Allo tous le monde!!!

Je vous ai manqué? J'espère qu'oui, mais pas trop. Avant de vous donner l'occasion de lire mon dixième chapitre j'ai deux choses à vous demander.

La première est une annonce à faire. J'ai un ami qui vient de commencer une histoire sur fanfiction.net. Son nom est Cirianthalas et son fanfict s'intitule Verlizar un nom bien étrange. Cette histoire se passe après le 7e livre. Je vous demande gentiment d'aller lire son fan fiction, car il a besoin d'encouragement. C'est une histoire qui promet d'être très intéressante. Je remercie à l'avance ceux et celles qu'ils le feront.

L'autre message est moins joyeux. J'aimerais que vous preniez une seconde pour envoyer un bonne pensé à feu Richard Harris ( L'acteur qui jouait Dumbledore) Décédé vendredi passé à l'âge de 72 ans du cancer.

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Albus Dumbledore se dirigea vers son bureau suivi de près par Severus Rogue. Celui-ci marchait lentement du pas qui se voulait assurer. Ni un, ni l'autre ne prononça un mot tout le long du trajet qui séparait l'infirmerie du bureau du directeur de Poudlard. « Plume de sucre. » dit Albus quand ils furent arriver devant la gargouille qui donnait accès à son bureau. La gargouille se tassa et ils rentrèrent. Fumsec les accueilli un volant et chantant autour des deux hommes pour finalement sur poser sur l'épaule gauche du vieil homme. Albus fit signe à Rogue de prendre place sur une des chaises face à son bureau. Le maître de potion sembla hésiter quelque seconde avant de prendre place sur la chaise indiquée par son supérieur. Dumbledore posa le gobelet que Pomfresh lui avait remis devant son subordonné avant de prendre place derrière son bureau. « Avant de vous dire pourquoi je vous ai convoqué, Severus, j'exige que vous buviez cette potion. C'est un ordre! »commenca-t-il. Severus le fixa le directeur avec surprise. Albus utilisait que très rarement son autorité avec les autres professeurs et différents membres du personnel, mais quand il le faisait cela démontrait qui était vraiment ennuyé par le comportement de celui-ci. Severus était le seul à pouvoir le mettre dans cet état. Habituellement, il prenait un malin plaisir à apporter les gens à leur limite, mais dès que Albus utilisait se ton il n'osait pas aller plus loin. Il prit le gobelet et se mit à boire son contenue très lentement. «Bien! Maintenant, y a-t-il quelque chose que vous vouliez parler avec moi, Severus. » demanda doucement le directeur. Rogue baissa les yeux pendant une fraction de seconde. Ce simple geste était un aveu direct de la part du maître de potion. Il était évident qu'il avait bien des choses qu'il aurait voulu dire, mais qu'il n'osait pas en parler. « Sûrement une habitude prit dans sa jeunesse. » pensa tristement Albus. « Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. » commenta Rogue. « Bien sur, Severus. »murmura le vieil homme.

Un silence s'installa entre eux. Rogue attendait patiemment que Albus lui dit ce qu'il avait à dire pour qu'il puisse retourner dans ses donjons. « Severus, j'aimerais que vous fassiez plus attention à vous. Je sais que vous détestez que je vous couvre, mais sachez que votre bien-être me tien à c?ur. Je vous en conjure Severus, prenez cet avertissement au sérieux. Ne vous épuisez pas pour rien. Prenez le repos que vous a prescrit Madame Pomfresh. » Albus avait fait se discours de la manière la plus diplomatique, mais il fait vu la colère augmenter dans les yeux noirs de son interlocuteur. « Merci bien de vous inquiété, monsieur le directeur. Puis-je disposer maintenant? » dit Severus dit voix remplie d'acide. Albus se leva. « Non Severus, pas temps que vous n'aurez pas fini cette potion. De toute façon, il a certaine chose que j'aimerais éclaircire avec vous. » Il se mit à faire les cent pas derrière son bureau. Rogue savait très bien de quoi il voulait parler. Il avait sa faiblesse soudaine et ses déconnections. Ses mains se resserrèrent autour du goblet. Dumbledore semblait attendre qu'il commence à parler, mais il se doutait bien que c'était peine perdue. Rogue était un homme très renfermer sur lui-même. Albus n'avait jamais réussi à briser les barrières derrière lesquelles il était cacher, même malgré leur nombreuse année de travail ensemble. Comptant plus que les années d'espionnage et d'enseignement du plus jeune homme. Il se doutait que Severus avait ériger ses défenses depuis sa plus « tendre » enfance.

Voyant que le maître de potion semblait grandement agacer d'être là, Albus se jeta à l'eau. « Depuis quand aviez-vous se sort d'apaisement psychique? » demanda-t-il soudainement. Le visage de Severus resta impassible, mais son corps entier se tendit. Il baissa les yeux sur ses mains. « Quelque temps après la mort de Lily et James. » avoua le maître de potion après quelque seconde. Albus resta bouche-bée, il ne s'attendait vraiment pas une réponse de la part de son subordonné. Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais Rogue fut plus rapide. « Vous voulez savoir pourquoi? Si je m'étais dépêché cette journée là, on aurait peut être pu sauver les Potter. Je me sentais coupable de leur mort. Ce fut trop pour moi. J'avais cette option ou devenir fou. » s'écria Severus d'une voix remplie de colère. « J'avais déjà trop de mauvais souvenir et de remord qui me rongeaient de l'intérieur, celui là était de trop. » Albus alla ce rasoir à son bureau, il étai abasourdi par la réaction violente de Severus. Celui-ci ne sembla pas le remarquer et continua : « J'ai vu et fait trop de chose atroce pour pouvoir vivre en paix avec moi-même, La marque des ténèbres sur mon bras en est la preuve. Tous dit que Voldemort et un des ses espions son la cause de la morte des Potter, mais je sais très bien que s'est mon incompétence qui leur a été fatale. Je suis un échec, mon père c'est épuisé à me le faire comprendre. » La voix de Rogue était légèrement sautillante. Il tremblait de rare; une rage noire qui était tournée vers lui-même, le rongent de l'intérieur.

Severus posa violemment le gobelet sur le bureau de Dumbledore. « Avez-vous besoin de plus de détail ou c'est suffisant, monsieur le directeur? » Albus le regarda tristement. Quand Severus utilisait cette froide politesse, le vieil homme savait trop bien qu'il ne pouvait pas le garder bien longtemps. « Vous avez fini votre potion. Je crois que vous pouvez retourner à votre bureau. » Le maître de potion lui fit un bref signe de tête avant de sortir du bureau. Dumbledore soupira. Depuis tous ses années, Severus avait toujours eu le don de contrôler la conversation. Surtout une certaine nuit.

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////// FLASHBACK///// 19 ans auparavant. Un jeune serpentard de 5e année attentait patiemment que Albus commence leur entretien. Le directeur prit le temps de bien étudier le jeune homme qui se tenait devant lui. Il était grand, très mince, des cheveux noir et gras, une peau cireuse et des yeux noirs. (deviner cé qui !!!! ^-^!) Il était extrêmement calme et avait l'air déterminé. Il était dur à croire que ce garçon avait passé proche de la mort une semaine auparavant. À cause d'une farce de très mauvais goût de la part d'un jeune Griffondor du nom de Sirius Black. « Alors Severus, vous vouliez me parler? » demanda-t-il à son jeune interlocuteur. « C'est exact professeur. J'aurais une offre à vous faire qui pourrait vous intéresser. »commença le serpentard. « Quel genre d'offre? » Albus senti l'inquiétude serrer son estomac, il ne savait vraiment pas à quoi s'attendre avec cet élève. Il était au courant que Severus Rogue était caler en magie noire. Le jeune homme était le genre de candidat rechercher par Voldemort. L'élève s'avança sur le bout de sa chaise et fixa son regard dans celui du directeur. « Je ne passerais pas par quatre chemins. Lord Voldemort m'a proposé de joindre ses rangs. » annonça-t-il d'une voix extrêmement calme. Dumbledore tressaillit. Comment cet élève pouvait lui annoncer cette nouvelle comme on annonce la météo?

Le visage d'Albus devient plus dur. « Vous avez beaucoup d'audace de venir me dire cela en pleine figure, Severus. Est une façon de me provoquer de la part de Voldemort. » demanda le directeur d'une voix sèche. Severus secoua la tête. « Bien sur que non, professeur. Il n'est pas au courant de mes agissements. Je suis venue vous voir de mon propre grée. J'ai une offre à vous faire avant de lui donner ma réponse. » Malgré son malaise grandissant, Albus ne pouvait pas admirer le calme de ce garçon de 16 ans. Il discutait comme un adulte. « Nous savons tout que la lutte contre Voldemort risque d'être une de longue halène. Tout les informations sur ses agissements et ses plans seraient primordiaux. » Albus hocha la tête. « Il est certain que de telle information serait d'un aide considérable, mais Voldemort sais très bien garder ses secrets. » commenta le directeur. « Exact, mais il fait une totale confiance en ses Mangemorts. Ils sont à ses ordres et ils savent la plus part du temps ses plans. Tous ceux et celle qui se joint à lui, le fond de leur plein grée. Alors il ne se méfie pas de leur loyauté. » expliqua Severus. « Voilà ce que je vous propose : j'espionnerais Voldemort pour vous. » Albus resta sans voix. Il fixa d'un air désapprobateur le jeune homme assis devant lui. Il ne pouvait pas crois qu'un enfant puis proposer un tel chose. Severus s'empressa d'ajouter : « Avant de refuser professeur, laisser moi vous expliquer les avantages. Voldemort est persuader de ma loyauté, il ne se méfiera pas de moi. Vous allez recevoir rapidement des informations nécessaires qui pourrait permettent de sauver des vies innocentes. Cela vous donnera un avantage considérable sur lui. Je ne vois pas pourquoi vous refuseriez. »

Albus se leva et alla prendre place sur la chaise à côté du jeune serpentard. « Je sais très bien les avantages que je retirais d'une telle association. Mais, vous, Severus vous aurez que des désavantages. Cela est trop risqué, je ne peux accepter. » Le visage de Severus se crispa. « Sans vouloir vous manquer de respect professeur, je n'ai pas besoin de vous pour me dire ce qui est bon pour moi et ce qui est mauvais. Je suis assez grand pour m'occuper de moi-même. D'une manière ou d'un autre je vais joindre les rangs de Voldemort, je me suis trop avancer dans cette affaire pour pouvoir faire marche arrière. Si au moins les informations que j'aurais pourraient être utiles, je me sentirais mieux. » Dumbledore regarda intensément le jeune serpentard. Il avait tant de détermination dans son regard qu'il avait pratiquement oublié qu'il parlait à un enfant. L'offre de Severus était très intéressante, avoir des informations sur les plans de Voldemort serait vitale pour eux. « Severus, avez-vous considérez tous les aspects de cette décision? Au moment où la marque des ténèbres sera tatouée dans votre chair, il vous sera impossible d'avoir la confiance de qui que se soit. Vous renoncez à l'amitié et l'amour. Personne pour vous. Je pourrais vous soutenir un peu, mais le reste du temps vous serez seul. Aucune chance d'avoir la reconnaissance du Ministère, s'il vous arrête vous serez accuser et mit à Azkaban. Avez-vous prit tous ces facteurs en considération. »Le garçon baissa les yeux sur ses mains enlacées sur ses genoux. Pendant un bref instant Albus pu voir le véritable le garçon qui se trouvait derrière cette maturité trop précoce pour un enfant de seize ans. Mais la barrière fut rapidement de retour, protégeant Severus du monde extérieur ou, plutôt, en l'isolant. « J'en ai tenu compte, monsieur le directeur. » murmura le serpentard en relevant le regard vers le vieil homme assit à coté de lui. « J'en suis venu à la conclusion que ça ne ferait aucune différence avec ma vie affective actuelle. Je suis habitué que le monde me fuit. » Sa voix était remplie de tristesse et d'amertume. Dumbledore voulu mettre une main compatissante sur l'épaule de l'élève. Il avant sa main et s'arrêta net en voyant la peur briller dans les yeux noirs du plus jeune. Severus semblait avoir peur de lui. Il ramena sa main.

« Alors? » demanda Severus, en tentant de reprendre contenance, « Qu'elle est votre décision, professeur? » Albus Dumbledore soupira, il venait de se faire battre sur son propre terrain. « C'est d'accord Severus, vous m'avez convaincue de votre bonne volonté. » Il se leva et tendit une main à Severus. Le jeune homme se leva à son tour et serra brièvement la main de son directeur « Je vous promets de ne pas vous décevoir. » « La seul chose que je vous demande est de nous revenir en vie, Severus. » Le serpentard haussa les épaules avec indifférence. « Je ne peux rien vous promettes, la mort semble pour moi une délivrance. Si vous voulez bien m'excuser, je dois retourner auprès de Lucius Malefoy ; il est mon contact dans les mangemorts. » Albus regard en silence son élève sortir de son bureau. Severus Rogue était entré ici en enfant insouciant et en était sorti en homme responsable.

////// Fin du flash-back/////

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Albus Dumbledore soupira. S'il avait refuser l'offre de Severus peut-être que ce garçon aurait pu avoir une vie normale. « Surment pas. » murmura-t- il pour lui même. Il avait la conviction que jamais Severus avait connu une vie normale. À chaque fois qu'il repensait à cette discutions, Albus se sentait coupable. Il s'était longtemps dit qu'il aurait du garder et protéger Rogue et non l'envoyer à Voldemort. Il avait toujours l'impression d'avoir trahi le jeune homme. Fumsec senti le trouble de son ami et vient se poser sur les genoux de Dumbledore. « Tu sais, je crois que e Minerva avait raison. J'ai été si marqué par l'attaque contre Severus, c'est parce qu'il est un peu comme un fils pour moi et que je me sens incapable de le protéger. » dit le vieil homme au phénix.

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Bye bye et à la prochaine Slyvara Snape