Réponses aux reviews :
Artémis666 : salut, j'ai lu ta fic et t'enverrais bientôt une review car l'ordinateur où je le lisais était complètement paumé (un paumé de chez paumé & co). Merci de lire encore ma fic ^_^ ! Ca fait plaisir de savoir que l'on vous suit. En espérant de bientôt lire la suite de tes fics.
Naw : konishiwa ^_^ ! Heureuse que tu apprécie, envoie moi encore des tas de reviews.
Chapitre 7 : Démasqué(e) ?
Draco se tourna une nouvelle fois devant son miroir, vérifiant et vérifiant encore sa tenue. Il portait toujours un chignon serré mais portait une robe de soie vert émeraude qui découvrait ses épaules menues et aux manches large. Il ne lui manquait qu'un beau solitaire au cou et elle serait prête. En pensant ces mots, la tristesse revenait par vagues. Sa mère, Narcissa, qui se préparait toujours minutieusement pour chacune de ses sorties. Il se souvenait des dizaines d'écrins ouverts pour trouver « le » bijou qui irait le mieux, les non moins nombreuses robes en vrac sur le lit, les centaines de boites de chaussures ouvertes . Et son père, Lucius, qui observait son épouse d'un ?il amusé et qui glissait à son fils encore tout petit combien les femmes pouvaient être coquettes, surtout celle-ci. Sa mère se tournait alors vers eux avec une mine boudeuse : « Vous ne savez pas à quel point c'est dur d'être une femme ! ». Draco se souvenait des rires qui fusaient alors et. Non, il ne devait pas laisser les souvenirs affluer. Se concentrer sur sa mission. Hier, son informateur lui avait appris qu'Elle serait là.
Il s'observa à nouveau dans la glace, ses yeux rouges brillaient d'excitation. Pour lui comme pour son espion cette soirée était très importante. Si tout se passe comme ils l'espéraient, ils n'auraient plus à se cacher.
***
Dumbledore jeta un regard un regard aux Aurors qui s'étaient assemblés en demi-cercle autour de lui.
« Il viendra ce soir. Je vous recommande la plus grande vigilance »
Tous hochèrent la tête. Loods sentait l'excitation le gagner, heureux de faire face à nouveau au fugitif. Débarrassé de lui, plus rien ne pouvait l'empêcher de s'occuper de Banks. Définitivement.
*** Harry soupira tristement dans la Grande Salle. Tous ces camarades avaient reçu la visite de leurs parents ; plus que jamais l'absence de son parrain se faisait sentir. Il avait beau savoir que même vivant, il n'aurait pas pu venir, sa présence lui manquait et ce malgré la sympathie des Weasley, des Granger ainsi que Mrs Londubat. Après l'attaque de Malefoy, la nouvelle était parvenue aux oreilles de la presse - Dieu seul savait comment d'ailleurs - et pour faire taire tout sentiment d'insécurité chez les parents d'élèves, la direction avait organisé une somptueuse réception où étaient conviés tous les parents d'élèves.
Ruminant ses pensées, il vit entrer sa prof de DCFM ; il se dirigea vers elle pour s'excuser de l'incident de l'autre jour. Mais Pansy Parkinson le devança : il devina qu'elle la remerciait pour lui avoir sauvé la vie. Ce n'est pas trop tôt, pensa-t-il. Quand elle fut partie, il s'approcha à nouveau.
_ Bon. Bonsoir miss, euh, je voulais mexcusertoutesmesplusplatesexcusesmiss, Harry murmura la dernière partie.
_ Ah, bon OK répondit Draco qui n'avait pas tout compris.
_ Eh, Harry ! Cria Ron le rejoignant. C'est cool, une soirée à Poudlard sans ces cons de Malefoy, . sa phrase mourut dans sa gorge devant le regard meurtrier de la jeune prof.
_ Bonsoir Monsieur Weasley, dix points en moins pour Gryffondor pour propos grossiers et cinq points en moins pour ne pas avoir tenu compte de ma présence, déclara Draco en s'éloignant des deux garçons pour ne pas être tenté de mettre son poing dans la gueule du roux.
Mais il n'avait pas fait deux pas quand Arthur Weasley surgit devant lui. « Un Weasley de perdu, dix de retrouvés », lui avait dit son père. « Il n'avait pas tord ».
Celui-ci lui jetait un regard suspicieux. « Bouh j'ai peur, casse-toi » hurla intérieurement Draco. A sa grande surprise, il lui tendit la main et se présenta :
_ Arthur Weasley, père du jeune crétin que vous venez de gronder. On m'a beaucoup parlé de vous, miss Banks.
_ En bien j'espère, fit Draco tout sourire serrant la main tendue. J'ai moi aussi entendu parler de vous.
_ Ah bon, et par qui ? demanda l'homme surpris.
_ Un certain Perceval Weasley ; très gentil garçon, le c?ur sur la main mais une tendance un peu trop marqué à tenir des propos redondants et vides de sens.
A ces mots, le plus âgé se rembrunit, et s'en fut murmurant des formules d'usage. Draco soupira d'aise et se dirigea vers la table des professeurs qui affichaient tous une mine contrariée.
_ Eh bien, chers collègues, on ne peut pas dire que l'on s'amuse ici.
Ils la regardèrent s'asseoir sans un mot. Tous savaient qu'une attaque était possible à tout moment. Comment pouvait-elle être aussi détendue ? Elle sait sans doute qu'elle n'a rien à craindre de Malefoy, pensa Rogue. Le souvenir de son élève le rendait encore plus énervé. Il avait assisté à sa séance d'initiation, lui avait demandé par certains détours (il ne voulait pas griller sa couverture) ses motivations. « Celles qui vous animent et animaient mon père dont j'entend bien venger sa mort » lui avait- il répondu. Rogue se souvint avoir maudit son ancien ami pour avoir insuffler autant de haine dans son fils. Il s'en voulait aussi pour n'avoir rien fait pour prévenir cela, mais tout était allé trop vite. Depuis cette discussion il ne s'approchait plus du nouveau Mangemort qui avait d'ailleurs gravi les échelons de l'Armée des Ténèbres puisqu'il ne recevait ses ordres que de Vous-Savez-Qui en personne. Mais quelque chose d'indéfinissable le gênait chez lui, qui le mettait mal à l'aise : il doutait parfois qu'il s'agisse réellement de lui.
Harry discutait avec ses deux meilleurs amis. Hermione avait planté sa tente à la bibliothèque cherchant toute information supplémentaire sur la Source des Enfers et sur son Gardien.
_ Je n'ai rien pu trouver sur Magnus et ses descendants mais certains livres situent la Source en Angleterre, plus précisément dans l'Ile des Illusions mais aucune indication sur la situation géographique de cet endroit. Mais je continue de chercher et .
Dumbledore venait de rentrer dans la Grand Salle. Il monta sur l'estrade et quand le silence se fit dans la salle il commença son discours :
« Mesdames et Messieurs, Honorables invités, très chers Elèves, permettez- moi de vous souhaiter la bienvenue à Poudlard . »
Draco décrocha quand Loods vint s'asseoir à côté de lui.
_ Ravissante cette robe, lui murmura-t-il.
_ Vous n'êtes pas mal non plus.
_ Votre très cher ami Draco Malefoy ne s'est pas encore manifesté. Inquiète ?
_ Vous me prêter des relations que je n'ai malheureusement pas.
_ Pas de ça avec moi, sa voix devenue sifflante. Sitôt que j'en aurais fini avec lui, nous aurons vous et moi une petite conversation qui sera fructueuse je n'en doute pas un instant. Je sais que vous êtes une Ame Errante.
_ Et alors ? Ce n'est pas puni par la loi que je sache à moins que vous ne vous preniez pour un justicier, Mr Loods.
_ Qu'est-ce que vous faîtes à Poudlard, sale Mangemort ?
_ Tourisme, sale monstre.
L'échange se termina en même temps que le discours du directeur. Les plats apparurent aussitôt et l'assistance commença à manger.
***
Assise sur un des toits de Poudlard, Anna Banks souriait. C'était trop facile. Elle s'était facilement introduite dans l'école, ses hommes investissaient les lieux tuant un par un les Aurors qui faisaient le guet. Mais elle restait prudente : les plus puissants se trouvaient certainement dans la Grande Salle. Elle fit un signe aux Détraqueurs qui l'accompagnaient. A eux de jouer.
***
Draco s'impatientait. Il était déjà dix heures. Il jaugeait l'assistance du regard. Les journalistes, Rita Steeker en particulier, ne cessaient de tourner autour de Potter qui lançait des regards désespérés. Toujours à faire l'intéressant : regardez-moi, je suis le Survivant-Dont-La- Vie-Est-Une-Suite-De-Malheurs-Sans-Fin. Un regard aux Weasley lui remonta le moral : le plus âgé affichait une mine sombre. Il ne s'imaginait pas avoir un fils chez les Mangemort, le pauvre.
La porte de la pièce s'ouvrit avec fracas : l'ombre des Détraqueurs parut alors dans l'entrée figeant tous les invités d'effroi. Derrière eux, l'on distinguait les cagoules des Mangemorts.
Aussitôt les Aurors se déployèrent dans la pièce, Loods hurla des ordres. Harry fut aussitôt entouré de quatre sorciers créant ainsi un mur pour le protéger tandis qu'étaient évacués par une trappe les élèves et leurs parents prévue à cet effet. Des sorts fusèrent de part et d'autres.
Draco n'était pas descendu avec les autres, s'était tenu en retrait des combattants qui avaient à présent dressés des barricades. Il devait la voir. Mais l'entrée principale était bloquée. Prenant une profonde inspiration, il enjamba une table, se trouvant au milieu des tirs ( ?) croisés. Il courut vers le camp des Ténèbres, tendit ses mains en avant en se concentrant. Surpris, certains Mangemorts ne purent éviter une rafale d'énergie et tombèrent. Draco sauta par-dessus la barrière et sortit. Il courut un moment dans les couloirs, avant de se retourner surpris de ne pas être poursuivi.
Il entra dans l'un des jardins de l'établissement. La lune était haute dans le ciel et lui permit de repérer une ombre assise sur un banc.
_ Je vous avais bien dit que nous nous reverrons, miss Banks, susurra une voix traînante.
_ J'attends ce moment depuis très longtemps. Draco sortit sa baguette. Il est temps de régler nos comptes, Banks.
L'ombre se leva et Draco vit son mince visage se découper à la lumière de la Lune.
***
Harry avait lui aussi quitté la salle, mais parce que les Mangemorts avaient soudain pris leurs jambes à leurs cous bien qu'ils n'étaient en aucun cas mis en échec, au contraire. Les Aurors s'était lancé à leur poursuite et le jeune garçon avait pu quitter ses nounous. Il se rendait dans la salle où se trouvaient tous ces amis lorsqu'il vit deux silhouettes se dessiner dans un jardin. Il était venu. Potter sentit sa rage contre Malefoy remonter. Il descendit en quatrième vitesse les escaliers pour entrer dans l'enceinte.
_ Malefoy, cette fois-ci je ne me laisserai pas faire !
_ Dégage Potter, cria sa prof se retournant.
C'est le moment que choisi le Mangemort pour lancer un Incendio sur la prof qui l'évita un peu mais eu la jambe droite brûlée. Elle poussa un gémissement, puis lança un Expelliarmus qui heurta son adversaire qui tomba à la renverse. Le temps qu'il se relève, il entendit sa prof lancer un sort sur sa jambe pour ne pas sentir la douleur.
_ Tu n'as pas intérêt à t'avancer Potter ! Lui lança-t-elle sans le regarder. IL EST A MOI !
Quand l'autre se fut redressé, de nombreux Aurors surgirent. Il tenta de s'enfuir, mais Draco lui envoya à son tour une tornade de flammes en plein visage. Hurlant, le Mangemort s'effondra sur le sol, se tournant et se retournant. Il sembla à Harry, que son corps changeait, diminuant de taille, de longs cheveux rouges apparaissaient. Quand « la chose » se redressa et au lieu des habituels yeux gris, il vit des yeux jaunes.
_ Voici donc ton véritable visage.
Harry se retourna et vit sa prof qui s'était avancée.
Fin du chapitre
Vous croyez que c'est fini ? Détrompez-vous !! Relisez le titre de la fic et soutenez-moi en cliquant là en bas à gauche. Aligato (merci)
Artémis666 : salut, j'ai lu ta fic et t'enverrais bientôt une review car l'ordinateur où je le lisais était complètement paumé (un paumé de chez paumé & co). Merci de lire encore ma fic ^_^ ! Ca fait plaisir de savoir que l'on vous suit. En espérant de bientôt lire la suite de tes fics.
Naw : konishiwa ^_^ ! Heureuse que tu apprécie, envoie moi encore des tas de reviews.
Chapitre 7 : Démasqué(e) ?
Draco se tourna une nouvelle fois devant son miroir, vérifiant et vérifiant encore sa tenue. Il portait toujours un chignon serré mais portait une robe de soie vert émeraude qui découvrait ses épaules menues et aux manches large. Il ne lui manquait qu'un beau solitaire au cou et elle serait prête. En pensant ces mots, la tristesse revenait par vagues. Sa mère, Narcissa, qui se préparait toujours minutieusement pour chacune de ses sorties. Il se souvenait des dizaines d'écrins ouverts pour trouver « le » bijou qui irait le mieux, les non moins nombreuses robes en vrac sur le lit, les centaines de boites de chaussures ouvertes . Et son père, Lucius, qui observait son épouse d'un ?il amusé et qui glissait à son fils encore tout petit combien les femmes pouvaient être coquettes, surtout celle-ci. Sa mère se tournait alors vers eux avec une mine boudeuse : « Vous ne savez pas à quel point c'est dur d'être une femme ! ». Draco se souvenait des rires qui fusaient alors et. Non, il ne devait pas laisser les souvenirs affluer. Se concentrer sur sa mission. Hier, son informateur lui avait appris qu'Elle serait là.
Il s'observa à nouveau dans la glace, ses yeux rouges brillaient d'excitation. Pour lui comme pour son espion cette soirée était très importante. Si tout se passe comme ils l'espéraient, ils n'auraient plus à se cacher.
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Dumbledore jeta un regard un regard aux Aurors qui s'étaient assemblés en demi-cercle autour de lui.
« Il viendra ce soir. Je vous recommande la plus grande vigilance »
Tous hochèrent la tête. Loods sentait l'excitation le gagner, heureux de faire face à nouveau au fugitif. Débarrassé de lui, plus rien ne pouvait l'empêcher de s'occuper de Banks. Définitivement.
*** Harry soupira tristement dans la Grande Salle. Tous ces camarades avaient reçu la visite de leurs parents ; plus que jamais l'absence de son parrain se faisait sentir. Il avait beau savoir que même vivant, il n'aurait pas pu venir, sa présence lui manquait et ce malgré la sympathie des Weasley, des Granger ainsi que Mrs Londubat. Après l'attaque de Malefoy, la nouvelle était parvenue aux oreilles de la presse - Dieu seul savait comment d'ailleurs - et pour faire taire tout sentiment d'insécurité chez les parents d'élèves, la direction avait organisé une somptueuse réception où étaient conviés tous les parents d'élèves.
Ruminant ses pensées, il vit entrer sa prof de DCFM ; il se dirigea vers elle pour s'excuser de l'incident de l'autre jour. Mais Pansy Parkinson le devança : il devina qu'elle la remerciait pour lui avoir sauvé la vie. Ce n'est pas trop tôt, pensa-t-il. Quand elle fut partie, il s'approcha à nouveau.
_ Bon. Bonsoir miss, euh, je voulais mexcusertoutesmesplusplatesexcusesmiss, Harry murmura la dernière partie.
_ Ah, bon OK répondit Draco qui n'avait pas tout compris.
_ Eh, Harry ! Cria Ron le rejoignant. C'est cool, une soirée à Poudlard sans ces cons de Malefoy, . sa phrase mourut dans sa gorge devant le regard meurtrier de la jeune prof.
_ Bonsoir Monsieur Weasley, dix points en moins pour Gryffondor pour propos grossiers et cinq points en moins pour ne pas avoir tenu compte de ma présence, déclara Draco en s'éloignant des deux garçons pour ne pas être tenté de mettre son poing dans la gueule du roux.
Mais il n'avait pas fait deux pas quand Arthur Weasley surgit devant lui. « Un Weasley de perdu, dix de retrouvés », lui avait dit son père. « Il n'avait pas tord ».
Celui-ci lui jetait un regard suspicieux. « Bouh j'ai peur, casse-toi » hurla intérieurement Draco. A sa grande surprise, il lui tendit la main et se présenta :
_ Arthur Weasley, père du jeune crétin que vous venez de gronder. On m'a beaucoup parlé de vous, miss Banks.
_ En bien j'espère, fit Draco tout sourire serrant la main tendue. J'ai moi aussi entendu parler de vous.
_ Ah bon, et par qui ? demanda l'homme surpris.
_ Un certain Perceval Weasley ; très gentil garçon, le c?ur sur la main mais une tendance un peu trop marqué à tenir des propos redondants et vides de sens.
A ces mots, le plus âgé se rembrunit, et s'en fut murmurant des formules d'usage. Draco soupira d'aise et se dirigea vers la table des professeurs qui affichaient tous une mine contrariée.
_ Eh bien, chers collègues, on ne peut pas dire que l'on s'amuse ici.
Ils la regardèrent s'asseoir sans un mot. Tous savaient qu'une attaque était possible à tout moment. Comment pouvait-elle être aussi détendue ? Elle sait sans doute qu'elle n'a rien à craindre de Malefoy, pensa Rogue. Le souvenir de son élève le rendait encore plus énervé. Il avait assisté à sa séance d'initiation, lui avait demandé par certains détours (il ne voulait pas griller sa couverture) ses motivations. « Celles qui vous animent et animaient mon père dont j'entend bien venger sa mort » lui avait- il répondu. Rogue se souvint avoir maudit son ancien ami pour avoir insuffler autant de haine dans son fils. Il s'en voulait aussi pour n'avoir rien fait pour prévenir cela, mais tout était allé trop vite. Depuis cette discussion il ne s'approchait plus du nouveau Mangemort qui avait d'ailleurs gravi les échelons de l'Armée des Ténèbres puisqu'il ne recevait ses ordres que de Vous-Savez-Qui en personne. Mais quelque chose d'indéfinissable le gênait chez lui, qui le mettait mal à l'aise : il doutait parfois qu'il s'agisse réellement de lui.
Harry discutait avec ses deux meilleurs amis. Hermione avait planté sa tente à la bibliothèque cherchant toute information supplémentaire sur la Source des Enfers et sur son Gardien.
_ Je n'ai rien pu trouver sur Magnus et ses descendants mais certains livres situent la Source en Angleterre, plus précisément dans l'Ile des Illusions mais aucune indication sur la situation géographique de cet endroit. Mais je continue de chercher et .
Dumbledore venait de rentrer dans la Grand Salle. Il monta sur l'estrade et quand le silence se fit dans la salle il commença son discours :
« Mesdames et Messieurs, Honorables invités, très chers Elèves, permettez- moi de vous souhaiter la bienvenue à Poudlard . »
Draco décrocha quand Loods vint s'asseoir à côté de lui.
_ Ravissante cette robe, lui murmura-t-il.
_ Vous n'êtes pas mal non plus.
_ Votre très cher ami Draco Malefoy ne s'est pas encore manifesté. Inquiète ?
_ Vous me prêter des relations que je n'ai malheureusement pas.
_ Pas de ça avec moi, sa voix devenue sifflante. Sitôt que j'en aurais fini avec lui, nous aurons vous et moi une petite conversation qui sera fructueuse je n'en doute pas un instant. Je sais que vous êtes une Ame Errante.
_ Et alors ? Ce n'est pas puni par la loi que je sache à moins que vous ne vous preniez pour un justicier, Mr Loods.
_ Qu'est-ce que vous faîtes à Poudlard, sale Mangemort ?
_ Tourisme, sale monstre.
L'échange se termina en même temps que le discours du directeur. Les plats apparurent aussitôt et l'assistance commença à manger.
***
Assise sur un des toits de Poudlard, Anna Banks souriait. C'était trop facile. Elle s'était facilement introduite dans l'école, ses hommes investissaient les lieux tuant un par un les Aurors qui faisaient le guet. Mais elle restait prudente : les plus puissants se trouvaient certainement dans la Grande Salle. Elle fit un signe aux Détraqueurs qui l'accompagnaient. A eux de jouer.
***
Draco s'impatientait. Il était déjà dix heures. Il jaugeait l'assistance du regard. Les journalistes, Rita Steeker en particulier, ne cessaient de tourner autour de Potter qui lançait des regards désespérés. Toujours à faire l'intéressant : regardez-moi, je suis le Survivant-Dont-La- Vie-Est-Une-Suite-De-Malheurs-Sans-Fin. Un regard aux Weasley lui remonta le moral : le plus âgé affichait une mine sombre. Il ne s'imaginait pas avoir un fils chez les Mangemort, le pauvre.
La porte de la pièce s'ouvrit avec fracas : l'ombre des Détraqueurs parut alors dans l'entrée figeant tous les invités d'effroi. Derrière eux, l'on distinguait les cagoules des Mangemorts.
Aussitôt les Aurors se déployèrent dans la pièce, Loods hurla des ordres. Harry fut aussitôt entouré de quatre sorciers créant ainsi un mur pour le protéger tandis qu'étaient évacués par une trappe les élèves et leurs parents prévue à cet effet. Des sorts fusèrent de part et d'autres.
Draco n'était pas descendu avec les autres, s'était tenu en retrait des combattants qui avaient à présent dressés des barricades. Il devait la voir. Mais l'entrée principale était bloquée. Prenant une profonde inspiration, il enjamba une table, se trouvant au milieu des tirs ( ?) croisés. Il courut vers le camp des Ténèbres, tendit ses mains en avant en se concentrant. Surpris, certains Mangemorts ne purent éviter une rafale d'énergie et tombèrent. Draco sauta par-dessus la barrière et sortit. Il courut un moment dans les couloirs, avant de se retourner surpris de ne pas être poursuivi.
Il entra dans l'un des jardins de l'établissement. La lune était haute dans le ciel et lui permit de repérer une ombre assise sur un banc.
_ Je vous avais bien dit que nous nous reverrons, miss Banks, susurra une voix traînante.
_ J'attends ce moment depuis très longtemps. Draco sortit sa baguette. Il est temps de régler nos comptes, Banks.
L'ombre se leva et Draco vit son mince visage se découper à la lumière de la Lune.
***
Harry avait lui aussi quitté la salle, mais parce que les Mangemorts avaient soudain pris leurs jambes à leurs cous bien qu'ils n'étaient en aucun cas mis en échec, au contraire. Les Aurors s'était lancé à leur poursuite et le jeune garçon avait pu quitter ses nounous. Il se rendait dans la salle où se trouvaient tous ces amis lorsqu'il vit deux silhouettes se dessiner dans un jardin. Il était venu. Potter sentit sa rage contre Malefoy remonter. Il descendit en quatrième vitesse les escaliers pour entrer dans l'enceinte.
_ Malefoy, cette fois-ci je ne me laisserai pas faire !
_ Dégage Potter, cria sa prof se retournant.
C'est le moment que choisi le Mangemort pour lancer un Incendio sur la prof qui l'évita un peu mais eu la jambe droite brûlée. Elle poussa un gémissement, puis lança un Expelliarmus qui heurta son adversaire qui tomba à la renverse. Le temps qu'il se relève, il entendit sa prof lancer un sort sur sa jambe pour ne pas sentir la douleur.
_ Tu n'as pas intérêt à t'avancer Potter ! Lui lança-t-elle sans le regarder. IL EST A MOI !
Quand l'autre se fut redressé, de nombreux Aurors surgirent. Il tenta de s'enfuir, mais Draco lui envoya à son tour une tornade de flammes en plein visage. Hurlant, le Mangemort s'effondra sur le sol, se tournant et se retournant. Il sembla à Harry, que son corps changeait, diminuant de taille, de longs cheveux rouges apparaissaient. Quand « la chose » se redressa et au lieu des habituels yeux gris, il vit des yeux jaunes.
_ Voici donc ton véritable visage.
Harry se retourna et vit sa prof qui s'était avancée.
Fin du chapitre
Vous croyez que c'est fini ? Détrompez-vous !! Relisez le titre de la fic et soutenez-moi en cliquant là en bas à gauche. Aligato (merci)
