Titre : Enfance, quand tu nous rattrape.
Auteur : Carina
Genre : Sais pas trop, c'est juste une fic que j'ai décidé d'écrire pour me défouler quand je feel pas bein bein.
Disclaimer : Duo et Heero ne sont pas à moi et si j'emprunte d'autres G-boys, ils ne sont pas à moi non plus. Par exemple, Carina et pt d'autres perso qui sortent droit de mon imagination très limitée sont à moi.
Notes : *_*_*_*_*_*_*_*_* marquent la séparation de l'histoire de mes notes, -_-_-_-_-_-_-_- marquent la séparation de lieu, de temps ou de perso, ( ) marquent les pensées. Je crois bien que c'est tout. Bonne lecture!
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Journée numéro 1 chez Heero. Ce matin, j'ai réussi à me lever avant lui. Oh miracle! Et comme ça n'arrivait pas à tous les jours, j'ai bien du en profiter.
- OMAE O KOROSU DUO MAXWELL!!!!!
Je crois que Hee-chan n'a pas apprécié la crème à raser partout dans le visage. Non mais, qu'allez-vous penser? Ce n'est pas moi qui lui ai mis. Il s'en ai mis lui-même. Moi, je n'ai fait qu'en mettre dans ses mains pendant qu'il dormait et je lui ai chatouillé le nez et les oreilles ensuite. Non mais, je n'ai rien fait là. Pourquoi est-ce que ça revient toujours à moi toutes les fautes que le monde fait. Injustice. Dois-je vous préciser que je suis présentement plié en 2 par le rire?
Hee-chan me fit un de ses nombreux regard-de-la-mort-qui-tue et s'en retourna à la salle de bain pour enlever toute la crème éparpillée dans ses cheveux et sur son visage. Dès que Hee-chan fut hors de la portée de ma vue, je m'écroulai par terre en me tenant les côtes. J'étais vraiment mort de rire. Voir l'ex-soldat parfait couvert de crème à raser de bonne heure la matin, en plus, avec les cheveux encore plus en bataille qu'à l'habitude, il y a de quoi réveiller quelqu'un le matin. Quand le soldat parfait sortit de la salle de bain, je lui demandai :
- T'as faim Hee-chan?
- Hn.
- J'va prendre ça pour un oui.
Et je m'enfuie vers la cuisine. Il ne sait vraiment pas à quoi il s'attend, Hee-chan. Je me demande s'il a déjà goûté à des saucisses à hot dog dans du sirop d'érable. Voyons voir où l'iceberg a pu cacher ce sirop. Pas dans les armoires, pas dans le frigidaire. Où peut-il bien être?
- Duo.
- Oui Hee-chan?
- Heero, baka. Mission.
- QUOI? Mais je croyais que la guerre était finie?
- Nous devons aller chercher un virus que Oz a créé vers la fin de la guerre.
- Wow! Je ne t'ai jamais vu sortir une phrase aussi longue! Tu dois être à bout de souffle.
- Baka.
- Ouais, ouais, je sais. Moi aussi, je t'aime Hee-chan.
- Omae o korosu, baka.
- Tu sais que j'aime tes mots d'amour plus que tout?
Je crois bien que Heero laissa tomber parce qu'il ne fit que monter les yeux au ciel et pousser un gros soupir avant de s'en aller dans sa chambre pour se préparer pour la mission, certainement. Avec moi, impossible d'avoir le dernier mot et ça, il le savait.
- Mais Hee-chan, comment va-t-on faire pour aller à la base sans nos Gundams?
- Il y a sur cette planète des véhicules à moteur nommés automobiles que l'on peut utiliser pour se déplacer d'une place à une autre.
- O.O WoW! Hee-chan! Ça, c'est une première! Tu fais une phrase plus longue que de trois lettres et en plus, tu fais de l'humour.
- Hn. Baka.
- J'me disais aussi -_- .
Nous nous mirent donc en route vers la base abandonnée d'après les coordonnées que nous avait envoyé J. Et oui, ce vieux sénile était toujours en vie. Ainsi que G et les autres ex-profs. Je me demande bien ce qu'ils sont devenus.
En arrivant à l'ancienne base, nous débarquâmes de la voiture de monsieur Heero, qui ne voulait pas me laisser conduire parce que c'était SA voiture et que je n'avais jamais eu de cours de conduite. Non mais, la confiance règne ici!
Nous entrâmes à l'intérieur de la vieille base abandonnée. Des tonnes et des tonnes de poussières envahissait la place. Nous nous mîmes à la recherche du fameux virus. Rien en vue.
- J'suis fatigué Hee-chan. Veux m'assir!
- Cherche encore un peu baka et après, on s'en va.
- Non mais, ils ont pas idée de nous envoyer ici. S'ils veulent quelque chose, ils n'ont qu'à venir le chercher eux-mêmes. Je trouve qu'on en a assez fait pendant la guerre moi!
Et je continuais mon monologue incessant. Que voulez-vous? Quand j'étais stressé, je parlais plus que d'habitude. Et oui, je peux parler plus que ça des fois. Vous n'avez pas idée. En tout cas, oui, j'étais sur les nerfs parce que mon 6ème sens me disait que quelque chose clochait.
- Duo?
- Oui, oh grand et vénéré dieu tout puissant?
- Baka. Reste ici, vois si tu peux trouver quelque chose; moi, je vais chercher la salle des ordinateurs.
- Compris 5 sur 5 chef!
- Bakayarou.
Tiens, je l'avais jamais entendu celle-là. Il va falloir que je demande à Hee-chan de me la traduire. Je m'assis donc par terre en regardant Heero s'en aller. Ce qu'il a de belles fesses. Wo là! Il faut que j'arrête ça! J'ai vraiment des problèmes avec mes hormones pour penser ça. Il va falloir y remédier.
Cela faisait maintenant 1h30 que Heero était parti et je m'emmerdais. Je décidai donc de me lever et d'explorer les environs. Ouin, la décoration laissait vraiment à désirer. Je poussai un grand soupir et fermai les yeux. Quand je les ouvris, je vis devant moi…
-Toi!
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Mouahaha! Je suis méchante! Je savais pas trop où couper alors, je l'ai fait là. J'avais assez hâte de finir ce chapitre pour l'envoyer sur internet. Et bien, le voilà pour ceux et celles qui le réclament!
Merde que j'ai pas d'inspiration. En tout cas, je voulais juste dire pour ceux qui ne sont pas capable de comprendre certaines expressions de chez moi (le bon vieux Québec) dans mes fic, Ah l'amour, Le nouveau et Enfance, quand tu nous rattrape, écrivez-moi et je vous les expliquerez. Oh! En passant, n'oubliez pas mes reviews!!!
