Et Il créa la vie pour mieux la reprendre ensuite.
Chapitre 1 : How to live with a broken heart
Cela faisait maintenant un mois. Un mois qu'Il n'était plus la. Un mois que la vie avait pris un tournant tragique pour un petit groupe de personne qui Lui était attaché. Un mois. Ce n'est rien un mois face à l'immensité de l'éternité, face aux années qu'ils passeraient sans Lui et celles qu'Il avait passées en prison. Rien q'un mois. Un mois que James et Lily Potter avaient réapparus publiquement (leur résurrection avait été annoncée sans pour autant que la population n'ai pus les voir). Un mois qu'ils habitaient de nouveau dans la vieille demeure de Godric's Hollow, un mois qu'ils avaient Sa fille avec eux.
A la fin du trimestre dernier, une série d'évènement catastrophique étaient arrivés à Poudlard. Voldemort, le mage noir le plus puissant du moment avait réussi à s'introduire dans l'école pour tuer Harry Potter, qui fut sauvé in extremis par sa meilleure amie Hermione Granger, qui se sacrifia pour lui. Suite à cela, les amis d'Hermione avaient voulus la venger (faute de pouvoir la ramener) et Harry et Sirius s'étaient rendus chez Voldemort pour l'anéantir. Malheureusement, le plan avait échoué. Leurs espoirs étaient tombés dans les ténèbres en même temps que l'âme de Sirius Black, puisque seul Harry était rentré vivant. Lilia, la fille de Sirius, était venue habité chez les Potter, et une lente agonie avait commencé pour elle, Harry, et ses parents. Imaginez que vous n'avez jamais connu vos parents, imaginez que vous avez passé toute votre vie dans un orphelinat moldu où on vous regardait d'un ?il suspect parce que vous aviez l'art de faire des choses peu communes. Imaginez que personne ne vous ai révélé votre nom en vous faisant croire que votre père était un mage noir et qu'il avait tué votre mère. Imaginez que vous n'avez rencontré la seule famille qu'il vous reste, votre père, peu après vos quinze ans pour le voir mourir six mois plus tard. Tel était le cas de Lilia. Peut être auriez vous préférer être un garçon, orphelin depuis ses un an, élevé par un oncle et une tante qui le méprisaient, martyrisé par un cousin tyrannique, rejeté par des camarades de classes trop influençable, célèbre dans un monde que vous venez a peine de découvrir, adulé par moment, détesté par d'autres à cause de préjugés sur telles ou telles facultés que vous ne vous expliquez pas vous même, haït à mort par les partisans du Seigneur des Ténèbres, recherché par la personne qui avait trahi vos parents pour apprendre qu'elle était innocente, victime d'une immonde machination et ne vous voulait que du bien, contraint de laisser celui-ci vivre de fuites et de cachettes pendant un an pour ensuite mieux apprécier la vie chez lui pendant un seul et unique mois de vacances, rugir de plaisir lors de sa nomination comme professeur dans votre école de sorcellerie, partager dix mois de bonheur a découvrir chaque jour un peu plus sur celui qui avait été aux côtés de vos parents lorsqu'ils étaient adolescent, devenir inconscient l'espace d'un instant pour faire revivre ces mêmes défunt parents, entammer une vie proche de la normalité alors que tout le reste n'avait été que mensonge, haine et désespoir, puis enfin, alors que tout aurait du continuer ainsi, vous coulez a une vitesse vertigineuse en direction d'un gouffre sans fond, peuplé d'ombres, de flammes, de tristesse et de culpabilité car vous avez causé la mort de ce parrain que vous aimiez tant. Ainsi aurait été votre vie si vous vous étiez appelé Harry Potter.
Mais vous ne l'êtes pas. Lui si. Il souffre d'une manière sans pareille, et ne l'a dit a personne. Il ne se rend pas compte qu'autour de lui le monde évolue. Il est seul dans sa sphère, il a brisé sa connexion avec le monde réel, magique ou pas. Il ne veut plus se battre, il ne veut plus avoir quinze ans, il ne veut plus porter le poids du monde sur ses épaules, il ne veut pas ressortir dans la rue et laisser les gens le regarder en ne pensant qu'une chose : « Assassin ». (ndla : et moi aussi je veux qu'on arrête de m'appeler comme ça.) Elle ne se sent pas mieux, elle aimerait que tout redevienne comme avant Pâques. Que sa vie ne soit jamais passée par là. Elle aimerait que tout ne soit plus que joie, tendresse et rigolade avec eux. Ceux d'ici et ceux qui lui avaient valu ce trou dans le c?ur. Elle aimerait être normale, elle aimerait que le voile qui lui chaque la lumière du jour se lève, elle aimerait que la pluie laisse place au beau temps, elle souhaiterait que tout soit parfait. Mais le monde est injuste, tellement injuste qu'il lui a prit sa seule famille, cette personne qu'elle avait toujours voulu rencontrer et dont elle n'avait profité que pendant quelques mois. Elle aimerait qu'il revienne. Elle aimerait le revoir, le serrer dans ses bras, lui dire « je t'aime papa », rigoler avec lui, écouter comme une enfant de cinq ans les aventures des légendaires Maraudeurs. Mais elle ne le fera plus. En tout cas pas avec lui. Sûrement avec James, mais James n'est pas Sirius, il n'est que son frère de c?ur. Personne n'y peut rien changer. Elle vit ici, chez eux, avec son ami Harry. Il est triste lui aussi. Toute la maison l'est. Elle ne s'en rend pas compte. Elle pense qu'ils ne souffrent pas, en tout cas James et Lily ne laissent rien paraître. C'est inhumain. Ils sont noyés par le travail. On ne les voit jamais. Elle habite ici, avec Harry. Son meilleur ami, celui qui lui a présenter les élèves lorsqu'elle est arrivée, celui qui s'est toujours occupé d'elle, veillant a ce que personne ne lui fasse de réflexions désagréables tout en la laissant se défendre seule, celui qui a connu son père avant elle, celui qui l'a vu mourir. Elle aimerait bien pleurer sur son épaule lorsqu'elle se sent seule, elle sait qu'il la comprend. Mais elle ne comprend pas pourquoi il est si distant. Elle ne comprend pas pourquoi elle a l'impression qu'il l'évite. Elle ne sait pas qu'il culpabilise, elle ne sait pas combien il souffre de ce geste atroce qu'il a commit, elle pense qu'il est juste extrêmement triste, et elle sait qu'Il ne lui en veut pas le moins du monde, mais elle sait et elle sent qu'elle est seule dans cette maison qui n'est pas la sienne et qui est remplie de souvenirs des Potter et de leur grand ami, Sirius Black, son père.
A l'autre bout du couloir, un garçon de seize ans étaient assis devant son bureau. Il se noyait dans ses devoirs de vacances pour essayer d'oublier la perte de Sirius qui s'était ajoutée a celle d'Hermione. Mais comment pouvait il faire ? Sa chambre, sa maison, sa tête et son c?ur étaient tapissés de souvenirs qui le rendaient nostalgique dans le meilleur des cas. En effet, cela faisait bientôt une heure qu'il était là, la plume en l'air, à méditer sur sa réponse a la question posée par le professeur de Potion, Severus Rogue. « Quels sont les répercussions de la potion tue-loup sur des loups garous ? » Un sujet passionnant. Harry porta son regard sur une photo accrochée a la hauteur de ses yeux par une simple punaise. On y voyait huit personnes sourire et déborder de gaieté. En regardant chacune des personnes qui se trouvaient là, Harry se demanda ce qu'ils lui auraient dit. James aurait pu l'aider, mais il travaillait. Remus aussi, étant un loup garou lui aurait donné plein d'informations, mais il était en mission. Lily, sa mère, croulait sous le poids de l'incessante chasse aux Mangemorts. Hermione. n'agissait que par le biais de sa conscience et n'y connaissait pas plus que le livre en matière de loup-garou. Ron aurait haussé les épaules et aurait eut l'air aussi embêté que lui. Lilia lui aurait malicieusement répondu qu'il n'avait cas se faire mordre et essayer pour ensuite lui dire d'aller voir Remus.si elle n'avait pas été enfermée dans sa chambre comme elle avait prit l'habitude de le faire. Et Sirius. il aurait su répondre. Il n'avait jamais été doué en potion, mais il connaissait les effets pour avoir habité chez Remus un certain temps. Mais il n'était plus de ce monde. Il ne pouvait techniquement pas répondre. Le regard de Harry se reporta sur la photo. Qu'est ce qu'ils avaient l'air insouciants tous les huit ici. Il ne savait plus exactement quel jour elle avait été prise, mais c'était quelque part entre Pâques et Halloween. Harry penchait pour la mi-décembre. Cela devait certainement être le cas d'ailleurs puisque de vagues guirlandes apparaissaient dans le fond sur les murs de la Salle des Maraudeurs. C'était la période où tout avait été pour le mieux dans le meilleur des mondes. La seule période de l'année où Harry avait réussit à oublier la menace permanente qui planait sur le monde de la Sorcellerie. James et Lily venaient juste de ressusciter. Harry avait enfin pu les serrer dans ses bras, leur parler, les regarder de ses propres yeux et non pas au travers d'une photo vieille de quinze ans et jaunie par les années. A côté se trouvait Remus, les cernes agrandies par la métamorphose qui devait avoir eut lieu quelques temps auparavant. Il était en forme, avec ses amis, il devait se sentir libérer de tous ses problèmes maintenant que deux Maraudeurs lui était revenus. Ensuite venait Hermione. Elle sortait déjà avec Ron à l'époque, même s'ils se montraient très discrets quand à leur relation. Elle avait ce sourire malicieux qu'on les gens qui savent beaucoup de choses intéressantes sur tout et sur rien. Qui aurait pu deviner que quelques moins sa vie prendrait un tournant tragique ? A côté se trouvait Ron. Egal à lui-même, grand et déginguandé, l'espièglerie pointait dans son regard. Peut être que c'était a cause d'un évènement important qui s'était passé peu de temps auparavant. Ah oui. le fameux match de Quidditch où Harry avait élaboré un record. C'était la fierté des Gryffondor et un excellent moyen de rabaisser Malefoy. Ensuite venait Harry, plus heureux que jamais. Il avait tout d'une personne normale en cet instant : des parents qu'il aimait et qui l'aimaient en retour, des amis fidèles prêts a tout pour l'aider, un bon prof de DCFM. Cette idée fit apparaître un sourire triste sur les lèvres de Harry. Oui, Sirius avait été un excellent professeur. Il avait les mêmes qualités et point de vue que Lupin en son temps mais le travail était plus distrayant et plus intéressant de par sa complexité. Mais comme tout les professeurs de cette matière, il n'avait duré qu'un an. En parlant de Sirius, entre lui et Harry se trouvait Lilia, Harry ne pu s'empêcher de constater combien elle était belle avec ses longs cheveux noirs qui retombaient en cascade sur ses épaules et son regard pétillants (ndla : je sais que c'est con, mais je lui voit bien des cheveux style Shiryu dans Saint Seiya. même si c'est un mec, j'adore ses cheveux. et vous trouvez pas que Shiryu et Sirius ça se ressemble ? et c'est marrant je les adores touts les deux. mais je sais, vous vous en moquez, je continue.) qui montrait qu'elle aussi n'avait jamais été aussi heureuse qu'en cette instant. Pas comme maintenant. Et a coté, il y avait Sirius. Sirius le Maraudeur, meilleur ami des Potter, parrain de Harry, père de Lilia, victime d'une erreur judiciaire, réhabilité quatorze ans plus tard. Le grand Sirius Black. Personne ne saurait jamais tout ce qu'il avait fait pour le bien de ce monde. Personne. il serait toujours vu comme le plus grand meurtrier de tout les temps malgré son procès, malgré son sacrifice. Lui aussi était joyeux sur l'image. Il faisait de grand signe de la main à Harry et affichait l'un de ses plus beaux sourires (ndla : *bave*). Sûrement celui qu'il avait utilisé dans sa jeunesse pour faire tomber les filles. (ndla : *jalouse*) Oui, Sirius le tombeur. Il était un vrai dragueur d'après ses dires. Ou plutôt avait été, corrigea douloureusement le cerveau de Harry. Il n'y avait personne a draguer là ou il était. D'ailleurs, ou était il ? « Avec moi. » murmura une voix de fille qui fit sursauter Harry. Oui, il était avec Hermione. Mais où était Hermione ? « Avec moi. » lui répondit une voix masculine qu'il identifia comme celle de son double, l'autre partie de lui qui avait vécu trois ans en compagnie de ses propres parents adolescents. Mais lui, Terry, ou était il. La réponse vint d'elle-même a Harry sans que personne ne la lui souffle : il était Terry au même titre que Harry. Il était à l'intérieur de lui. Mais comment Sirius pouvait il être en lui s'il ne pouvait pas communiquer ? Avec Hermione c'était différent, elle était sa conscience, mais Sirius. qui était il vraiment ? Harry repartit dans ses pensées, l'esprit vagabondant sur des sujets futiles et complexes a vous donner un mal de crâne impossible. (ndla : je pense notamment a de grande discussion philosophique que j'ai pu avoir avec Albus, Léna ou même Antares. D'ailleurs ne me ressort pas le cuit-mais-pas- chaud !!! mdr) Jusqu'à ce qu'un chose lui revienne a l'esprit : les étranges rêves qu'il avait en ce moment. Décidément, il n'avait jamais eu de chance avec son sommeil. Entre le lien avec Voldemort, les prémonitions (ou souvenirs ?) de Terry, et tous les cauchemars qu'il avait pu avoir par rapport aux drames de sa vie d'adolescent (qui étaient tout de même conséquents !) il n'avait pas souvent bien dormit. Mais là, c'était différent. Oui, bien sûr il avait fait d'horribles cauchemars depuis la scène de juin dernier, bien sûr il avait revécu des milliers de fois la mort de Sirius. Il avait aussi eu droit aux flashs de Terry (enfin, les siens) qui avaient entrecoupé sa vie entre 1975 et 1977 après les massacres de Voldemort, il avait eu tout ça des centaines et des centaines de fois. Aujourd'hui il avait eu droit a une nouvelle démonstration de la puissance de son sub- conscient. Il rêvait de. oh c'était tellement ridicule quand on y repensait. Après tout, ce n'était peut être qu'une passade sans signification. Tous les soirs, depuis maintenant une semaine, Harry rêvait d'une baguette en bois tout ce qu'il y a de plus simple (enfin pour une baguette magique) qui laissait échapper quelques étincelles gris argent puis un nuage informe. Harry rêvait de voir la forme qu'allait prendre le Patronus (car c'en était forcément un) pour savoir à qui ses rêves était liés. Mais pour l'instant, il ne devait pas dormir, il devait travailler, il devait rédiger ce devoir de potion d'un ennui mortel. enfin, quand on avait personne a qui demander de l'aide. dans un autre cas le sujet aurait peut être été interessant. La page restait, vide, totalement neutre, sans titre, sans date, Harry n'avait pas encore écrit ne serait ce que le sujet du devoir, il ne voulait pas. il sentait quelque chose. il sentait un présence. Sûrement la fatigue, la lassitude, la tristesse, la nostalgie ou même tout ceci mélangé. ou alors il s'agissait de son profond dégoût pour Rogue qui l'empêchait d'écrire. Comme il devait être heureux en ce moment. Après tout, il avait toujours détesté Sirius, il n'avait jamais supporté son humour, sa popularité, tout en lui le révulsait. Alors maintenant qu'il était. qu'il ne serait plus. Qu'il était « absent » il devait se sentir le plus heureux du monde. Harry imaginait parfaitement le sourire de triomphe qui devait fendre son visage hideux. Un rictus malsain, il savait que beaucoup souffraient, que beaucoup pleuraient, mais il était certainement heureux que l'un des ses ennemis les plus ancien ai basculé au Royaume des Ombres. « Sirius, ou est tu ? Murmura Harry. J'ai besoin de toi. On a tous besoin de toi. Reviens. » la main de Harry tremblait tout en tenant sa plume, de petites gouttelettes d'encre tombaient sur le parchemin immaculé. Il sentait qu'il devait écrire, il sentait qu'il allait se passer quelque chose, il le savait. Cela venait du plus profond de lui-même, comme un souvenir qui vous tient a c?ur. Sirius. lui-même n'était plus qu'un souvenir gravé dans sa chair et dans son sang. Il devait écrire. Il fallait que cette plume touche le parchemin. Il devait le faire, les lettres se bousculaient, mais Harry n'avait aucune idée de ce qu'il allait marquer sur ce bout de papier insignifiant. Et pourtant. « Sirius, qu'est ce qu'il se passe ? » Tiens, revoilà cette vieille habitude de demander conseil a son parrain. après tout, il avait été sa seule famille. Les lettres se bousculaient, il ne savait plus comment réagir, tout son être lui disait de chasser cela de son esprit et de retourner a son devoir de potion, mais une pulsion incontrôlable l'en empêchait. Il n'avait jamais ressentit ça auparavant. Lentement, doucement, sa main s'abaissa et la pointe de la plume d'aigle se posa sur le parchemin. Harry vit sa main tracer des lettres, ne sachant pas lui-même ce que tout cela signifiait. Une seule et unique phrase s'inscrivit. Il fut prit de stupéfaction en la voyant. jamais du papier ne lui avait parler comme cela, excepté le journal de Tom Jedusor qui avait été emplie de Magie Noire. Et Harry n'y connaissait rien en Magie Noire. Pourtant, ces mots étaient bel et bien là. Mais ce n'était pas l'écriture de Harry. Il la connaissait trop bien celle là. Combien de fois l'avait il lue, en attente de nouvelles, ou en réponse a un appel au secours ? Combien de fois ces mêmes lettres s'étaient elles tracées au tableau pendant un cours ? Et pourtant, c'était tellement irréel. Ca ne pouvait être que de la magie noire « tout objet qui agit et pense de lui-même ne peut être que soumit a la magie noire » avait déclaré Mrs Weasley trois ans plus tôt. Et pourtant, il savait très bien qu'Il aurait préféré se faire brûler vif que d'avoir recours a cette pratique. Car les mots qui venaient de s'afficher par le biais de la plume que tenait la main de Harry (qui ne semblait plus être la sienne tant l'écriture était différente.) disaient clairement ceci :
« Bonjour Harry. »
Et ces lettres, Harry aurait put les reconnaître parmi des milliers. La seule personne qui a sa connaissance écrivait comme ça était son parrain, Sirius Black.
=fin du premier chapitre = relu et corrigé le 22 août 2003 à 1h23.
Bon j'ai sommeil. je vous demande juste quelques petites reviews en attendant la suite (on va dire 12 pour commencer, et de personnes différentes) sinon j'ai une réponse a faire a l'ensemble des reviewers de mon autre fic (l'amour est un sentiment incontrôlable) : Merci pour tout ses petits messages, je sais que j'en ai déçu beaucoup, mais je n'avais pas le choix. Quand j'ai commencé cette fic, je m'étais dit que j'allait tuer Sirius a la fin et comme je suis têtue j'ai pas changer d'avis. J'en ai vu de toutes les couleurs en tout cas. Mais je vous avait dit que tout n'était pas finit pour Hermione et lui, et ce n'est que le début. J'espère que ce premier chapitre vous plait...
Chapitre 1 : How to live with a broken heart
Cela faisait maintenant un mois. Un mois qu'Il n'était plus la. Un mois que la vie avait pris un tournant tragique pour un petit groupe de personne qui Lui était attaché. Un mois. Ce n'est rien un mois face à l'immensité de l'éternité, face aux années qu'ils passeraient sans Lui et celles qu'Il avait passées en prison. Rien q'un mois. Un mois que James et Lily Potter avaient réapparus publiquement (leur résurrection avait été annoncée sans pour autant que la population n'ai pus les voir). Un mois qu'ils habitaient de nouveau dans la vieille demeure de Godric's Hollow, un mois qu'ils avaient Sa fille avec eux.
A la fin du trimestre dernier, une série d'évènement catastrophique étaient arrivés à Poudlard. Voldemort, le mage noir le plus puissant du moment avait réussi à s'introduire dans l'école pour tuer Harry Potter, qui fut sauvé in extremis par sa meilleure amie Hermione Granger, qui se sacrifia pour lui. Suite à cela, les amis d'Hermione avaient voulus la venger (faute de pouvoir la ramener) et Harry et Sirius s'étaient rendus chez Voldemort pour l'anéantir. Malheureusement, le plan avait échoué. Leurs espoirs étaient tombés dans les ténèbres en même temps que l'âme de Sirius Black, puisque seul Harry était rentré vivant. Lilia, la fille de Sirius, était venue habité chez les Potter, et une lente agonie avait commencé pour elle, Harry, et ses parents. Imaginez que vous n'avez jamais connu vos parents, imaginez que vous avez passé toute votre vie dans un orphelinat moldu où on vous regardait d'un ?il suspect parce que vous aviez l'art de faire des choses peu communes. Imaginez que personne ne vous ai révélé votre nom en vous faisant croire que votre père était un mage noir et qu'il avait tué votre mère. Imaginez que vous n'avez rencontré la seule famille qu'il vous reste, votre père, peu après vos quinze ans pour le voir mourir six mois plus tard. Tel était le cas de Lilia. Peut être auriez vous préférer être un garçon, orphelin depuis ses un an, élevé par un oncle et une tante qui le méprisaient, martyrisé par un cousin tyrannique, rejeté par des camarades de classes trop influençable, célèbre dans un monde que vous venez a peine de découvrir, adulé par moment, détesté par d'autres à cause de préjugés sur telles ou telles facultés que vous ne vous expliquez pas vous même, haït à mort par les partisans du Seigneur des Ténèbres, recherché par la personne qui avait trahi vos parents pour apprendre qu'elle était innocente, victime d'une immonde machination et ne vous voulait que du bien, contraint de laisser celui-ci vivre de fuites et de cachettes pendant un an pour ensuite mieux apprécier la vie chez lui pendant un seul et unique mois de vacances, rugir de plaisir lors de sa nomination comme professeur dans votre école de sorcellerie, partager dix mois de bonheur a découvrir chaque jour un peu plus sur celui qui avait été aux côtés de vos parents lorsqu'ils étaient adolescent, devenir inconscient l'espace d'un instant pour faire revivre ces mêmes défunt parents, entammer une vie proche de la normalité alors que tout le reste n'avait été que mensonge, haine et désespoir, puis enfin, alors que tout aurait du continuer ainsi, vous coulez a une vitesse vertigineuse en direction d'un gouffre sans fond, peuplé d'ombres, de flammes, de tristesse et de culpabilité car vous avez causé la mort de ce parrain que vous aimiez tant. Ainsi aurait été votre vie si vous vous étiez appelé Harry Potter.
Mais vous ne l'êtes pas. Lui si. Il souffre d'une manière sans pareille, et ne l'a dit a personne. Il ne se rend pas compte qu'autour de lui le monde évolue. Il est seul dans sa sphère, il a brisé sa connexion avec le monde réel, magique ou pas. Il ne veut plus se battre, il ne veut plus avoir quinze ans, il ne veut plus porter le poids du monde sur ses épaules, il ne veut pas ressortir dans la rue et laisser les gens le regarder en ne pensant qu'une chose : « Assassin ». (ndla : et moi aussi je veux qu'on arrête de m'appeler comme ça.) Elle ne se sent pas mieux, elle aimerait que tout redevienne comme avant Pâques. Que sa vie ne soit jamais passée par là. Elle aimerait que tout ne soit plus que joie, tendresse et rigolade avec eux. Ceux d'ici et ceux qui lui avaient valu ce trou dans le c?ur. Elle aimerait être normale, elle aimerait que le voile qui lui chaque la lumière du jour se lève, elle aimerait que la pluie laisse place au beau temps, elle souhaiterait que tout soit parfait. Mais le monde est injuste, tellement injuste qu'il lui a prit sa seule famille, cette personne qu'elle avait toujours voulu rencontrer et dont elle n'avait profité que pendant quelques mois. Elle aimerait qu'il revienne. Elle aimerait le revoir, le serrer dans ses bras, lui dire « je t'aime papa », rigoler avec lui, écouter comme une enfant de cinq ans les aventures des légendaires Maraudeurs. Mais elle ne le fera plus. En tout cas pas avec lui. Sûrement avec James, mais James n'est pas Sirius, il n'est que son frère de c?ur. Personne n'y peut rien changer. Elle vit ici, chez eux, avec son ami Harry. Il est triste lui aussi. Toute la maison l'est. Elle ne s'en rend pas compte. Elle pense qu'ils ne souffrent pas, en tout cas James et Lily ne laissent rien paraître. C'est inhumain. Ils sont noyés par le travail. On ne les voit jamais. Elle habite ici, avec Harry. Son meilleur ami, celui qui lui a présenter les élèves lorsqu'elle est arrivée, celui qui s'est toujours occupé d'elle, veillant a ce que personne ne lui fasse de réflexions désagréables tout en la laissant se défendre seule, celui qui a connu son père avant elle, celui qui l'a vu mourir. Elle aimerait bien pleurer sur son épaule lorsqu'elle se sent seule, elle sait qu'il la comprend. Mais elle ne comprend pas pourquoi il est si distant. Elle ne comprend pas pourquoi elle a l'impression qu'il l'évite. Elle ne sait pas qu'il culpabilise, elle ne sait pas combien il souffre de ce geste atroce qu'il a commit, elle pense qu'il est juste extrêmement triste, et elle sait qu'Il ne lui en veut pas le moins du monde, mais elle sait et elle sent qu'elle est seule dans cette maison qui n'est pas la sienne et qui est remplie de souvenirs des Potter et de leur grand ami, Sirius Black, son père.
A l'autre bout du couloir, un garçon de seize ans étaient assis devant son bureau. Il se noyait dans ses devoirs de vacances pour essayer d'oublier la perte de Sirius qui s'était ajoutée a celle d'Hermione. Mais comment pouvait il faire ? Sa chambre, sa maison, sa tête et son c?ur étaient tapissés de souvenirs qui le rendaient nostalgique dans le meilleur des cas. En effet, cela faisait bientôt une heure qu'il était là, la plume en l'air, à méditer sur sa réponse a la question posée par le professeur de Potion, Severus Rogue. « Quels sont les répercussions de la potion tue-loup sur des loups garous ? » Un sujet passionnant. Harry porta son regard sur une photo accrochée a la hauteur de ses yeux par une simple punaise. On y voyait huit personnes sourire et déborder de gaieté. En regardant chacune des personnes qui se trouvaient là, Harry se demanda ce qu'ils lui auraient dit. James aurait pu l'aider, mais il travaillait. Remus aussi, étant un loup garou lui aurait donné plein d'informations, mais il était en mission. Lily, sa mère, croulait sous le poids de l'incessante chasse aux Mangemorts. Hermione. n'agissait que par le biais de sa conscience et n'y connaissait pas plus que le livre en matière de loup-garou. Ron aurait haussé les épaules et aurait eut l'air aussi embêté que lui. Lilia lui aurait malicieusement répondu qu'il n'avait cas se faire mordre et essayer pour ensuite lui dire d'aller voir Remus.si elle n'avait pas été enfermée dans sa chambre comme elle avait prit l'habitude de le faire. Et Sirius. il aurait su répondre. Il n'avait jamais été doué en potion, mais il connaissait les effets pour avoir habité chez Remus un certain temps. Mais il n'était plus de ce monde. Il ne pouvait techniquement pas répondre. Le regard de Harry se reporta sur la photo. Qu'est ce qu'ils avaient l'air insouciants tous les huit ici. Il ne savait plus exactement quel jour elle avait été prise, mais c'était quelque part entre Pâques et Halloween. Harry penchait pour la mi-décembre. Cela devait certainement être le cas d'ailleurs puisque de vagues guirlandes apparaissaient dans le fond sur les murs de la Salle des Maraudeurs. C'était la période où tout avait été pour le mieux dans le meilleur des mondes. La seule période de l'année où Harry avait réussit à oublier la menace permanente qui planait sur le monde de la Sorcellerie. James et Lily venaient juste de ressusciter. Harry avait enfin pu les serrer dans ses bras, leur parler, les regarder de ses propres yeux et non pas au travers d'une photo vieille de quinze ans et jaunie par les années. A côté se trouvait Remus, les cernes agrandies par la métamorphose qui devait avoir eut lieu quelques temps auparavant. Il était en forme, avec ses amis, il devait se sentir libérer de tous ses problèmes maintenant que deux Maraudeurs lui était revenus. Ensuite venait Hermione. Elle sortait déjà avec Ron à l'époque, même s'ils se montraient très discrets quand à leur relation. Elle avait ce sourire malicieux qu'on les gens qui savent beaucoup de choses intéressantes sur tout et sur rien. Qui aurait pu deviner que quelques moins sa vie prendrait un tournant tragique ? A côté se trouvait Ron. Egal à lui-même, grand et déginguandé, l'espièglerie pointait dans son regard. Peut être que c'était a cause d'un évènement important qui s'était passé peu de temps auparavant. Ah oui. le fameux match de Quidditch où Harry avait élaboré un record. C'était la fierté des Gryffondor et un excellent moyen de rabaisser Malefoy. Ensuite venait Harry, plus heureux que jamais. Il avait tout d'une personne normale en cet instant : des parents qu'il aimait et qui l'aimaient en retour, des amis fidèles prêts a tout pour l'aider, un bon prof de DCFM. Cette idée fit apparaître un sourire triste sur les lèvres de Harry. Oui, Sirius avait été un excellent professeur. Il avait les mêmes qualités et point de vue que Lupin en son temps mais le travail était plus distrayant et plus intéressant de par sa complexité. Mais comme tout les professeurs de cette matière, il n'avait duré qu'un an. En parlant de Sirius, entre lui et Harry se trouvait Lilia, Harry ne pu s'empêcher de constater combien elle était belle avec ses longs cheveux noirs qui retombaient en cascade sur ses épaules et son regard pétillants (ndla : je sais que c'est con, mais je lui voit bien des cheveux style Shiryu dans Saint Seiya. même si c'est un mec, j'adore ses cheveux. et vous trouvez pas que Shiryu et Sirius ça se ressemble ? et c'est marrant je les adores touts les deux. mais je sais, vous vous en moquez, je continue.) qui montrait qu'elle aussi n'avait jamais été aussi heureuse qu'en cette instant. Pas comme maintenant. Et a coté, il y avait Sirius. Sirius le Maraudeur, meilleur ami des Potter, parrain de Harry, père de Lilia, victime d'une erreur judiciaire, réhabilité quatorze ans plus tard. Le grand Sirius Black. Personne ne saurait jamais tout ce qu'il avait fait pour le bien de ce monde. Personne. il serait toujours vu comme le plus grand meurtrier de tout les temps malgré son procès, malgré son sacrifice. Lui aussi était joyeux sur l'image. Il faisait de grand signe de la main à Harry et affichait l'un de ses plus beaux sourires (ndla : *bave*). Sûrement celui qu'il avait utilisé dans sa jeunesse pour faire tomber les filles. (ndla : *jalouse*) Oui, Sirius le tombeur. Il était un vrai dragueur d'après ses dires. Ou plutôt avait été, corrigea douloureusement le cerveau de Harry. Il n'y avait personne a draguer là ou il était. D'ailleurs, ou était il ? « Avec moi. » murmura une voix de fille qui fit sursauter Harry. Oui, il était avec Hermione. Mais où était Hermione ? « Avec moi. » lui répondit une voix masculine qu'il identifia comme celle de son double, l'autre partie de lui qui avait vécu trois ans en compagnie de ses propres parents adolescents. Mais lui, Terry, ou était il. La réponse vint d'elle-même a Harry sans que personne ne la lui souffle : il était Terry au même titre que Harry. Il était à l'intérieur de lui. Mais comment Sirius pouvait il être en lui s'il ne pouvait pas communiquer ? Avec Hermione c'était différent, elle était sa conscience, mais Sirius. qui était il vraiment ? Harry repartit dans ses pensées, l'esprit vagabondant sur des sujets futiles et complexes a vous donner un mal de crâne impossible. (ndla : je pense notamment a de grande discussion philosophique que j'ai pu avoir avec Albus, Léna ou même Antares. D'ailleurs ne me ressort pas le cuit-mais-pas- chaud !!! mdr) Jusqu'à ce qu'un chose lui revienne a l'esprit : les étranges rêves qu'il avait en ce moment. Décidément, il n'avait jamais eu de chance avec son sommeil. Entre le lien avec Voldemort, les prémonitions (ou souvenirs ?) de Terry, et tous les cauchemars qu'il avait pu avoir par rapport aux drames de sa vie d'adolescent (qui étaient tout de même conséquents !) il n'avait pas souvent bien dormit. Mais là, c'était différent. Oui, bien sûr il avait fait d'horribles cauchemars depuis la scène de juin dernier, bien sûr il avait revécu des milliers de fois la mort de Sirius. Il avait aussi eu droit aux flashs de Terry (enfin, les siens) qui avaient entrecoupé sa vie entre 1975 et 1977 après les massacres de Voldemort, il avait eu tout ça des centaines et des centaines de fois. Aujourd'hui il avait eu droit a une nouvelle démonstration de la puissance de son sub- conscient. Il rêvait de. oh c'était tellement ridicule quand on y repensait. Après tout, ce n'était peut être qu'une passade sans signification. Tous les soirs, depuis maintenant une semaine, Harry rêvait d'une baguette en bois tout ce qu'il y a de plus simple (enfin pour une baguette magique) qui laissait échapper quelques étincelles gris argent puis un nuage informe. Harry rêvait de voir la forme qu'allait prendre le Patronus (car c'en était forcément un) pour savoir à qui ses rêves était liés. Mais pour l'instant, il ne devait pas dormir, il devait travailler, il devait rédiger ce devoir de potion d'un ennui mortel. enfin, quand on avait personne a qui demander de l'aide. dans un autre cas le sujet aurait peut être été interessant. La page restait, vide, totalement neutre, sans titre, sans date, Harry n'avait pas encore écrit ne serait ce que le sujet du devoir, il ne voulait pas. il sentait quelque chose. il sentait un présence. Sûrement la fatigue, la lassitude, la tristesse, la nostalgie ou même tout ceci mélangé. ou alors il s'agissait de son profond dégoût pour Rogue qui l'empêchait d'écrire. Comme il devait être heureux en ce moment. Après tout, il avait toujours détesté Sirius, il n'avait jamais supporté son humour, sa popularité, tout en lui le révulsait. Alors maintenant qu'il était. qu'il ne serait plus. Qu'il était « absent » il devait se sentir le plus heureux du monde. Harry imaginait parfaitement le sourire de triomphe qui devait fendre son visage hideux. Un rictus malsain, il savait que beaucoup souffraient, que beaucoup pleuraient, mais il était certainement heureux que l'un des ses ennemis les plus ancien ai basculé au Royaume des Ombres. « Sirius, ou est tu ? Murmura Harry. J'ai besoin de toi. On a tous besoin de toi. Reviens. » la main de Harry tremblait tout en tenant sa plume, de petites gouttelettes d'encre tombaient sur le parchemin immaculé. Il sentait qu'il devait écrire, il sentait qu'il allait se passer quelque chose, il le savait. Cela venait du plus profond de lui-même, comme un souvenir qui vous tient a c?ur. Sirius. lui-même n'était plus qu'un souvenir gravé dans sa chair et dans son sang. Il devait écrire. Il fallait que cette plume touche le parchemin. Il devait le faire, les lettres se bousculaient, mais Harry n'avait aucune idée de ce qu'il allait marquer sur ce bout de papier insignifiant. Et pourtant. « Sirius, qu'est ce qu'il se passe ? » Tiens, revoilà cette vieille habitude de demander conseil a son parrain. après tout, il avait été sa seule famille. Les lettres se bousculaient, il ne savait plus comment réagir, tout son être lui disait de chasser cela de son esprit et de retourner a son devoir de potion, mais une pulsion incontrôlable l'en empêchait. Il n'avait jamais ressentit ça auparavant. Lentement, doucement, sa main s'abaissa et la pointe de la plume d'aigle se posa sur le parchemin. Harry vit sa main tracer des lettres, ne sachant pas lui-même ce que tout cela signifiait. Une seule et unique phrase s'inscrivit. Il fut prit de stupéfaction en la voyant. jamais du papier ne lui avait parler comme cela, excepté le journal de Tom Jedusor qui avait été emplie de Magie Noire. Et Harry n'y connaissait rien en Magie Noire. Pourtant, ces mots étaient bel et bien là. Mais ce n'était pas l'écriture de Harry. Il la connaissait trop bien celle là. Combien de fois l'avait il lue, en attente de nouvelles, ou en réponse a un appel au secours ? Combien de fois ces mêmes lettres s'étaient elles tracées au tableau pendant un cours ? Et pourtant, c'était tellement irréel. Ca ne pouvait être que de la magie noire « tout objet qui agit et pense de lui-même ne peut être que soumit a la magie noire » avait déclaré Mrs Weasley trois ans plus tôt. Et pourtant, il savait très bien qu'Il aurait préféré se faire brûler vif que d'avoir recours a cette pratique. Car les mots qui venaient de s'afficher par le biais de la plume que tenait la main de Harry (qui ne semblait plus être la sienne tant l'écriture était différente.) disaient clairement ceci :
« Bonjour Harry. »
Et ces lettres, Harry aurait put les reconnaître parmi des milliers. La seule personne qui a sa connaissance écrivait comme ça était son parrain, Sirius Black.
=fin du premier chapitre = relu et corrigé le 22 août 2003 à 1h23.
Bon j'ai sommeil. je vous demande juste quelques petites reviews en attendant la suite (on va dire 12 pour commencer, et de personnes différentes) sinon j'ai une réponse a faire a l'ensemble des reviewers de mon autre fic (l'amour est un sentiment incontrôlable) : Merci pour tout ses petits messages, je sais que j'en ai déçu beaucoup, mais je n'avais pas le choix. Quand j'ai commencé cette fic, je m'étais dit que j'allait tuer Sirius a la fin et comme je suis têtue j'ai pas changer d'avis. J'en ai vu de toutes les couleurs en tout cas. Mais je vous avait dit que tout n'était pas finit pour Hermione et lui, et ce n'est que le début. J'espère que ce premier chapitre vous plait...
