Un Dimanche Pour Voldemort

Disclamer : Tout est a J.K, je fais pas d'argent et tout et tout... Seule la chtite histoire est à MoA.

Je tiens à dire gros MMMIIIIICCHHHIIIEEEE à tout mes rewiers, je vous adore ! Alors voili la chapitre 4 !

Chapitre IV : Ma méchanceté oublié

Lorsque la brigade spéciale d'intervention eue enfin quitter les lieux, Voldemort en eu assez de ne pas pouvoir prendre son petit-déjeuner. Après avoir fait une petite crise en tapant des poings et des pieds sur le sol en pleurnichant, il semblant reprendre contenance.

-Sa suffit ! Cria-t-il à la communauté de Poudlard. Je quitte les lieux !

Son de criquets.

-Inutile d'essayer de me retenir !

Balle de foin qui roule au vent.

-Sa va sa va ! Je m'en vais !

Il tourna les talons et se dirigea vers les portes de Poudlard. Il tourna la tête, mais continua à avancer.

-Vous regretterez d'avoir mis à la porte le mage le plus puissant...

BANG !

En parlant, Voldemort avait foncé brutalement dans les portes.

D'un air étourdit, il marmonna que tout allait bien...

Je savais bien que j'aurais du rester au lit...

Il remit sa jupe écossaise en place et s'assura que son chapeau à plume avait bien l'effet Robin des bois espérer et quitta Poudlard, le feu aux joues.

Il décida de regagner son manoir.

Une fois dans son salon, il se mit à faire les cents pas. Soudain, Lucius réapparut.

-Lord ! Il faut absolument que je... Mais que faites vous ?

Voldemort avait pris un air de vagabond sur le bord du désespoir et noyait sa peine dans des litres d'eau, se suicidant à coup de vitamines des Flintstones.

-Plus personne ne me trouve terrifiant... se lamenta Voldi, qui avait remit son pyjama Pocahontas et ses pantoufles lapinets roses en peluche.

Lucius n'en doutait pas un instant vu comment son maître avait agi ses derniers jours.

-On va remédier à la situation Lord ! Je vais vous aidez à redevenir la terreur que vous étiez !

Voldemort avait maintenant les yeux pleins d'espoir.

-Vous êtes sûr ?

-Parfaitement ! On va commencer par aller faire les boutiques !

Et c'est ainsi que Voldi et Lucius partirent à la chasse aux aubaines dans les rues bondées de pré au Lard...

Après une succession de robe à carreaux, de jupes de dentelles et de chapeaux de fanfreluches (je vous laisse imaginez l'essayage... ^^), Lucius s'était endormit dans un petit fauteuil du magasin alors que Voldi essayait différentes teintes de vernis à ongles, regardait qu'elle était sa palette de couleur et testait différents parfums. Un véritable cauchemar. Lucius avait d'ailleurs frôlé la crise cardiaque, quelques heures plus tôt, quand son maître avait déclaré vouloir une sucette à la cerise sur le champ, faute de quoi il exterminerait tout le monde à portée de baguette. Pourtant, Lucius y avait décelé une pointe de méchanceté, il se dit donc que tout n'était pas perdu pour son maître. Certes, il y avait encore du chemin à faire...

-Mon maître, dit soudainement Lucius, une fois réveillé. Sa suffit. Il n'y a qu'une seule place en ce monde qui peut vous faire retrouver toute votre méchanceté ! Je parle bien sur de Barjo et Beurk, dans l'Allée des Embrumes.

-Vous avez raison Lucius ! Je me suis incroyablement laissé aller ces temps- ci ! Rugit Voldemort, retrouvant son air glacial et ses yeux rougeoyants.

Lucius, qui en avait presque oublié l'ancienne gloire de son maître, senti tout à coup une bouffée de fierté monter en lui.

Les deux hommes partirent donc d'un pas décidé vers l'Allée des Embrumes, les entrailles de toute la société de Magie Noire de Grande-Bretagne.

Voldemort marchait en tête, la tête haute, l'air puissant, déterminé et glorieux. Il avançait d'un pas vif, défiant tout le monde du regard. Sa cape flottait derrière lui, synonyme de toute sa puissance. Tandis qu'il parcourait les rues sombres et peuplés de créatures étranges, Voldemort offrait tout un discours sur sa ténébreuse personne au pauvre Lucius, qu'il l'écoutait néanmoins sans broncher.

-Je tiens donc à vous rappeler que je suis la puissance du mal la plus craint et la plus respectée de tout le royaume et qu...

Voldemort ne finit jamais cette phrase. Sûrement parce qu'il était trop occupé à extraire la boue qu'il avait dans la bouche, résultat d'une chute spectaculaire, suivit d'un double saut périlleux avant que Voldi avec exécuté, tête première, en se prenant les pieds dans sa cape...