Chapitre 4
N/A: Bon alors voici un 4e chapitre...je crois que je l'ai déjà dit, il y en aura finalement 7 qui sont tous déjà écrit. Selon moi le meilleur est le 6e mais bon moi qui adore le drama disons que je me suis servie...Donc dites-moi ce que vous en pensez...pis la suite arrive une de ces quatre...dans pas trop long...
Depuis plusieurs jours, elle n'était pas sorti de sa chambre. Elle était resté couchée et repensait sans cesse à ce qu'avait dit Leïla. Ainsi, elle n'avait été qu'un objet. Elle l'accaparait et il était partie pour se sauver. Elle se sentait vide, en détresse, personne pour la sauver. Elle était rescapée d'un naufrage où elle aurait préféré mourir noyée. Elle l'avait tant aimé, il avait fait parti de tous ses rêves, et lui, il l'avait oublié. Elle était maintenant une étrangère pour lui, et peut lui importait de savoir ce qu'elle était devenue. Il s'était refait une vie, une vie sans elle. Une larme perla sur sa joue et atterrit sur son oreiller. Elle avait verrouillé sa porte avec un sort, pour que personne ne la dérange et avait tendu les rideaux de son lit à baldaquin, de façon à ne pas voir ni la porte, ni le miroir qui se trouvait au bout de son lit. Elle avait peur de l'image qu'on lui renverrait. Elle avait seulement laissé libre le côté où elle pouvait voir à travers la grande porte vitrée. La nuit était tombée depuis quelques heures, et bientôt, il serait minuit. La lune était pleine et laissait passer les rayons dans sa chambre. Elle en senti un caresser sa nuque et se retourna pour voir l'astre dominer le ciel.
Cet astre, si grand, si beau, si paisible. À ce moment, elle aurait tellement aimé être une étoile et se tenir fière à ses côtés. Elle éclairait bien la nuit, et traçait les contours de tout ce qui se trouvait là.
Émerveillée par ce spectacle, elle continua de contemplé l'extérieur, quand une ombre attira son attention. Une ombre perché sur le balcon et qui l'observait. Elle pensa immédiatement que ce devait être Leïla qui voulait une fois de plus la faire souffrir. Elle allait lui montrer qu'elle ne se laisserait plus faire à être utilisé comme une poupée. Elle se leva et rapidement, elle se dirigea à l'extérieur pour faire face à cet enfant de malheur.
Elle senti alors la fraîcheur de la nuit venir l'embrasser. Depuis que Leïla était venue, elle n'avait plus pris le temps de s'arranger. Elle était toujours aussi belle, mais ses yeux si tristes, si vides la trahissait. La chemise laissait passer le doux vent venir chatouiller sa peau. Leïla se tenait reculée dans l'ombre et elle décida de s'avancer pour mieux la voir. Elle s'approcha et manqua s'évanouir lorsqu'elle découvrit qui se cachait dans l'ombre. Deux bras la retinrent, pour éviter qu'elle ne tombe et perde connaissance.
-Draco? -souffla-t-elle, doucement, de peur que ce ne soit qu'une illusion et qu'il disparaisse.
Il restait là, la regardant comme si c'était la première fois qu'il la voyait. Elle était si belle. Ces longs cheveux bruns et ces deux yeux noirs si sombres, qui lui avait tellement manqué.
-Pansy...-dit il tout aussi doucement.
Elle ferma les yeux, elle ne pouvait pas croire qu'il se tenait là, devant elle. Ses cheveux blonds, retombant près de ses yeux, ses yeux gris aciers dans lesquels elle aimait tant se plonger. Ses traits était plus sérieux, depuis la dernière fois où elle l'avait vu. Il n'était plus l'adolescent, mais maintenant le jeune homme.
Elle avait peur de se réveiller et de se rendre compte que ce n'était qu'un rêve. Mais il resserra son étreinte et elle réalisa qu'il était bien là, en chair et en os. Tout ce temps où elle l'avait cru perdu.
-C'est bien toi? -chuchota-t-elle.
En guise de réponse, il caressa sa joue du revers de la main.
Ses yeux s'embuèrent et une larme se forma près de son oeil. Elle n'arrivait pas à croire qu'il était bien là et qu'il la serrait contre lui.
Pendant quelques minutes, tous les deux se regardèrent sans parler, craignant de voir l'autre se dissoudre dans la noirceur de la nuit.
-Ne t'inquiète plus, je suis là, pour toujours. -dit-il faiblement en déposant de petits baisers sur son front.
Elle releva ses yeux humides et le regarda tendrement. Depuis tellement longtemps, elle avait cesser de croire. Elle avait cessé de vivre au moment où il avait disparut. Elle avait repoussé tous ceux qui avait voulu être près d'elle. Elle s'était entouré de mûrs, sachant que même cela ne le referait pas revenir. Et maintenant, il se tenait devant elle, silencieux, sérieux, mais si beau.
-Elle avait dit que tu m'avais oublié, que c'était terminé...-s'affola-t- elle. -Elle m'a assuré que tu étais parti à cause de moi...-ajouta-t-elle en baissant la tête.
Il posa un doigt devant sa bouche, pour la faire taire. Doucement, il s'approcha jusqu'à ce que leur bouche ne soit qu'à quelques centimètres. Leurs lèvres vinrent enfin à se toucher, se cherchant et s'accrochant l'une à l'autre. Au bout de quelques secondes si délicieuses, ils se séparèrent.
-Je me sentais vide sans toi, Draco. Je me sentais seule, sans personne pour m'aider. -dit-elle, empêchant ses larmes de refaire surface.
Il la regarda comme si c'était la dernière fois où il pourrait le faire. Ses yeux étaient redevenus vifs et une lueur y brillait, telle deux opaques. De nouveau, ils s'embrassèrent tendrement, sous la lune qui les éclairait faiblement. Sa langue cherchait toujours à venir caresser la sienne et elle se prêtait au jeu, sans aucune résistance.
-Je t'aime Pansy...
Et tous deux recommencèrent leur baiser passionné, ayant attendu ce moment depuis si longtemps. Sans se séparer, ils se rendirent près du lit où ils tombèrent allongés, tous près l'un de l'autre. Drago fit un mouvement, pour se retrouver sur Pansy. Il se détacha d'elle, et l'admira quelques secondes. Celle-ci tourna la tête sur le côté et il en profita pour enfouir son nez dans le creux de sa nuque, sans cesser de glisser de tendre baiser partout dans son cou. Doucement, il se redressa, et entreprit de défaire la chemise quelle portait, mais la parsemant de caresses après chaque bouton défait. Comme il la trouvait belle, sa peau étant si douce, si parfaite. Il descendit doucement, dégrafant son soutien-gorge. Il se pencha pour embrasser la naissance de ses deux seins si parfait, alors qu'elle passait sa main dans ses cheveux. Il était tendre et doux, rendant l'instant magique pour tous les deux. Elle le ramena alors sur elle, pour le sentir proche, être sûr qu'il était bien là. Elle leva alors son chandail et lui ôta, découvrant alors un torse bien musclé par plusieurs épreuves qu'on lui avait imposé, et les entraînements de Quidditch rigoureux. Elle commença alors à le couvrir de baisers, alors qu'il traçait toutes les formes de ses seins, du bout des doigts. À son tour, il descendit pour l'embrasser, tout en faisant glisser sa jupe le long de ses cuisses. Il ne manqua pas de caresser cette peau si douce et qui lui procurait tant de plaisir. Il lui arracha quelques gémissements de plaisir en passant doucement sa langue au haut de la cuisse. Elle prit sa tête entre ses mains le forçant à retourner à sa hauteur, et entre deux baisers, elle lui enleva son pantalon, ainsi que son caleçon. Elle le scruta d'un oeil amoureux, et constata qu'il était encore plus beau que dans ses rêves. Ses cheveux blonds tombaient chaque côté de sa figure où des yeux pleins de désir pétillaient. Elle voyait le plaisir qu'elle lui procurait. Alors qu'elle l'embrassait passionnément, il fit glisser ses mains le long de son corps et retira le dernier morceau de linge de sa copine. Tous les deux se retrouvaient nus, mais tellement plus beau. Il s'arrêta quelques instants pour mieux la voir et il avait de la misère à se contenir tellement il la trouvait magnifique. Il se laissa doucement tombé sur elle, leur deux corps se frottant intimement, créant une chaleur agréable. Il la couvrait de baisers et elle faisait de même. Puis il la regarda et elle lui fit signe qu'elle était prête. Il entra alors doucement en elle, provoquant un plaisir intense pour chacun d'eux. Il alla doucement, pour être sûr qu'il ne lui procurerait aucun mal , tout en continuant de l'embrasser et de la caresser. Sa respiration s'était accélérer, mais elle continuait de donner des coups de bassin, pour rendre l'acte encore meilleur. Il continuait d'avancer en elle, sans cesser son contact avec sa peau douce et ses lèvres si impatientes de goûter au plaisirs charnelle. Puis elle laissa échapper un cri, montrant à son partenaire qu'elle était entièrement satisfaite et celui-ci atteint l'orgasme quelques secondes plus tard. Doucement, il se retira et se laissa retombé près d'elle, tout en continuant de la couvrir de baiser. Elle cherchait toujours un contact avec lui, et pendant quelques minutes, ils restèrent sans parler.
-Je t'aime aussi Draco, -dit elle doucement pour rompre le silence de la nuit.
Comme réponse il lui chatouilla la nuque des lèvres.
Elle vit alors une étoile scintiller plus que les autres. Cette étoile dont depuis si longtemps, elle avait oublié l'existence, croyant qu'elle s'était éteinte. Cette étoile que Draco avait baptisé comme étant la preuve de leur amour. Elle l'avait cherché maintes fois, mais jamais elle ne l'avait vu briller. Elle avait cru que l'amour était disparu qu'il n'y avait plus d'espoir, plus d'étoile, mais maintenant, elle savait que cette étoile brillerait jusqu'à la fin des temps.
-Draco, pourquoi avoir mis une barrière en nous? Demanda-t-elle mélancoliquement, se rappelant ce que Leïla avait dit. -Est-ce que je ne comptais pas pour toi, est-ce qu'elle avait raison? Dit-elle, se mordant la lèvre pour empêcher le noeud qui s'était formé dans sa gorge de sortir.
Il se sépara d'elle et la regarda dans les yeux.
-Sache que jamais je ne suis parti pour fuir ou pour te faire souffrir. Peu importe ce que cette fille a pu te raconter, elle ne voulait que te faire du mal, mais je suis là et cela ne se reproduiras plus. Ce qui s'est passé, il y a un an et demi, ce n'était pas toi la cause. Voldemort étant revenue au pouvoir, mon père m'a retiré de l'école et entraîné dans un endroit exclu pour pouvoir mieux le servir. Tout c'est déroulé si rapidement, je n'ai pas eu le temps de te dire adieu. Je ne pouvais plus de me languir de toi, de rêver de toi, donc je suis revenu. ,-dit-il, caressant tendrement ses cheveux.
Elle le regarda et vit la marque des ténèbres sur son bras. Mais peu lui importait qu'il soit du côté de Voldemort ou pas, s'il était avec elle. Elle resserra l'étreinte qui les unissait, et elle s'endormit dans ses bras.
À l'aube, ils se réveillèrent. Draco devait partir s'il ne voulait pas éveiller les soupçons de son père. Il se rhabilla en vitesse et n'omit pas d'embrasser Pansy pour la saluer, lui promettant de revenir très bientôt. Il se sauva par où il était arrivé. Pansy se dirigea alors vers sa maquilleuse, où elle fit la même routine que tous les autres matins. Avant de se lever, elle remarqua un petit objet qui brillait. Elle s'aperçut que c'était sa chaîne et le pendentif. Draco avait du le trouver sur le sol et l'avait ramassé.
Le coeur heureux pour la première fois depuis longtemps, elle sortit de sa chambre, croisant Leïla.
"Je sais ce qui c'est passé hier, et crois moi, jamais tu ne le reverras!" et elle partit, gambadant et chantonnant, comme une fillette, laissant Pansy, prise d'un frisson incontrôlable.
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N/A: Bon alors voici un 4e chapitre...je crois que je l'ai déjà dit, il y en aura finalement 7 qui sont tous déjà écrit. Selon moi le meilleur est le 6e mais bon moi qui adore le drama disons que je me suis servie...Donc dites-moi ce que vous en pensez...pis la suite arrive une de ces quatre...dans pas trop long...
Depuis plusieurs jours, elle n'était pas sorti de sa chambre. Elle était resté couchée et repensait sans cesse à ce qu'avait dit Leïla. Ainsi, elle n'avait été qu'un objet. Elle l'accaparait et il était partie pour se sauver. Elle se sentait vide, en détresse, personne pour la sauver. Elle était rescapée d'un naufrage où elle aurait préféré mourir noyée. Elle l'avait tant aimé, il avait fait parti de tous ses rêves, et lui, il l'avait oublié. Elle était maintenant une étrangère pour lui, et peut lui importait de savoir ce qu'elle était devenue. Il s'était refait une vie, une vie sans elle. Une larme perla sur sa joue et atterrit sur son oreiller. Elle avait verrouillé sa porte avec un sort, pour que personne ne la dérange et avait tendu les rideaux de son lit à baldaquin, de façon à ne pas voir ni la porte, ni le miroir qui se trouvait au bout de son lit. Elle avait peur de l'image qu'on lui renverrait. Elle avait seulement laissé libre le côté où elle pouvait voir à travers la grande porte vitrée. La nuit était tombée depuis quelques heures, et bientôt, il serait minuit. La lune était pleine et laissait passer les rayons dans sa chambre. Elle en senti un caresser sa nuque et se retourna pour voir l'astre dominer le ciel.
Cet astre, si grand, si beau, si paisible. À ce moment, elle aurait tellement aimé être une étoile et se tenir fière à ses côtés. Elle éclairait bien la nuit, et traçait les contours de tout ce qui se trouvait là.
Émerveillée par ce spectacle, elle continua de contemplé l'extérieur, quand une ombre attira son attention. Une ombre perché sur le balcon et qui l'observait. Elle pensa immédiatement que ce devait être Leïla qui voulait une fois de plus la faire souffrir. Elle allait lui montrer qu'elle ne se laisserait plus faire à être utilisé comme une poupée. Elle se leva et rapidement, elle se dirigea à l'extérieur pour faire face à cet enfant de malheur.
Elle senti alors la fraîcheur de la nuit venir l'embrasser. Depuis que Leïla était venue, elle n'avait plus pris le temps de s'arranger. Elle était toujours aussi belle, mais ses yeux si tristes, si vides la trahissait. La chemise laissait passer le doux vent venir chatouiller sa peau. Leïla se tenait reculée dans l'ombre et elle décida de s'avancer pour mieux la voir. Elle s'approcha et manqua s'évanouir lorsqu'elle découvrit qui se cachait dans l'ombre. Deux bras la retinrent, pour éviter qu'elle ne tombe et perde connaissance.
-Draco? -souffla-t-elle, doucement, de peur que ce ne soit qu'une illusion et qu'il disparaisse.
Il restait là, la regardant comme si c'était la première fois qu'il la voyait. Elle était si belle. Ces longs cheveux bruns et ces deux yeux noirs si sombres, qui lui avait tellement manqué.
-Pansy...-dit il tout aussi doucement.
Elle ferma les yeux, elle ne pouvait pas croire qu'il se tenait là, devant elle. Ses cheveux blonds, retombant près de ses yeux, ses yeux gris aciers dans lesquels elle aimait tant se plonger. Ses traits était plus sérieux, depuis la dernière fois où elle l'avait vu. Il n'était plus l'adolescent, mais maintenant le jeune homme.
Elle avait peur de se réveiller et de se rendre compte que ce n'était qu'un rêve. Mais il resserra son étreinte et elle réalisa qu'il était bien là, en chair et en os. Tout ce temps où elle l'avait cru perdu.
-C'est bien toi? -chuchota-t-elle.
En guise de réponse, il caressa sa joue du revers de la main.
Ses yeux s'embuèrent et une larme se forma près de son oeil. Elle n'arrivait pas à croire qu'il était bien là et qu'il la serrait contre lui.
Pendant quelques minutes, tous les deux se regardèrent sans parler, craignant de voir l'autre se dissoudre dans la noirceur de la nuit.
-Ne t'inquiète plus, je suis là, pour toujours. -dit-il faiblement en déposant de petits baisers sur son front.
Elle releva ses yeux humides et le regarda tendrement. Depuis tellement longtemps, elle avait cesser de croire. Elle avait cessé de vivre au moment où il avait disparut. Elle avait repoussé tous ceux qui avait voulu être près d'elle. Elle s'était entouré de mûrs, sachant que même cela ne le referait pas revenir. Et maintenant, il se tenait devant elle, silencieux, sérieux, mais si beau.
-Elle avait dit que tu m'avais oublié, que c'était terminé...-s'affola-t- elle. -Elle m'a assuré que tu étais parti à cause de moi...-ajouta-t-elle en baissant la tête.
Il posa un doigt devant sa bouche, pour la faire taire. Doucement, il s'approcha jusqu'à ce que leur bouche ne soit qu'à quelques centimètres. Leurs lèvres vinrent enfin à se toucher, se cherchant et s'accrochant l'une à l'autre. Au bout de quelques secondes si délicieuses, ils se séparèrent.
-Je me sentais vide sans toi, Draco. Je me sentais seule, sans personne pour m'aider. -dit-elle, empêchant ses larmes de refaire surface.
Il la regarda comme si c'était la dernière fois où il pourrait le faire. Ses yeux étaient redevenus vifs et une lueur y brillait, telle deux opaques. De nouveau, ils s'embrassèrent tendrement, sous la lune qui les éclairait faiblement. Sa langue cherchait toujours à venir caresser la sienne et elle se prêtait au jeu, sans aucune résistance.
-Je t'aime Pansy...
Et tous deux recommencèrent leur baiser passionné, ayant attendu ce moment depuis si longtemps. Sans se séparer, ils se rendirent près du lit où ils tombèrent allongés, tous près l'un de l'autre. Drago fit un mouvement, pour se retrouver sur Pansy. Il se détacha d'elle, et l'admira quelques secondes. Celle-ci tourna la tête sur le côté et il en profita pour enfouir son nez dans le creux de sa nuque, sans cesser de glisser de tendre baiser partout dans son cou. Doucement, il se redressa, et entreprit de défaire la chemise quelle portait, mais la parsemant de caresses après chaque bouton défait. Comme il la trouvait belle, sa peau étant si douce, si parfaite. Il descendit doucement, dégrafant son soutien-gorge. Il se pencha pour embrasser la naissance de ses deux seins si parfait, alors qu'elle passait sa main dans ses cheveux. Il était tendre et doux, rendant l'instant magique pour tous les deux. Elle le ramena alors sur elle, pour le sentir proche, être sûr qu'il était bien là. Elle leva alors son chandail et lui ôta, découvrant alors un torse bien musclé par plusieurs épreuves qu'on lui avait imposé, et les entraînements de Quidditch rigoureux. Elle commença alors à le couvrir de baisers, alors qu'il traçait toutes les formes de ses seins, du bout des doigts. À son tour, il descendit pour l'embrasser, tout en faisant glisser sa jupe le long de ses cuisses. Il ne manqua pas de caresser cette peau si douce et qui lui procurait tant de plaisir. Il lui arracha quelques gémissements de plaisir en passant doucement sa langue au haut de la cuisse. Elle prit sa tête entre ses mains le forçant à retourner à sa hauteur, et entre deux baisers, elle lui enleva son pantalon, ainsi que son caleçon. Elle le scruta d'un oeil amoureux, et constata qu'il était encore plus beau que dans ses rêves. Ses cheveux blonds tombaient chaque côté de sa figure où des yeux pleins de désir pétillaient. Elle voyait le plaisir qu'elle lui procurait. Alors qu'elle l'embrassait passionnément, il fit glisser ses mains le long de son corps et retira le dernier morceau de linge de sa copine. Tous les deux se retrouvaient nus, mais tellement plus beau. Il s'arrêta quelques instants pour mieux la voir et il avait de la misère à se contenir tellement il la trouvait magnifique. Il se laissa doucement tombé sur elle, leur deux corps se frottant intimement, créant une chaleur agréable. Il la couvrait de baisers et elle faisait de même. Puis il la regarda et elle lui fit signe qu'elle était prête. Il entra alors doucement en elle, provoquant un plaisir intense pour chacun d'eux. Il alla doucement, pour être sûr qu'il ne lui procurerait aucun mal , tout en continuant de l'embrasser et de la caresser. Sa respiration s'était accélérer, mais elle continuait de donner des coups de bassin, pour rendre l'acte encore meilleur. Il continuait d'avancer en elle, sans cesser son contact avec sa peau douce et ses lèvres si impatientes de goûter au plaisirs charnelle. Puis elle laissa échapper un cri, montrant à son partenaire qu'elle était entièrement satisfaite et celui-ci atteint l'orgasme quelques secondes plus tard. Doucement, il se retira et se laissa retombé près d'elle, tout en continuant de la couvrir de baiser. Elle cherchait toujours un contact avec lui, et pendant quelques minutes, ils restèrent sans parler.
-Je t'aime aussi Draco, -dit elle doucement pour rompre le silence de la nuit.
Comme réponse il lui chatouilla la nuque des lèvres.
Elle vit alors une étoile scintiller plus que les autres. Cette étoile dont depuis si longtemps, elle avait oublié l'existence, croyant qu'elle s'était éteinte. Cette étoile que Draco avait baptisé comme étant la preuve de leur amour. Elle l'avait cherché maintes fois, mais jamais elle ne l'avait vu briller. Elle avait cru que l'amour était disparu qu'il n'y avait plus d'espoir, plus d'étoile, mais maintenant, elle savait que cette étoile brillerait jusqu'à la fin des temps.
-Draco, pourquoi avoir mis une barrière en nous? Demanda-t-elle mélancoliquement, se rappelant ce que Leïla avait dit. -Est-ce que je ne comptais pas pour toi, est-ce qu'elle avait raison? Dit-elle, se mordant la lèvre pour empêcher le noeud qui s'était formé dans sa gorge de sortir.
Il se sépara d'elle et la regarda dans les yeux.
-Sache que jamais je ne suis parti pour fuir ou pour te faire souffrir. Peu importe ce que cette fille a pu te raconter, elle ne voulait que te faire du mal, mais je suis là et cela ne se reproduiras plus. Ce qui s'est passé, il y a un an et demi, ce n'était pas toi la cause. Voldemort étant revenue au pouvoir, mon père m'a retiré de l'école et entraîné dans un endroit exclu pour pouvoir mieux le servir. Tout c'est déroulé si rapidement, je n'ai pas eu le temps de te dire adieu. Je ne pouvais plus de me languir de toi, de rêver de toi, donc je suis revenu. ,-dit-il, caressant tendrement ses cheveux.
Elle le regarda et vit la marque des ténèbres sur son bras. Mais peu lui importait qu'il soit du côté de Voldemort ou pas, s'il était avec elle. Elle resserra l'étreinte qui les unissait, et elle s'endormit dans ses bras.
À l'aube, ils se réveillèrent. Draco devait partir s'il ne voulait pas éveiller les soupçons de son père. Il se rhabilla en vitesse et n'omit pas d'embrasser Pansy pour la saluer, lui promettant de revenir très bientôt. Il se sauva par où il était arrivé. Pansy se dirigea alors vers sa maquilleuse, où elle fit la même routine que tous les autres matins. Avant de se lever, elle remarqua un petit objet qui brillait. Elle s'aperçut que c'était sa chaîne et le pendentif. Draco avait du le trouver sur le sol et l'avait ramassé.
Le coeur heureux pour la première fois depuis longtemps, elle sortit de sa chambre, croisant Leïla.
"Je sais ce qui c'est passé hier, et crois moi, jamais tu ne le reverras!" et elle partit, gambadant et chantonnant, comme une fillette, laissant Pansy, prise d'un frisson incontrôlable.
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