Harry Potter et Tom Jedusor alias Lord Voldemort
MESSAGE IMPORTANT!
Bonjour tout le monde! Aujourd'hui, vendredi 31 octobre, je place le chapitre 10. Il n'y aura pas d'autre chapitre remis avant au moins 3 semaines, probablement plus. La cause, je pars demain soir pour le Nicaragua en Amérique Central, je vais faire de l'aide humanitaire. Bel Objectif! Lorsque je reviendrai, je mettrai la suite! Merci de votre compréhension et de votre soutient! Maléfica :-D
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Tout les personnages appartiennent à J.K. Rowling
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CHAPITRE 10
Harry en était à sa deuxième fiole de récolte d'amourettes de puces (il va s'en dire qu'elles ont été grossit magiquement, afin de les voir, bien entendu), lorsque Rogue revint dans les cachots. Cela faisait bien cinq heures que notre impertinent sorcier s'échinait à cette laborieuse tâche qui demandait du doigté. Il ne fallait pas abîmer les amourettes en les détachant du corps de l'insecte. Celles-ci serviront dans la potion pour contrer les morsures de vampires et étaient efficaces que si elles étaient en parfait état. Malheureusement pour le jeune homme, le professeur Rogue avait volontairement diminué le volume de grossissement des puces. Le travail s'en trouvait encore plus exigeant.
--Allons Potter, cessez de lambiner, il vous reste encore une fiole à remplir. Harcela le professeur revêche.
--Je fais le plus vite que je peux, professeur. Ronchonna Harry.
Il devait supporter la vengeance de Rogue en silence, ne pas attiser sa haine encore plus afin qu'il n'aille pas se plaindre du comportement de son étudiant au professeur Dumbledore.
--Je reviendrai dans deux heures, j'espère que ce travail sera terminé et que vous aurez nettoyé votre table. Ce n'est pourtant pas si compliqué que cela, un élève de première année s'en sort mieux que vous. Persifla-t-il avant de partir, faisant virevolter sa robe en se retournant. Et d'un mouvement sec, il referma la porte derrière lui.
--Il faudrait préciser que les puces sont cinquante fois plus grosses que les miennes alors, ils n'ont pas besoin de s'arracher les yeux pour voir ces foutus amourettes qui ne sont pas plus grosses qu'une tête de clou pour meubles miniatures. Bougonna Harry.
--Tu parles de vacances, je me tape Jedusor. Je répare des meubles et des murs. Je suis collé en retenue à tripatouiller des couilles de puces. Je me demande si je n'étais pas mieux chez les Dursley, je devrais peut-être y retourner. Je n'aurais pas à supporter d'un coté, une tête de vampire et de l'autre, une tête de serpent, qui me regarde avec haine. Et pour couronner le tout, un Dumbledore qui me fixe avec des yeux réprobateurs. Marmonna Harry, exaspéré.
Son dos et sa nuque étaient douloureux à force de toujours être pencher au-dessus de son plan de travail. Son ventre criait famine puisque l'heure du repas était largement dépassé. Il ne devait pas compter se nourrir avant une heure ou deux encore.
Lorsque Rogue revient au cachot, Harry terminait de nettoyer sa table. Il avait ranger ses fioles dans l'armoire et mis dans un contenant les cadavres des puces qui serviraient pour d'autres potions ultérieurement. Il espérait que tout son travail de la journée soit à la satisfaction de son maître de potions.
--Dégagez maintenant et que je ne prenne plus à vous payer ma tête. Sinon… je pourrais regarder ailleurs au mauvais moment… ce qui pourrait s'avérer néfaste pour votre santé. Menaça l'ex-mangemort.
Harry blêmit sous la menace non-voilée de son professeur. Sa haine le pousserait à le laisser se faire torturer ou pire, se faire tuer par des mangemorts ou Voldemort. Comment Dumbledore pouvait faire confiance à cet homme qui jouait sur les deux plans. D'un coté, il donnait des informations cruciales pour Dumbledore, de l'autre, il continuait à satisfaire sa soif de puissance avec la magie noire, torturant et peut-être tuant pour Voldemort. Le jeune Héritier comprit que quoique cet homme dise ou fasse, il devra toujours être sur ses gardes, regardant derrière lui plutôt deux fois qu'une.
--Sachez ,professeur, que je ne vous ai jamais fait confiance et aujourd'hui encore moins. Pour moi, vous demeurerez toujours un mangemort qui tremble devant Voldemort et votre peur vous fera un jour trahir ceux qui ont mis leur confiance en vous comme espion. Répliqua Harry dédaigneusement, affrontant Rogue du regard.
--DEHORS. Hurla son professeur, prêt à lui sauter à la gorge.
Harry ne se le fit pas dire deux fois. Il sorti de la salle de classe d'un pas vif, heureux de pouvoir s'éloigner de cet être maléfique.
Le jeune homme se rendit aux cuisines se chercher de quoi se ravitailler pour le repas et la soirée et retourna à sa tour. Il avait besoin de réfléchir aux événements des derniers jours.
Premièrement,. il apprend qu'il est l'Héritier de Godric Griffondor.
Deuxièmement, Jedusor le traite de marionnette dans les mains de Dumbledore. Troisièmement, il lui lance que comme sorcier, il ne lui va pas à la cheville. Quatrièmement, Rogue le menace de le laisser aux mains du Seigneur des ténèbres.
--Réfléchi Harry. Je suis l'Héritier donc, je dois logiquement être plus puissant que n'importe quel autre sorcier. Je suis obligé d'avoir plus de pouvoir. Dumbledore m'a dit que j'avais le plus grand pouvoir magique répertorié à ce jour. Si j'ai la puissance, il me manque la connaissance et l'entraînement pour développer ce pouvoir.
--Pour ce qui est d'être une marionnette, Jedusor n'a pas complètement tort, Dumbledore a toujours réussi à guider mes pas là où il voulait exactement que j'aille. Sauf dernièrement où je lui ai donné plus de fil à retordre. Bien que j'aie fini par lui obéir.
-Comme sorcier, bien que j'aie affronté Voldemort, c'est vrai que je ne connais pas vraiment de sortilèges qui en vaille la peine. Jusqu'ici, je suis encore en vie parce qu'il y avait quelqu'un pour me protéger ou que j'ai eu une chance sans précédent. Je ne sais pas où en est rendu Jedusor, mais la magie noire doit l'avoir rendu plus qualifié que moi.
--Les menaces de Rogue me mette en danger encore plus. Je n'ai pas envie de faire ses quatre volontés en subissant son chantage.
Harry en vient donc à la conclusion que sa vulnérabilité face à Voldemort et ses mangemorts lui montrait l'urgence d'apprendre à se défendre adéquatement. Il en avait le pouvoir, la capacité et il savait à qui s'adresser pour avoir de l'aide.
Harry prit un parchemin écrivit quelques lignes et se dirigea vers la volière d'un pas décidé.
Fin du chapitre 10
