Chapitre 9 : Tout est noir, depuis le monde qui vous entoure jusqu'aux
méandres de votre esprit.
-Potter ! tu nous les lâche quand ces cognard ? -Black, s'il te plait, tu te calmes ou je te fais suspendre. -Ah oui ? Et que ferais tu avec un seul batteur ??? Harry resta sans voix. Depuis la scène du cours de potion, quinze jours auparavant, il n'était plus en très bon terme avec Lilia et Ron. La jeune fille avait été réellement vexée que Harry se soit permit de tenter de ramener son père à la vie sans son aide, et sans même la mettre au courant. Elle trouvait cela totalement immoral. On ne lançait pas de sorts sur les morts ! Et encore moins sur ceux qu'on aimait. -Ecoute, ça suffit maintenant, d'accord ? Je ne sais pas comment Rogue a été mis au courant, et je t'ai déjà présenté mes excuses, alors n'en rajoute pas ! On est ici pour s'entraîner ! Ce n'est pas parce que Rogue a fait repousser le match d'une semaine qu'il faut se permettre n'importe quoi ! Et toi Cook, cesse de prendre cet air supérieur, tu veux ? -C'est ça ! et en parlant d'entraînement envoie nous les balles ! Harry était tellement énervé, qu'il sentait la Magie affluer en lui tout comme le jour ou il avait gonfler sa tante Marge. Il fallait a tout prit qu'il se contienne. Mais ils étaient si bêtes tous ! Comme si lui, Harry, avait fait exprès de relancer un sort sur Sirius. Comme si on ne lui avait rien demandé. Ils ne pensaient tout de même pas que c'était de gaieté de c?ur qu'il avait revécu l'assassinat de l'une des personnes qui lui était le plus cher au monde, non ? D'un coup de pied, il ouvrit la caisse qui contenait les balles, et laissa l'entraînement se dérouler sans dire un mot, sauf si c'était catastrophique, ce qui ne fut évidemment pas le cas, étant donné les joueurs qu'il avait recruté plus tôt dans l'année.
***
i- Arrête. tu devrais essayer de leur parler, de. -A quoi ça sert ? tu sais comment est Ron, non ? Et Lilia a un caractère bien trempé aussi, alors. -Arrêtes de te poser en victime, tu veux ? -Mais c'est moi la victime ! Je ne leurs avait rien dit pour pas qu'il. -Tu savais très bien ce que ça ferait Harry, ne le nie pas. Tu sais comment est Ron lorsqu'il est mis a l'écart. Souviens toi du Tournoi des. -Ca n'est pas la même chose ! -Mais bien sûr que si ! -Ah oui ? et pourquoi ? -Et bien parce que. parce que. -Ecoute Hermione, tu sais que je t'aime beaucoup, pas vrai ? -Oui. -Tu es mon amie, et on a promis de se soutenir, hein ? -oui. -Alors s'il te plait, n'enfonce pas le couteau dans plaie.. -Bien. Trèèèèèèèèèès bien. C'est tout ce que tu as a me dire Harry ? -Hermione. non. je. -au revoir ! /i
***
Cette semaine là, l'ambiance au sein de l'équipe des Gryffondor ne s'était pas améliorée. Lilia et Ron ne parlaient toujours pas à Harry. Morgan Cook, bien que très doué se montrait toujours arrogant, et Harry de son côté se contentait de distribuer les ordres d'un ton cassant qui ne lui allait pas du tout. Pour couronner tout cela, Harry n'arrivait même plus a parler avec Hermione puisque celle-ci refusait toute discussion avec lui depuis samedi soir.
Le jour du match, Harry n'était absolument pas préoccupé par l'équipe des Serpentard qu'ils allaient affronter. Tout lui était totalement indifférent. Il se sentait comme un pion au milieu des autres. Il voulait qu'on l'oublie, lui ses problèmes, sa famille. Cette année, Lee Jordan ayant terminé ses études, le commentaire était fait a tour de rôle par les capitaines des autres équipes. Aujourd'hui, c'était Cho Chang qui commentait le match. -Bienvenue au premier match de Quidditch de l'année ! Aujourd'hui nous allons voir s'affronter les Gryffondor, vainqueur l'année dernière, et les Serpentard !
A ces mots, les équipes entrèrent sur le terrain, en volant. Harry était en tête, et il faisait face à Malefoy. D'habitude, il aurait senti l'envie de vaincre monter en lui, mais pas aujourd'hui. Là, il avait envie de descendre du balai, d'aller s'installer au sommet d'une tour, et de rester seul, a réfléchir. Sans personne. D'un air absent, Harry serra la main de Drago. Il ne remarqua même pas que celui-ci lui avait a moitié écrasé les doigts. Un coup de sifflet lointain retenti, et les joueurs s'envolèrent dans le ciel ensoleillé. Harry prit le temps d'observer le comportement de sa nouvelle équipe. Ginny avait l'air un peu stressé, mais Ron avait du la rassuré au début. Morgan avait son habituel air arrogant, Astrid Parker tremblait de tout ses petits membres chétifs tandis que Seamus Finnigan avait son éternel air décontracté. Lilia, elle, avait l'air déterminé et regardait les serpentard d'un air mauvais. Et particulièrement Malefoy. Le match commençait a se mettre en place, le souaffle passait d'une main a l'autre, mais les poursuiveurs, novices, n'étaient pas a la hauteur des rudes Serpentard. Morgan Cook parvint tout de même a faire passer un souaffle, mais Ron en avait laisser passer plusieurs. Il n'avait pas l'air concentré du tout. Il lui manquait quelque chose. Il jouait platement. Son jeu était comme sans vie. Les souaffles passaient a la vitesse des balles de fusils moldus, mais ce manque de combativité n'était pas le pire de toute l'équipe.
Un peu plus tard, le score était devenu catastrophique. Le professeur McGonagall s'en mordait les doigts. Si Malefoy parvenait a attraper le Vif d'Or maintenant, tout était perdu. Il fallait absolument que les Gryffondor rattrapent cet écart. Serpentard menait par 170 points 30 !!! Malefoy voletait, heureux, autour de Harry, qui n'avait pas franchement bougé depuis le coup d'envoi, une demi heure plus tôt. Un groupe de Serpentard s'avançait vers les anneaux de Gryffondor. Malefoy, qui commençait a s'ennuyer de ce manque de combativité, tentait de faire réagir son rival. -Oh, Potter ! C'est ça ton équipe ? tu es vraiment tombé très bas dis moi ! Aucune réaction -Je pensais que tu étais le meilleur attrapeur junior ? Tes dons se sont envolés ? Toujours pas de réaction. -Et au fait, il y a une chose que je me demandais. Tes parents, ils sont réels où c'est juste des hologrammes ? Harry tourna la tête vers Drago, lui adressa un regard dédaigneux, et retourna a sa contemplation du. vide -Et ta copine, elle te fait la gueule parce que t'as assassiné son père ? Harry tressaillit. Malefoy avait touché la corde sensible, et apparemment cela ne lui avait pas échappé puisqu'il recommença une nouvelle attaque : -Et c'est vrai que tu lui a relancé le sort, au macchabée ? Il parait que ce n'est pas bien, tu sais, tu aurais pu le mutiler. Je suis sûr que ça t'aurait procuré une immense joie !
Harry lança un regard noir a Malefoy qui éclata de rire, et partit d'un coup vers l'opposé du terrain. Harry, passablement énervé, se lança a sa poursuite. Plus rien ne comptait que de rattraper Malefoy et de lui faire le plus de mal possible. Le match, les supporters, Cho qui s'époumonait à commenter le match, tout cela avait disparut.
Quelque secondes plus tard, Harry arriva a la hauteur de Drago. Mais étrangement, malgré son sourire en coin, celui-ci ne réagissait pas plus qu'autre chose. Il était penché en avant, son regard rivé sur un point mobile. Le vif d'Or. Harry leva la main. Devait il frapper Drago Malefoy, ou remporter le match ? Non, il se vengerait plus tard. Seul comptait le match a présent. Un bon moyen de montrer aux Serpentard qu'il était toujours là où on ne l'attendait pas. D'un discret coup d'épaule, Harry déstabilisa Malefoy, avança un peu plus sa main, et attrapa le Vif.
Les supporters de Gryffondor, tout comme McGonagall qui avait mangé tous ses ongles, éclatèrent de joie. Harry, lui, se contenta d'atterrir, de jeter un coup d'?il au score, et de remonter au château suscitant l'étonnement des spectateurs. -Potter, que faites vous donc ? Vous ne restez pas faire la fête ? Harry fit mine de ne pas avoir entendu, et reparti vers le château.
Ce soir là, il n'y eut pas réellement de fête chez les Gryffondor. Les supporters célébrèrent leur victoire pendant une bonne heure, mais lorsque Harry fit son entrée , avec une mine de tête de déterré, tout le monde se tût. Personne n'avait remarqué que Harry n'était pas là, et Lilia ou Ron ne l'avait pas réellement mentionné. S'apercevant qu'il avait cassé l'ambiance, Harry murmurra un rapide : -Continuez, ne vous en faites pas ! Mais malgré cela, la fête ne reprit pas. Les Gryffondor finirent leur soirée comme à leur habitude, dans le calme, parlant de la sortie à Pré au Lard qui aurait lieu la semaine suivante.
***
Harry errait dans les couloirs, insomniaque, ne sachant pas quoi faire. Le lendemain soir aurait lieu la fête d'Halloween. Dans la journée, les élèves étaient invités a se rendre à Pré au Lard, et le soir, comme d'habitude, il y devait y avoir un banquet. Mais Harry ne se sentait pas d'humeur a faire la fête, ou bien a partir faire les boutiques, et cela pour deux raisons. Premièrement, il n'avait plus franchement d'amis avec qui s'amuser, et deuxièmement, Halloween représentait bien trop de choses à ses yeux maintenant. Lorsqu'il avait un an, ses parents étaient morts, pendant toute son enfance il n'avait jamais pu partir collecter des friandises, ou les rares fois ou il l'avait fait, c'était pour les donner à Dudley après. Plus tard, il avait combattu un troll, s'était fait accusé d'être le descendant de Salazar Serpentard, il avait passé une nuit a ne pas dormir en attendant un prétendu assassin, et en quatrième année, Ron avait arrêté de lui parler parce qu'il était inexplicablement Champion de Poudlard au tournoi des trois Sorciers. Et l'année dernière. l'année dernière. il était sur le point de sortir avec Cho, mais Dumbledore avait annoncé l'arrivée imminente de Lilia. Et puis le lendemain. Sirius avait pleuré toute les larmes de son corps car Voldemort l'avait presque tué. Mais que ferait il cette année ? Quel évènement étrange allait encore arriver ?
Peut être qu'il ne se passerait rien du tout. Peut être que le seul malheur qu'il aurait cet année ce serait de rester à la table des Gryffondor, regardant tous ses amis rigoler entre eux, sans pouvoir leur parler.
-Oh et puis a quoi bon ? murmurra-t-il.
Finalement, il vallait mieuxne pas se montrer au banquet demain soir. C'était peut être plus prudent de passer inaperçu, de disparaître, de ne pas essayer de sa faire passer pour ce que l'on est plus. Harry remonta dans sa chambre, bien décidé a ne pas sortir de la Salle Commune le lendemain. Il remonta au dortoir, rentra dans son lit, et se coucha. -Qu'est ce que tu faisais ? demanda Ron -Je croyais que tu ne me parlais plus ? -Je. -Laisse moi tu veux, j'ai envie de dormir. -Mais je. -Laisse moi.
Le lendemain, lorsqu'il se réveilla, Harry mis un certain temps avant de comprendre pourquoi le dortoir, puis la Salle Commune était pratiquement vides. Aujourd'hui c'était Halloween. Tous les élèves à partir de la troisième année étaient invités a se rendre au village pour s'amuser, faire des courses, rester entre amis. En soupirant, il remonta a sa chambre, repensant à Sirius. Il y trois ans, c'était la première fois qu'il s'était réellement manifesté. Il lui avait fait peur même. Il n'aurait pas dû. Si seulement il avait su, il se serait empressé de lui apporter Queudver, et de se rendre au ministère de la Magie. Mais il était resté ignorant. Il avait continué de croire que l'affreux Sirius Black était un traître. Un an de perdu.
Harry contempla le mur, au dessus de son lit. Il y avait quelques photos de ses amis, et une majorité de photographies de Sirius qui lui faisaient de grand signes. Etant conscient que personne ne pouvait l'entendre, il s'adressa au plus récent des portraits : -Pourquoi tu ne reviens pas ? Le portrait baissa les yeux. -Pourquoi tu me laisses seul, ici ? Le portrait parut honteux et désolé. -Pourquoi est ce que je pense à toi tout le temps ? Pourquoi je ne peux pas te parler ? Pourquoi tu ne réponds pas ? Sirius ! Plus Harry continuait, plus sa frustration grandissait, et plus les portraits avaient l'air désolés. Finalement, une idée lui vint à l'esprit : -C'est inutile de faire ça, se dit il, si je veux continuer de vivre, il faut que j'arrête de me. de. penser à toi. Et à ces mots, il sortit sa baguette, et décrocha tous les portraits de son parrain. Un a un, avant de les ranger, il les contempla une dernière fois. Sirius et ses parents, Sirius et Lilia, Sirius avec Ron, Hermione et lui, Sirius a 16 ans. Sirius la veille de leur expédition. La peine remonta jusqu'à Harry. Il avait envie de mettre le feu a ces stupides photographies, il avait envie de tout oublier, de recommencer sa vie. Pourquoi n'avait il pas eu une vie normale ? il devait ioublier/i son parrain.
***
Vers six heures du soir, les élèves commencèrent à apparaître à l'entrée du parc. Harry hésita a prendre sa cape, sa carte, et a partir faire un tour, mais il n'eut pas le temps de réfléchir aux différentes solutions qui s'offraient à lui. -Tiens ! salut Harry ! t'as passé une bonne journée ? -Merci Seamus, oui je. me suis bien amusé. Seamus Finnigan. Sûrement l'un des seuls qui lui adressait encore la parole de temps en temps. Après tout, Sirius n'était rien d'autre qu'un ancien professeur pour lui, et il ne connaissait pas la véritable « raison » de sa démission de dernière minute. Ron, qui était entré juste derrière Seamus, regarda Harry d'un air suspicieux. Il savait très bien qu'il n'était pas allé à Pré au Lard. -Je vais faire un tour ! lança Harry en voyant que Ron n'avait pas l'air décidé a. a quoi d'ailleurs ? Que pouvait il bien faire ?
Harry erra pendant une bonne heure dans les couloirs, se laissant guider par son instinct, ne sachant pas spécialement où il se rendait. Finalement, il se retrouva dans des escaliers qu'il n'avait jamais vu. Il ressemblait étrangement à ceux qui l'avaient menés a la pièce ou reposait Sirius, à la différence près que ceux-ci étaient propres. Intrigué, Harry descendit et se retrouva face a une porte en bois verni où il était inscrit :
icenterEntrée strictement réservée à A.P.W.B.D au sujet de
H.J.P./i/center
A.P.W.B.D ??? qui cela pouvait-il être ? Harry réfléchit un instant, mais il ne connaissait personne avec un nom aussi long. Quant à H.J.P, cela aurait très bien pu être l'abréviation de Harry James Potter, mais il ne fallait pas se leurrer : pourquoi aurait on créé une salle uniquement pour lui ? Chassant cette idée de son esprit, Harry jeta un coup d'?il à sa montre, et, constatant que tous les élèves devait être partis dîner, il prit le chemin du retour.
***
Cela faisait une heure que Harry était installé sur son lit, en tailleur, en espérant que quelque chose se produise. Il voulait qu'un évènement arrive, même la plus infime des choses. Il ne pouvait pas passer sa vie en spectateur en attendant que Lilia, Ron et Hermione comprennent qu'il n'y était pour rien ! Si seulement une chose étrange pouvait se produire. On était à Poudlard après tout, il allait forcément arriver quelque chose. On avait jamais vu une année banale depuis la création de l'école. Découragé, il se laissa tombé allongé sur son lit, et poussa un long soupir.
Il n'y avait que lui et le silence rien d'autre. Pendant cinq minutes il n'y eu aucun bruit dans toute la salle de Gryffondor. Puis, finalement, une sorte de roulement de tambour se fit entendre. Cela aurait pu être les élèves qui remontaient, mais il était bien trop tôt. Alors. qu'est ce que c'était ?
La table de nuit de Harry se mit à trembler dangeureusement. Harry pensa qu'un Epouvantard s'était peut être caché, mais si cela avait été le cas, il l'aurait sûrement vu venir : la créature ne serait sûrement pas passé à côté d'une petite blague. Etonné, ne sachant que faire, Harry regarda sa table de chevet, la baguette serrée dans sa main droite.
Soudainement, le tiroir s'ouvrit d'un coup, comme tiré par une force supérieure, et toutes les photos que Harry y avait enfermé en sortir. Abasourdi, le jeune sorcier ne bougeait toujours pas. Les images se mirent alors à tourner très rapidement en cercle, autour de sa tête. Retrouvant ses esprits, Harry brandit sa baguette et cria : -Stupefix ! Mais les images au lieu de s'arrêter se regroupèrent vers la tête de Harry, et le frappèrent ensemble avec la puissance d'un marteau.
*** (ndla : j'ai faillit couper ici, mais avec tout le temps que je vous ai fait attendre, je pouvais bien vous en rajouté un bout. même si ce n'est qu'un tout petit bout.)
-Mon dieu ! Qu'est ce qu'il lui est arrivé ? -vite, allez chercher Dumbledore et Mme Pomfresh ! -Qu'est ce qu'il s'est passé ? -C'est une nouvelle attaque ? -Colin, colin, je veux rentrer, je ne veux pas qu'il nous tue, je. -Ginny, prévient ses parents ! Envoie leur un hibou ! -Ne bougez pas Mlle Weasley, je vais m'en occuper tout à l'heure. Pompom, pourriez vous l'emmener à l'Infirmerie et essayer de voir ce qu'il a ? -Oui Monsieur le Directeur. -Quant a vous, repartez vite dans vos dortoir, je ne veux voir dans cette pièce que ceux qui y dorment !
*** Une fois que tout les élèvent eurent regagnés leurs chambres, Dumbledore se retrouva seul dans l'Infirmerie avec Harry et bien sûr Mme Pomfresh qui était en train de l'ausculter. -A votre avis qu'est ce qu'il s'est passé ? -Je ne sais pas. Il y avait des photos de Sirius Black par terre dans la chambre, peut être qu'il a essayer de mettre fin à. -non, je ne pense pas. Il me semble que Harry ne va pas très bien en ce moment. D'ailleurs je crois que c'est depuis que. je lui ai demandé de relancer le sort sur son parrain. -Vous avez quoi ? -Vous avez très bien entendu Pompom. Malheureusement, cela ne semble pas avoir réellement bien marché. Et Harry a très mal prit le fait que. mais enfin, il fallait s'y attendre, n'est ce pas ? Mme Pomfresh ne répondit rien. Puis, elle alla chercher sa propre baguette magique, en donna un coup sur un flacon rose bonbon, et admnistra son contenu a Harry.
Celui-ci tressaillit et ouvrit les yeux faiblement. Le professeur Dumbledore parut soulagé, et commença à parler : -Comment te sens tu Harry ? -Qui êtes vous ? -Je suis Albus Dumbledore, directeur de cette école que tu fréquentes depuis. -Quelle école ? -Attends. Peux tu me dire ton nom entier ? Le garçon réfléchit un instant et répondit : -Je m'appelle Harry. -Harry comment ? -Harry. je ne sais pas. -Oh par la barbe de Merlin. Monsieur le Directeur. Il a perdu la mémoire.
*** That's all folks !!!!! voila la fin de ce neuvième chapitre qui, je vous l'accorde, a mit du temps a venir ! En attendant vos commentaires (c'est-à-dire des REVIEWS) je réponds a vos messages !!!!
Et surtout, n'oubliez pas : SOMETHING WICKED THIS WAY COMES !!!
-Potter ! tu nous les lâche quand ces cognard ? -Black, s'il te plait, tu te calmes ou je te fais suspendre. -Ah oui ? Et que ferais tu avec un seul batteur ??? Harry resta sans voix. Depuis la scène du cours de potion, quinze jours auparavant, il n'était plus en très bon terme avec Lilia et Ron. La jeune fille avait été réellement vexée que Harry se soit permit de tenter de ramener son père à la vie sans son aide, et sans même la mettre au courant. Elle trouvait cela totalement immoral. On ne lançait pas de sorts sur les morts ! Et encore moins sur ceux qu'on aimait. -Ecoute, ça suffit maintenant, d'accord ? Je ne sais pas comment Rogue a été mis au courant, et je t'ai déjà présenté mes excuses, alors n'en rajoute pas ! On est ici pour s'entraîner ! Ce n'est pas parce que Rogue a fait repousser le match d'une semaine qu'il faut se permettre n'importe quoi ! Et toi Cook, cesse de prendre cet air supérieur, tu veux ? -C'est ça ! et en parlant d'entraînement envoie nous les balles ! Harry était tellement énervé, qu'il sentait la Magie affluer en lui tout comme le jour ou il avait gonfler sa tante Marge. Il fallait a tout prit qu'il se contienne. Mais ils étaient si bêtes tous ! Comme si lui, Harry, avait fait exprès de relancer un sort sur Sirius. Comme si on ne lui avait rien demandé. Ils ne pensaient tout de même pas que c'était de gaieté de c?ur qu'il avait revécu l'assassinat de l'une des personnes qui lui était le plus cher au monde, non ? D'un coup de pied, il ouvrit la caisse qui contenait les balles, et laissa l'entraînement se dérouler sans dire un mot, sauf si c'était catastrophique, ce qui ne fut évidemment pas le cas, étant donné les joueurs qu'il avait recruté plus tôt dans l'année.
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i- Arrête. tu devrais essayer de leur parler, de. -A quoi ça sert ? tu sais comment est Ron, non ? Et Lilia a un caractère bien trempé aussi, alors. -Arrêtes de te poser en victime, tu veux ? -Mais c'est moi la victime ! Je ne leurs avait rien dit pour pas qu'il. -Tu savais très bien ce que ça ferait Harry, ne le nie pas. Tu sais comment est Ron lorsqu'il est mis a l'écart. Souviens toi du Tournoi des. -Ca n'est pas la même chose ! -Mais bien sûr que si ! -Ah oui ? et pourquoi ? -Et bien parce que. parce que. -Ecoute Hermione, tu sais que je t'aime beaucoup, pas vrai ? -Oui. -Tu es mon amie, et on a promis de se soutenir, hein ? -oui. -Alors s'il te plait, n'enfonce pas le couteau dans plaie.. -Bien. Trèèèèèèèèèès bien. C'est tout ce que tu as a me dire Harry ? -Hermione. non. je. -au revoir ! /i
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Cette semaine là, l'ambiance au sein de l'équipe des Gryffondor ne s'était pas améliorée. Lilia et Ron ne parlaient toujours pas à Harry. Morgan Cook, bien que très doué se montrait toujours arrogant, et Harry de son côté se contentait de distribuer les ordres d'un ton cassant qui ne lui allait pas du tout. Pour couronner tout cela, Harry n'arrivait même plus a parler avec Hermione puisque celle-ci refusait toute discussion avec lui depuis samedi soir.
Le jour du match, Harry n'était absolument pas préoccupé par l'équipe des Serpentard qu'ils allaient affronter. Tout lui était totalement indifférent. Il se sentait comme un pion au milieu des autres. Il voulait qu'on l'oublie, lui ses problèmes, sa famille. Cette année, Lee Jordan ayant terminé ses études, le commentaire était fait a tour de rôle par les capitaines des autres équipes. Aujourd'hui, c'était Cho Chang qui commentait le match. -Bienvenue au premier match de Quidditch de l'année ! Aujourd'hui nous allons voir s'affronter les Gryffondor, vainqueur l'année dernière, et les Serpentard !
A ces mots, les équipes entrèrent sur le terrain, en volant. Harry était en tête, et il faisait face à Malefoy. D'habitude, il aurait senti l'envie de vaincre monter en lui, mais pas aujourd'hui. Là, il avait envie de descendre du balai, d'aller s'installer au sommet d'une tour, et de rester seul, a réfléchir. Sans personne. D'un air absent, Harry serra la main de Drago. Il ne remarqua même pas que celui-ci lui avait a moitié écrasé les doigts. Un coup de sifflet lointain retenti, et les joueurs s'envolèrent dans le ciel ensoleillé. Harry prit le temps d'observer le comportement de sa nouvelle équipe. Ginny avait l'air un peu stressé, mais Ron avait du la rassuré au début. Morgan avait son habituel air arrogant, Astrid Parker tremblait de tout ses petits membres chétifs tandis que Seamus Finnigan avait son éternel air décontracté. Lilia, elle, avait l'air déterminé et regardait les serpentard d'un air mauvais. Et particulièrement Malefoy. Le match commençait a se mettre en place, le souaffle passait d'une main a l'autre, mais les poursuiveurs, novices, n'étaient pas a la hauteur des rudes Serpentard. Morgan Cook parvint tout de même a faire passer un souaffle, mais Ron en avait laisser passer plusieurs. Il n'avait pas l'air concentré du tout. Il lui manquait quelque chose. Il jouait platement. Son jeu était comme sans vie. Les souaffles passaient a la vitesse des balles de fusils moldus, mais ce manque de combativité n'était pas le pire de toute l'équipe.
Un peu plus tard, le score était devenu catastrophique. Le professeur McGonagall s'en mordait les doigts. Si Malefoy parvenait a attraper le Vif d'Or maintenant, tout était perdu. Il fallait absolument que les Gryffondor rattrapent cet écart. Serpentard menait par 170 points 30 !!! Malefoy voletait, heureux, autour de Harry, qui n'avait pas franchement bougé depuis le coup d'envoi, une demi heure plus tôt. Un groupe de Serpentard s'avançait vers les anneaux de Gryffondor. Malefoy, qui commençait a s'ennuyer de ce manque de combativité, tentait de faire réagir son rival. -Oh, Potter ! C'est ça ton équipe ? tu es vraiment tombé très bas dis moi ! Aucune réaction -Je pensais que tu étais le meilleur attrapeur junior ? Tes dons se sont envolés ? Toujours pas de réaction. -Et au fait, il y a une chose que je me demandais. Tes parents, ils sont réels où c'est juste des hologrammes ? Harry tourna la tête vers Drago, lui adressa un regard dédaigneux, et retourna a sa contemplation du. vide -Et ta copine, elle te fait la gueule parce que t'as assassiné son père ? Harry tressaillit. Malefoy avait touché la corde sensible, et apparemment cela ne lui avait pas échappé puisqu'il recommença une nouvelle attaque : -Et c'est vrai que tu lui a relancé le sort, au macchabée ? Il parait que ce n'est pas bien, tu sais, tu aurais pu le mutiler. Je suis sûr que ça t'aurait procuré une immense joie !
Harry lança un regard noir a Malefoy qui éclata de rire, et partit d'un coup vers l'opposé du terrain. Harry, passablement énervé, se lança a sa poursuite. Plus rien ne comptait que de rattraper Malefoy et de lui faire le plus de mal possible. Le match, les supporters, Cho qui s'époumonait à commenter le match, tout cela avait disparut.
Quelque secondes plus tard, Harry arriva a la hauteur de Drago. Mais étrangement, malgré son sourire en coin, celui-ci ne réagissait pas plus qu'autre chose. Il était penché en avant, son regard rivé sur un point mobile. Le vif d'Or. Harry leva la main. Devait il frapper Drago Malefoy, ou remporter le match ? Non, il se vengerait plus tard. Seul comptait le match a présent. Un bon moyen de montrer aux Serpentard qu'il était toujours là où on ne l'attendait pas. D'un discret coup d'épaule, Harry déstabilisa Malefoy, avança un peu plus sa main, et attrapa le Vif.
Les supporters de Gryffondor, tout comme McGonagall qui avait mangé tous ses ongles, éclatèrent de joie. Harry, lui, se contenta d'atterrir, de jeter un coup d'?il au score, et de remonter au château suscitant l'étonnement des spectateurs. -Potter, que faites vous donc ? Vous ne restez pas faire la fête ? Harry fit mine de ne pas avoir entendu, et reparti vers le château.
Ce soir là, il n'y eut pas réellement de fête chez les Gryffondor. Les supporters célébrèrent leur victoire pendant une bonne heure, mais lorsque Harry fit son entrée , avec une mine de tête de déterré, tout le monde se tût. Personne n'avait remarqué que Harry n'était pas là, et Lilia ou Ron ne l'avait pas réellement mentionné. S'apercevant qu'il avait cassé l'ambiance, Harry murmurra un rapide : -Continuez, ne vous en faites pas ! Mais malgré cela, la fête ne reprit pas. Les Gryffondor finirent leur soirée comme à leur habitude, dans le calme, parlant de la sortie à Pré au Lard qui aurait lieu la semaine suivante.
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Harry errait dans les couloirs, insomniaque, ne sachant pas quoi faire. Le lendemain soir aurait lieu la fête d'Halloween. Dans la journée, les élèves étaient invités a se rendre à Pré au Lard, et le soir, comme d'habitude, il y devait y avoir un banquet. Mais Harry ne se sentait pas d'humeur a faire la fête, ou bien a partir faire les boutiques, et cela pour deux raisons. Premièrement, il n'avait plus franchement d'amis avec qui s'amuser, et deuxièmement, Halloween représentait bien trop de choses à ses yeux maintenant. Lorsqu'il avait un an, ses parents étaient morts, pendant toute son enfance il n'avait jamais pu partir collecter des friandises, ou les rares fois ou il l'avait fait, c'était pour les donner à Dudley après. Plus tard, il avait combattu un troll, s'était fait accusé d'être le descendant de Salazar Serpentard, il avait passé une nuit a ne pas dormir en attendant un prétendu assassin, et en quatrième année, Ron avait arrêté de lui parler parce qu'il était inexplicablement Champion de Poudlard au tournoi des trois Sorciers. Et l'année dernière. l'année dernière. il était sur le point de sortir avec Cho, mais Dumbledore avait annoncé l'arrivée imminente de Lilia. Et puis le lendemain. Sirius avait pleuré toute les larmes de son corps car Voldemort l'avait presque tué. Mais que ferait il cette année ? Quel évènement étrange allait encore arriver ?
Peut être qu'il ne se passerait rien du tout. Peut être que le seul malheur qu'il aurait cet année ce serait de rester à la table des Gryffondor, regardant tous ses amis rigoler entre eux, sans pouvoir leur parler.
-Oh et puis a quoi bon ? murmurra-t-il.
Finalement, il vallait mieuxne pas se montrer au banquet demain soir. C'était peut être plus prudent de passer inaperçu, de disparaître, de ne pas essayer de sa faire passer pour ce que l'on est plus. Harry remonta dans sa chambre, bien décidé a ne pas sortir de la Salle Commune le lendemain. Il remonta au dortoir, rentra dans son lit, et se coucha. -Qu'est ce que tu faisais ? demanda Ron -Je croyais que tu ne me parlais plus ? -Je. -Laisse moi tu veux, j'ai envie de dormir. -Mais je. -Laisse moi.
Le lendemain, lorsqu'il se réveilla, Harry mis un certain temps avant de comprendre pourquoi le dortoir, puis la Salle Commune était pratiquement vides. Aujourd'hui c'était Halloween. Tous les élèves à partir de la troisième année étaient invités a se rendre au village pour s'amuser, faire des courses, rester entre amis. En soupirant, il remonta a sa chambre, repensant à Sirius. Il y trois ans, c'était la première fois qu'il s'était réellement manifesté. Il lui avait fait peur même. Il n'aurait pas dû. Si seulement il avait su, il se serait empressé de lui apporter Queudver, et de se rendre au ministère de la Magie. Mais il était resté ignorant. Il avait continué de croire que l'affreux Sirius Black était un traître. Un an de perdu.
Harry contempla le mur, au dessus de son lit. Il y avait quelques photos de ses amis, et une majorité de photographies de Sirius qui lui faisaient de grand signes. Etant conscient que personne ne pouvait l'entendre, il s'adressa au plus récent des portraits : -Pourquoi tu ne reviens pas ? Le portrait baissa les yeux. -Pourquoi tu me laisses seul, ici ? Le portrait parut honteux et désolé. -Pourquoi est ce que je pense à toi tout le temps ? Pourquoi je ne peux pas te parler ? Pourquoi tu ne réponds pas ? Sirius ! Plus Harry continuait, plus sa frustration grandissait, et plus les portraits avaient l'air désolés. Finalement, une idée lui vint à l'esprit : -C'est inutile de faire ça, se dit il, si je veux continuer de vivre, il faut que j'arrête de me. de. penser à toi. Et à ces mots, il sortit sa baguette, et décrocha tous les portraits de son parrain. Un a un, avant de les ranger, il les contempla une dernière fois. Sirius et ses parents, Sirius et Lilia, Sirius avec Ron, Hermione et lui, Sirius a 16 ans. Sirius la veille de leur expédition. La peine remonta jusqu'à Harry. Il avait envie de mettre le feu a ces stupides photographies, il avait envie de tout oublier, de recommencer sa vie. Pourquoi n'avait il pas eu une vie normale ? il devait ioublier/i son parrain.
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Vers six heures du soir, les élèves commencèrent à apparaître à l'entrée du parc. Harry hésita a prendre sa cape, sa carte, et a partir faire un tour, mais il n'eut pas le temps de réfléchir aux différentes solutions qui s'offraient à lui. -Tiens ! salut Harry ! t'as passé une bonne journée ? -Merci Seamus, oui je. me suis bien amusé. Seamus Finnigan. Sûrement l'un des seuls qui lui adressait encore la parole de temps en temps. Après tout, Sirius n'était rien d'autre qu'un ancien professeur pour lui, et il ne connaissait pas la véritable « raison » de sa démission de dernière minute. Ron, qui était entré juste derrière Seamus, regarda Harry d'un air suspicieux. Il savait très bien qu'il n'était pas allé à Pré au Lard. -Je vais faire un tour ! lança Harry en voyant que Ron n'avait pas l'air décidé a. a quoi d'ailleurs ? Que pouvait il bien faire ?
Harry erra pendant une bonne heure dans les couloirs, se laissant guider par son instinct, ne sachant pas spécialement où il se rendait. Finalement, il se retrouva dans des escaliers qu'il n'avait jamais vu. Il ressemblait étrangement à ceux qui l'avaient menés a la pièce ou reposait Sirius, à la différence près que ceux-ci étaient propres. Intrigué, Harry descendit et se retrouva face a une porte en bois verni où il était inscrit :
icenterEntrée strictement réservée à A.P.W.B.D au sujet de
H.J.P./i/center
A.P.W.B.D ??? qui cela pouvait-il être ? Harry réfléchit un instant, mais il ne connaissait personne avec un nom aussi long. Quant à H.J.P, cela aurait très bien pu être l'abréviation de Harry James Potter, mais il ne fallait pas se leurrer : pourquoi aurait on créé une salle uniquement pour lui ? Chassant cette idée de son esprit, Harry jeta un coup d'?il à sa montre, et, constatant que tous les élèves devait être partis dîner, il prit le chemin du retour.
***
Cela faisait une heure que Harry était installé sur son lit, en tailleur, en espérant que quelque chose se produise. Il voulait qu'un évènement arrive, même la plus infime des choses. Il ne pouvait pas passer sa vie en spectateur en attendant que Lilia, Ron et Hermione comprennent qu'il n'y était pour rien ! Si seulement une chose étrange pouvait se produire. On était à Poudlard après tout, il allait forcément arriver quelque chose. On avait jamais vu une année banale depuis la création de l'école. Découragé, il se laissa tombé allongé sur son lit, et poussa un long soupir.
Il n'y avait que lui et le silence rien d'autre. Pendant cinq minutes il n'y eu aucun bruit dans toute la salle de Gryffondor. Puis, finalement, une sorte de roulement de tambour se fit entendre. Cela aurait pu être les élèves qui remontaient, mais il était bien trop tôt. Alors. qu'est ce que c'était ?
La table de nuit de Harry se mit à trembler dangeureusement. Harry pensa qu'un Epouvantard s'était peut être caché, mais si cela avait été le cas, il l'aurait sûrement vu venir : la créature ne serait sûrement pas passé à côté d'une petite blague. Etonné, ne sachant que faire, Harry regarda sa table de chevet, la baguette serrée dans sa main droite.
Soudainement, le tiroir s'ouvrit d'un coup, comme tiré par une force supérieure, et toutes les photos que Harry y avait enfermé en sortir. Abasourdi, le jeune sorcier ne bougeait toujours pas. Les images se mirent alors à tourner très rapidement en cercle, autour de sa tête. Retrouvant ses esprits, Harry brandit sa baguette et cria : -Stupefix ! Mais les images au lieu de s'arrêter se regroupèrent vers la tête de Harry, et le frappèrent ensemble avec la puissance d'un marteau.
*** (ndla : j'ai faillit couper ici, mais avec tout le temps que je vous ai fait attendre, je pouvais bien vous en rajouté un bout. même si ce n'est qu'un tout petit bout.)
-Mon dieu ! Qu'est ce qu'il lui est arrivé ? -vite, allez chercher Dumbledore et Mme Pomfresh ! -Qu'est ce qu'il s'est passé ? -C'est une nouvelle attaque ? -Colin, colin, je veux rentrer, je ne veux pas qu'il nous tue, je. -Ginny, prévient ses parents ! Envoie leur un hibou ! -Ne bougez pas Mlle Weasley, je vais m'en occuper tout à l'heure. Pompom, pourriez vous l'emmener à l'Infirmerie et essayer de voir ce qu'il a ? -Oui Monsieur le Directeur. -Quant a vous, repartez vite dans vos dortoir, je ne veux voir dans cette pièce que ceux qui y dorment !
*** Une fois que tout les élèvent eurent regagnés leurs chambres, Dumbledore se retrouva seul dans l'Infirmerie avec Harry et bien sûr Mme Pomfresh qui était en train de l'ausculter. -A votre avis qu'est ce qu'il s'est passé ? -Je ne sais pas. Il y avait des photos de Sirius Black par terre dans la chambre, peut être qu'il a essayer de mettre fin à. -non, je ne pense pas. Il me semble que Harry ne va pas très bien en ce moment. D'ailleurs je crois que c'est depuis que. je lui ai demandé de relancer le sort sur son parrain. -Vous avez quoi ? -Vous avez très bien entendu Pompom. Malheureusement, cela ne semble pas avoir réellement bien marché. Et Harry a très mal prit le fait que. mais enfin, il fallait s'y attendre, n'est ce pas ? Mme Pomfresh ne répondit rien. Puis, elle alla chercher sa propre baguette magique, en donna un coup sur un flacon rose bonbon, et admnistra son contenu a Harry.
Celui-ci tressaillit et ouvrit les yeux faiblement. Le professeur Dumbledore parut soulagé, et commença à parler : -Comment te sens tu Harry ? -Qui êtes vous ? -Je suis Albus Dumbledore, directeur de cette école que tu fréquentes depuis. -Quelle école ? -Attends. Peux tu me dire ton nom entier ? Le garçon réfléchit un instant et répondit : -Je m'appelle Harry. -Harry comment ? -Harry. je ne sais pas. -Oh par la barbe de Merlin. Monsieur le Directeur. Il a perdu la mémoire.
*** That's all folks !!!!! voila la fin de ce neuvième chapitre qui, je vous l'accorde, a mit du temps a venir ! En attendant vos commentaires (c'est-à-dire des REVIEWS) je réponds a vos messages !!!!
Et surtout, n'oubliez pas : SOMETHING WICKED THIS WAY COMES !!!
