Chapitre 3
N/A:Bon alors voici le chapitre 3 de cette fic qui je vous l'annonce, fera exactement 7 chapitres, qui sont tous déjà écrit.Ouaip j'ai fini la fic, seulement je vais la poster chapitre par chapitre et je vais attendre un ti peu entre chaque.à moins que j'aille vraiment beaucoup de reviews.Bon so bonne lecture!
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Une semaine avait passé, et Pansy avait développé un haine indescriptible envers Leïla. Cette dernière avait réussit à faire de sa vie un enfer, plus qu'elle ne pouvait l'être pour le moment. Elle enchaînait coup bas sur coup bas. Non pas qu'elle la faisait souffrir physiquement, mais comme un poignard qu'on lui enfoncerait dans le dos sans qu'elle ne le voit venir. Sans qu'elle ne sache pourquoi, seule elle pouvait entendre Leïla et les phrases mesquines qu'elle lui lançait. Au début, elle ne lui en avait pas voulu, elle-même, réagissait comme ça à Poudlard vis à vis ceux qui l'entouraient. Mais cette enfant du diable ne s'était pas arrêté là. Elle s'était mise dans la tête de la détruire. Elle avait commencé son ?uvre en devenant maîtresse du manoir. Tous les domestiques l'adoraient, la voyant comme une enfant adorable, si peu gâté par la vie. Pansy se fichait de savoir qu'elle leur jouait la comédie, seule une personne obsédait ses pensées, et jamais elle ne le reverrait. La plupart du temps, elle restait enfermée dans sa chambre, sans savoir qu'elle faveur serait accordé à cette demi-s?ur. Mais elle ne s'était pas arrêté là. Elle avait réussi à mettre sa mère de son côté.
Pansy rageait de voir sa propre mère, lui accorder toute l'attention et donner toute la tendresse, qu'elle n'avait jamais eu, qu'elle n'aurait jamais. Mais elle savait bien que Leïla cherchait à la rendre jalouse, et elle se promit de ne pas lui donner ce qu'elle voulait. Et que lui importait de voir cette femme aux commandes de cette chose. Jamais elle ne s'était sentie proche de cette femme et cela ne changerait pas aujourd'hui parce que celle-ci s'intéressait à Leïla. Elle n'avait rien à lui prouvé, et si elle préférait la fille d'une autre, s'était aussi bien pour elle.
Mais Leïla inspirait la malveillance et elle adorait la souffrance, le mal et voir les autres à son pouvoir. Pansy s'était promis de lui tenir tête, de ne pas s'abaisser au niveau de la craindre et peu importe les menaces qu'elle lui lancerait. Mais le jour où elle était sortit et avait vu cette pauvre hypocrite dans les bras de Sylvia, ça en avait été trop. Elle avait senti les larmes brûlantes montés jusqu'à ses yeux et avait lancé à sa demi- s?ur qu'elle détestait tant, toute sa haine. Pour la première fois de sa vie, elle avait vu Sylvia en colère contre elle, la traitant de pure égoïste et lui recommandant de retourner dans sa chambre. Au moment où elle tournait les talons Leïla affichait un rictus inhumains et ses yeux lançait des éclairs. Elle était vite retourné dans sa chambre et avait pleuré, jusqu'à ce que les larmes ne sortent plus. Elle lui avait volé tout ce qu'elle possédait, elle n'avait plus rien. Comment Sylvia avait pu se faire prendre au jeu de cette fille qui semblait dénudé de toutes émotions humaines? Sur cette amère pensée, elle s'était endormie, et ce ne fut qu'au petit matin qu'elle s'était réveillée.
Elle se regarda, à travers la glace qui lui faisait face. Ses cheveux qu'elle n'avait pas défait avant de se coucher, formait une étrange coiffure. Certaines mèches retombaient dans son dos, alors que d'autres étaient restés en place. Son pull en laine l'avait gardé bien au chaud durant la nuit, mais ses pantalons étaient près à aller rejoindre le bac à linge et passer au pressing. Elle se leva et alla rejoindre sa maquilleuse. Elle prit la brosse qui y était posé et commença à peigner doucement sa longue crinière. Celle qu'il avait tant aimé, où il avait tant de fois passé ses doigts.
Elle rencontra un noeud et donna un petit coup un peu plus sec. Elle vint à penser que Leïla était tout comme un noeud et que si elle se battais bien elle réussirait peut être à le défaire. Elle ne devait pas se laisser aller devant cette... cette chose. Car elle se devait bien de croire qu'elle était possédé d'une force démoniaque, cruelle, inhumaine, ténébreuse. Rien en elle ne pouvait être bon.
Elle commença le manège qu'elle répétait jour après jour, commençant par maquiller ses yeux, ensuite ses lèvres. Elle échappa alors son bâton de rouge à lèvres et se pencha pour le ramasser sous le meuble. Elle aperçut alors, jonchant le pied de la maquilleuse, une chaîne en argent avec un petit pendentif. Elle le saisit et le regarda. C'était celui qu'il lui avait donné, lui promettant que peu importe ce qui arriverait, il serait toujours là. Elle ferma les yeux et les réouvrit pour observer ce petit coeur qui ornait la chaînette. Alors qu'il l'avait abandonné, elle avait fait disparaître se bijoux, qui le lui rappelait trop. Tout le monde lui avait bien dit qu'elle devait l'oublier, mais elle savait trop bien que jamais elle ne réussirait, qu'elle l'aimait trop.
Elle décida de le porter et délicatement, elle vint l'attacher près de sa nuque. L'argent contrastait bien avec son teint bronzé. Elle décida de porter une partie de l'ensemble de Poudlard, prête à ne pas se laisser démoralisé par cette peste de Leïla. Elle enfila les bas long et mis la jupe courte. Elle enfila la chemise blanche, dont elle laissa les trois premiers boutons entrouverts, laissant apparaître la naissance de sa poitrine. Elle ne l'attacha pas non plus au niveau du nombril, la chaleur l'accablant trop. Elle jeta un coup d'?il au miroir et prit l'air le plus indifférent et sarcastique qu'elle pu. Jamais plus Leïla ne réussirait à l'atteindre.
Elle descendit prendre son petit-déjeuner, mais déjà le monstre était attablé. Elle lui lança un regard machiavélique, mais Pansy fint de le voir.
Tout la journée, Leïla l'avait agressé, s'accordant les grâces de tout le monde, mais elle avait bien vu qu'elle ne choquait plus Pansy. Après que le dîner ait été servi, sa mère monta à sa chambre et elle voulu faire de même. Mais elle fut sèchement interrompu.
"Tu peux bien joué l'indifférente, mais je t'aurai!"
Elle se retourna pour voir Leïla qui était saisi d'un fou rire enfantin. Elle fut prit de la chair de poule devant ce spectacle et se précipita dans sa chambre. Elle verrouilla la porte et se dépêcha de se précipiter sur son lit. Le pendentif lui chatouilla la peau et elle s'endormi en pensant à lui.
Un faible bruit la réveilla en sursaut. Elle se tourna et regarda son réveil qui lui indiqua qu'il était presque 1h00 du matin. Mais qu'est-ce qui l'avait réveillé? Elle regarda sa porte et s'aperçut que le verrou avait été enlevé. Prit de panique, elle se retourna et aperçut à travers la porte vitrée une silhouette sur son balcon. Elle devait aller s'assurer de qui se pouvait être. Elle se leva sans faire de bruit. Une douce mélodie fredonnée vint caressé ses oreilles. Elle songea que c'était peut-être sa mère qui se trouvait-là. Mais plus elle avançait, plus la mélodie devenait clair, et la voix n'appartenait pas à sa mère. La comptine était envoûtante et en devenait presque macabre. Elle fit glisser la porte de verre et se trouva dos à la mystérieuse personne. L'étrangère se retourna brusquement et elle constata avec horreur qu'il s'agissait de Leïla. Avec les rayons de la lune qui se reflétait sur ses cheveux noires et sa peau blanche elle avait l'air sorti tout droit des enfer. Le sourire cruelle qu'elle affichait la rendait encore plus abominable.
-Toi? -dit-elle faiblement.- Mais comment c'est possible?
-Tu croyais vraiment que je ne pouvais parler? -dit-elle d'une voix grinçante, à vous glacer le sang.
Pansy n'en croyait pas ses yeux. Ses lèvres remuaient bien et elle n'imaginait aucun son.
-Facile de berner les gens, -dit-elle en riant. - Pour ce qui est de ce que tu entendais par la pensée, ce n'était que de la magie! -Et elle recommença à rire d'un son aigu et aigre.
-Mais qu'est-ce que tu veux à la fin sale vipère? -lâcha Pansy, dans une colère, dont elle avait du mal à contenir.
-Ta perte!
-Tu n'est qu'un monstre Leïla, jamais tu ne m'auras! Dit-elle sauvagement.
Leïla recommença à rire comme un enfant, le même rire qu'elle avait eu à l'heure du dîner.
-C'est très beau ici, -dit-elle. -Parfait pour un rendez-vous. Tu es déjà venue ici avec lui?
Pansy commença à trembler. Comment faisait-elle pour savoir?
-Oh...il semblerait bien que j'ai touché la corde sensible! Ne te fais pas d'illusion la belle, il t'as complètement oublié! Tu n'étais rien pour lui. Une poupée, il s'est bien amusé à se jouer de toi. Peut-être que je me serais bien entendu avec lui! -lança-t-elle pensivement.
Pansy se trouvait à l'autre bout du balcon et ne pouvait retenir les larmes qui glissaient sur sa peau, telle des couteaux tranchants.
-Oh? Parce que tu croyais qu'il t'avait vraiment aimé? Pauvre naïve. Pour lui et tous les autres tu n'est qu'une pouliche qu'on aime pour ses atouts. Tu as vraiment pensé qu'il t'aimais pour ce tu est vraiment? Bien sûr que non, tu n'as rien de pure ma chérie. Rien qui n'aurait pu lui plaire. Il a vite fait son deuil. S'il est parti, c'est parce qu'au fond, il voulait se débarrasser de toi, tu n'étais qu'une parmi tant d'autre. Tu l'encombrais. Ton Drago, il est comme tout les autres.
Pansy ne pouvait empêcher les convulsions qui l'avait saisie. Ses jambes ne la retinrent pas plus longtemps et elle s'effondra sur le ciment. Recroquevillée, elle voulait l'arrêté, l'empêcher de dire ce qu'elle ignorait, ce qu'elle ne voulait pas savoir. Leïla s'approcha doucement et releva sa tête où se perdaient ses pleurs, et déposa un baiser sur sa joue.
-Bonne nuit chérie! -Et elle reparti en riant comme un enfant de 5 ans. Elle avait encore réussit à la détruire.
Elle restait là, à déverser toute sa misère. Elle sentie le médaillon, l'arracha et le lança à bout de force.
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N/A:Bon alors voici le chapitre 3 de cette fic qui je vous l'annonce, fera exactement 7 chapitres, qui sont tous déjà écrit.Ouaip j'ai fini la fic, seulement je vais la poster chapitre par chapitre et je vais attendre un ti peu entre chaque.à moins que j'aille vraiment beaucoup de reviews.Bon so bonne lecture!
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Une semaine avait passé, et Pansy avait développé un haine indescriptible envers Leïla. Cette dernière avait réussit à faire de sa vie un enfer, plus qu'elle ne pouvait l'être pour le moment. Elle enchaînait coup bas sur coup bas. Non pas qu'elle la faisait souffrir physiquement, mais comme un poignard qu'on lui enfoncerait dans le dos sans qu'elle ne le voit venir. Sans qu'elle ne sache pourquoi, seule elle pouvait entendre Leïla et les phrases mesquines qu'elle lui lançait. Au début, elle ne lui en avait pas voulu, elle-même, réagissait comme ça à Poudlard vis à vis ceux qui l'entouraient. Mais cette enfant du diable ne s'était pas arrêté là. Elle s'était mise dans la tête de la détruire. Elle avait commencé son ?uvre en devenant maîtresse du manoir. Tous les domestiques l'adoraient, la voyant comme une enfant adorable, si peu gâté par la vie. Pansy se fichait de savoir qu'elle leur jouait la comédie, seule une personne obsédait ses pensées, et jamais elle ne le reverrait. La plupart du temps, elle restait enfermée dans sa chambre, sans savoir qu'elle faveur serait accordé à cette demi-s?ur. Mais elle ne s'était pas arrêté là. Elle avait réussi à mettre sa mère de son côté.
Pansy rageait de voir sa propre mère, lui accorder toute l'attention et donner toute la tendresse, qu'elle n'avait jamais eu, qu'elle n'aurait jamais. Mais elle savait bien que Leïla cherchait à la rendre jalouse, et elle se promit de ne pas lui donner ce qu'elle voulait. Et que lui importait de voir cette femme aux commandes de cette chose. Jamais elle ne s'était sentie proche de cette femme et cela ne changerait pas aujourd'hui parce que celle-ci s'intéressait à Leïla. Elle n'avait rien à lui prouvé, et si elle préférait la fille d'une autre, s'était aussi bien pour elle.
Mais Leïla inspirait la malveillance et elle adorait la souffrance, le mal et voir les autres à son pouvoir. Pansy s'était promis de lui tenir tête, de ne pas s'abaisser au niveau de la craindre et peu importe les menaces qu'elle lui lancerait. Mais le jour où elle était sortit et avait vu cette pauvre hypocrite dans les bras de Sylvia, ça en avait été trop. Elle avait senti les larmes brûlantes montés jusqu'à ses yeux et avait lancé à sa demi- s?ur qu'elle détestait tant, toute sa haine. Pour la première fois de sa vie, elle avait vu Sylvia en colère contre elle, la traitant de pure égoïste et lui recommandant de retourner dans sa chambre. Au moment où elle tournait les talons Leïla affichait un rictus inhumains et ses yeux lançait des éclairs. Elle était vite retourné dans sa chambre et avait pleuré, jusqu'à ce que les larmes ne sortent plus. Elle lui avait volé tout ce qu'elle possédait, elle n'avait plus rien. Comment Sylvia avait pu se faire prendre au jeu de cette fille qui semblait dénudé de toutes émotions humaines? Sur cette amère pensée, elle s'était endormie, et ce ne fut qu'au petit matin qu'elle s'était réveillée.
Elle se regarda, à travers la glace qui lui faisait face. Ses cheveux qu'elle n'avait pas défait avant de se coucher, formait une étrange coiffure. Certaines mèches retombaient dans son dos, alors que d'autres étaient restés en place. Son pull en laine l'avait gardé bien au chaud durant la nuit, mais ses pantalons étaient près à aller rejoindre le bac à linge et passer au pressing. Elle se leva et alla rejoindre sa maquilleuse. Elle prit la brosse qui y était posé et commença à peigner doucement sa longue crinière. Celle qu'il avait tant aimé, où il avait tant de fois passé ses doigts.
Elle rencontra un noeud et donna un petit coup un peu plus sec. Elle vint à penser que Leïla était tout comme un noeud et que si elle se battais bien elle réussirait peut être à le défaire. Elle ne devait pas se laisser aller devant cette... cette chose. Car elle se devait bien de croire qu'elle était possédé d'une force démoniaque, cruelle, inhumaine, ténébreuse. Rien en elle ne pouvait être bon.
Elle commença le manège qu'elle répétait jour après jour, commençant par maquiller ses yeux, ensuite ses lèvres. Elle échappa alors son bâton de rouge à lèvres et se pencha pour le ramasser sous le meuble. Elle aperçut alors, jonchant le pied de la maquilleuse, une chaîne en argent avec un petit pendentif. Elle le saisit et le regarda. C'était celui qu'il lui avait donné, lui promettant que peu importe ce qui arriverait, il serait toujours là. Elle ferma les yeux et les réouvrit pour observer ce petit coeur qui ornait la chaînette. Alors qu'il l'avait abandonné, elle avait fait disparaître se bijoux, qui le lui rappelait trop. Tout le monde lui avait bien dit qu'elle devait l'oublier, mais elle savait trop bien que jamais elle ne réussirait, qu'elle l'aimait trop.
Elle décida de le porter et délicatement, elle vint l'attacher près de sa nuque. L'argent contrastait bien avec son teint bronzé. Elle décida de porter une partie de l'ensemble de Poudlard, prête à ne pas se laisser démoralisé par cette peste de Leïla. Elle enfila les bas long et mis la jupe courte. Elle enfila la chemise blanche, dont elle laissa les trois premiers boutons entrouverts, laissant apparaître la naissance de sa poitrine. Elle ne l'attacha pas non plus au niveau du nombril, la chaleur l'accablant trop. Elle jeta un coup d'?il au miroir et prit l'air le plus indifférent et sarcastique qu'elle pu. Jamais plus Leïla ne réussirait à l'atteindre.
Elle descendit prendre son petit-déjeuner, mais déjà le monstre était attablé. Elle lui lança un regard machiavélique, mais Pansy fint de le voir.
Tout la journée, Leïla l'avait agressé, s'accordant les grâces de tout le monde, mais elle avait bien vu qu'elle ne choquait plus Pansy. Après que le dîner ait été servi, sa mère monta à sa chambre et elle voulu faire de même. Mais elle fut sèchement interrompu.
"Tu peux bien joué l'indifférente, mais je t'aurai!"
Elle se retourna pour voir Leïla qui était saisi d'un fou rire enfantin. Elle fut prit de la chair de poule devant ce spectacle et se précipita dans sa chambre. Elle verrouilla la porte et se dépêcha de se précipiter sur son lit. Le pendentif lui chatouilla la peau et elle s'endormi en pensant à lui.
Un faible bruit la réveilla en sursaut. Elle se tourna et regarda son réveil qui lui indiqua qu'il était presque 1h00 du matin. Mais qu'est-ce qui l'avait réveillé? Elle regarda sa porte et s'aperçut que le verrou avait été enlevé. Prit de panique, elle se retourna et aperçut à travers la porte vitrée une silhouette sur son balcon. Elle devait aller s'assurer de qui se pouvait être. Elle se leva sans faire de bruit. Une douce mélodie fredonnée vint caressé ses oreilles. Elle songea que c'était peut-être sa mère qui se trouvait-là. Mais plus elle avançait, plus la mélodie devenait clair, et la voix n'appartenait pas à sa mère. La comptine était envoûtante et en devenait presque macabre. Elle fit glisser la porte de verre et se trouva dos à la mystérieuse personne. L'étrangère se retourna brusquement et elle constata avec horreur qu'il s'agissait de Leïla. Avec les rayons de la lune qui se reflétait sur ses cheveux noires et sa peau blanche elle avait l'air sorti tout droit des enfer. Le sourire cruelle qu'elle affichait la rendait encore plus abominable.
-Toi? -dit-elle faiblement.- Mais comment c'est possible?
-Tu croyais vraiment que je ne pouvais parler? -dit-elle d'une voix grinçante, à vous glacer le sang.
Pansy n'en croyait pas ses yeux. Ses lèvres remuaient bien et elle n'imaginait aucun son.
-Facile de berner les gens, -dit-elle en riant. - Pour ce qui est de ce que tu entendais par la pensée, ce n'était que de la magie! -Et elle recommença à rire d'un son aigu et aigre.
-Mais qu'est-ce que tu veux à la fin sale vipère? -lâcha Pansy, dans une colère, dont elle avait du mal à contenir.
-Ta perte!
-Tu n'est qu'un monstre Leïla, jamais tu ne m'auras! Dit-elle sauvagement.
Leïla recommença à rire comme un enfant, le même rire qu'elle avait eu à l'heure du dîner.
-C'est très beau ici, -dit-elle. -Parfait pour un rendez-vous. Tu es déjà venue ici avec lui?
Pansy commença à trembler. Comment faisait-elle pour savoir?
-Oh...il semblerait bien que j'ai touché la corde sensible! Ne te fais pas d'illusion la belle, il t'as complètement oublié! Tu n'étais rien pour lui. Une poupée, il s'est bien amusé à se jouer de toi. Peut-être que je me serais bien entendu avec lui! -lança-t-elle pensivement.
Pansy se trouvait à l'autre bout du balcon et ne pouvait retenir les larmes qui glissaient sur sa peau, telle des couteaux tranchants.
-Oh? Parce que tu croyais qu'il t'avait vraiment aimé? Pauvre naïve. Pour lui et tous les autres tu n'est qu'une pouliche qu'on aime pour ses atouts. Tu as vraiment pensé qu'il t'aimais pour ce tu est vraiment? Bien sûr que non, tu n'as rien de pure ma chérie. Rien qui n'aurait pu lui plaire. Il a vite fait son deuil. S'il est parti, c'est parce qu'au fond, il voulait se débarrasser de toi, tu n'étais qu'une parmi tant d'autre. Tu l'encombrais. Ton Drago, il est comme tout les autres.
Pansy ne pouvait empêcher les convulsions qui l'avait saisie. Ses jambes ne la retinrent pas plus longtemps et elle s'effondra sur le ciment. Recroquevillée, elle voulait l'arrêté, l'empêcher de dire ce qu'elle ignorait, ce qu'elle ne voulait pas savoir. Leïla s'approcha doucement et releva sa tête où se perdaient ses pleurs, et déposa un baiser sur sa joue.
-Bonne nuit chérie! -Et elle reparti en riant comme un enfant de 5 ans. Elle avait encore réussit à la détruire.
Elle restait là, à déverser toute sa misère. Elle sentie le médaillon, l'arracha et le lança à bout de force.
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