Disclamer : tout à JK Rowling et rien pour moi.
Réponses aux reviews :
PaprikaStar : Et voici le chapitre 10 ! Bon, il s'y passe pas grand-chose mais je n'ai pas envie de tout mettre dans un seul chapitre ( c'est au moins quinze pages World...). Je suis tout ému par tes reviews . Ma boite e- mail est désespérément vide, à part mes reviewers personne m'écris bouhouhouhou ( s'apitoie lamentablement sur son sort). Envoie-moi encore des reviews pleeaase. Aligato (merci).
Chapitre 10 : Sus au manoir ! (partie 1)
Draco fut le premier à pénétrer dans le manoir. Dire qu'il aimait cette bâtisse était peu dire. Il y était viscéralement attaché. Ce n'était pas la plus belle résidence qu'il possédait mais c'est là qu'il y avait le plus de souvenirs. Ces premiers pas, ses premiers sortilèges, sa première potion qu'il avait faite dans un des chaudrons de son père. Manque de pot, celui- ci n'était pas vide et le mélange des deux potions avait provoqué une énorme explosion. Draco sourit en y repensant : toute la maison avait exhalé une odeur putride pendant trois jours. Mais à cause de l'accident, ou grâce à lui, on lui avait offert son premier chaudron ,immobilisé dans une pièce isolée, ainsi qu'un livre de potions inoffensives, sauf quand il décidait de varier les mélanges. Et là...
Il y avait aussi les portraits. Fils unique, il passait de longues heures dans la galerie, écoutant ses ancêtres lui raconter leurs exploits. D'ailleurs les tableaux aimaient à se chamailler entre eux pour savoir qui raconterait sa croisade, son combat face aux dragons, etc.
Toujours dans ses souvenirs, il pénétra dans le bureau de son défunt père. Il était immense avec deux côtés occupés dans leur intégralité par d'immenses bibliothèques remplis de grimoires très souvent uniques au monde. La lumière entrait par le troisième côté par de larges et hautes fenêtres. Draco se dirigea vers la table de travail impeccablement rangée. Il se surprit de marcher sur la pointe des pieds. C'était la première fois qu'il y entrait depuis le décès de ces parents. D'un pas plus assuré, il commença à fouiller dans les tiroirs, soulevant de nombreux parchemins avant de tomber sur une feuille où des chiffres étaient notés.
« Hum, je pourrais le faire tout de suite » pensa-t-il. Il sortit deux parchemins qu'il plaça sur la table, s'assit, trempa une plume dans l'encre et retranscrivit les codes sur chaque feuille. Sur la première apparue alors de nombreux noms en face desquels se trouvaient des nombres. Avisant le nom Loods, il se décidait à écrire sur le second parchemin quand sentit un spasme traverser son corps. Quelqu'un essayait d'entrer.
_ Tu n'y arriveras pas de cette façon, Mione.
_ Alohomora ! Alohomora !
_ Harry, dis lui que c'est pas la peine.
_ Je le sais bien, rugit Hermione. Mais cette maison a été condamné donc on ne peux l'ouvrir que magiquement. Il doit bien y avoir un moyen...
_ Ben y a qu'à tourner la poignée, proposa Ron. Joignant le geste à la parole il posa la main sur un battant de la porte. Plusieurs éclairs rouges la traversèrent alors et le Gryffondor fut projeté en arrière.
_ Si tu crois que les gens du ministère n'y ont pas pensé avant toi, dit Ginny.
_ Parce que tu crois qu'ils n'ont pas pensé à Alohomora, répliqua Ron.
_ Ce que tu peux être pénible !
_ Et toi !
Harry ne se préoccupa pas de leur dispute et s'approcha de la porte. Il tendit la main sans toucher la porte. Eclairs. Il recula. Plus d'éclairs. Il recommença plusieurs fois. Cette impression quand ils surgissaient, il la connaissait. Saisissant sa baguette, il la pointa vers une des énormes statues représentants des reptiles qui se trouvaient de part et d'autre de l'allée.
_ Wingardium Leviosa !
Alors que la pièce se soulevait, Harry comprit qu'il s'agissait de la même sensation.
_ Tu veux l'utiliser comme bélier, demanda Ron surpris.
_ Je crois que j'ai compris ce que la prof voulait dire.
_ Qui ça ? Malefoy ?
Sans un mot, il se tourna à nouveau vers la porte, ouvrit une de ces mains. C'était comme lorsqu'il voulait lancer un sort, c'était de cette énergie dont Malefoy avait parlé. Il se concentra donc et bientôt une boule lumineuse de la taille d'un ballon de hand-ball parut entre ces doigts. Il en fut très fier mais comprit très vite qu'il devait rester très concentré s'il ne voulait pas qu'elle disparaisse. Ses amis ouvraient de grands yeux (N/A : imaginez des yeux de merlan frit).
Puis il eu une idée. Harry s'approcha de la porte et lança sa boule. Il y eu de nouveaux des éclairs puis une explosion. Les trois amis reculèrent vivement. La porte était intacte. Hermione s'avança tenta de l'ouvrir mais elle fut elle aussi projeter.
_ Recommence. Plus fort, murmura la jeune fille.
Harry allait recommencer quand sa cicatrice lui provoqua une violente migraine (N/A : L'auteur par la présente note s'excuse de vous faire ressortir l'histoire de la cicatrice qui fait mal quand Voldie est à côté car c'est à cause du méchant que Harry s'est retrouvé seul au monde patati et patata). Voldemort était là ( Oh mon dieu, faites que je n'ai pas écrit cela si ? Toutes mes plus plates excuses encore). Ne devais-t-il pas venir plus tard ? Il se dépêcha de former une nouvelle boule mais au bout de cinq tentatives, il avait définitivement trop mal à la tête pour demeurer autant concentré.
_ Dépêche-toi Harry, cria Ron apeuré. Il arrive !
_ Mais j'ai trop mal !
_ Fais un effort ! J'ai pas envie de me faire tuer par Tu-Sais-Qui !
_ Cesse de le déconcentrer et tu ne vois pas qu'il a mal à le tête ! Hurla Hermione.
C'est alors que la porte s'ouvrit et ils virent sur le palier un jeune homme d'assez grande taille , à la peau pâle, aux cheveux châtain clair et aux yeux rouges.
_ Rentrez vite, dit-il.
Les trois jeunes hésitèrent.
_ Dépêchez-vous un peu ? Vous voulez vous faire tuer !
Ils ne se firent pas prier et entrèrent dans le manoir. Aussitôt la douleur s'estompa dans la tête de Harry. Le jeune homme leur lança un regard noir.
_ Qu'est-ce que vous foutez ici ?
_ Ben, et vous ?
_ Je suis chez moi, ça ne se voit pas ?
_ Comment ça ? Malefoy ? S'interrogea Harry.
_ Oh la vivacité d'esprit du Gryffondor... répliqua-t-il. Qui espériez-vous ? Fudge ?
_ T'étais pas une fille ? Se risqua Ron.
_ Tu veux que je te fasse sortir ?
Les quatre jeunes se dévisagèrent. Ce fut Hermione qui brisa le silence.
_ Il arrive, on devrait peut-être faire quelque chose.
_ Le manoir est condamné. Nul ne peut entrer sans mon consentement. Répondez à ma question.
_ Voldemort a du sang de ton père en sa possession, commença Harry. Selon Dumbledore, ce serait suffisant pour venir prendre le contrôle de la Source. Alors...
_ On est venu l'en empêcher, acheva Ron.
Silence.
_ Vu votre empressement à vous mettre à l'abri je suppose que vous n'avez pas de plan pour récupérer le sang.
_ N'empêche qu'on est coincé maintenant, s'impatienta Hermione. On ne peut pas se transplaner. Ah si, tu l'as fait à Poudlard. Au fait tu t'y es pris comment ?
_ On ne peut pas partir comme ça !
_ Potter a raison. Suivez-moi.
Ils traversèrent de nombreux couloirs. Hermione ne pu s'empêcher de s'extasier devant les différents plafonds enchantés, les vases millénaires, les statues antiques. Ron pestait contre le gaspillage des Malefoy et tout ce luxe tapageur. Harry, quand à lui s'inquiétait de ne plus ressentir la présence du Seigneur des Ténèbres. Il n'avait certainement pas fait marche arrière.
Ils aboutirent devant une porte où l'empreinte d'une main était inscrite. Draco y déposa sa main. La porte s'ouvrit alors et ils s'engouffrèrent dans la pièce. L'intérieur s'illumina et les trois Gryffondors découvrirent que des dizaines de miroirs ornaient les murs et le plafond.
_ C'est ta chambre, ironisa Ron.
_ Non, c'est le système de sécurité. Il a été inventé pour protéger les membres de la famille Malefoy. On va essayer de repousser les Mangemorts.
Draco murmura une formule et les miroirs représentèrent bientôt différentes pièces du manoir.
_ Oui mais il a le sang de ton père, ne l'oublie pas, rappela Hermione.
_ On ne pourra pas tous les neutraliser, c'est sûr, mais c'est mieux que rien. On avisera ensuite.
_ Et les créatures de tes cours ?
_ Le parc est surprotégé : il y des sortilèges repousse-moldus, repousse- vampires, etc. Si je les appelle, ils viendront trop tard. Le cas échéant, je rouvrirai la Source.
Fin du chapitre.
Réponses aux reviews :
PaprikaStar : Et voici le chapitre 10 ! Bon, il s'y passe pas grand-chose mais je n'ai pas envie de tout mettre dans un seul chapitre ( c'est au moins quinze pages World...). Je suis tout ému par tes reviews . Ma boite e- mail est désespérément vide, à part mes reviewers personne m'écris bouhouhouhou ( s'apitoie lamentablement sur son sort). Envoie-moi encore des reviews pleeaase. Aligato (merci).
Chapitre 10 : Sus au manoir ! (partie 1)
Draco fut le premier à pénétrer dans le manoir. Dire qu'il aimait cette bâtisse était peu dire. Il y était viscéralement attaché. Ce n'était pas la plus belle résidence qu'il possédait mais c'est là qu'il y avait le plus de souvenirs. Ces premiers pas, ses premiers sortilèges, sa première potion qu'il avait faite dans un des chaudrons de son père. Manque de pot, celui- ci n'était pas vide et le mélange des deux potions avait provoqué une énorme explosion. Draco sourit en y repensant : toute la maison avait exhalé une odeur putride pendant trois jours. Mais à cause de l'accident, ou grâce à lui, on lui avait offert son premier chaudron ,immobilisé dans une pièce isolée, ainsi qu'un livre de potions inoffensives, sauf quand il décidait de varier les mélanges. Et là...
Il y avait aussi les portraits. Fils unique, il passait de longues heures dans la galerie, écoutant ses ancêtres lui raconter leurs exploits. D'ailleurs les tableaux aimaient à se chamailler entre eux pour savoir qui raconterait sa croisade, son combat face aux dragons, etc.
Toujours dans ses souvenirs, il pénétra dans le bureau de son défunt père. Il était immense avec deux côtés occupés dans leur intégralité par d'immenses bibliothèques remplis de grimoires très souvent uniques au monde. La lumière entrait par le troisième côté par de larges et hautes fenêtres. Draco se dirigea vers la table de travail impeccablement rangée. Il se surprit de marcher sur la pointe des pieds. C'était la première fois qu'il y entrait depuis le décès de ces parents. D'un pas plus assuré, il commença à fouiller dans les tiroirs, soulevant de nombreux parchemins avant de tomber sur une feuille où des chiffres étaient notés.
« Hum, je pourrais le faire tout de suite » pensa-t-il. Il sortit deux parchemins qu'il plaça sur la table, s'assit, trempa une plume dans l'encre et retranscrivit les codes sur chaque feuille. Sur la première apparue alors de nombreux noms en face desquels se trouvaient des nombres. Avisant le nom Loods, il se décidait à écrire sur le second parchemin quand sentit un spasme traverser son corps. Quelqu'un essayait d'entrer.
_ Tu n'y arriveras pas de cette façon, Mione.
_ Alohomora ! Alohomora !
_ Harry, dis lui que c'est pas la peine.
_ Je le sais bien, rugit Hermione. Mais cette maison a été condamné donc on ne peux l'ouvrir que magiquement. Il doit bien y avoir un moyen...
_ Ben y a qu'à tourner la poignée, proposa Ron. Joignant le geste à la parole il posa la main sur un battant de la porte. Plusieurs éclairs rouges la traversèrent alors et le Gryffondor fut projeté en arrière.
_ Si tu crois que les gens du ministère n'y ont pas pensé avant toi, dit Ginny.
_ Parce que tu crois qu'ils n'ont pas pensé à Alohomora, répliqua Ron.
_ Ce que tu peux être pénible !
_ Et toi !
Harry ne se préoccupa pas de leur dispute et s'approcha de la porte. Il tendit la main sans toucher la porte. Eclairs. Il recula. Plus d'éclairs. Il recommença plusieurs fois. Cette impression quand ils surgissaient, il la connaissait. Saisissant sa baguette, il la pointa vers une des énormes statues représentants des reptiles qui se trouvaient de part et d'autre de l'allée.
_ Wingardium Leviosa !
Alors que la pièce se soulevait, Harry comprit qu'il s'agissait de la même sensation.
_ Tu veux l'utiliser comme bélier, demanda Ron surpris.
_ Je crois que j'ai compris ce que la prof voulait dire.
_ Qui ça ? Malefoy ?
Sans un mot, il se tourna à nouveau vers la porte, ouvrit une de ces mains. C'était comme lorsqu'il voulait lancer un sort, c'était de cette énergie dont Malefoy avait parlé. Il se concentra donc et bientôt une boule lumineuse de la taille d'un ballon de hand-ball parut entre ces doigts. Il en fut très fier mais comprit très vite qu'il devait rester très concentré s'il ne voulait pas qu'elle disparaisse. Ses amis ouvraient de grands yeux (N/A : imaginez des yeux de merlan frit).
Puis il eu une idée. Harry s'approcha de la porte et lança sa boule. Il y eu de nouveaux des éclairs puis une explosion. Les trois amis reculèrent vivement. La porte était intacte. Hermione s'avança tenta de l'ouvrir mais elle fut elle aussi projeter.
_ Recommence. Plus fort, murmura la jeune fille.
Harry allait recommencer quand sa cicatrice lui provoqua une violente migraine (N/A : L'auteur par la présente note s'excuse de vous faire ressortir l'histoire de la cicatrice qui fait mal quand Voldie est à côté car c'est à cause du méchant que Harry s'est retrouvé seul au monde patati et patata). Voldemort était là ( Oh mon dieu, faites que je n'ai pas écrit cela si ? Toutes mes plus plates excuses encore). Ne devais-t-il pas venir plus tard ? Il se dépêcha de former une nouvelle boule mais au bout de cinq tentatives, il avait définitivement trop mal à la tête pour demeurer autant concentré.
_ Dépêche-toi Harry, cria Ron apeuré. Il arrive !
_ Mais j'ai trop mal !
_ Fais un effort ! J'ai pas envie de me faire tuer par Tu-Sais-Qui !
_ Cesse de le déconcentrer et tu ne vois pas qu'il a mal à le tête ! Hurla Hermione.
C'est alors que la porte s'ouvrit et ils virent sur le palier un jeune homme d'assez grande taille , à la peau pâle, aux cheveux châtain clair et aux yeux rouges.
_ Rentrez vite, dit-il.
Les trois jeunes hésitèrent.
_ Dépêchez-vous un peu ? Vous voulez vous faire tuer !
Ils ne se firent pas prier et entrèrent dans le manoir. Aussitôt la douleur s'estompa dans la tête de Harry. Le jeune homme leur lança un regard noir.
_ Qu'est-ce que vous foutez ici ?
_ Ben, et vous ?
_ Je suis chez moi, ça ne se voit pas ?
_ Comment ça ? Malefoy ? S'interrogea Harry.
_ Oh la vivacité d'esprit du Gryffondor... répliqua-t-il. Qui espériez-vous ? Fudge ?
_ T'étais pas une fille ? Se risqua Ron.
_ Tu veux que je te fasse sortir ?
Les quatre jeunes se dévisagèrent. Ce fut Hermione qui brisa le silence.
_ Il arrive, on devrait peut-être faire quelque chose.
_ Le manoir est condamné. Nul ne peut entrer sans mon consentement. Répondez à ma question.
_ Voldemort a du sang de ton père en sa possession, commença Harry. Selon Dumbledore, ce serait suffisant pour venir prendre le contrôle de la Source. Alors...
_ On est venu l'en empêcher, acheva Ron.
Silence.
_ Vu votre empressement à vous mettre à l'abri je suppose que vous n'avez pas de plan pour récupérer le sang.
_ N'empêche qu'on est coincé maintenant, s'impatienta Hermione. On ne peut pas se transplaner. Ah si, tu l'as fait à Poudlard. Au fait tu t'y es pris comment ?
_ On ne peut pas partir comme ça !
_ Potter a raison. Suivez-moi.
Ils traversèrent de nombreux couloirs. Hermione ne pu s'empêcher de s'extasier devant les différents plafonds enchantés, les vases millénaires, les statues antiques. Ron pestait contre le gaspillage des Malefoy et tout ce luxe tapageur. Harry, quand à lui s'inquiétait de ne plus ressentir la présence du Seigneur des Ténèbres. Il n'avait certainement pas fait marche arrière.
Ils aboutirent devant une porte où l'empreinte d'une main était inscrite. Draco y déposa sa main. La porte s'ouvrit alors et ils s'engouffrèrent dans la pièce. L'intérieur s'illumina et les trois Gryffondors découvrirent que des dizaines de miroirs ornaient les murs et le plafond.
_ C'est ta chambre, ironisa Ron.
_ Non, c'est le système de sécurité. Il a été inventé pour protéger les membres de la famille Malefoy. On va essayer de repousser les Mangemorts.
Draco murmura une formule et les miroirs représentèrent bientôt différentes pièces du manoir.
_ Oui mais il a le sang de ton père, ne l'oublie pas, rappela Hermione.
_ On ne pourra pas tous les neutraliser, c'est sûr, mais c'est mieux que rien. On avisera ensuite.
_ Et les créatures de tes cours ?
_ Le parc est surprotégé : il y des sortilèges repousse-moldus, repousse- vampires, etc. Si je les appelle, ils viendront trop tard. Le cas échéant, je rouvrirai la Source.
Fin du chapitre.
