*** Bonjour chers lecteurs, l'histoire ci-dessous résume toutes les pensées
d'Edward après sa séparation avec toutes les personnes qu'il adorait, et
qu'il adore toujours malgré toutes ces années. Ce n'est qu'une introduction
pour l'instant, mais j'aimerais tout de même que vous me dites ce que vous
en pensez ! Je vais écrire le premier chapitre plus tard, dans pas
longtemps.......Alors, je vous quitte sur ce en vous souhaitant bonne lecture !
Et envoyez-moi vos commentaires ! ***
Éloigné d'une petite banlieue, où toutes les maisons se ressemblaient et où les gens avaient tous le même comportement étrange, y avait un château. Un grand château d'apparence sinistre et hanté selon la vision des banlieusards. Et dans ce château y avait un homme. Il vivait seul, abandonné à sa solitude. Il s'appelait Edward.
Étant l'extraordinaire invention d'un homme très intelligent, Edward vivait jadis avec son créateur. Mais ce dernier mourut avant même d'avoir pu donner la touche presque finale à sa création : ses mains. Edward restait donc condamné à garder ses énormes ciseaux coupants en guise de mains pour l'éternité.
Seul, le front posé sur la fenêtre à moitié brisée, Edward regardait le petit village au bas de la montage où s'élevait le château au sommet. Cela devait faire un bon quart d'heure qu'il restait ainsi immobile, fidèle à la même position, les yeux toujours fixés au même endroit. On aurait dit qu'il dormait, ou bien qu'il venait de mourir sur place. Mais non, il n'était que profondément plongé dans ses pensées.
Le bruit d'une planche de bois tombant au sol bruyamment le fit sursauter. Il était vrai que le toit du château tombait presque en ruine. Mais cela ne le préoccupait guère. Il était habitué à ce qu'au moins un ou deux morceaux de bois tombent chaque jour. Depuis le jour où il s'était battu avec Jim, l'ex petit ami de la fille qu'Edward eut toujours aimé, la qualité du toit ne faisait qu'empirer.
Cette pensée fit revenir à la surface une tonne de souvenirs. Mais comme cela le rendait nostalgique, il préféra chasser ces images de sa tête et descendre jusqu'à son jardin pour aller faire ce qu'il savait le mieux faire avec ses mains d'argent : sculpter.
Sur son chemin vers l'extérieur, il croisa plusieurs de ses œuvres qu'il avait sculpté de glace. Toutes représentaient ses plus beaux souvenirs de ses six mois vécus en banlieue avec les gens qu'il aimait, mais qui l'avaient trahis. Une des plus belles sculptures qu'il eut fait : Kim dansant sous la neige.
Edward se rappelait parfaitement de ce moment magique. Kim avait été si belle, si merveilleuse en cet instant. Elle l'avait toujours été, depuis le jour où il posa ses yeux sur une photo d'elle. Tout de suite, il crût voir un ange en elle. Malgré les nombreuses années qui avaient passé, le cœur d'Edward appartenait encore à Kim, même si le fait de ne plus pouvoir la voir le torturait. Heureusement qu'il avait ses statues à portrait, sinon qui sait où la torture l'aurait amené. . .
Il passa à côté des statues en leur jetant un regard peiné, comme il en avait l'habitude. Ce regard, cet air si chagriné qu'il avait tous les jours devenait avec le temps de plus en plus triste. La solitude le rongeait encore plus qu'avant son départ pour la banlieue. Tous ces gens attachant, toutes ces petites fête, barbecues, toute l'action qui se passait en bas de la montagne, tout ça lui manquait tant.
Éloigné d'une petite banlieue, où toutes les maisons se ressemblaient et où les gens avaient tous le même comportement étrange, y avait un château. Un grand château d'apparence sinistre et hanté selon la vision des banlieusards. Et dans ce château y avait un homme. Il vivait seul, abandonné à sa solitude. Il s'appelait Edward.
Étant l'extraordinaire invention d'un homme très intelligent, Edward vivait jadis avec son créateur. Mais ce dernier mourut avant même d'avoir pu donner la touche presque finale à sa création : ses mains. Edward restait donc condamné à garder ses énormes ciseaux coupants en guise de mains pour l'éternité.
Seul, le front posé sur la fenêtre à moitié brisée, Edward regardait le petit village au bas de la montage où s'élevait le château au sommet. Cela devait faire un bon quart d'heure qu'il restait ainsi immobile, fidèle à la même position, les yeux toujours fixés au même endroit. On aurait dit qu'il dormait, ou bien qu'il venait de mourir sur place. Mais non, il n'était que profondément plongé dans ses pensées.
Le bruit d'une planche de bois tombant au sol bruyamment le fit sursauter. Il était vrai que le toit du château tombait presque en ruine. Mais cela ne le préoccupait guère. Il était habitué à ce qu'au moins un ou deux morceaux de bois tombent chaque jour. Depuis le jour où il s'était battu avec Jim, l'ex petit ami de la fille qu'Edward eut toujours aimé, la qualité du toit ne faisait qu'empirer.
Cette pensée fit revenir à la surface une tonne de souvenirs. Mais comme cela le rendait nostalgique, il préféra chasser ces images de sa tête et descendre jusqu'à son jardin pour aller faire ce qu'il savait le mieux faire avec ses mains d'argent : sculpter.
Sur son chemin vers l'extérieur, il croisa plusieurs de ses œuvres qu'il avait sculpté de glace. Toutes représentaient ses plus beaux souvenirs de ses six mois vécus en banlieue avec les gens qu'il aimait, mais qui l'avaient trahis. Une des plus belles sculptures qu'il eut fait : Kim dansant sous la neige.
Edward se rappelait parfaitement de ce moment magique. Kim avait été si belle, si merveilleuse en cet instant. Elle l'avait toujours été, depuis le jour où il posa ses yeux sur une photo d'elle. Tout de suite, il crût voir un ange en elle. Malgré les nombreuses années qui avaient passé, le cœur d'Edward appartenait encore à Kim, même si le fait de ne plus pouvoir la voir le torturait. Heureusement qu'il avait ses statues à portrait, sinon qui sait où la torture l'aurait amené. . .
Il passa à côté des statues en leur jetant un regard peiné, comme il en avait l'habitude. Ce regard, cet air si chagriné qu'il avait tous les jours devenait avec le temps de plus en plus triste. La solitude le rongeait encore plus qu'avant son départ pour la banlieue. Tous ces gens attachant, toutes ces petites fête, barbecues, toute l'action qui se passait en bas de la montagne, tout ça lui manquait tant.
