Voilà, j'ai du réecrire le chapitre car il s'était effacé ! Je suis désolée
pour le retard... Et j'éspère trouver vite l'inspiration pour le prochain
chapitre !
Thanks pour toutes les reviews... J'ai pas le temps de répondre maintenant, mais merci beaucoup (
« Hermione.. Je ne voulais pas... Je suis désolé ! » Il continua à sangloter, et à marmonner des choses incompréhensibles. Jamais après un cauchemar il n'avait été si choqué... Sauf pour Sirius...
Je continuais à le regarder, très inquiète, je ne savais pas pourquoi il était si désolé.
« Sortez maintenant, Miss Granger ! Je vais aller l'amener à l'infirmerie ! Vous pourrez lui parler un peu plus tard... Essayez de vous rendormir » Sur ces mots, elle sortit avec Harry qu'elle avait dû soumettre à un mobili corpus car il restait inlassablement dans la position du fœtus, incapable de bouger, et à pleurer presque silencieusement.
J'aurais voulu aller avec lui à l'infirmerie mais je savais que Mac Gonagall ne m'aurait pas laisser y aller avec elle, et Dumbledore devrait sûrement l'interroger.
Sachant qu'il me serait impossible de me rendormir, j'allai me rhabiller et restai avec Ron et Seamus dans la salle commune.
Un hibou arriva vers 6 heures et demi.
Miss Granger (et Monsieur Weasley, je suppose), vous pouvez maintenant venir à l'infirmerie voir Harry. Il est fort fatigué, vous ne pourrez donc pas lui parler. Monsieur Potter est dispensé de cours jusqu'à nouvel ordre, je vous demanderai donc de lui prêter vos notes pour qu'il puisse s'informer de la matière vue en cours.
Professeur Mac Gonagall
Il était là, tremblant sur son lit de malade, inhabituellement blanc. Un seau déjà un peu rempli témoignait de l'état maladif dans lequel il était. Le malaise dans la pièce était palpable... Et c'est d'un pas nerveux que je me rendis à son chevet.
Il se réveilla quand je glissai ma main dans la sienne. Ses yeux reflétaient la peur et le mal-être.
« Hermione...
« Chuuut Harry, ça va aller maintenant, c'est fini !
« Non Hermione, ça ne fait que commencer ! La lutte va pouvoir commencer... Cette nouvelle guerre a fait ses « premières » victimes ! » Un sourire apparaissait au coin de sa bouche. Il secoua la tête et se tourna vers moi. « Hermione, il faut que je te dise... » « Miss Granger, Monsieur Weasley ça suffit maintenant, vous allez l'épuiser ! Sortez maintenant ! »
Harry sembla paniquer, il prit la main de Ron et l'amena vers lui. « Prends soin d'elle ! Elle va avoir besoin de toi, je t'en supplie. » Une dernière larme coula sur sa joue.
Dans la grande salle, 7h30
Peu de mots avaient été échangés depuis la sortie de l'infirmerie. Ron cherchait dans sa mémoire un événement qui aurait nécessité un avertissement comme il en avait reçu de Harry, et Hermione... faisait de même.
POV CHO :
Comme un rituel accompli à chaque repas, je parcourai la salle des yeux pour trouver Malefoy. Rituel bizarre et sans fondements en fait, étant donné que Draco était toujours assis à la même place. Juste au milieu de la longueur, comme un souverain entouré de tous ses suivants. Placé sur un siège un peu plus haut que les autres, faisant face aux autres tables.
Malefoy était bien là, mais le contraire aurait été étonnant puisque la vie de ce « cher » cousin semblait être réglée comme une montre suisse. A 7h15, il rentrait dans la salle, avec à son bras une Parkinson fidèle à elle-même : gloussante et pathétique. A peu près 7 minutes plus tard il avait terminé son assiette (omelette, pas de viande (le porc (saucisse, lard) c'est pour les paysans) toast et confiture à l'orange.), ensuite il prend quelques minutes pour observer ses confrères étudiants (d'après moi c'est plus parce qu'il doit attendre que ses 2 gorilles aient fini leur 3ème assiette mais bon...). A 7h35 (précise) il noue sa cravate qui était juste là laissée pendue autour du coup... A noter aussi que pendant ces quelques secondes, on peut observer une chienne pékinoise et quelques jeunettes baver dans leurs assiettes.
Mais comment est-ce que je sais tout cela ? Non, ce n'est pas parce que je passe mes journées à espionner cette ordure !... J'ai demandé à Basil Sedan, un Serpentard de 4ème un rapport complet sur Malefoy. Parvati avait raison, il est doué pour ce genre de choses : son rapport est excellent... C'est Hermione qui va être contente !
En parlant d'Hermione, elle n'a pas l'air dans son assiette... et Ron non plus... Où est harry ?
Pas le temps d'aller la voir tout de suite, le courrier arrive.
POV HERMIONE :
Enfin les hiboux arrivent... Ca fait un moment que je me dit que la réponse à tout cela pourrait m'être apportée par voie aérienne.
Deux hiboux se dirigent vers moi. Un gros noir, celui qui m'apporte la gazette, et un moyen-duc roux inconnu au bataillon.
Ron me regarde pendant que j'ouvre la lettre apportée par le moyen-duc.
Après avoir lu les premiers mots, écrits hâtivement sur le papier, je sens mon visage se vider de toute couleur, les larmes ménacer de couler et la colère apparaître.
Ma chérie, nous avons une bien pénible nouvelle à t'annoncer. Les Bellay ont été tués cette nuit... Je t'en prie, ne tente rien, reste calme, nous allons tout faire pour venir te chercher le plus vite possible ! Personne ne sait comment ils sont morts. Une tête de mort verte flottait au- dessus de leur maison, la police ne sait pas qui sont les coupables, sûrement des cambrioleurs ! Un témoin a affirmé avoir vu des hommes en noir sortir de la maison, dont un grand blond blanc qui a perdu sa cagoule... C'est sûrement une bonne piste ! Ils n'ont pas souffert ! Ma chérie, nous sommes vraiment désolé, nous n'en savons pas plus, on te donnera des nouvelles très bientôt ! Sois forte, ma fille.
Papa et maman
« Alors ? » dit Ron
Je ne lui accorde même pas un regard, je relève la tête de la lettre et cherche du regard celui qui était déjà avant ça mon ennemi... Malefoy.
La haine et le désespoir sont plus forts que ma raison. Je vois Ron s'emparer de la lettre après une demande muette à laquelle je n'ai pas répondu. Je sors ma baguette et saute par dessus la table et m'approche de la table des Serpentards. Je veux lui faire mal ! Aussi mal que ce qu'il me fait, même plus, pour le mal qu'il a fait à tant de gens !... A ma meilleure amie, Cathy Bellay !
Le temps s'était arrêté, je ne voyais plus que lui... Lui et sa tête de fouine qui était tournée vers moi. Il me regardait, mais contrairement à ses voisins de table qui étaient ou en train de se foutre de ma gueule (ils étaient trop cons pour fuir) ou en train de s'éclipser en voyant ma tête de furie... Il ne bougeait pas, ne souriait pas, ne cillait pas.
Ce qui m'énerva encore plus. Comment pouvait-il rester si indifférent ?
« Arachniae » Le jet orange le toucha en pleine poitrine. Et instantanément un flot d'araignées se déversa sur son torse, remontant vers la figure ou l'encerclant dans l'espoir de le recouvrir complètement.
Il devait connaître ce sort ! Son infâme salaud de père avait dû lui en parler. Il le connaissait car, il n'ouvrit pas la bouche pour crier. S'il l'avait fait, les araignées se seraient engouffrées dans sa bouche pour pondre leurs œufs quelque part dans son système digestif ou pour planter leur crochet venimeux dans sa chair.
Ce sortilège, s'il fonctionnait, devait provoquer une atroce souffrance. Ce ne fût pas le cas, ou en tout cas il ne souffrit pas assez à mon goût. Je levai ma baguette pour lui lancer un autre sort plus douloureux, plus cruel, quand deux jets rouges et un bleu me touchèrent dans le dos et sur le flanc droit.
Avant de tomber inconsciente j'eus juste le temps d'entendre les cris poussés par les plus jeunes et les plus sensibles, et pour voir Ron, qui courrait vers moi sa baguette dans une main, et la lettre chiffonnée dans l'autre.
Voilà, c'est tout pour ce chapitre, dites moi ce que vous en avez pensez, et si vous avez des idées pour la suite, proposez (.
Dîtes moi aussi si vous voulez un Draco méchant ou plutôt gentil... Ca pourrait m'aider pour la suite !
Thanks pour toutes les reviews... J'ai pas le temps de répondre maintenant, mais merci beaucoup (
« Hermione.. Je ne voulais pas... Je suis désolé ! » Il continua à sangloter, et à marmonner des choses incompréhensibles. Jamais après un cauchemar il n'avait été si choqué... Sauf pour Sirius...
Je continuais à le regarder, très inquiète, je ne savais pas pourquoi il était si désolé.
« Sortez maintenant, Miss Granger ! Je vais aller l'amener à l'infirmerie ! Vous pourrez lui parler un peu plus tard... Essayez de vous rendormir » Sur ces mots, elle sortit avec Harry qu'elle avait dû soumettre à un mobili corpus car il restait inlassablement dans la position du fœtus, incapable de bouger, et à pleurer presque silencieusement.
J'aurais voulu aller avec lui à l'infirmerie mais je savais que Mac Gonagall ne m'aurait pas laisser y aller avec elle, et Dumbledore devrait sûrement l'interroger.
Sachant qu'il me serait impossible de me rendormir, j'allai me rhabiller et restai avec Ron et Seamus dans la salle commune.
Un hibou arriva vers 6 heures et demi.
Miss Granger (et Monsieur Weasley, je suppose), vous pouvez maintenant venir à l'infirmerie voir Harry. Il est fort fatigué, vous ne pourrez donc pas lui parler. Monsieur Potter est dispensé de cours jusqu'à nouvel ordre, je vous demanderai donc de lui prêter vos notes pour qu'il puisse s'informer de la matière vue en cours.
Professeur Mac Gonagall
Il était là, tremblant sur son lit de malade, inhabituellement blanc. Un seau déjà un peu rempli témoignait de l'état maladif dans lequel il était. Le malaise dans la pièce était palpable... Et c'est d'un pas nerveux que je me rendis à son chevet.
Il se réveilla quand je glissai ma main dans la sienne. Ses yeux reflétaient la peur et le mal-être.
« Hermione...
« Chuuut Harry, ça va aller maintenant, c'est fini !
« Non Hermione, ça ne fait que commencer ! La lutte va pouvoir commencer... Cette nouvelle guerre a fait ses « premières » victimes ! » Un sourire apparaissait au coin de sa bouche. Il secoua la tête et se tourna vers moi. « Hermione, il faut que je te dise... » « Miss Granger, Monsieur Weasley ça suffit maintenant, vous allez l'épuiser ! Sortez maintenant ! »
Harry sembla paniquer, il prit la main de Ron et l'amena vers lui. « Prends soin d'elle ! Elle va avoir besoin de toi, je t'en supplie. » Une dernière larme coula sur sa joue.
Dans la grande salle, 7h30
Peu de mots avaient été échangés depuis la sortie de l'infirmerie. Ron cherchait dans sa mémoire un événement qui aurait nécessité un avertissement comme il en avait reçu de Harry, et Hermione... faisait de même.
POV CHO :
Comme un rituel accompli à chaque repas, je parcourai la salle des yeux pour trouver Malefoy. Rituel bizarre et sans fondements en fait, étant donné que Draco était toujours assis à la même place. Juste au milieu de la longueur, comme un souverain entouré de tous ses suivants. Placé sur un siège un peu plus haut que les autres, faisant face aux autres tables.
Malefoy était bien là, mais le contraire aurait été étonnant puisque la vie de ce « cher » cousin semblait être réglée comme une montre suisse. A 7h15, il rentrait dans la salle, avec à son bras une Parkinson fidèle à elle-même : gloussante et pathétique. A peu près 7 minutes plus tard il avait terminé son assiette (omelette, pas de viande (le porc (saucisse, lard) c'est pour les paysans) toast et confiture à l'orange.), ensuite il prend quelques minutes pour observer ses confrères étudiants (d'après moi c'est plus parce qu'il doit attendre que ses 2 gorilles aient fini leur 3ème assiette mais bon...). A 7h35 (précise) il noue sa cravate qui était juste là laissée pendue autour du coup... A noter aussi que pendant ces quelques secondes, on peut observer une chienne pékinoise et quelques jeunettes baver dans leurs assiettes.
Mais comment est-ce que je sais tout cela ? Non, ce n'est pas parce que je passe mes journées à espionner cette ordure !... J'ai demandé à Basil Sedan, un Serpentard de 4ème un rapport complet sur Malefoy. Parvati avait raison, il est doué pour ce genre de choses : son rapport est excellent... C'est Hermione qui va être contente !
En parlant d'Hermione, elle n'a pas l'air dans son assiette... et Ron non plus... Où est harry ?
Pas le temps d'aller la voir tout de suite, le courrier arrive.
POV HERMIONE :
Enfin les hiboux arrivent... Ca fait un moment que je me dit que la réponse à tout cela pourrait m'être apportée par voie aérienne.
Deux hiboux se dirigent vers moi. Un gros noir, celui qui m'apporte la gazette, et un moyen-duc roux inconnu au bataillon.
Ron me regarde pendant que j'ouvre la lettre apportée par le moyen-duc.
Après avoir lu les premiers mots, écrits hâtivement sur le papier, je sens mon visage se vider de toute couleur, les larmes ménacer de couler et la colère apparaître.
Ma chérie, nous avons une bien pénible nouvelle à t'annoncer. Les Bellay ont été tués cette nuit... Je t'en prie, ne tente rien, reste calme, nous allons tout faire pour venir te chercher le plus vite possible ! Personne ne sait comment ils sont morts. Une tête de mort verte flottait au- dessus de leur maison, la police ne sait pas qui sont les coupables, sûrement des cambrioleurs ! Un témoin a affirmé avoir vu des hommes en noir sortir de la maison, dont un grand blond blanc qui a perdu sa cagoule... C'est sûrement une bonne piste ! Ils n'ont pas souffert ! Ma chérie, nous sommes vraiment désolé, nous n'en savons pas plus, on te donnera des nouvelles très bientôt ! Sois forte, ma fille.
Papa et maman
« Alors ? » dit Ron
Je ne lui accorde même pas un regard, je relève la tête de la lettre et cherche du regard celui qui était déjà avant ça mon ennemi... Malefoy.
La haine et le désespoir sont plus forts que ma raison. Je vois Ron s'emparer de la lettre après une demande muette à laquelle je n'ai pas répondu. Je sors ma baguette et saute par dessus la table et m'approche de la table des Serpentards. Je veux lui faire mal ! Aussi mal que ce qu'il me fait, même plus, pour le mal qu'il a fait à tant de gens !... A ma meilleure amie, Cathy Bellay !
Le temps s'était arrêté, je ne voyais plus que lui... Lui et sa tête de fouine qui était tournée vers moi. Il me regardait, mais contrairement à ses voisins de table qui étaient ou en train de se foutre de ma gueule (ils étaient trop cons pour fuir) ou en train de s'éclipser en voyant ma tête de furie... Il ne bougeait pas, ne souriait pas, ne cillait pas.
Ce qui m'énerva encore plus. Comment pouvait-il rester si indifférent ?
« Arachniae » Le jet orange le toucha en pleine poitrine. Et instantanément un flot d'araignées se déversa sur son torse, remontant vers la figure ou l'encerclant dans l'espoir de le recouvrir complètement.
Il devait connaître ce sort ! Son infâme salaud de père avait dû lui en parler. Il le connaissait car, il n'ouvrit pas la bouche pour crier. S'il l'avait fait, les araignées se seraient engouffrées dans sa bouche pour pondre leurs œufs quelque part dans son système digestif ou pour planter leur crochet venimeux dans sa chair.
Ce sortilège, s'il fonctionnait, devait provoquer une atroce souffrance. Ce ne fût pas le cas, ou en tout cas il ne souffrit pas assez à mon goût. Je levai ma baguette pour lui lancer un autre sort plus douloureux, plus cruel, quand deux jets rouges et un bleu me touchèrent dans le dos et sur le flanc droit.
Avant de tomber inconsciente j'eus juste le temps d'entendre les cris poussés par les plus jeunes et les plus sensibles, et pour voir Ron, qui courrait vers moi sa baguette dans une main, et la lettre chiffonnée dans l'autre.
Voilà, c'est tout pour ce chapitre, dites moi ce que vous en avez pensez, et si vous avez des idées pour la suite, proposez (.
Dîtes moi aussi si vous voulez un Draco méchant ou plutôt gentil... Ca pourrait m'aider pour la suite !
