#Phénilangue# /Fourchelang /

Chapitre2 : Héritier

Il tandis la lettre à Harry qui réussi à l'ouvrir sans problème. Attendez professeur, c'est une blague ? demanda Harry. Lis la lettre Harry, dit celui-ci, lis là. Harry lut la lettre a haute et intelligible voix.

Chère héritier,

Tu te demande peut être ce qui ce passe mais tu demandera plus de renseignements à ton directeur. Harry tu es mon héritier mais aussi celui de Salazard Serpentard. Je t'explique, moi et Salazard, le jour ou nous avons fondé Poudlard, Avons celé un pacte disant que nous aurions un héritier commun qui combattrait les forces du mal et qu'il serait le plus puissant sorcier qui est jamais exister sur terre. Tu te demandes comment c'est possible. Ton père était mon héritier et ta mère celle de Salazard. Comme je te l'ai dit avant il faudra que tu demandes plus de renseignements a ton directeur et j'espère que tu vaincra le mal, mais sache qu'il n y aura jamais de lumières sans ténèbres, se qui veut dire que tu ne réussira jamais a détruire toutes les forces du mal il restera toujours un mage noir quelque part. Trouve ma chambre des secrets et tu pourra apprendre tout mon savoir. L'énigme pour trouver cette chambre est : Va vers celui qui est immortelle, Celui qui par son chant te redonne un peu de chaleur, Celui qui par mes couleur te conduira, A l'endroit ou j'ai caché ma chambre des secrets.

Godric Gryffondor

P.S. :J'espère que tu redonnera honneur a ma maison car je n'ai jamais été un mauvais mage. J'ai toujours respecté la tradition et a cause de sa les sorciers me prennent pour un mage noir. Descend dans ma chambre des secret et trouve la bibliothèque. Je sais que tu préfère travailler dans la chambre des secret de Godric et j'ai laissé deux livres qui contiennent tout mon savoir en sort de magie noire, Car on ne bat le mal que par le mal.

Salazard Serpentard

Harry releva les yeux de la lettre et regarda Dumbledore.

Pourquoi ne pas me l'avoir dit plus tôt ? demanda t-il calmement. Je pensai que tu avais déjà assez d'ennui avec ta célébrité alors le fait de te dire que tu était l'héritier des trois plus grand sorcier que la terre ait connu n'arrangerait pas les choses. J'espère que tu ne m'en veux pas ? demanda Albus. Non je ne vous en veut pas, et pourquoi dite vous trois ? cette lettre dit que je ne suis l'héritier que de Salazard et Godric. Parce que tu es aussi l'héritier de Merlin car celui-ci était le père de Godric. Maintenant que Voldemort est revenu, il fallait que tu saches tout cela.. D'accord, j'ai besoin de rester seul pour digérer tout sa. D'accord on te laisse tout seul, dit Sirius avant de repartir sous sa forme animagi.

Harry réfléchissait, tout cela paraissait tellement irréelle. Mais c'est avec un sourire qu'il se souvint que rien n'est impossible en magie. De toute façon il n'avait pas le choix, il fallait qu'il l'assume. Il décida d'aller faire un tour dans le château et à coté du bureau de Dumbledore il repensait à l'énigme. « Mais qu'est ce qui peut redonné de la chaleur rien que par son chant »pensa t-il. C'est alors qu'il vit Fumseck volé vers lui et se poser sur son épaule. L'oiseau se mit à chanter et Harry sentit une bouffé de chaleur monté en lui. Mais bien sûr ! s'écria t-il. C'est un phénix. Maintenant il ne me reste plus qu'a trouvé un tableau avec un phénix. Il parcourra tout Poudlard, toujours avec Fumseck sur son épaule, et allait abondonné quand soudain il vit un couloir qu'il n'avait jamais remarquer avant. Il s'avança dans le couloir et au milieu de ce couloir trouva ce qu'il cherchait. Il y avait un grand tableau représentant un phénix endormit. Fumseck se mit a chanté et le phénix du tableau se mit a se réveiller lentement. Celui-ci se mit à chanter, mais le pire c'est qu'Harry comprit ce qu'il dit.

# Heu pourrai-je savoir si c'est ici que se trouve la chambre des secret ? # Demanda Harry. # Tu réussi a parler phénilangue ? tu dois être l'héritier des Trois Mage. Oui ici est l'entrée de la chambre. Pour rentrer tu n'a qu'à traverser le tableau # Dit le Phénix. Harry ne se le fit pas dire deux fois et traversa directement le tableau. Ce qu'il vit l'émerveilla.