Chapitre 2
Disclamer: Je l'ai pas mis au début, so tout le monde sait que les persos ne m'appartiennent pas, et que je touche pas d'argent. Mais à vrai dire, y'a un perso qui est à moi...vous verrez bien qui c'est!
Remerciements: Je tiens à remercier Myamora Potter. Parce que c'est en lisant sa fic sur Pansy, que j'ai eu l'idée d'écrire la mienne, et sinon je sais pas si vous seriez en train lire ça... So merci bcp !!!
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Le jour venait de se lever. Tranquillement, elle ouvrit les yeux, en prenant garde à ne pas trop laisser passer de lumière pour ne pas être aveugler. Elle constata que le soleil avait oublié de se levé, et qu'encore une fois, les nuages couvraient le ciel. Mais cela avait peu d'importance pour elle, puisque depuis qu'il était partit, jamais le soleil n'était revenue pour elle. Tous les jours avaient été gris, sans qu'elle puisse en voir la fin. Elle scruta les alentours, tentant de se rappeler où elle se trouvait. Puis tout lui revint. Elle se trouvait dans sa chambre, au manoir de sa mère, où elle passerait l'été. Encore un été trop long, qui ne s'achèverait jamais. Puis, pour la dernière fois, elle retournerait à Poudlard, dans une dernière année. Elle se demandait ce qu'elle ferait un fois ses études terminées. À Poudlard, elle s'était réfugié dans la lecture, et cela arrivait parfois à le lui faire oublier l'espace de quelques minutes. Mais elle avait de la difficulté à vivre sans lui une journée, alors que ferait-elle d'une vie entière?
Elle se redressa et constata que la nuit avait effacé toutes traces de maquillage, durant son sommeil. Elle déposa ses pieds sur le plancher en écorce de pin noir et se dirigea tranquillement vers la fenêtre vitrée, la poussa et sortit respirer l'air frais du matin. Le soir d'avant elle s'était assoupie avec ses vêtements. Le vent était frisquet pour un jour de juillet. Elle se força tout de même à rester à l'extérieur. L'air contre son visage lui rappelait que lui aussi sentait le même contre sa peau. Elle se mit alors à rêver de lui. Ses cheveux blonds bien peignés, quelques mèches rebelles volant au vent. Deux yeux gris aciers si sérieux, qui le rendait si mature et adorable. Puis elle fut ramener à la réalité en songeant que peut-être n'était-il plus ainsi. Mais à quoi bon y penser, alors que jamais plus elle ne le reverrait. Une larme amer s'échappa et vint frôler sa joue. Malgré le temps qui les avait séparer, son coeur ne s'était pas recollé, et peut-être qu'il en serait ainsi à jamais.
Une voiture sorcière se parqua dans l'entrée, la sortant ainsi de sa rêverie. Une sorcière à l'allure sévère en sorti, accompagné d'une plus jeune, probablement dans ses âges à elle. Elle se précipita à l'intérieur pour ne pas être vue. Qui pouvait leur rendre visite à cette heure? Sa mère ne lui avait pourtant rien dit. Il fallait avouer que rarement elles se parlaient et si elles le faisaient, s'était plus souvent pour de petites phrases tranchantes. Lacement, comme à son habitude, elle s'avança vers sa maquilleuse, et commença son travail. Un mascara à la main, elle en déposa sur ses cils. Elle appliqua du noir sur ses yeux pour leur donner une touche plus ténébreuse. Un peu de rouge pourpre sur ses lèvres et elle était belle comme une déesse. Elle choisi de porter une jupe en toile blanche avec une camisole rose au décolleté plongeant et revêtit son blouson de jean par-dessus. Maintenant, elle devrait comme tout les autres jours se cacher derrière le masque de cruauté qu'elle se forçait à porter. La seule fois où elle avait baissé sa garde, il était entrer dans sa vie, et elle en avait tellement souffert. Elle jeta un dernier coup d'?il, prenant bien soin de ne pas croiser ses yeux et sorti rejoindre les deux visiteuses. En chemin elle croisa Sylvia qui lui demanda si elle avait bien dormi, tout en s'afférant à préparer la chambre qui se trouvait près de la sienne. Ainsi, ils auraient de la visite pour quelque temps? Doucement, elle descendit les escaliers majestueux qui rejoignaient le hall d'entrée. Le spectacle qu'elle offrait à simplement descendre des escaliers était majestueux. Ses cheveux volaient doucement derrière elle, alors qu'elle descendait lentement. Elle s'arrêta à quelques marches pour observer. Dos à elle se trouvait sa mère et les deux étrangères.
La première, qui discutait avec sa mère, avait un air sérieux et ses cheveux gris tirés, lui donnait un air encore plus sévère. Elle semblait absorbé par ce qu'elle disait. La deuxième était visiblement plus jeune. Probablement dans le même âge qu'elle. Des cheveux noirs s'étendaient jusqu'à ses reins, et deux yeux noisettes la fixait sans cesse. Quelque chose s'émanait de cette fille, quelque chose de surnaturelle, de sinistre. Elle était belle, mais l'aurait étét beaucoup plus, si l'impression de cruauté qu'elle donnait n'avait pas été aussi présent. Pansy songea que elle aussi devait donner cette impression, mais que ce n'était que les apparences, car sous ce masque de froideur qu'elle portait, se cachait une jeune femme déchirée.
Les yeux perçants de la mystérieuse fille la ramenèrent à la réalité. Elle continuait de l'observé et Pansy ne put soutenir son regard. Elle avança aux côtés de sa mère.
-Pansy, voici Mathilde, la s?ur de ton père, dit-elle en désignant la femme grisonnante. -Il se trouve que celui-ci s'était remarié et après la naissance de son deuxième enfant, il a fait le même coup. Cette dame a eut la gentillesse d'élever cette fillette alors que la mère décédait. Elle doit partir pour plusieurs mois et comme nous sommes la seule famille qui reste à cette charmante demoiselle, nous allons l'accueillir pour l'été. -dit-elle poliment.
Pansy savait bien que sa mère jouait le jeu de la bonne mère de famille, mais qu'elle répugnait totalement l'idée de voir une autre intru dans son manoir. Déjà elle semblait en avoir après sa propre fille, si elle devait s'occuper de celle des autres en plus.
-Je te présente donc Leïla, ta demi-s?ur.
Pansy avait cessé d'écouter ce que sa mère pouvait raconter. Cette fille allait rester ici durant l'été. Par le fait même, elle s'introduisait dans sa vie, et elle n'en avait pas du tout le goût. Elle se détourna pour pouvoir regarder cette étrangère une seconde fois. Celle-ci n'avait pas arrête de la fixer une seule seconde. Elle ne se sentait pas à l'aise devant elle. Elle avait beau essayer de se convaincre du contraire, cette fille lui faisait peur. Une force ténébreuse s'échappait de tout son corps. Et si elle se trompait, si elle aussi cachait quelque chose et que derrière cet air impassible, elle y découvrait une femme brisée?
"Ne te fait pas d'illusions, je ferai de ta vie un enfer!"
-Pardon? Demanda-t-elle
-Allons Pansy, tu n'écoutes pas quand je te parle? -dit sa mère. -Leïla est muette!
Alors qu'elle était cette voix qu'elle avait entendu? Le sourire qu'affichait Leïla la fit revenir dans le monde des vivants. Un rictus si démoniaque qu'il en donnait la chair de poule. C'était bien elle qui avait parlé, et seule elle l'avait entendu.
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Disclamer: Je l'ai pas mis au début, so tout le monde sait que les persos ne m'appartiennent pas, et que je touche pas d'argent. Mais à vrai dire, y'a un perso qui est à moi...vous verrez bien qui c'est!
Remerciements: Je tiens à remercier Myamora Potter. Parce que c'est en lisant sa fic sur Pansy, que j'ai eu l'idée d'écrire la mienne, et sinon je sais pas si vous seriez en train lire ça... So merci bcp !!!
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Le jour venait de se lever. Tranquillement, elle ouvrit les yeux, en prenant garde à ne pas trop laisser passer de lumière pour ne pas être aveugler. Elle constata que le soleil avait oublié de se levé, et qu'encore une fois, les nuages couvraient le ciel. Mais cela avait peu d'importance pour elle, puisque depuis qu'il était partit, jamais le soleil n'était revenue pour elle. Tous les jours avaient été gris, sans qu'elle puisse en voir la fin. Elle scruta les alentours, tentant de se rappeler où elle se trouvait. Puis tout lui revint. Elle se trouvait dans sa chambre, au manoir de sa mère, où elle passerait l'été. Encore un été trop long, qui ne s'achèverait jamais. Puis, pour la dernière fois, elle retournerait à Poudlard, dans une dernière année. Elle se demandait ce qu'elle ferait un fois ses études terminées. À Poudlard, elle s'était réfugié dans la lecture, et cela arrivait parfois à le lui faire oublier l'espace de quelques minutes. Mais elle avait de la difficulté à vivre sans lui une journée, alors que ferait-elle d'une vie entière?
Elle se redressa et constata que la nuit avait effacé toutes traces de maquillage, durant son sommeil. Elle déposa ses pieds sur le plancher en écorce de pin noir et se dirigea tranquillement vers la fenêtre vitrée, la poussa et sortit respirer l'air frais du matin. Le soir d'avant elle s'était assoupie avec ses vêtements. Le vent était frisquet pour un jour de juillet. Elle se força tout de même à rester à l'extérieur. L'air contre son visage lui rappelait que lui aussi sentait le même contre sa peau. Elle se mit alors à rêver de lui. Ses cheveux blonds bien peignés, quelques mèches rebelles volant au vent. Deux yeux gris aciers si sérieux, qui le rendait si mature et adorable. Puis elle fut ramener à la réalité en songeant que peut-être n'était-il plus ainsi. Mais à quoi bon y penser, alors que jamais plus elle ne le reverrait. Une larme amer s'échappa et vint frôler sa joue. Malgré le temps qui les avait séparer, son coeur ne s'était pas recollé, et peut-être qu'il en serait ainsi à jamais.
Une voiture sorcière se parqua dans l'entrée, la sortant ainsi de sa rêverie. Une sorcière à l'allure sévère en sorti, accompagné d'une plus jeune, probablement dans ses âges à elle. Elle se précipita à l'intérieur pour ne pas être vue. Qui pouvait leur rendre visite à cette heure? Sa mère ne lui avait pourtant rien dit. Il fallait avouer que rarement elles se parlaient et si elles le faisaient, s'était plus souvent pour de petites phrases tranchantes. Lacement, comme à son habitude, elle s'avança vers sa maquilleuse, et commença son travail. Un mascara à la main, elle en déposa sur ses cils. Elle appliqua du noir sur ses yeux pour leur donner une touche plus ténébreuse. Un peu de rouge pourpre sur ses lèvres et elle était belle comme une déesse. Elle choisi de porter une jupe en toile blanche avec une camisole rose au décolleté plongeant et revêtit son blouson de jean par-dessus. Maintenant, elle devrait comme tout les autres jours se cacher derrière le masque de cruauté qu'elle se forçait à porter. La seule fois où elle avait baissé sa garde, il était entrer dans sa vie, et elle en avait tellement souffert. Elle jeta un dernier coup d'?il, prenant bien soin de ne pas croiser ses yeux et sorti rejoindre les deux visiteuses. En chemin elle croisa Sylvia qui lui demanda si elle avait bien dormi, tout en s'afférant à préparer la chambre qui se trouvait près de la sienne. Ainsi, ils auraient de la visite pour quelque temps? Doucement, elle descendit les escaliers majestueux qui rejoignaient le hall d'entrée. Le spectacle qu'elle offrait à simplement descendre des escaliers était majestueux. Ses cheveux volaient doucement derrière elle, alors qu'elle descendait lentement. Elle s'arrêta à quelques marches pour observer. Dos à elle se trouvait sa mère et les deux étrangères.
La première, qui discutait avec sa mère, avait un air sérieux et ses cheveux gris tirés, lui donnait un air encore plus sévère. Elle semblait absorbé par ce qu'elle disait. La deuxième était visiblement plus jeune. Probablement dans le même âge qu'elle. Des cheveux noirs s'étendaient jusqu'à ses reins, et deux yeux noisettes la fixait sans cesse. Quelque chose s'émanait de cette fille, quelque chose de surnaturelle, de sinistre. Elle était belle, mais l'aurait étét beaucoup plus, si l'impression de cruauté qu'elle donnait n'avait pas été aussi présent. Pansy songea que elle aussi devait donner cette impression, mais que ce n'était que les apparences, car sous ce masque de froideur qu'elle portait, se cachait une jeune femme déchirée.
Les yeux perçants de la mystérieuse fille la ramenèrent à la réalité. Elle continuait de l'observé et Pansy ne put soutenir son regard. Elle avança aux côtés de sa mère.
-Pansy, voici Mathilde, la s?ur de ton père, dit-elle en désignant la femme grisonnante. -Il se trouve que celui-ci s'était remarié et après la naissance de son deuxième enfant, il a fait le même coup. Cette dame a eut la gentillesse d'élever cette fillette alors que la mère décédait. Elle doit partir pour plusieurs mois et comme nous sommes la seule famille qui reste à cette charmante demoiselle, nous allons l'accueillir pour l'été. -dit-elle poliment.
Pansy savait bien que sa mère jouait le jeu de la bonne mère de famille, mais qu'elle répugnait totalement l'idée de voir une autre intru dans son manoir. Déjà elle semblait en avoir après sa propre fille, si elle devait s'occuper de celle des autres en plus.
-Je te présente donc Leïla, ta demi-s?ur.
Pansy avait cessé d'écouter ce que sa mère pouvait raconter. Cette fille allait rester ici durant l'été. Par le fait même, elle s'introduisait dans sa vie, et elle n'en avait pas du tout le goût. Elle se détourna pour pouvoir regarder cette étrangère une seconde fois. Celle-ci n'avait pas arrête de la fixer une seule seconde. Elle ne se sentait pas à l'aise devant elle. Elle avait beau essayer de se convaincre du contraire, cette fille lui faisait peur. Une force ténébreuse s'échappait de tout son corps. Et si elle se trompait, si elle aussi cachait quelque chose et que derrière cet air impassible, elle y découvrait une femme brisée?
"Ne te fait pas d'illusions, je ferai de ta vie un enfer!"
-Pardon? Demanda-t-elle
-Allons Pansy, tu n'écoutes pas quand je te parle? -dit sa mère. -Leïla est muette!
Alors qu'elle était cette voix qu'elle avait entendu? Le sourire qu'affichait Leïla la fit revenir dans le monde des vivants. Un rictus si démoniaque qu'il en donnait la chair de poule. C'était bien elle qui avait parlé, et seule elle l'avait entendu.
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