... Tant de gens vont être contre moi. Pourquoi ai-je mériter cela ?! Je n'ai rien demander ! Je dois me reposer, j'ai tellement besoin de sommeil ... mes nerfs sont à bout. Je m'allonge sur le sol prés du mur, j'ai froid. Je me recroqueville comme un chien pour me tenir chaud. Je me tourne dans tous les sens, incapable de dormir. Je n'ai pas l'esprit libre ... Je vais mourir. **************************************************************************** **** On me pousse violemment dans ma celle et je m'étale de tout mon long contre le mur glacé. La douleur qui arrive subitement au niveau de mon nez me fait reflechir et une idée lumineuse traverse mon esprit. Sans perdre une seconde de plus, je retourne à la porte qui s'est refermée et frappe dessus comme un fou. Le fou que je suis devenu. Une derniere Volontée ! Un derniere volontée !! Une voix résonne alors dans la pièce, pour la premiere fois depuis les trois mois que je viens de passer ici. Ils sont graver sur le mur. Que veux tu, Ordure ? - Des feuilles, une plume, et plein d'encre !! - Pourquoi ? - Pour écrire avant ma mort ! Un plateau glisse alors sous la porte, tout ce que je viens de demander s'y trouve. Je prend le plateau et m'installe à la table. Les feuilles non utilisées à gauche et les écrites à droite. Mon procés à eu lieu il y a déja trois mois et il ne me reste plus que trois jours à vivre. Il est temps pour moi, de vous expliquez ce qu'a été mon existence, ma vie. Ma vie, synonime de Néant ... La seule solution à mon malheur est donc la mort, elle ne va pas tarder. Chut ... Attendons ma delivrance ! ... Je les entends qui arrivent, la porte s'ouvre, ils sont devant moi. Ils vont m'emmener à la potence. Ma vie se termine ici. Je trace ses derniers mots à l'encre noir pour vous dire : Pardon et Adieu.
Charles Habbitburg
Emma ... Elle ne bouge pas. Elle me fixe, m'observe sans rien dire. Son visage a l'air aussi vivant qu'avant sa mort. Ce n'est pas possible. Ca ne peut PAS être elle. Non, c'est impossible. C'est un cauchemard, et je vais me réveiller. Il faut que je me réveille, il le faut. Je me passe fortement les mains sur le visage, me cramponne les cheveux pour me faire mal, je ferme les yeux. Je ne veux pas la voir, je ne veux pas la voir. Je vais vers le mur et me tape la tête contre celui-ci, je dois me réveiller ... Charles, arrêtte ... Parle moi. Je me retourne violemment vers elle et lui cris dessus: TAIS TOI !! TU ES MORTE ! LES MORTS NE PARLENT PAS !!! - Charles calme toi. Je ne suis pas morte, j'ai survécue. Il m'a fallut du temps pour m'en remettre, mais je suis là maintenant. Quand j'ai appris, dans la gazette du sorcier, le drame qui venait de ce passer, et que j'ai vu que tu étais impliquer dans cette affaire ... je n'ai pas put m'empecher de venir. Je veux savoir pourquoi tu as fait ça, essayer de comprendre du moins. Je ne te reconnais plus, tu n'etais pas comme ça avant .... Je me rapproche peu à peu d'elle, soutenant son regard. Ses yeux sont les mêmes, elle est identique à ce que j'ai connu d'elle ... Trop identique, elle n'a pas vieillit. Tu n'as pas changer ... - Merci du compliment. - Tu es toujours la belle jeune fille de dix-sept ans que j'ai connu ... quand on meurt on ne vieillit plus. - Mais je ne suis pas morte Charles, j'ai survécue. Si j'étais morte, tu ne pourrais pas me toucher, ni me parler. Je m'approche encore un peu plus d'elle. Je tend ma main lentement vers son visage, le bout de mes doigts touchent sa douce peau. Je la sens frissoner sous mes caresses, on dirait qu'elle a peur. Charles, explique moi pourquoi tu as tuer ces Moldus... - Tu ne peux pas être vivante ... - Explique moi ! - Tu ne peux pas, c'est impossible. Ce n'est pas toi. - Pourquoi dis tu cela ? Je l'embrasse tendrement ... et la repousse violemment. PARCE QUE JE T'AI VU MOURIR ! JE T'AI TUER ! AURAIS TU OUBLIER ?! VOUS ETES DES SALAUDS, JE VOUS DETESTE. ME FAIRE CA C'EST SALE ET GRAS !!! Je tombe à genoux, en larme. Un cri de desespoir sort alors de ma bouche. EMMMAAA !!! Je me relève et attrappe l'imposture par les épaules, j'approche ma bouche de son oreille et murmure : Vous avez salit son âme. Je lui mord fortement l'oreille avant que la porte s'ouvre, et je la pousse violemmebt hors de ma cellule. La porte se referme aussitôt et moi je me laisse tomber contre la pierre froide. J'ai commit l'irréparable, j'ai avouer. J'ai l'impression que je vais étouffer, c'est foutu. Je suis à la fin de mon existence. Je me dégoute. Je tremble de partout et je sens les larmes monter à mes yeux. La porte s'ouvre à nouveau, et un homme barbu apparait devant moi. Redressez le ! Je sens des mains me cramponer sous les aisselles et me soulever. On me pose sur la chaise, je suis complement flasque. Je fais tous les efforts possible pour que ma tête reste droite. Le visage de l'homme est ferme, mais il ne me fait pas peur. Loin de là. Felicitation ... on peut dire que nous avons obtenu de nouvelles informations. Maintenant dites-nous dans quel but avez vous tuer toutes ces personnes, dés votre plus jeune âge ... ? Je le fixe, je réflechis ... Je n'ai plus rien à perdre de toute façon. C'etait le souhait de mon maître. - Votre maître ? Quel est son nom ? - On ne le prononce jamais. - Sagit-il de vous-savez-qui ? - Oui ... - Tendez votre bras. Je fais ce qu'il me demande. Il l'agrippe, me faisant horriblement mal et remontre ma manche. La marque noire apparait sous nos yeux. Je vois l'homme tremblait de jubilation. Vous êtes un Mangemort ! Il crit victoire. Bravo, felicitation. Il se lèvre de son siege et m'annonce glorieusement : Vous devriez vous faire une toilette pour votre procés ... il aura lieu demain. Il ouvre la porte et fini par me dire : Bonne nuit Mr Habbitburg. Il sort.Moi je met du temps à réagir, mon procés ... Tant de gens vont être contre moi. Pourquoi ai-je mériter cela ?! Je n'ai rien demander ! Je dois me reposer, j'ai tellement besoin de sommeil ... mes nerfs sont à bout. Je m'allonge sur le sol prés du mur, j'ai froid. Je me recroqueville comme un chien pour me tenir chaud. Je me tourne dans tous les sens, incapable de dormir. Je n'ai pas l'esprit libre ... Je vais mourir. **************************************************************************** **** On me pousse violemment dans ma celle et je m'étale de tout mon long contre le mur glacé. La douleur qui arrive subitement au niveau de mon nez me fait reflechir et une idée lumineuse traverse mon esprit. Sans perdre une seconde de plus, je retourne à la porte qui s'est refermée et frappe dessus comme un fou. Le fou que je suis devenu. Une derniere Volontée ! Un derniere volontée !! Une voix résonne alors dans la pièce, pour la premiere fois depuis les trois mois que je viens de passer ici. Ils sont graver sur le mur. Que veux tu, Ordure ? - Des feuilles, une plume, et plein d'encre !! - Pourquoi ? - Pour écrire avant ma mort ! Un plateau glisse alors sous la porte, tout ce que je viens de demander s'y trouve. Je prend le plateau et m'installe à la table. Les feuilles non utilisées à gauche et les écrites à droite. Mon procés à eu lieu il y a déja trois mois et il ne me reste plus que trois jours à vivre. Il est temps pour moi, de vous expliquez ce qu'a été mon existence, ma vie. Ma vie, synonime de Néant ... La seule solution à mon malheur est donc la mort, elle ne va pas tarder. Chut ... Attendons ma delivrance ! ... Je les entends qui arrivent, la porte s'ouvre, ils sont devant moi. Ils vont m'emmener à la potence. Ma vie se termine ici. Je trace ses derniers mots à l'encre noir pour vous dire : Pardon et Adieu.
Charles Habbitburg
